TFE : soignant même âge que soigné, tout service, vos quest°
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Re: TFE «La place des soins relationnels en milieu hospitali
Ben oui.
Je ne sais pas pour ailleurs, mais ici, le passage en pôle avec "unité ouverte" "unité fermée" "unité réinsertion", bref clivage du secteur (le pôle est organisé comme un grand secteur avec quelques structures transversales) a beaucoup aggravé une situation déjà pas glorieuse.
Les PEC sont vides, les locaux sont vides, et on se plaint que les patients ne restent pas dans l'unité en journée...
Ce que tu dis rejoint ce que nous disant Jeangirard à la Chesnaie : il faut être au moins deux puis convaincre les indécis pour former un groupe. Mais quand tu es vraiment seul c'est pas facile. Et en relisant des textes cette semaine je me suis dit que même moi je me faisais doucement contaminer par l'asilaire (témoin mon précédent post que tu as relevé). Il n'est jamais trop tard pour se ressaisir mais quand même...
Alors ça passe par de petites choses, oui, comme les transmissions "sujet verbe COD/COI" style "il m'a dit que" et pas juste "dit que".
Ou bien profiter d'une prise de sang pour entamer la discussion, ou bien d'une machine à laver...
Ce qui me bouffe c'est surtout l'administratif bête et méchant, dont le patient est absent.
Après pour les changements qui s'installent dans la durée, dans la pratique perso oui, mais dans l'univers du service c'est dur, car y'a du turn over, grandes équipes, ça fait beaucoup... sans parler de la partie médicale, de la hiérarchie, quand tu es seul la tâche est colossale, du coup tu sécurises ta propre pratique mais au niveau du service je sais pas si tu peux avoir un réel impact.
C'est pour ça que j'ai tenu ce propos provocateur au début du topic : "le relationnel en psychiatrie, c'est le lieu où il peut ne pas avoir lieu du tout."
Formel ou non. Il y a beaucoup d'entretiens qui ne sont que du soin relationnel de façade...
Je ne sais pas pour ailleurs, mais ici, le passage en pôle avec "unité ouverte" "unité fermée" "unité réinsertion", bref clivage du secteur (le pôle est organisé comme un grand secteur avec quelques structures transversales) a beaucoup aggravé une situation déjà pas glorieuse.
Les PEC sont vides, les locaux sont vides, et on se plaint que les patients ne restent pas dans l'unité en journée...
Ce que tu dis rejoint ce que nous disant Jeangirard à la Chesnaie : il faut être au moins deux puis convaincre les indécis pour former un groupe. Mais quand tu es vraiment seul c'est pas facile. Et en relisant des textes cette semaine je me suis dit que même moi je me faisais doucement contaminer par l'asilaire (témoin mon précédent post que tu as relevé). Il n'est jamais trop tard pour se ressaisir mais quand même...
Alors ça passe par de petites choses, oui, comme les transmissions "sujet verbe COD/COI" style "il m'a dit que" et pas juste "dit que".
Ou bien profiter d'une prise de sang pour entamer la discussion, ou bien d'une machine à laver...
Ce qui me bouffe c'est surtout l'administratif bête et méchant, dont le patient est absent.
Après pour les changements qui s'installent dans la durée, dans la pratique perso oui, mais dans l'univers du service c'est dur, car y'a du turn over, grandes équipes, ça fait beaucoup... sans parler de la partie médicale, de la hiérarchie, quand tu es seul la tâche est colossale, du coup tu sécurises ta propre pratique mais au niveau du service je sais pas si tu peux avoir un réel impact.
C'est pour ça que j'ai tenu ce propos provocateur au début du topic : "le relationnel en psychiatrie, c'est le lieu où il peut ne pas avoir lieu du tout."
Formel ou non. Il y a beaucoup d'entretiens qui ne sont que du soin relationnel de façade...
"La plus grande proximité, c'est d'assumer le lointain de l'autre."
