TFE : "Quand le soignant devient soigné"
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Re: TFE : quand le soignant devient soigné
oui c'est ce que je pensais aussi te conseiller et si tu veux un témoignage, je peux malheureusement te proposer le mien parce que je viens justement de franchir cette frontière en passant côté soignéguch a écrit :Bonsoir,
je passe devant la commission pour la validation de la question centrale le 6/10! Mon sujet emballe beaucoup ma guidante, elle le trouve très intéressant. Concernant la biblio, je lui ai fait part de mes inquiétudes, elle m'a conseillé de chercher des généralités comme:
- relation soignant/soigné
- identité professionnelle
- appartenance à un groupe...
Et d’insister sur le fait qu'il n'y a pas eu de recherches infirmières alors que ces situations se produisent souvent.
voilà pour les infos
IDE en psychiatrie
Re: TFE : quand le soignant devient soigné
oui c'est ce que je pensais aussi te conseiller et si tu veux un témoignage, je peux malheureusement te proposer le mien parce que je viens justement de franchir cette frontière en passant côté soigné[/quote]
Merci, pouvez-vous me contacter par MP? J'aimerais connaître votre ressenti.
Merci, pouvez-vous me contacter par MP? J'aimerais connaître votre ressenti.
AS admise à CRF St Etienne 2011-2014
Re: TFE : quand le soignant devient soigné
je suis élève infirmière est mon sujet de TFE est celui la j'aimera avoir des pistes bibilographique et également des conseils . comment vous en etes vous srtie avec ce sujet? il m'interesse beaucoup mais les reférence biblio son pauvre. si éventuellement vous pouviez m'envoyer vous sources bibliographique j' en serai plus que reconnaisante 

Re: TFE : quand le soignant devient soigné
La biblio trouve sa source dans la rédaction de la situation de départ et des concepts identifiés qui sont en lien.
Si votre situation interroge la relation soignant soigné, il y a plein de doc et livres à ce sujet. Il peut aussi s'agir de communication, de confiance, d'information ...
Prenez les choses dans le bon ordre et vous trouverez facilement des ouvrages en lien.
Si votre situation interroge la relation soignant soigné, il y a plein de doc et livres à ce sujet. Il peut aussi s'agir de communication, de confiance, d'information ...
Prenez les choses dans le bon ordre et vous trouverez facilement des ouvrages en lien.
IDE en psychiatrie
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TFE IDE avec un vécu de soigné RCH IDE
Bonjour,
Je recherche pour mon travail de fin d'étude qui a pour thème la répercussion des émotions dans la prise en charge quand le soignant a un vécu de soigné un(e) IDE ayant ce vécu pour répondre à mes questions de TFE. Je vous laisse mon adresse mail : Réponse par MP en vous remerciant, A.
Je recherche pour mon travail de fin d'étude qui a pour thème la répercussion des émotions dans la prise en charge quand le soignant a un vécu de soigné un(e) IDE ayant ce vécu pour répondre à mes questions de TFE. Je vous laisse mon adresse mail : Réponse par MP en vous remerciant, A.
Dernière modification par Benji30 le 20 avr. 2014 15:05, modifié 1 fois.
Raison : pas de mail risque de spam
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Re: Recherche IDE avec un vécu de soigné
J'ai déjà eu une réponse alors merci beaucoup pour cela mais il m'en faudrait encore une autre pour pouvoir réaliser mon analyse alors si vous êtes soignant avec un vécu de soigné
. Merci, bonne journée

TFE: prise en charge d'un patient professionnel de santé
bonsoir tout le monde..
je suis à la recherche d'infirmière qui ont eu en charge un patient professionnel de santé.... j'aimerai avoir vos témoignages pour mon TFE....
merciiii
je suis à la recherche d'infirmière qui ont eu en charge un patient professionnel de santé.... j'aimerai avoir vos témoignages pour mon TFE....
merciiii

Re: TFE: prise en charge d'un patient professionnel de santé
je t'ai contacté en mp, 

Re: TFE : relation soignant-soigné avec le soignant malade
J'arrive 5 ans trop tard, pas grave, j'ai un message à faire passer.
