TFE : possibilité de ne pas appliquer une PM ?
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TFE : possibilité de ne pas appliquer une PM ?
Bonjour,
Je suis ESI en 2ème année et je commence à travailler sur mon TEFE.
Je sais que ce sujet a été traité mais il évoquait les erreurs de prescriptions. Ce qui m'intéresse, c'est par exemple, une prescription de sondage urinaire pour une personne en fin de vie, très douloureuse, consciente, qui "supplie d'arrêter" et que personne n'écoute.
Je voudrais connaître vos expériences sur la possibilité de ne pas appliquer une PM que l'on jugerait irrespectueuse du patient, voire qui induirait de la maltraitance : non respect, manque d'écoute ..
J'ai bien trouvé l'article R 4312-29 du CSP "l'IDE doit appliquer la PM...". Mais par contre, je n'ai pas trouvé de texte stipulant que l'IDE peut, suivant ses convictions personnelles et en accord avec les valeurs soignantes refuser d'appliquer une PM.
Auriez vous des expériences, des références, des connaissances à ce sujet, à me faire partager,
Merci d'avance
Seolane.
Je suis ESI en 2ème année et je commence à travailler sur mon TEFE.
Je sais que ce sujet a été traité mais il évoquait les erreurs de prescriptions. Ce qui m'intéresse, c'est par exemple, une prescription de sondage urinaire pour une personne en fin de vie, très douloureuse, consciente, qui "supplie d'arrêter" et que personne n'écoute.
Je voudrais connaître vos expériences sur la possibilité de ne pas appliquer une PM que l'on jugerait irrespectueuse du patient, voire qui induirait de la maltraitance : non respect, manque d'écoute ..
J'ai bien trouvé l'article R 4312-29 du CSP "l'IDE doit appliquer la PM...". Mais par contre, je n'ai pas trouvé de texte stipulant que l'IDE peut, suivant ses convictions personnelles et en accord avec les valeurs soignantes refuser d'appliquer une PM.
Auriez vous des expériences, des références, des connaissances à ce sujet, à me faire partager,
Merci d'avance
Seolane.
Re: possibilité de ne pas appliquer une PM?
pourquoi la SV a t elle été prescrite?
dans le cas d'une personne en fin de vie douloureuse, la SV peut être envisagée comme un plus pour le confort de la personne: moins de mobilisation pour les changes, pas de risques cutanés (macération / urine), en plus d'un éventuel intérêt médical (pas de globe?)
la personne est-elle cohérente? elle supplie d'arrêter, oui, mais d'arrêter quoi?? si elle est douloureuse, peut-être de moins la mobiliser, d'où intérêt de la SV qu'elle pourrait accepter si on lui explique l’intérêt pour son confort?
si une personne refuse en toute connaissance de cause un soin, c'est son droit, on ne peut pas lui faire de force.
c'est dans la charte du patient hospitalisé...
http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/charte_a4_couleur.pdf
dans le cas d'une personne en fin de vie douloureuse, la SV peut être envisagée comme un plus pour le confort de la personne: moins de mobilisation pour les changes, pas de risques cutanés (macération / urine), en plus d'un éventuel intérêt médical (pas de globe?)
la personne est-elle cohérente? elle supplie d'arrêter, oui, mais d'arrêter quoi?? si elle est douloureuse, peut-être de moins la mobiliser, d'où intérêt de la SV qu'elle pourrait accepter si on lui explique l’intérêt pour son confort?
si une personne refuse en toute connaissance de cause un soin, c'est son droit, on ne peut pas lui faire de force.
c'est dans la charte du patient hospitalisé...
http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/charte_a4_couleur.pdf
en route vers de nouveaux horizons....