J. Oury
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Re: TFE «La place des soins relationnels en milieu hospitali
C'est bien parce qu'on est humain et investi que l'on se risque a etre contaminer, l'importance d'etre au moins deux c'est que l'autre peut etre là pour avertir du glissement.
Une manière de faire groupe peut passer par une formation commune, je trouve ces moments tres riche dans la construction des liens. D'autant plus si la formation est un peu loin.
S'il n'y a pas moyen c'est peut etre le moment de bouger ...
Les transmissions sont un bel exemple, faire une phrase complète, quand ca ne devient plus possible, signe un certain malaise.
Une manière de faire groupe peut passer par une formation commune, je trouve ces moments tres riche dans la construction des liens. D'autant plus si la formation est un peu loin.
S'il n'y a pas moyen c'est peut etre le moment de bouger ...
Les transmissions sont un bel exemple, faire une phrase complète, quand ca ne devient plus possible, signe un certain malaise.
Re: TFE «La place des soins relationnels en milieu hospitali
Tu as lu Roger Gentis ? Je prends ça comme exemple car l'autre jour je relisais au pif son bouquin les murs de l'asile et je suis tombé sur cet exemple.
Et là grosse claque, moi aussi je parle en abrévié, et surtout je faisais du "dit que truc" et non "monsieur X me dit que truc".
Outch... on se ressaisit !
Oui c'est humain de se faire avoir mais c'est pas drôle de se sentir coincé par l'institution. Partir oui, surtout quand on sait où aller, ce qui est mon cas, mais c'est pas drôle de déjà envisager ça, comme un aveu d'échec, de se dire qu'on est pas arrivé à se servir de ce que l'on nous a transmis.
En même temps le donquichottisme, bof...
Oui c'est pas mal, le coup de la formation à plusieurs. Ou bien monter un atelier, enfin, être ensemble sur quelque chose (et non faire quelque chose ensemble), ne serais-ce que se taper une tournée de lits... si tant est que l'autre soit ouvert à la discussion.
Et là grosse claque, moi aussi je parle en abrévié, et surtout je faisais du "dit que truc" et non "monsieur X me dit que truc".
Outch... on se ressaisit !
Oui c'est humain de se faire avoir mais c'est pas drôle de se sentir coincé par l'institution. Partir oui, surtout quand on sait où aller, ce qui est mon cas, mais c'est pas drôle de déjà envisager ça, comme un aveu d'échec, de se dire qu'on est pas arrivé à se servir de ce que l'on nous a transmis.
En même temps le donquichottisme, bof...
Oui c'est pas mal, le coup de la formation à plusieurs. Ou bien monter un atelier, enfin, être ensemble sur quelque chose (et non faire quelque chose ensemble), ne serais-ce que se taper une tournée de lits... si tant est que l'autre soit ouvert à la discussion.
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Re: TFE «La place des soins relationnels en milieu hospitali
Je n'ai pas lu les murs de l'asile mais j'en ai lu quelques autres. Je ne savais pas que cet exemple venait de là. Pour ma part je l'ai entendu de Jean Yves Cazaux dans une discussion aux assises des infirmiers en psychiatrie.
Le sentiment d'échec pourrait-il se situer dans la même ligne que la "fureur de guérir" ? Il y a des bases (et oui on en revient souvent à cet endroit) nécessaires pour toutes choses, dans le cas présent la base du groupe est nécessaire pour assurer la solidité de toutes constructions. Peut être qu'un départ peut faire changer certaines choses. Eprouver le manque est bénéfique quelque soit la personne.
Si tu sais ou aller, profites en. D'autant plus si les convictions sont partagées. Inutile de te sacrifier, ce n'est pas de ce côté qu'il faut faire vivre les choses. En attendant ton départ tu peux effectivement essayer le "être ensemble". Parfois j'imprime des textes, pas trop long et suffisamment accrocheur, que j'affiche dans les bureaux. C'est un bon appel à discussion je trouve.
Bon courage.
