Tricotillomanie besoin conseils
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il te dira quoi faire
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Un des problèmes les plus fréquents qu’a à vivre un ttm est le comportement, les attitudes des autres par rapport à sa condition, surtout des conjoints, conjointes, proches, etc. Vous pouvez être d’un grand secours et appuie dans le processus de rémission. Par contre, vous pouvez également créer beaucoup d’obstacles. Pour les ttm, arriver à une rémission est dejà très difficile. Quand d’autres problèmes ou incompréhensions s’ajoutent, ce sera encore plus difficile.
D'abord examinons en quoi les proches peuvent être source de difficultés pour terminer, plus positivement, avec les actions qui peuvent aider les ttm.
La plus grande source des problèmes dans n'importe quel rapport personnel est quand une personne essaie de changer l’autre. Les rapports les plus réussis sont basés sur l'acceptation de l’autre. C'est nécessaire parce que tous les êtres humains sont naturellement imparfaits : chacun doit accepter l'autre avec ses forces et faiblesses. Veuillez comprendre qu'accepter ne signifie pas aimer mais c’est un moyen de reconnaître que certaines choses existent. Il est certain qu’on a tous des choses que l’on voudrait que l’autre change, mais nous apprenons à vivre avec car 1) nous n’avons pas le pouvoir de changer l’autre et 2) nous avons nous aussi des forces et des faiblesses que l’autre voudrait peut-être que l’on change.
Aimer vraiment quelqu'un ne signifie pas avoir l’image de la personne parfaite que vous ne voudriez pas changer. L’erreur est humaine et la personne que vous aimez n’est pas parfaite, elle est comme tout le monde, faillible, comme vous. Pour juger la ttm, il faudrait être un être supérieur, divin, libre de tout défaut! Tout le monde est donc mal placé pour juger autrui!
Revoyez votre modèle ! La trichotillomanie est une partie de la vie de la personne que vous aimez. Elle le possède. La ttm est chronique. La ttm ne partira pas simplement parce que vous ne l'aimez pas. Beaucoup de choses que nous n'aimons pas existent dans la vie. Afin d'avoir un rapport avec cette personne qui tire ses cheveux ; vous devez accepter que ce soit une partie d’un tout, c’est une partie indissociable. Peut-être que la personne que vous aimez veux arrêter, veut changer. Mais peut-être qu’elle ne le veut pas. La décision ne revient qu’à elle. Vous ne pouvez avoir la motivation à sa place.
Ne comprenez pas mal. Chaque ttm veut se débarrasser de ce problème mais chacun n’est pas prêt à le faire nécessairement immédiatement. Ce n’est peut-être pas le bon moment, pour une foule de raisons. Par exemple, l'aide appropriée peut ne pas être disponible. Ne critiquez pas. Le TTM se sent déjà assez mal vis-à-vis lui même. Ils ont souvent une estime d’eux-même relativement basse par rapport à leur ttm. Plusieurs se décrivent même comme des monstres, des virus, des bêtes de cirque, etc. Imaginez-vous devoir expliquer à vos proches que toute votre vie, vous vous êtes arracher les poils parce que vous aimiez cela, parce que vous aimez l’odeur, parce que, parce que…En outre, il est important de comprendre que le but principal de l’arrachage des poils est l’apaisement du systèmes nerveux. Si vous insultez, menacez, ou critiquez, vous créeriez un stress supplémentaire ce qui n’aidera en rien le ttm. Le calme et la compréhension aident beaucoup plus.
Regardez-le de cette façon : vous aimez cette personne. Selon quelques études, le problème serait biologique ou génétique. Pour certains, ce ne serait pas qu’une mauvaise habitude. Ne confondez pas le fait qu'ils se sont arrachés les poils eux-mêmes avec la notion que c'était un acte délibéré de leur part. Ils ne doivent pas être blâmés de l'avoir fait. Il est vrai que c’est sa responsabilité de s’aider lui-même. À quoi cela servirait de lui faire avoir des remords? S'ils avaient eu un accident ou une autre maladie, refuseriez-vous d’être vu en public avec eux?
