Skyzophrénie, paranoïa,...
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - Psychiatrie
Re: Skyzophrénie, paranoïa,...
Le déséquilibre hormonal est la manifestation biologique du trouble.
la question est : est-ce ce déséquilibre qui provoque le trouble... ou cela ne serait-il pas plutôt le trouble qui se traduit par ce déséquilibre ? Il n'y a pas de distinction corps/esprit donc pourquoi un trouble purement psychologique ne trouverait pas son inscription corporelle au niveau hormonal ? En d'autres termes, est-ce parce que je souffre d'un déficit en sérotonine que je déprime, ou n'est-ce pas plutôt de déprimer qui entraîne ce déficit hormonal ?
La question n'est pas innocente...
la question est : est-ce ce déséquilibre qui provoque le trouble... ou cela ne serait-il pas plutôt le trouble qui se traduit par ce déséquilibre ? Il n'y a pas de distinction corps/esprit donc pourquoi un trouble purement psychologique ne trouverait pas son inscription corporelle au niveau hormonal ? En d'autres termes, est-ce parce que je souffre d'un déficit en sérotonine que je déprime, ou n'est-ce pas plutôt de déprimer qui entraîne ce déficit hormonal ?
La question n'est pas innocente...
"La plus grande proximité, c'est d'assumer le lointain de l'autre."
J. Oury
J. Oury
Re: Skyzophrénie, paranoïa,...
Un psychiatre qui n'était pas un idéologue, E. Zarifian , a beaucoup travaillé sur l'imagerie médicale et sans grand succès.AmThLi a écrit :Le déséquilibre hormonal est la manifestation biologique du trouble.
la question est : est-ce ce déséquilibre qui provoque le trouble... ou cela ne serait-il pas plutôt le trouble qui se traduit par ce déséquilibre ? Il n'y a pas de distinction corps/esprit donc pourquoi un trouble purement psychologique ne trouverait pas son inscription corporelle au niveau hormonal ? En d'autres termes, est-ce parce que je souffre d'un déficit en sérotonine que je déprime, ou n'est-ce pas plutôt de déprimer qui entraîne ce déficit hormonal ?
La question n'est pas innocente...
Re: Skyzophrénie, paranoïa,...
Quand bien même il aurait trouvé quelque chose, ça aurait voulu dire quoi ? Qu'il y a des zones du cerveau qui sont plus ou moins actives, ou actives de façon différente, chez des gens souffrant de divers troubles psychiques. La belle affaire, car c'est une évidence, tout comme les modifications hormonales... Mais ça ne prouve rien sur une quelconque étiologie purement neurologique...
"La plus grande proximité, c'est d'assumer le lointain de l'autre."
J. Oury
J. Oury