Recherche sur la relation soignant soigné
Modérateur : Modérateurs
Re: Recherche sur la relation soignant soigné
École privées de psychologie. Plus reconnu que la fac et 5 000€ l'année. Proposant des Master avec une sélection plus compliqué à l'entrée.
Je ne critique pas vos mémoire. Je dis juste que ide à Rangueil c'était 18 à 22 pages. Nous c'est 100 minimum. Je dis juste que le niveau d'exigence n'est pas le même. On mène la recherche jusqu'à la fin. Pa jusqu'à s'arrêter à une question de recherche.
Bref. Je m'en fout.
Et ceux qui ne connaisse pas les écoles privée dans le supérieur sortez un peu de chez vous lol.
Et vocabulaire simple pour être accessible à tous les professionnels de santé justement et non pas que les psychologues. Mais aparament certains d'entre vous arrivent à ne pas comprendre quand même.
Bon ça suffit j'en ai assez de ce forum ou les gens ne sont bon qu'à critiquer le travail des autres. Surtout quand ils ne comprennent pas lol.
Amusez vous biens je vous laisse. Bye.
Je ne critique pas vos mémoire. Je dis juste que ide à Rangueil c'était 18 à 22 pages. Nous c'est 100 minimum. Je dis juste que le niveau d'exigence n'est pas le même. On mène la recherche jusqu'à la fin. Pa jusqu'à s'arrêter à une question de recherche.
Bref. Je m'en fout.
Et ceux qui ne connaisse pas les écoles privée dans le supérieur sortez un peu de chez vous lol.
Et vocabulaire simple pour être accessible à tous les professionnels de santé justement et non pas que les psychologues. Mais aparament certains d'entre vous arrivent à ne pas comprendre quand même.
Bon ça suffit j'en ai assez de ce forum ou les gens ne sont bon qu'à critiquer le travail des autres. Surtout quand ils ne comprennent pas lol.
Amusez vous biens je vous laisse. Bye.
Re: Recherche sur la relation soignant soigné
Bonsoir à tous,
j'arrive un peu après la bataille me semble-t-il. Pour ma part je suis plutôt content de savoir que ce genre de test (?) / questionnaire, est de plus en plus ignoré par les collègues. Je pense qu'au delà du ras le bol d'être envahi par des gens qui n'alimentent pas le forum mais viennent juste y trouver un réservoir de cobaye, le sentiment de vouloir se retourner vers un contact dans la réalité pour une telle transmission reprend le dessus face à la pseudo scientificité ambiante du questionnaire de masse. A cela ajoutez le classique : "je ne peux pas vous dire de quoi traite mon sujet pour ne pas orienter les questions" des étudiants psycho et vous finissez d'achevez une cohorte d'infirmier(es)s pour qui la relation est au premier plan de leur activité.
Vous nous dites ne pas pouvoir faire autrement (permettez moi de douter ! Pensez à l'expérience de Milgram ... la soumission à l'autorité n'est pas une fatalité), peut être qu'il faut en passer par une rébellion des cobayes (je parle de cobaye puisque de questionnaire vous êtes passez à test ... ce qui n'a pas du tout la même signification concernant le travail qui en découle) pour que les facs (et écoles privés vulgairement cher mais je le reconnais, de qualité) renvoient leurs étudiants au contact des patients et des professionnels, parce que malheureusement, école privé ou non, les études se détériorent gravement (je vous rassure, c'est aussi valable pour les infirmiers et les médecins).
Pour finir pour ce message : vous dites que ce test à été validé par un comité d'éthique mais comment traiter de la relation soignant soigné dans un test à sens unique ? De plus avec toutes les validations des grands pôles et compagnie, vous dites que des directeurs de pôles ont refusé votre questionnaire parce qu'il pourrait mettre les équipes en difficulté. Pour ma part je le trouve bien loin du terrain. Certaines questions sont pertinentes mais ça reste noyé dans la masse de question et dérisoire face à la modalité de réponse.
Je ne sais pas si vous aurez lu cette énième critique, mais je ne peux que vous conseiller de vous accrocher à vos valeurs et les faire entendre. Le travail de recherche des psychologues est important, mais c'est un travail qualitatif qu'il faut faire valoir dans le travail humain parce que c'est d'un patient à la fois que vous vous occuperez, même dans une prise en charge groupale.