Cela pourrait grandement aider la compréhension en vous regardant vous-même. Posez-vous ces questions : est-ce que vous vous sentez concernés d'une manière égocentrique par rapport à ce que les autres penseront de vous, quand vous êtes avec cette personne dont les cheveux sont absents ? Vous inquiétez-vous car vous vous sentez responsables d'une manière quelconque, ou que vous serez considérés anormal par association ? Estimez-vous que ce changement de leur aspect a d’une façon ou d’une autre fait que vous ne pouvez plus tolérer cette personne? Est-ce que les cheveux font la totalité de cette personne? Est-ce que vous êtes en amour avec cette partie du corps à un tel point?
Même si vous acceptez la ttm et que la personne travaille activement à obtenir rémission, leur réussite n’est pas votre responsabilité mais la sienne. La rémission demande beaucoup de travail et d’efforts. C’est une tâche difficile. C'est un problème très têtu. À moins que vous vouliez rendre un travail difficile bien plus difficile, ne les harcelez pas constamment. N'essayez pas de les punir avec votre colère, silence, ou absence parfois quand ils ont une rechute. N’employez pas la culpabilité avec des phrases du type : tout irait mieux si tu n’arrachais pas, ou si tu m’aimais vraiment, tu arrêterais… Ils vous répondront : « vous pensez que j’aime ca être chauve? Que j’aime me faire regarder? » Mais ils ne pourront sans doute pas expliquer plus profondément car c’est plus complexe que cela.
Évitez l'utilisation enfantine du sarcasme ou de la menace. C'est une manière inadéquate de traiter une autre adulte et comme manière d'obliger quelqu'un à s'améliorer, cela est brut et ne fonctionnera simplement pas. En conclusion, ne menacez pas de les laisser. Si vous pensez que vous ne pouvez pas comprendre, ou ne pas juger la personne, ou ne pas vivre avec ce trouble, alors partez… Ce sera plus profitable à long terme. La personne TTM a besoin de soutien, pas d’incompréhension!
Une deuxième source principale de difficultés est quand un proche devient support mais devient le seul responsable des comportements. Il agit comme béquille mais quand elle n’est plus là, le ttm rechute. Vous ne pouvez pas vouloir les rémissions plus que la personne ttm. Si elle ne veut pas arrêter pour elle même, ce ne sera pas une bonne manière d’arrêter la ttm pour de bon. Ils n'apprendront pas si vous essayez de le faire pour eux. Même si vous pouviez les obliger à cesser de tirer chaque fois que vous êtes en sa présence, qu’est-ce qui se passe quand vous n’êtes pas là? En outre, si vous prenez la responsabilité de leurs problèmes, ils ne prendront jamais leurs responsabilités face à la ttm. Vous ne pouvez pas tenir la garde vingt-quatre heures par jour. Si la personne ttm préfère réellement que vous preniez la commande de leur comportement parce qu'ils imaginent qu'ils sont trop faibles pour apprendre à résister et à se contrôler, résistez à la tentation. Vous leur ferez une grande faveur en leur permettant d'être entièrement responsables d'eux-mêmes. Essayez de ne pas entrer dans la mauvaise habitude d'attirer leur attention sur leur traction. Ne perdez pas votre temps en sifflant, claquant vos doigts, ondulant, ou signalant autrement toutes les fois que vous les voyez arracher. Ne hurlez pas et n’exigez pas l’arrêt. Apprenez que l’arrêt de la ttm demande beaucoup de travail, même si la motivation y est. Si la personne ttm n’est pas motivée, vous ne ferez aucune différence.
Alors comment être utiles? D'abord, acceptez que le problème existe. En second lieu, comprenez que leur rémission n'est pas de votre responsabilité. Il n'appartient purement qu'à elles pour changer leur comportement. Restez extérieur et permettez lui de vivre les étapes d’une rémission, sans la brusquer. Le soutien sans condition est la meilleure chose à lui offrir. Félicitez quand elle réussit ses objectifs de non arrachage mais ne la chicanez pas si la rechute survient. Rendez-vous compte de la façon dont il est difficile de vivre avec ce problème et pour le combattre chaque jour mais ne tombez pas dans la pitié. Acceptez leurs fautes, leurs mauvais jours. Il peut y avoir des périodes décevantes où les nouvelles repousses sont arrachées… C’est très commun. La rechute doit être vu comme un nid de poule sur le chemin de la rémission. La personne ttm peut se sentir vraiment découragée parfois, et croira qu’elle ne peut pas y arriver. Vous devez croire en eux et avoir confiance. Elle ne doit pas se sentir diminuée car déjà, la personne ttm est très critique face à elle même. Des petits discours de motivation sont d’un grand secours. Il faut juste faire attention pour ne pas exagérer afin de ne pas rendre ces discours monotones, routinière, etc
Les couples rencontrent beaucoup d'obstacles dans leurs vies. C’est la même chose dans les relations d’amitié ou entre parents et enfants. Ce n’est qu’une petite difficulté de plus. Que nous les aimions ou pas, nous sommes forcés de les accepter. La vie n'est pas comme un jeu de carte où vous pouvez jeter vos cartes et demander une nouvelle main. Rappelez-vous que peu importe la difficulté, vaut mieux combiner les efforts de 2 personnes et que le soutien influence grandement la vie des trichotillomanes.
