relation d'aide et toxicomanie
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
relation d'aide et toxicomanie
actuellement en 3eme année d'école d'infirmière je rédige mon tfe. celui ci porte sur la relation d'aide entre le soignant en service de soins généraux et le patient toxicomane.
ma question de recherche est: quels sont les facteurs influençant la relation d'aide entre le soignant en service de soins généraux et le patient toxicomane.
mon concept sur la toxicomanie est bouclé mais je sais pas comment m'y prendre en ce qui concerne la relation d'aide. et j'arrive pas à formuler ma problématique.
mon hypothèse serait qu'il est difficile de faire abstraction de ces propre représentations et donc de ne pas évaluer le sujet. ceci du fait du manque de formation. (c mon expérience perso que je souhaiterais vérifier auprès du personnel soignant.) je souhaiterais de l'aide pour savoir quelle piste prendre pour arriver à ma problématique. je panique grave merci d'avance pour votre aide.
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ma question de recherche est: quels sont les facteurs influençant la relation d'aide entre le soignant en service de soins généraux et le patient toxicomane.
mon concept sur la toxicomanie est bouclé mais je sais pas comment m'y prendre en ce qui concerne la relation d'aide. et j'arrive pas à formuler ma problématique.
mon hypothèse serait qu'il est difficile de faire abstraction de ces propre représentations et donc de ne pas évaluer le sujet. ceci du fait du manque de formation. (c mon expérience perso que je souhaiterais vérifier auprès du personnel soignant.) je souhaiterais de l'aide pour savoir quelle piste prendre pour arriver à ma problématique. je panique grave merci d'avance pour votre aide.

tu as évoqué le cadre de l'unité.
Souvent, avec les personne toxicomanes, la prise en charge se fait sous forme de contrat de soin, avec un cadre hyper rigide. Mais il a une utilité pour cette relation. L'important est de se débarrasser de toutes ces limites (donc déjà établies) pour pouvoir élaborer la relation d'aide. Evidemment, si le patient refuse cette relation, il va sans cesse aller au delà des limites pour forcer l'autre à jouer juste le rôle de "policier" et non de soignant.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Souvent, avec les personne toxicomanes, la prise en charge se fait sous forme de contrat de soin, avec un cadre hyper rigide. Mais il a une utilité pour cette relation. L'important est de se débarrasser de toutes ces limites (donc déjà établies) pour pouvoir élaborer la relation d'aide. Evidemment, si le patient refuse cette relation, il va sans cesse aller au delà des limites pour forcer l'autre à jouer juste le rôle de "policier" et non de soignant.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
merci de m'avoir répondu c'est super sympa!
en fait je veux arriver à dire qu'il faut faire abstraction en tant que soignant de ces propres représentations. Et que pour cela les équipes en service de soins généraux ne sont pas forcément formé à cela.
je pars d'une situation vécu en service de chirurgie ou un patient est arrivé avec une suspicion de fracture du col du fémur (qui n'en était pas une) à la suite d'une chute en état d'ébriété
tous les ttt nécessaires lui été dispensés mais à aucun moment il n'ont abordé le sujet de l'alcoolisme.
dans mémoire j'ai déjà établit un topo sur la toxicomanie sur la relation d'aide mais je n'arrive pas à formuler ma problématique. je sais pas comment y arrivé. et je ne pense pas être en mesure de d'écrire un mode d'emploi de prise en charge du patient toxicomane dans le service.
je souhaiterais plus m'appuyer sur le fait que les représentations peuvent être néfaste à la relation d'aide.
et que ses représentation peuvent être dues à un manque de connaissance en matière de toxicomanie.
je ne sais plus comment m'orienter.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
en fait je veux arriver à dire qu'il faut faire abstraction en tant que soignant de ces propres représentations. Et que pour cela les équipes en service de soins généraux ne sont pas forcément formé à cela.
je pars d'une situation vécu en service de chirurgie ou un patient est arrivé avec une suspicion de fracture du col du fémur (qui n'en était pas une) à la suite d'une chute en état d'ébriété
tous les ttt nécessaires lui été dispensés mais à aucun moment il n'ont abordé le sujet de l'alcoolisme.
dans mémoire j'ai déjà établit un topo sur la toxicomanie sur la relation d'aide mais je n'arrive pas à formuler ma problématique. je sais pas comment y arrivé. et je ne pense pas être en mesure de d'écrire un mode d'emploi de prise en charge du patient toxicomane dans le service.
je souhaiterais plus m'appuyer sur le fait que les représentations peuvent être néfaste à la relation d'aide.
et que ses représentation peuvent être dues à un manque de connaissance en matière de toxicomanie.
je ne sais plus comment m'orienter.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
qui dit relation d'aide dit:
-empathie: je suppose que c'est sur ce point que tu souhaites parler des représentations, difficile d'appréhender le monde de l'autre comme si il était le sien, alors que l'on a des préjugés sur ce monde .En effet, la notion d'empathie dans la relation d'aide n'est peut etre pas si évidente.
