TFE : prévention suicide milieu carcéral... témoignages?

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celynet
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Message par celynet »

Mr.Strange a écrit :Bande d'incultes...


Ce n'est pas la peine d'etre insultant et agressif dans vos propos !
cedr1c

Message par cedr1c »

Mr.Strange a écrit :Alors là je jubile...
Le suicide en milieu carcéral que demander de plus...
Quand je vous vois parler de quelque chose dont vous ignorez tout, j'avoue que celà m'arrache presque une larme de tristesse mais surtout de dépit...
A vous lire, on dirait que vous n'êtes jamais entré dans un centre de détention...
Non en fait vous n'y êtes jamais entré j'en suis certain...
Pour vous, les détenus ne sont que des statistiques et je peux vous dire qu'il n'y a pas plus de suicide en milieu carcéral qu'ailleurs mais bon ça après vous allez en juger par VOS chiffres sortis d'où je ne le sais...
Bref avant de parler de certaine chose, renseignez vous VRAIMENT!
Bande d'incultes...

apportez nous votre science alors...

un petit lien pour celynet
http://psydoc-fr.broca.inserm.fr/recher ... ceral.html

une prévention est possible puisque l'on identifie des facteurs. C'est à cela que servent les statistiques. La prison peut etre un facteur puisque l'on voit que le risque s'accroit avec la durée de la peine (logique). Après, il y a peut etre une population "psychiatrique" plus importante en prison, associé aux facteurs de stress et de difficulté à se projeter, lié à un lieu qui favorise les ruminations.
Pour Mr Strange, j'ai déjà mis les pieds dans un centre de détention, mais je ne me suis jamais suicidé, peut etre suis je inapte à parler de ce sujet.
cedr1c

Message par cedr1c »

celynet, tRanXeNe`EjEctaBlE est la personne la plus à même de t'aider sur ce forum.
fannyapple
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TFE suicide en prison

Message par fannyapple »

Bonjour!
Je suis actuellement en 3ème année d'école d'infirmière et je suis en plein dans la réalisation de mon mémoire.
Mon thème est le suivant : l'incidence du milieu carcéral sur la prise en charge d'un détenu sucidaire par l'infirmier(e) de SMPR.
Mes entretiens sont programmés mais face aux mouvements de grève des surveillants pénitenciers je ne sais pas si je pourrai les mener a temps car l'accès aux prisons se retrouve bloqué.

Je suis donc à la recherche de personnes qui travaillent ou ont travaillé en SMPR et qui accepteraient de répondre a mon entretien a titre indicatif! Cela me permettrait d'anticiper mes recherches quant aux concepts qui ressortirons des entretiens et de tester ma grille d'entretien.
Cela m'aiderai enormément et me permettrait certainement de destresser un peu face a la situation.
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wyllette
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Re: TFE suicide en prison

Message par wyllette »

pour ce qui se savent pas ce qu'est un SMPR :

414 Quel est le rôle d’un SMPR ?

La mission du service médico-psychologique régional (SMPR) est d’assurer : le dépistage systématique des troubles psychiques (notamment au moyen d’un entretien d’accueil avec les entrants) ;

les soins médico-psychologiques courants à l’intention de la population détenue dans l’établissement pénitentiaire où le SMPR est implanté (entretiens individuels, ateliers thérapeutiques, traitements psychiatriques, préparation à un suivi psychologique à l’extérieur, etc.) ; une mission de lutte contre l’alcoolisme et les toxicomanies ; une coordination des prestations de santé mentale du SPMP (secteur de psychiatrie en milieu pénitentiaire) dans sa région. Le SMPR prodigue également des soins intensifs au sein d’unités de détention spécifiques à tout détenu de l’établissement qui le nécessite, ainsi qu’aux détenus des prisons du secteur pénitentiaire qui ne disposent pas de SMPR. Actuellement au nombre de 26, les SMPR sont presque tous situés en maison d’arrêt (Amiens, Bois-d’arcy, Bordeaux-Gradignan, Caen, Fleury-Mérogis, Fresnes, Grenoble, Loos-lès-Lille, Rennes, Strasbourg, Toulouse, etc.) pour des secteurs regroupant entre 1.300 et 5.000 détenus. De nombreux établissements pour peines (centres de détention et maisons centrales) ne disposent pour leur part que de psychiatres et psychologues vacataires, quand bien même les détenus condamnés à de longues peines nécessiteraient davantage un suivi psychologique régulier.
Arrêté du 14 décembre 1986, circulaire 45 DH/DGS/DAP du 8 décembre 1994


http://www.prison.eu.org/article383.html" target="_blank
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