A tout à l'heure.
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers spécialisés - IADE
A tout à l'heure.
Il frappe à votre porte.
Il se présente à vous.
Il vous annonce que c'est l'heure du départ.
Il vérifie que vous n'avez rien pris avec vous.
Il récupère votre bilan et le dépose sur votre dossier.
Il traverse de longs couloirs pleins de courants d'air.
Il vous détend l'atmosphère avec son déguisement de capitaine stroumph.
Il vous demande le programme du jour.
Il répond qu'il va perdre la boule.
Il lui assure que le match est gagné d'avance.
On verra.
A tout à l'heure!!!
T'imagines pas.
C'est à lui qu'il a dit au revoir en dernier.
Sur table.
Il a appris sur le tas.
Il était très amical.
Personne n'a été le voir quand le match a été perdu.
Lui n'a pu rester de marbre quand il a revu les accompagnants.
La boule dans la tête de l'enfant âgé de quatre ans était mal placée.
Le brancardier a eu des larmes de sang quand il a dû accompagner les parents à la morgue.
Je salue ce brancardier qui m'a confié ce malheur.
Je lui ai avoué qu'il remplissait de bonheur les yeux des patients quand il leur disait "A toute à l'heure".
Brancarder un patient est un moment très privilegié.
Cheik ment vôtre.
Il se présente à vous.
Il vous annonce que c'est l'heure du départ.
Il vérifie que vous n'avez rien pris avec vous.
Il récupère votre bilan et le dépose sur votre dossier.
Il traverse de longs couloirs pleins de courants d'air.
Il vous détend l'atmosphère avec son déguisement de capitaine stroumph.
Il vous demande le programme du jour.
Il répond qu'il va perdre la boule.
Il lui assure que le match est gagné d'avance.
On verra.
A tout à l'heure!!!
T'imagines pas.
C'est à lui qu'il a dit au revoir en dernier.
Sur table.
Il a appris sur le tas.
Il était très amical.
Personne n'a été le voir quand le match a été perdu.
Lui n'a pu rester de marbre quand il a revu les accompagnants.
La boule dans la tête de l'enfant âgé de quatre ans était mal placée.
Le brancardier a eu des larmes de sang quand il a dû accompagner les parents à la morgue.
Je salue ce brancardier qui m'a confié ce malheur.
Je lui ai avoué qu'il remplissait de bonheur les yeux des patients quand il leur disait "A toute à l'heure".
Brancarder un patient est un moment très privilegié.
Cheik ment vôtre.