Bon courage pour la suite.
j'arrive un peu après la bataille me semble-t-il. Pour ma part je suis plutôt content de savoir que ce genre de test (?) / questionnaire, est de plus en plus ignoré par les collègues. Je pense qu'au delà du ras le bol d'être envahi par des gens qui n'alimentent pas le forum mais viennent juste y trouver un réservoir de cobaye, le sentiment de vouloir se retourner vers un contact dans la réalité pour une telle transmission reprend le dessus face à la pseudo scientificité ambiante du questionnaire de masse. A cela ajoutez le classique : "je ne peux pas vous dire de quoi traite mon sujet pour ne pas orienter les questions" des étudiants psycho et vous finissez d'achevez une cohorte d'infirmier(es)s pour qui la relation est au premier plan de leur activité.
Vous nous dites ne pas pouvoir faire autrement (permettez moi de douter ! Pensez à l'expérience de Milgram ... la soumission à l'autorité n'est pas une fatalité), peut être qu'il faut en passer par une rébellion des cobayes (je parle de cobaye puisque de questionnaire vous êtes passez à test ... ce qui n'a pas du tout la même signification concernant le travail qui en découle) pour que les facs (et écoles privés vulgairement cher mais je le reconnais, de qualité) renvoient leurs étudiants au contact des patients et des professionnels, parce que malheureusement, école privé ou non, les études se détériorent gravement (je vous rassure, c'est aussi valable pour les infirmiers et les médecins).
Pour finir pour ce message : vous dites que ce test à été validé par un comité d'éthique mais comment traiter de la relation soignant soigné dans un test à sens unique ? De plus avec toutes les validations des grands pôles et compagnie, vous dites que des directeurs de pôles ont refusé votre questionnaire parce qu'il pourrait mettre les équipes en difficulté. Pour ma part je le trouve bien loin du terrain. Certaines questions sont pertinentes mais ça reste noyé dans la masse de question et dérisoire face à la modalité de réponse.
Je ne sais pas si vous aurez lu cette énième critique, mais je ne peux que vous conseiller de vous accrocher à vos valeurs et les faire entendre. Le travail de recherche des psychologues est important, mais c'est un travail qualitatif qu'il faut faire valoir dans le travail humain parce que c'est d'un patient à la fois que vous vous occuperez, même dans une prise en charge groupale.
Bon courage pour la suite.
Re: Recherche sur la relation soignant soigné
Effectivement je n'avais pas l'intention de répondre de nouveau. Mais je voulais quand même te remercier. Pour une fois quelqu'un ne fait pas que me rabaisser. Tu m'a donner des conseil de manière normale et pas dans le but de casser. Je t'en remercie.
Effectivement mon idée première était de faire des entretiens. Mais ça m'a été refusé par mes directrices de mémoire. Qui m'ont imposé le questionnaire.
Bref, merci pour tes conseils. Bonne continuation toi aussi.
Effectivement mon idée première était de faire des entretiens. Mais ça m'a été refusé par mes directrices de mémoire. Qui m'ont imposé le questionnaire.
Bref, merci pour tes conseils. Bonne continuation toi aussi.
Re: Recherche sur la relation soignant soigné
Bonsoir,
Ce n'est pas toujours évident lorsque l'on débute sur un forum. Ce n'est pas parce que c'est la virtualité qu'il n'y a pas d'histoire. Et on pourrais penser qu'énormément de gens interviennent ici mais à l'usage on s'aperçoit qu'il y a (pour le sous forum psychiatrie) une dizaine de personnes réellement actives. De ce fait je peux comprendre les réponses (que l'on pourrait transposer comme étant tonico-emotionnelle s'il n'y avait pas le clavier ... épidermique pour ceux qui préfèrent) des collègues, en voyant l'évolution des demandes qui émergent pour remplir ces questionnaires. Pour les étudiants infirmiers généralement je propose de pouvoir échanger en MP avant de répondre au questionnaire, et la plupart du temps la discussion s'interrompt avant de répondre aux questions. Il me semble que c'est à la fois pris dans cette ambiance de consommation qui s'installe faisant de l'autre une simple rencontre utilitaire, mais également du fait du travers d'internet facilitant cette démarche et d'une formation trop éloignée du terrain pour reprendre de tels considérations relationnelles.