- en partant sur ta situation, le problème alcool, ou toxiques, n'est peut etre pas vécu comme un problème pour le patient, et là aucune relation d'aide n'est possible puisque le patient doit etre au centre de cette relation. Il y a une notion temporelle qui est différente des autres soins, il faut parfois accepter le fait que le patient ne veuille pas se soigner à cet instant, le laisser cheminer pour qu'il arrive à cette demande. Difficile pour un soignant qui travaille dans un milieu qui n'a pas le même repère temporel, en traumato, on agit de suite et après tant de temps c'est tout bon. C'est donc aussi la représentation du soin que le toxicomane touche, il ne faut pourtant pas avoir l'impression d'un mal incurable, et avoir en tête que si l'on ote le produit sans réfléchir sur le sens qu'il avait, il y a rechute.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
-empathie: je suppose que c'est sur ce point que tu souhaites parler des représentations, difficile d'appréhender le monde de l'autre comme si il était le sien, alors que l'on a des préjugés sur ce monde .En effet, la notion d'empathie dans la relation d'aide n'est peut etre pas si évidente.
- en partant sur ta situation, le problème alcool, ou toxiques, n'est peut etre pas vécu comme un problème pour le patient, et là aucune relation d'aide n'est possible puisque le patient doit etre au centre de cette relation. Il y a une notion temporelle qui est différente des autres soins, il faut parfois accepter le fait que le patient ne veuille pas se soigner à cet instant, le laisser cheminer pour qu'il arrive à cette demande. Difficile pour un soignant qui travaille dans un milieu qui n'a pas le même repère temporel, en traumato, on agit de suite et après tant de temps c'est tout bon. C'est donc aussi la représentation du soin que le toxicomane touche, il ne faut pourtant pas avoir l'impression d'un mal incurable, et avoir en tête que si l'on ote le produit sans réfléchir sur le sens qu'il avait, il y a rechute.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
recoucou merci. mais dans ma situation il n'ont pas du tout évoqué le problème.
j'ai pas mal parler de l'empathie de l'autenticité, observer sans évaluer,...la congruence. en fait j'ai parler de la relation d'aide en général et là je suis bloqué je n'arrive pas à y relier aux attitudes du tox et je ne le souhaite pas car je manque de savoir pour y parvenir je ne suis qu'étudiante et en aucun cas je ne peux avoir la prétention d'apporter un mode d'emploi. je souhaiterais transmettre que par la formation on peut améliorer ces propres représentations c'est ce qui s'est passer pour moi.
ma question de départ et la suivante qu'elles sont les facteurs influençants la relation d'aide entre le soignant en service de soins généraux et le patient tox. je n'arrive pas à trouver ma problèmatique. pourrais tu m'aider?
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j'ai pas mal parler de l'empathie de l'autenticité, observer sans évaluer,...la congruence. en fait j'ai parler de la relation d'aide en général et là je suis bloqué je n'arrive pas à y relier aux attitudes du tox et je ne le souhaite pas car je manque de savoir pour y parvenir je ne suis qu'étudiante et en aucun cas je ne peux avoir la prétention d'apporter un mode d'emploi. je souhaiterais transmettre que par la formation on peut améliorer ces propres représentations c'est ce qui s'est passer pour moi.
ma question de départ et la suivante qu'elles sont les facteurs influençants la relation d'aide entre le soignant en service de soins généraux et le patient tox. je n'arrive pas à trouver ma problèmatique. pourrais tu m'aider?

en gros tes idées:
- on ne connait pas forcément tout de la personne toxicomane, d'ou les préjugés et mauvaises représentations perso.
- la relation d'aide ne se fait pas sans empathie, or ces représentations sont un frein.
- Pourquoi alors ces représentations perdurent? Je remarque aussi que l'on n'est pas forcément formé à s'occuper de ces patients, qu'un service "général" n'est pas adapté pour les accueillir dans les meilleures conditions, et ce dû à la dimension du soin qui y est prodigué (ce n'est pas les soignants, mais le système dans lequel ils évoluent qui en est la cause).
- donc le fossé entre les soignants et les toxico perdure, et laisse encore place aux représentations.
En gros c'est ça ton raisonnement?