Le sentiment d'échec pourrait-il se situer dans la même ligne que la "fureur de guérir" ? Il y a des bases (et oui on en revient souvent à cet endroit) nécessaires pour toutes choses, dans le cas présent la base du groupe est nécessaire pour assurer la solidité de toutes constructions. Peut être qu'un départ peut faire changer certaines choses. Eprouver le manque est bénéfique quelque soit la personne.
Si tu sais ou aller, profites en. D'autant plus si les convictions sont partagées. Inutile de te sacrifier, ce n'est pas de ce côté qu'il faut faire vivre les choses. En attendant ton départ tu peux effectivement essayer le "être ensemble". Parfois j'imprime des textes, pas trop long et suffisamment accrocheur, que j'affiche dans les bureaux. C'est un bon appel à discussion je trouve.
Bon courage.
Re: TFE «La place des soins relationnels en milieu hospitali
camillou38 a écrit :Vous avez bien raison de laisser certains mots de côté cela vous permettra de croire ce que vous avez envie.
Il n'y a que vous qui voyez une exclusivité.
quant à la prise en charge globale du patient continuez donc de vous bercer d'illusion si vous envisager qu'une personne puisse aborder tout cela. Quoique votre surcharge de travail se trouve peut etre en cet endroit : apprenez à travailler en lien avec d'autres professionnels.
Et je serai bien curieux de vous voir a l'oeuvre appliquant ces principes de base (avec ce que la base implique)
Si c'est la vision que vous avez d'une consultation, je ne peux qu'espérer que vous ne travaillerez jamais en psychiatrie
Vous distinguez role propre et relation d'aide ? La relation d'aide est votre base de travail mais le role propre est secondaire ? C'est difficile me semble t il qu'un travail de base soit relégué a "ce que l'on peut et/ou veux".
Où suis-je supposée distinguer le rôle propre du soin relationnel ou bien de la relation d’aide ou encore de la PEC globale ?
Et en effet, la PEC globale est interdisciplinaire avec souvent un acteur pivot. Si je ne l’ai pas mentionné ici (mais souvent ailleurs), je n’ai pas dit le contraire non plus ni prétendu assumer en solo. Donc tes leçons et autres analyses…
Quant au rôle propre ou… ou…, et bien en effet il n’est pas investi partout, par tout le monde, tout le temps par manque de possibilité et/ou par manque de volonté. Même si c’est un soin de base ; sinon cela se saurait.
A contrario, un patient psy (pour faire simple) mais également pluri-pathologique au sens somatique, avec et du fait de soins lourds et complexes ne trouvent pas forcément de place en milieu psychiatrique... ni ailleurs. Dommage !
Pour en revenir au sujet initial dont on s’est fort éloigné, je comprends que la charge de travail dont il est question concerne tout ou partie les actes médico-délégués et du coup je pense qu’il est utile de le préciser dans la question de départ.
Re: TFE «La place des soins relationnels en milieu hospitali
On est HS mais c'est pas complètement inintéressant.
Camille :
Lis ce livre à l'occase, je trouve qu'il synthétise bien une certaine pensée des années 70 sur l'anti-asilaire. Et c'est bien écrit. Bref.
Je pense en effet que l'effet de groupe est nécessaire. J'ai encore en tête le conseil de Jeangirard "trouver un allié, puis convaincre les indécis", on est deux ou trois dans le pavillon (soit deux unités), à voir... Mais on est morcelés en deux équipes. Difficile, donc... Surtout avec l'insécurité des plannings qui met en danger la continuité des soins (par exemple si l'on souhaite organiser des activités récurrentes ou des ateliers).
Par contre le départ... pour moi oui ça serait bénéfique mais je doute que ça ait un quelconque effet sur l'institution.

Camille :
Lis ce livre à l'occase, je trouve qu'il synthétise bien une certaine pensée des années 70 sur l'anti-asilaire. Et c'est bien écrit. Bref.
Possible.Le sentiment d'échec pourrait-il se situer dans la même ligne que la "fureur de guérir" ? Il y a des bases (et oui on en revient souvent à cet endroit) nécessaires pour toutes choses, dans le cas présent la base du groupe est nécessaire pour assurer la solidité de toutes constructions. Peut être qu'un départ peut faire changer certaines choses.