D'abord examinons en quoi les proches peuvent être source de difficultés pour terminer, plus positivement, avec les actions qui peuvent aider les ttm.
La plus grande source des problèmes dans n'importe quel rapport personnel est quand une personne essaie de changer l’autre. Les rapports les plus réussis sont basés sur l'acceptation de l’autre. C'est nécessaire parce que tous les êtres humains sont naturellement imparfaits : chacun doit accepter l'autre avec ses forces et faiblesses. Veuillez comprendre qu'accepter ne signifie pas aimer mais c’est un moyen de reconnaître que certaines choses existent. Il est certain qu’on a tous des choses que l’on voudrait que l’autre change, mais nous apprenons à vivre avec car 1) nous n’avons pas le pouvoir de changer l’autre et 2) nous avons nous aussi des forces et des faiblesses que l’autre voudrait peut-être que l’on change.
Aimer vraiment quelqu'un ne signifie pas avoir l’image de la personne parfaite que vous ne voudriez pas changer. L’erreur est humaine et la personne que vous aimez n’est pas parfaite, elle est comme tout le monde, faillible, comme vous. Pour juger la ttm, il faudrait être un être supérieur, divin, libre de tout défaut! Tout le monde est donc mal placé pour juger autrui!
Revoyez votre modèle ! La trichotillomanie est une partie de la vie de la personne que vous aimez. Elle le possède. La ttm est chronique. La ttm ne partira pas simplement parce que vous ne l'aimez pas. Beaucoup de choses que nous n'aimons pas existent dans la vie. Afin d'avoir un rapport avec cette personne qui tire ses cheveux ; vous devez accepter que ce soit une partie d’un tout, c’est une partie indissociable. Peut-être que la personne que vous aimez veux arrêter, veut changer. Mais peut-être qu’elle ne le veut pas. La décision ne revient qu’à elle. Vous ne pouvez avoir la motivation à sa place.
Ne comprenez pas mal. Chaque ttm veut se débarrasser de ce problème mais chacun n’est pas prêt à le faire nécessairement immédiatement. Ce n’est peut-être pas le bon moment, pour une foule de raisons. Par exemple, l'aide appropriée peut ne pas être disponible. Ne critiquez pas. Le TTM se sent déjà assez mal vis-à-vis lui même. Ils ont souvent une estime d’eux-même relativement basse par rapport à leur ttm. Plusieurs se décrivent même comme des monstres, des virus, des bêtes de cirque, etc. Imaginez-vous devoir expliquer à vos proches que toute votre vie, vous vous êtes arracher les poils parce que vous aimiez cela, parce que vous aimez l’odeur, parce que, parce que…En outre, il est important de comprendre que le but principal de l’arrachage des poils est l’apaisement du systèmes nerveux. Si vous insultez, menacez, ou critiquez, vous créeriez un stress supplémentaire ce qui n’aidera en rien le ttm. Le calme et la compréhension aident beaucoup plus.
Regardez-le de cette façon : vous aimez cette personne. Selon quelques études, le problème serait biologique ou génétique. Pour certains, ce ne serait pas qu’une mauvaise habitude. Ne confondez pas le fait qu'ils se sont arrachés les poils eux-mêmes avec la notion que c'était un acte délibéré de leur part. Ils ne doivent pas être blâmés de l'avoir fait. Il est vrai que c’est sa responsabilité de s’aider lui-même. À quoi cela servirait de lui faire avoir des remords? S'ils avaient eu un accident ou une autre maladie, refuseriez-vous d’être vu en public avec eux?