C'est un drame pour la psychiatrie. Aujourd'hui encore j'ai pu constater le désintérêt de la parole au profit d'une prise en charge ne reposant que sur l'administration de médicaments et le maintient absolu du cadre. Des infirmiers désintéressés de la clinique, des psychologues absents des échanges entre professionnels un médecin ultra présent mais dont la position n'est pas symbolisé par l'équipe dans une aide pour penser mais uniquement comme un décisionnaire des prises en charge.
pour celles et ceux qui n'ont pas entendu parler du dernier rapport de la contrôleur des lieux de privation de liberté je vous laisse faire les recherches adéquates. C'est assez effarant de voir comment l'HAS et l'ARS peuvent valider certaine pratique des plus déshumanisante dans ces lieux riches de plusieurs centaines d'années de combat pour rendre à la folie sa part d'humanité.
D'un autre côté, vous devez faire avec ce que l'école vous impose, et c'est loin d'être facile. Entre les méthodes imposées, les questionnaires des profs qui veulent faire un écrit pour une revue et qui utilisent (imposent !) les étudiants pour faire remplir leurs questions (débiles bien souvent !!). Et votre colère peut se comprendre. Il faut espèrer que l'on soit rapidement au bout de cette impasse pour, peut être, enfin chercher autre chose.
Je vous invite (psychologue et infirmier) à vous informer sur les actions du collectif des 39 et notamment le groupe de réflexion qui s'était formé autour de la question des différentes formations
Ce n'est pas toujours évident lorsque l'on débute sur un forum. Ce n'est pas parce que c'est la virtualité qu'il n'y a pas d'histoire. Et on pourrais penser qu'énormément de gens interviennent ici mais à l'usage on s'aperçoit qu'il y a (pour le sous forum psychiatrie) une dizaine de personnes réellement actives. De ce fait je peux comprendre les réponses (que l'on pourrait transposer comme étant tonico-emotionnelle s'il n'y avait pas le clavier ... épidermique pour ceux qui préfèrent) des collègues, en voyant l'évolution des demandes qui émergent pour remplir ces questionnaires. Pour les étudiants infirmiers généralement je propose de pouvoir échanger en MP avant de répondre au questionnaire, et la plupart du temps la discussion s'interrompt avant de répondre aux questions. Il me semble que c'est à la fois pris dans cette ambiance de consommation qui s'installe faisant de l'autre une simple rencontre utilitaire, mais également du fait du travers d'internet facilitant cette démarche et d'une formation trop éloignée du terrain pour reprendre de tels considérations relationnelles.
C'est un drame pour la psychiatrie. Aujourd'hui encore j'ai pu constater le désintérêt de la parole au profit d'une prise en charge ne reposant que sur l'administration de médicaments et le maintient absolu du cadre. Des infirmiers désintéressés de la clinique, des psychologues absents des échanges entre professionnels un médecin ultra présent mais dont la position n'est pas symbolisé par l'équipe dans une aide pour penser mais uniquement comme un décisionnaire des prises en charge.
pour celles et ceux qui n'ont pas entendu parler du dernier rapport de la contrôleur des lieux de privation de liberté je vous laisse faire les recherches adéquates. C'est assez effarant de voir comment l'HAS et l'ARS peuvent valider certaine pratique des plus déshumanisante dans ces lieux riches de plusieurs centaines d'années de combat pour rendre à la folie sa part d'humanité.
D'un autre côté, vous devez faire avec ce que l'école vous impose, et c'est loin d'être facile. Entre les méthodes imposées, les questionnaires des profs qui veulent faire un écrit pour une revue et qui utilisent (imposent !) les étudiants pour faire remplir leurs questions (débiles bien souvent !!). Et votre colère peut se comprendre. Il faut espèrer que l'on soit rapidement au bout de cette impasse pour, peut être, enfin chercher autre chose.
Je vous invite (psychologue et infirmier) à vous informer sur les actions du collectif des 39 et notamment le groupe de réflexion qui s'était formé autour de la question des différentes formations
Re: Recherche sur la relation soignant soigné
lorsque je me promene dans une certaine ville, je suis abordee dans la rue pour gouter certains produits ... creme pour le corps, glaces,biscuits, yaourts .... je me suis meme un jour retrouvée avec un poulet à cuire pour etre ensuite interrogée et noter.... le poulet selon un questionnaire du meme genre 