L'idéal est quand chacun rempli son rôle, car ce n'est pas à eux de tout faire, et tant au niveau locaux que politique de soin, ces soignants le feront mal. Dans l'hopital ou je bosse, il existe une équipe: l'ELSA (équipe de liaison et de soins en addictologie) spécialisée pour ces prises en charge, et qui peut donner des conseils aux équipes. Le fait d'avoir créé une équipe pour ces personnes signifie aussi aux soignants que ce sujet qu'ils ne maitrisent pas mérite d'etre traité.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- on ne connait pas forcément tout de la personne toxicomane, d'ou les préjugés et mauvaises représentations perso.
- la relation d'aide ne se fait pas sans empathie, or ces représentations sont un frein.
- Pourquoi alors ces représentations perdurent? Je remarque aussi que l'on n'est pas forcément formé à s'occuper de ces patients, qu'un service "général" n'est pas adapté pour les accueillir dans les meilleures conditions, et ce dû à la dimension du soin qui y est prodigué (ce n'est pas les soignants, mais le système dans lequel ils évoluent qui en est la cause).
- donc le fossé entre les soignants et les toxico perdure, et laisse encore place aux représentations.
En gros c'est ça ton raisonnement?
L'idéal est quand chacun rempli son rôle, car ce n'est pas à eux de tout faire, et tant au niveau locaux que politique de soin, ces soignants le feront mal. Dans l'hopital ou je bosse, il existe une équipe: l'ELSA (équipe de liaison et de soins en addictologie) spécialisée pour ces prises en charge, et qui peut donner des conseils aux équipes. Le fait d'avoir créé une équipe pour ces personnes signifie aussi aux soignants que ce sujet qu'ils ne maitrisent pas mérite d'etre traité.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
oui c'est exactement ça.
enfin quelqu'un qui comprend!!! merci.
j'ai donc parlé de la toxicomanie en général de la relation d'aide en général et là je sais plus où aller.
je n'arrive pas à combiner la relation d'aide avec la toxicomanie c'est grave?
je pense développer comment appréhende l'infirmière de l'arrivée du sujet tox (lecture) et comment le tox vie une hospitalisation (confrontation au manque remise en question...)
en fait j'arrive pas à voir le bout j'avance dans le brouillard. tu pense que je suis grave en retard???
en tout cas merci t'es trop génial. car pour trouver quelqu'un qui t'aide c'est la galère mais quand tu trouve putain que ça remonte le moral.
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enfin quelqu'un qui comprend!!! merci.
j'ai donc parlé de la toxicomanie en général de la relation d'aide en général et là je sais plus où aller.
je n'arrive pas à combiner la relation d'aide avec la toxicomanie c'est grave?
je pense développer comment appréhende l'infirmière de l'arrivée du sujet tox (lecture) et comment le tox vie une hospitalisation (confrontation au manque remise en question...)
en fait j'arrive pas à voir le bout j'avance dans le brouillard. tu pense que je suis grave en retard???
en tout cas merci t'es trop génial. car pour trouver quelqu'un qui t'aide c'est la galère mais quand tu trouve putain que ça remonte le moral.

regarde ici, ça peut t'éclairer
http://psychiatriinfirmiere.free.fr/inf ... .htmÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- Fidèle
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Puisque c'est une situation " vécue "pepette39 a écrit :en fait je veux arriver à dire qu'il faut faire abstraction en tant que soignant de ces propres représentations. Et que pour cela les équipes en service de soins généraux ne sont pas forcément formé à cela.
je pars d'une situation vécu en service de chirurgie ou un patient est arrivé avec une suspicion de fracture du col du fémur (qui n'en était pas une) à la suite d'une chute en état d'ébriété
tous les ttt nécessaires lui été dispensés mais à aucun moment il n'ont abordé le sujet de l'alcoolisme.


Ton post évoque la "toxicomanie " et içi tu parles d'alcolisme?
est ce la même " représentation "pour toi ?
Que signifie pour toi "faire abstraction" de ces représentations lorsqu'on est soignant??Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
le théatre c'est simple:tu t'assieds dans le noir et tu écoutes la lumière.(Bobin)
je vous remercie pour vos idées
pour moi alcoolisme ou toxicomanie c'est pareil du fait de la notion de dépendance. pourquoi n'aborde t'on pas le sujet clairement avec patient hopitalisé en service.
pour moi il s'agit bien là des représentations que l'on s'en fait, et qui bloque la communication.
du fait des représentations il y a un bloquage dans la relation d'aide et par la même occasion peut fermer les portes au sujet toxicomane pour l'accès au soins. (sensation d'être incompris, étiqueté, ou évaluer dès qu'il passe la porte)
c'est ce premier contact lors de l'hopitalisation pour une pathologie annexe qu'on peut essayer de comprendre, parler avec lui pour les orienter. même s'il n'y a pas de demande d'arrêt.
mettre toutes les chances de son côté pour rassurer et faire comprendre qu'il est possible de l'aider, même si c'est pas toute suite s'il n'est pas prêt.