Cela pourrait grandement aider la compréhension en vous regardant vous-même. Posez-vous ces questions : est-ce que vous vous sentez concernés d'une manière égocentrique par rapport à ce que les autres penseront de vous, quand vous êtes avec cette personne dont les cheveux sont absents ? Vous inquiétez-vous car vous vous sentez responsables d'une manière quelconque, ou que vous serez considérés anormal par association ? Estimez-vous que ce changement de leur aspect a d’une façon ou d’une autre fait que vous ne pouvez plus tolérer cette personne? Est-ce que les cheveux font la totalité de cette personne? Est-ce que vous êtes en amour avec cette partie du corps à un tel point?
Même si vous acceptez la ttm et que la personne travaille activement à obtenir rémission, leur réussite n’est pas votre responsabilité mais la sienne. La rémission demande beaucoup de travail et d’efforts. C’est une tâche difficile. C'est un problème très têtu. À moins que vous vouliez rendre un travail difficile bien plus difficile, ne les harcelez pas constamment. N'essayez pas de les punir avec votre colère, silence, ou absence parfois quand ils ont une rechute. N’employez pas la culpabilité avec des phrases du type : tout irait mieux si tu n’arrachais pas, ou si tu m’aimais vraiment, tu arrêterais… Ils vous répondront : « vous pensez que j’aime ca être chauve? Que j’aime me faire regarder? » Mais ils ne pourront sans doute pas expliquer plus profondément car c’est plus complexe que cela.
Évitez l'utilisation enfantine du sarcasme ou de la menace. C'est une manière inadéquate de traiter une autre adulte et comme manière d'obliger quelqu'un à s'améliorer, cela est brut et ne fonctionnera simplement pas. En conclusion, ne menacez pas de les laisser. Si vous pensez que vous ne pouvez pas comprendre, ou ne pas juger la personne, ou ne pas vivre avec ce trouble, alors partez… Ce sera plus profitable à long terme. La personne TTM a besoin de soutien, pas d’incompréhension!
Une deuxième source principale de difficultés est quand un proche devient support mais devient le seul responsable des comportements. Il agit comme béquille mais quand elle n’est plus là, le ttm rechute. Vous ne pouvez pas vouloir les rémissions plus que la personne ttm. Si elle ne veut pas arrêter pour elle même, ce ne sera pas une bonne manière d’arrêter la ttm pour de bon. Ils n'apprendront pas si vous essayez de le faire pour eux. Même si vous pouviez les obliger à cesser de tirer chaque fois que vous êtes en sa présence, qu’est-ce qui se passe quand vous n’êtes pas là? En outre, si vous prenez la responsabilité de leurs problèmes, ils ne prendront jamais leurs responsabilités face à la ttm. Vous ne pouvez pas tenir la garde vingt-quatre heures par jour. Si la personne ttm préfère réellement que vous preniez la commande de leur comportement parce qu'ils imaginent qu'ils sont trop faibles pour apprendre à résister et à se contrôler, résistez à la tentation. Vous leur ferez une grande faveur en leur permettant d'être entièrement responsables d'eux-mêmes. Essayez de ne pas entrer dans la mauvaise habitude d'attirer leur attention sur leur traction. Ne perdez pas votre temps en sifflant, claquant vos doigts, ondulant, ou signalant autrement toutes les fois que vous les voyez arracher. Ne hurlez pas et n’exigez pas l’arrêt. Apprenez que l’arrêt de la ttm demande beaucoup de travail, même si la motivation y est. Si la personne ttm n’est pas motivée, vous ne ferez aucune différence.
Alors comment être utiles? D'abord, acceptez que le problème existe. En second lieu, comprenez que leur rémission n'est pas de votre responsabilité. Il n'appartient purement qu'à elles pour changer leur comportement. Restez extérieur et permettez lui de vivre les étapes d’une rémission, sans la brusquer. Le soutien sans condition est la meilleure chose à lui offrir. Félicitez quand elle réussit ses objectifs de non arrachage mais ne la chicanez pas si la rechute survient. Rendez-vous compte de la façon dont il est difficile de vivre avec ce problème et pour le combattre chaque jour mais ne tombez pas dans la pitié. Acceptez leurs fautes, leurs mauvais jours. Il peut y avoir des périodes décevantes où les nouvelles repousses sont arrachées… C’est très commun. La rechute doit être vu comme un nid de poule sur le chemin de la rémission. La personne ttm peut se sentir vraiment découragée parfois, et croira qu’elle ne peut pas y arriver. Vous devez croire en eux et avoir confiance. Elle ne doit pas se sentir diminuée car déjà, la personne ttm est très critique face à elle même. Des petits discours de motivation sont d’un grand secours. Il faut juste faire attention pour ne pas exagérer afin de ne pas rendre ces discours monotones, routinière, etc
Les couples rencontrent beaucoup d'obstacles dans leurs vies. C’est la même chose dans les relations d’amitié ou entre parents et enfants. Ce n’est qu’une petite difficulté de plus. Que nous les aimions ou pas, nous sommes forcés de les accepter. La vie n'est pas comme un jeu de carte où vous pouvez jeter vos cartes et demander une nouvelle main. Rappelez-vous que peu importe la difficulté, vaut mieux combiner les efforts de 2 personnes et que le soutien influence grandement la vie des trichotillomanes.