C'est en revendiquant la collaboration sur ma santé avec ma doctoresse que j'ai abordé le sujet, en fait. Je l'ai choisie parce qu'on avait bossé ensemble, elle comme jeune médecin et moi comme jeune infirmière. Je lui ai annoncé la couleur quand je suis arrivée chez elle vers mes 35 ans, vu que ma daktari partait à la retraite. Entretemps, j'avais eu le temps de me colleter avec la facette professionnelle que tu décris: combien les médecins sont jaloux de leurs prérogatives, parfois, n'aiment pas qu'on empiète sur leur territoire en suggérant, demandant, etc. Et dérapent parfois en racontant leurs propres histoires, devenant trop proches et perdant leur objectivité.
Aujourd'hui spécialement, je suis obligée de collaborer en soins à domicile avec un trou du cul patenté, autoritaire et narcissique, qui met carrément la santé de sa clientèle en danger; c'est dire si je trouve pénible de ne pouvoir aller au bout de mon idée de collaboration...
Bref. Quand j'ai dû changer de gynéco, la mienne m'ayant avertie que ma ménopause menaçante ne me donnait plus droit à consulter le planning, je me suis orientée sur une doctoresse avec laquelle j'avais également bossé ... et qui s'est révélée en-dessous de tout, ratant un diagnostic qu'elle aurait pu poser si elle s'était donné la peine de faire un toucher vaginal, au lieu de rentabiliser sa machine à ultrasons. Et tellement sûre d'elle-même en prétendant que j'étais ménopausée, voulant m'imposer des examens sanguins inutiles, que j'ai cherché et retrouvé une autre doctoresse à 40 km de chez moi - et qui je me souviens bien, m'écoutait et collaborait avec moi, lorsque je travaillais en maternité (je suis sage-femme et infirmière). NB: deux ans après le premier brillant diagnostic de ménopause, j'ai des règles en bonne et due forme deux fois par an en tous cas.
De cette expérience personnelle, j'ai retiré des enseignements-miroirs pour la communication avec des patients qui sont eux-mêmes soignants.
On collabore, en somme. Tout comme je désigne les veines à piquer chez moi, et préviens les laborantines que je suis une emmerdeuse d'infirmière, j'estime de mon devoir d'écouter ceux qui veulent collaborer - corollaire : je ne cherche pas la collaboration lorsque les patients ne la souhaitent pas. Forcer dans ce sens peut même générer des angoisses.
L'honnêteté est la clé: avouer qu'on ne sait pas répondre à certaines questions cas échéant, assurer la continuité en se renseignant... Au besoin, éclaircir combien la confusion des rôles peut troubler la relation, directement avec le soigné-soignant.
En fait, je compare nos points de vue avec les soignants soignés; ils restent maîtres de décider s'ils veulent prendre leur réserve de médicaments ou consulter, tout l'art et la manière réside dans le choix à leur laisser, pour autant qu'ils en veuillent.
Ce qui m'y aide, c'est que plus que n'importe où ailleurs dans les soins, bosser en soins à domicile demande beaucoup d'attention portée à la création et au maintien de la relation: le mieux est l'ennemi du bien, et il est préférable de co-construire des objectifs de soins avec le bénéficiaire, si l'on veut éviter que la porte se ferme tout-à-coup à cause d'une intrusion malvenue.
En somme, un compromis respecte plus la déontologie des soins qu'une application pachydermique de solutions vues par le petit bout de la lorgnette. Information, négociation. Surtout avec des soignants ou ex-soignants qui ont sûrement vécu des expériences-miroirs eux-mêmes...
Voilà!
C'est en revendiquant la collaboration sur ma santé avec ma doctoresse que j'ai abordé le sujet, en fait. Je l'ai choisie parce qu'on avait bossé ensemble, elle comme jeune médecin et moi comme jeune infirmière. Je lui ai annoncé la couleur quand je suis arrivée chez elle vers mes 35 ans, vu que ma daktari partait à la retraite. Entretemps, j'avais eu le temps de me colleter avec la facette professionnelle que tu décris: combien les médecins sont jaloux de leurs prérogatives, parfois, n'aiment pas qu'on empiète sur leur territoire en suggérant, demandant, etc. Et dérapent parfois en racontant leurs propres histoires, devenant trop proches et perdant leur objectivité.