quand lui même il en éprouvera le besoin (avant ça ne sert à rien)
il aura moins de difficulté à ce faire prendre en charge.
mais si l'équipe reste dans le silence (l'incongruence) il est fort possible que l'hospitalisation ne se passe pas bien et que part la suite l'usager se coupe du système de soins.
alors peut être le retrouvera t'on en obligation de soin dans une autre structure. mais qui dit obligation de soin dit pas forcément le bon moment pour lui.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
pour moi alcoolisme ou toxicomanie c'est pareil du fait de la notion de dépendance. pourquoi n'aborde t'on pas le sujet clairement avec patient hopitalisé en service.
pour moi il s'agit bien là des représentations que l'on s'en fait, et qui bloque la communication.
du fait des représentations il y a un bloquage dans la relation d'aide et par la même occasion peut fermer les portes au sujet toxicomane pour l'accès au soins. (sensation d'être incompris, étiqueté, ou évaluer dès qu'il passe la porte)
c'est ce premier contact lors de l'hopitalisation pour une pathologie annexe qu'on peut essayer de comprendre, parler avec lui pour les orienter. même s'il n'y a pas de demande d'arrêt.
mettre toutes les chances de son côté pour rassurer et faire comprendre qu'il est possible de l'aider, même si c'est pas toute suite s'il n'est pas prêt.
quand lui même il en éprouvera le besoin (avant ça ne sert à rien)
il aura moins de difficulté à ce faire prendre en charge.
mais si l'équipe reste dans le silence (l'incongruence) il est fort possible que l'hospitalisation ne se passe pas bien et que part la suite l'usager se coupe du système de soins.
alors peut être le retrouvera t'on en obligation de soin dans une autre structure. mais qui dit obligation de soin dit pas forcément le bon moment pour lui.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
si tu as lu mon lien, tu as vu que ce n'est pas pareil au niveau des représentations du fait que l'un des produit est légal, l'autre non.
Dans les pays musulmans (Afghanistan par exemple), le pavot est culturel, l'alcool prohibé, les représentations sont donc inverséesÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Dans les pays musulmans (Afghanistan par exemple), le pavot est culturel, l'alcool prohibé, les représentations sont donc inverséesÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
tfe
Je trouve ton sujet hyper interessant. Ton questionnement tout est très bien.
Moi, j'ai traiter pour mon tfe de la relation d'aide et VIH.
J'ai mis en lien les attitudes du soignant dans la relation d'aide selon Carls Roggers (empathie, congruence, attention positive inconditionnelle) avec les mecanismes de défenses inconscients et l'impact de la maladie (stigmatisation, discrimination...) qui va à l'encontre du "soin" droit de l'homme.
J'ai pensée à "quelle est l'incidence "du vecu personnel, des préjugés, des représentations.."....de la toxicomanie, sur la relation d'aide que l'ide doit mettre en place lors de l'hospitalisation?
"De quelles ressources L'IDE dispose-t-elle pour faire évoluer ses propres représentations, de telle manière qu'elle soit à meme de respecter celles de la personne soignée, dans le cadre d'une demarche de soins personnalisé?
En fait tu veux arriver à dire que:" la relation d'aide qui doit exister entre l'IDE et le toxico, lors de son accompagnement, est entravée par la mise en place inconsciente par l'ide de mecanismes de defenses mais aussi par ses propres représentations.
Voilà, si j'ai des idées supplémentaires, je te fais signes. En esperant t'avoir aidée un ptit peu!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Moi, j'ai traiter pour mon tfe de la relation d'aide et VIH.
J'ai mis en lien les attitudes du soignant dans la relation d'aide selon Carls Roggers (empathie, congruence, attention positive inconditionnelle) avec les mecanismes de défenses inconscients et l'impact de la maladie (stigmatisation, discrimination...) qui va à l'encontre du "soin" droit de l'homme.
J'ai pensée à "quelle est l'incidence "du vecu personnel, des préjugés, des représentations.."....de la toxicomanie, sur la relation d'aide que l'ide doit mettre en place lors de l'hospitalisation?
"De quelles ressources L'IDE dispose-t-elle pour faire évoluer ses propres représentations, de telle manière qu'elle soit à meme de respecter celles de la personne soignée, dans le cadre d'une demarche de soins personnalisé?
En fait tu veux arriver à dire que:" la relation d'aide qui doit exister entre l'IDE et le toxico, lors de son accompagnement, est entravée par la mise en place inconsciente par l'ide de mecanismes de defenses mais aussi par ses propres représentations.
Voilà, si j'ai des idées supplémentaires, je te fais signes. En esperant t'avoir aidée un ptit peu!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
IDE DEPUIS LE 16 MARS.......