une tricotillomaniac
c'est fou ce que vous etes a coté de la plaque! cette fille a une maladie!ok? c'est de la génétique!
elle na pas besoin d'un psy mais d'un traitement!!!
je ne dois pas vous en vouloir car vous etes ignorant face a cette maladie qui est assé rare
mais vos propos m'ont mit hors de moi
elle na pas besoin d'un psy mais d'un traitement!!!
je ne dois pas vous en vouloir car vous etes ignorant face a cette maladie qui est assé rare
mais vos propos m'ont mit hors de moi
Re: une tricotillomaniac
Mwajeanne a écrit :c'est fou ce que vous etes a coté de la plaque!
Qu'en sais tu?
Mwajeanne a écrit :cette fille a une maladie!
La on est d'accord.
Mwajeanne a écrit :ok? c'est de la génétique!
Ah bon? Ou as tu vu cela? Les américains cherchent depuis des décennies le gène de la schizophrénie par exemple. Si il y a une composante génétique certaine, ce n'est pas exclusivement cela, et cela aussi c'est prouvé.
Mwajeanne a écrit :elle na pas besoin d'un psy mais d'un traitement!!!
Le psy fait partie du traitement.
Mwajeanne a écrit :je ne dois pas vous en vouloir car vous etes ignorant face a cette maladie qui est assé rare
Madame est bien bonne...
Mwajeanne a écrit :mais vos propos m'ont mit hors de moi
Et bien j'espère que ca n'arrive pas trop souvent sinon la vie ne doit pas être facile tous les jours... Un psy?
"A force de contempler l'abyme, l'abyme te contemple"-Nietzsche
loxapac a écrit ::lol:
Mwajeanne, tu as l'air d'en savoir un bout sur cette maladie. Tu connais un proche qui est malade, ou tu t'es penchée sur la question?
C'est une explication qui ne tiens qu'a un fil.
Ne coupons pas les cheveux en 4.
"A force de contempler l'abyme, l'abyme te contemple"-Nietzsche
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cedr1c
c'est intéressant ce type de raisonnement:
c'est génétique donc une psychothérapie ne sert à rien.
-la dépression non réactionelle, celle qui se défini par un défaut de production de sérotonine (ou une recapture trop forte), ne nécessite donc aucune psychothérapie non plus si l'on suit ce raisonnement.
Seulement il est prouvé qu'une psychothérapie va provoquer une stimulation de certaines zones touchées par la dépression (une dépression se voit sur des coupes fines d'un scanner cérébral), et donc améliorer la sécrétion, ainsi que l'acceptation de cette patho
un traitement aussi l'améliore, et plus vite en plus, mais il faudra l'avoir à vie, quand on en connait les contraintes. (dont un risque de passage à l'acte plus élevé à l'introduction)
c'est génétique donc une psychothérapie ne sert à rien.
-la dépression non réactionelle, celle qui se défini par un défaut de production de sérotonine (ou une recapture trop forte), ne nécessite donc aucune psychothérapie non plus si l'on suit ce raisonnement.
Seulement il est prouvé qu'une psychothérapie va provoquer une stimulation de certaines zones touchées par la dépression (une dépression se voit sur des coupes fines d'un scanner cérébral), et donc améliorer la sécrétion, ainsi que l'acceptation de cette patho
un traitement aussi l'améliore, et plus vite en plus, mais il faudra l'avoir à vie, quand on en connait les contraintes. (dont un risque de passage à l'acte plus élevé à l'introduction)
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