Aide pr Mini Mémoire
Modérateurs : Modérateurs, ESI
Aide pr Mini Mémoire
Bjs jsuis en formation aide-soigant. Pr la validation de mon module 5, je dois effectuer une étude de cas (5 à 10 pages) sur relation soigant-soigner.
Le thème que j'ais choisis est le suivant : Communication avec patient délirant -Peut-on se servir des délires des patients pour établir une communication ?
Pourriez-vous m'orienter vers des écrits, internet, ou autres traitant de ce thème. Merci
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le thème que j'ais choisis est le suivant : Communication avec patient délirant -Peut-on se servir des délires des patients pour établir une communication ?
Pourriez-vous m'orienter vers des écrits, internet, ou autres traitant de ce thème. Merci

deja le mot "délires" me choque; tu devrais peut etre le changer
sinon m f collieres a travaillé sur la relation soignant soignéÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
sinon m f collieres a travaillé sur la relation soignant soignéÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Infirmière en psychiatrie et fière de son taf!!!
salut à toi,
personnellement, je pense que tu peux te servir du de l'activité délirante du patient pour rentrer en contacat avec lui. Après il faut ni être dans un discours qui renforcerait le délire, qui le ferait flamber ni être dans quelque chose ou l'on remet totalement en cause ce que le patient vit, en critiquant le délire par exemple car là le patient ne voudra pas te parler et tu risque d'aller au clash.
Il ne faut ni être dans le délire ni dans la critique franche, le mieux c'est surement de questionner le patient sur son délire en lui demandant par exemple s'il est convaincu de ce qu'il voit, ressent...
je sais pas si c clair.
bon courageÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
personnellement, je pense que tu peux te servir du de l'activité délirante du patient pour rentrer en contacat avec lui. Après il faut ni être dans un discours qui renforcerait le délire, qui le ferait flamber ni être dans quelque chose ou l'on remet totalement en cause ce que le patient vit, en critiquant le délire par exemple car là le patient ne voudra pas te parler et tu risque d'aller au clash.
Il ne faut ni être dans le délire ni dans la critique franche, le mieux c'est surement de questionner le patient sur son délire en lui demandant par exemple s'il est convaincu de ce qu'il voit, ressent...
je sais pas si c clair.
bon courageÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Infirmier depuis peu!!!
Kel terme penS tu ke jdevré utlisé. Car ds les recherches que g fé g trouver "Etats Délirant", "Délire", "Hallucination"xln a écrit :deja le mot "délires" me choque; tu devrais peut etre le changer
sinon m f collieres a travaillé sur la relation soignant soigné
Merci pr aideÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
tantang a écrit :salut à toi,
personnellement, je pense que tu peux te servir du de l'activité délirante du patient pour rentrer en contacat avec lui. Après il faut ni être dans un discours qui renforcerait le délire, qui le ferait flamber ni être dans quelque chose ou l'on remet totalement en cause ce que le patient vit, en critiquant le délire par exemple car là le patient ne voudra pas te parler et tu risque d'aller au clash.
Il ne faut ni être dans le délire ni dans la critique franche, le mieux c'est surement de questionner le patient sur son délire en lui demandant par exemple s'il est convaincu de ce qu'il voit, ressent...
je sais pas si c clair.
bon courage