Aujourd'hui spécialement, je suis obligée de collaborer en soins à domicile avec un trou du cul patenté, autoritaire et narcissique, qui met carrément la santé de sa clientèle en danger; c'est dire si je trouve pénible de ne pouvoir aller au bout de mon idée de collaboration...
Bref. Quand j'ai dû changer de gynéco, la mienne m'ayant avertie que ma ménopause menaçante ne me donnait plus droit à consulter le planning, je me suis orientée sur une doctoresse avec laquelle j'avais également bossé ... et qui s'est révélée en-dessous de tout, ratant un diagnostic qu'elle aurait pu poser si elle s'était donné la peine de faire un toucher vaginal, au lieu de rentabiliser sa machine à ultrasons. Et tellement sûre d'elle-même en prétendant que j'étais ménopausée, voulant m'imposer des examens sanguins inutiles, que j'ai cherché et retrouvé une autre doctoresse à 40 km de chez moi - et qui je me souviens bien, m'écoutait et collaborait avec moi, lorsque je travaillais en maternité (je suis sage-femme et infirmière). NB: deux ans après le premier brillant diagnostic de ménopause, j'ai des règles en bonne et due forme deux fois par an en tous cas.
De cette expérience personnelle, j'ai retiré des enseignements-miroirs pour la communication avec des patients qui sont eux-mêmes soignants.
On collabore, en somme. Tout comme je désigne les veines à piquer chez moi, et préviens les laborantines que je suis une emmerdeuse d'infirmière, j'estime de mon devoir d'écouter ceux qui veulent collaborer - corollaire : je ne cherche pas la collaboration lorsque les patients ne la souhaitent pas. Forcer dans ce sens peut même générer des angoisses.
L'honnêteté est la clé: avouer qu'on ne sait pas répondre à certaines questions cas échéant, assurer la continuité en se renseignant... Au besoin, éclaircir combien la confusion des rôles peut troubler la relation, directement avec le soigné-soignant.
En fait, je compare nos points de vue avec les soignants soignés; ils restent maîtres de décider s'ils veulent prendre leur réserve de médicaments ou consulter, tout l'art et la manière réside dans le choix à leur laisser, pour autant qu'ils en veuillent.
Ce qui m'y aide, c'est que plus que n'importe où ailleurs dans les soins, bosser en soins à domicile demande beaucoup d'attention portée à la création et au maintien de la relation: le mieux est l'ennemi du bien, et il est préférable de co-construire des objectifs de soins avec le bénéficiaire, si l'on veut éviter que la porte se ferme tout-à-coup à cause d'une intrusion malvenue.
En somme, un compromis respecte plus la déontologie des soins qu'une application pachydermique de solutions vues par le petit bout de la lorgnette. Information, négociation. Surtout avec des soignants ou ex-soignants qui ont sûrement vécu des expériences-miroirs eux-mêmes...
Voilà!
"quand le soignant devient soigné" qui veut bien répondre?
Bonjour,
Mon mémoire a pour thème "quand le soignant devient soigné"
Afin de valider ou invalider mon hypothèse.
Je recherche des soignants,qui accepteraient de répondre à mon questionnaire. Il s’adresse uniquement à des soignants qui sont devenus des patients.
Merci d'avance.
Bonne journée.
Mon mémoire a pour thème "quand le soignant devient soigné"
Afin de valider ou invalider mon hypothèse.
Je recherche des soignants,qui accepteraient de répondre à mon questionnaire. Il s’adresse uniquement à des soignants qui sont devenus des patients.
Merci d'avance.
Bonne journée.
Re: Recherche soignants qui accepteraient de répondre à mon
Je suis devenue plusieurs fois patient en étant soignant
Re: Recherche soignants qui accepteraient de répondre à mon
Puis-je vous envoyer mon questionnaire ?