Je pense en effet que l'effet de groupe est nécessaire. J'ai encore en tête le conseil de Jeangirard "trouver un allié, puis convaincre les indécis", on est deux ou trois dans le pavillon (soit deux unités), à voir... Mais on est morcelés en deux équipes. Difficile, donc... Surtout avec l'insécurité des plannings qui met en danger la continuité des soins (par exemple si l'on souhaite organiser des activités récurrentes ou des ateliers).
Par contre le départ... pour moi oui ça serait bénéfique mais je doute que ça ait un quelconque effet sur l'institution.
Oui mais le manque pour l'éprouver il faut qu'il ait une place... Je veux dire, il faut que la place précédemment occupée "fasse place" justement à une absence ressentie. Pas sûr que ça soit le cas.Eprouver le manque est bénéfique quelque soit la personne.
Je suivrai ton conseilSi tu sais ou aller, profites en. D'autant plus si les convictions sont partagées. Inutile de te sacrifier, ce n'est pas de ce côté qu'il faut faire vivre les choses. En attendant ton départ tu peux effectivement essayer le "être ensemble". Parfois j'imprime des textes, pas trop long et suffisamment accrocheur, que j'affiche dans les bureaux. C'est un bon appel à discussion je trouve.

"La plus grande proximité, c'est d'assumer le lointain de l'autre."
J. Oury
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Re: TFE «La place des soins relationnels en milieu hospitali
Peut être lorsque vous présentez d'abord la prise en charge globale parlant de la relation d'aide et qu'ensuite vous indiquez "pour le reste et la part que l'on peut et/ou veux accorder au rôle propre" il y a là une distinctionmoutarde a écrit : Où suis-je supposée distinguer le rôle propre du soin relationnel ou bien de la relation d’aide ou encore de la PEC globale ?
C'est parfois bien de pouvoir tester l'effet que font les possibles suggestions farfelues.Et en effet, la PEC globale est interdisciplinaire avec souvent un acteur pivot. Si je ne l’ai pas mentionné ici (mais souvent ailleurs), je n’ai pas dit le contraire non plus ni prétendu assumer en solo. Donc tes leçons et autres analyses…
sur la même analyse sauvage : puisque l'on parle de l'infirmier et que vous insistez sur la prise en charge globale c'est possiblement suggérer qu'elle n'appartient qu'à l'infirmier.Supposer que le relationnel est la base en psy c'est possiblement suggérer qu'il ne l'est pas en somatique
Vous faites bien de parler de soin de base lorsque l'on parle de base des soins. Finalement on ne s'éloigne pas tant que ça puisque c'est bien d'abord de compréhension qu'il s'agit. Comme vous le ditesQuant au rôle propre ou… ou…, et bien en effet il n’est pas investi partout, par tout le monde, tout le temps par manque de possibilité et/ou par manque de volonté. Même si c’est un soin de base ; sinon cela se saurait.
"sinon l'auteur prend le risque d'être mis en difficulté [...] par le lecteur". A condition que le lecteur soit attentif à ce qui est écrit et non à ce qu'il veut voir écrit.
Pour finir, je dirais qu'on s'éloigne de l'efficience plus que du sujet ; mais à l'heure de la "qualité" de l'"efficience" et autres "bientraitances" je pense que c'est tout à fait représentatif de ce que l'on attend plus d'un infirmier.
Bon courage pour le TFE.
(Pour AmThLi la suite sera sur le forum psychiatrie.)
en quoi jeune âge patient & soignant influent/relat° de soin
Bonjour,
Je prépare mon TFE, et jaurais besoins de trouver des articles ou des ouvrages en liens avec mon sujet, et si vous avez des idées, des pistes pour m'aider dans la realisation de ce tfe.
Ma question de depart est :
En quoi la promité d'âge, entre un jeune patient et un jeune infirmier peut il influencer la juste distance dans la relation de soin à l'hôpital ?
Merci d'avance de votre aide
Je prépare mon TFE, et jaurais besoins de trouver des articles ou des ouvrages en liens avec mon sujet, et si vous avez des idées, des pistes pour m'aider dans la realisation de ce tfe.
Ma question de depart est :
En quoi la promité d'âge, entre un jeune patient et un jeune infirmier peut il influencer la juste distance dans la relation de soin à l'hôpital ?
Merci d'avance de votre aide
Re: TFE
http://www.infirmiers.com/infirmiers-co ... s-com.html
Votre guidante accepté t elle cette question mal dite mal écrite
Déjà peut elle...
jeune infirmier , jeune patient ... c'est mieux de parler ( du concept )de l identification...
soins
Volume 58, numéro 773
pages 32-34 (mars 2013)
Le langage dans les soins
Les relations interpersonnelles avec la personne soignée et la notion de juste distance
distance professionnelle et qualite du soin pascal prayey
soins Aides-Soignantes
Vol 6, N° 30 - octobre 2009
pp. 20-21
Identification et distance professionnelle
Votre guidante accepté t elle cette question mal dite mal écrite
Déjà peut elle...
jeune infirmier , jeune patient ... c'est mieux de parler ( du concept )de l identification...
soins
Volume 58, numéro 773
pages 32-34 (mars 2013)
Le langage dans les soins
Les relations interpersonnelles avec la personne soignée et la notion de juste distance
distance professionnelle et qualite du soin pascal prayey
soins Aides-Soignantes
Vol 6, N° 30 - octobre 2009
pp. 20-21
Identification et distance professionnelle
Re: TFE:quand soignant est aussi jeune que soigné, vos quest
régulièrement, les jeunes professionnels ou ESI soignent des personne du même âge voire plus âgés qu'eux, ce qui n'est pas toujours évident
je remonte les divers topics qui en parlent
je remonte les divers topics qui en parlent
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Re: TFE : soignant même âge que soigné, tout service, vos quest°
Bonjour, je traite également sur le même sujet pour mon TFE. Pour ceux qui sont déjà passé par là pouvez-vous m'indiquer les articles ou ouvrage que vous avez consultés. Merci d'avance à tous
Re: TFE : soignant même âge que soigné, tout service, vos quest°
Bonjours je suis actuellement en 3 eme annee je recherche de la documentation concernant ce même thème, il est tres complique de trouver sur la prise en charge de patient de même age.
Ma situation est la suivante, pendant mon stage en unité de soins intensif de cardiologie une jeune patiente de 30 est arrivé des après être passé en rea pour un arret cardio respi. j'étais gêné dans une 1er temps d effectuer ses soins intimes, et la position de soignant ivs a vis de la famille.. transposition deposition et gestions des émotion face aux emotions de sa mère...
Ma situation est la suivante, pendant mon stage en unité de soins intensif de cardiologie une jeune patiente de 30 est arrivé des après être passé en rea pour un arret cardio respi. j'étais gêné dans une 1er temps d effectuer ses soins intimes, et la position de soignant ivs a vis de la famille.. transposition deposition et gestions des émotion face aux emotions de sa mère...
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Re: TFE : soignant même âge que soigné, tout service, vos quest°
Attendez quelques années. Il y aura une époque où les patients pourraient avoir votre âge, ou celui de vos enfants, ou celui de vos parents.
Re: TFE : soignant même âge que soigné, tout service, vos quest°
je vois pas le lien avec ma problématique la ?
Re: TFE : soignant même âge que soigné, tout service, vos quest°
vous pouvez lire:google,la relation de soins concept et finalités cairn info.C est du travail que de lire cela avec attention.Mais l'expérience vous a donc montré(sujet de votre mémoire)que c'est un métier qui nécessite du travail introspectif,des échanges de point de vue pour verbaliser.Car attendre la fin de carrière pour être à l'aise dans les relations serait dommage.Il faut "s'instruire " sur le sujet.Vous ouvrez la fenêtre sur:pouvoir et savoir,comment se parlent les hommes et les femmes,qui suis je pour toucher un autre,,se faire respecter ou se faire écouter,être utile et ne pas nuire.