vos ptites bebetes...
Modérateur : Modérateurs
et moi ce qui me révolte c'est que des abrutis laissent leur chien dans la voiture, meme fenêtre ouverte, et ce quelque soit le temps
c'est inadmissible
la voiture même fenêtre ouverte (c'est vrai qu'en général on baisse pas les vitres au maximum) devient une véritable fournaise dès que le soleil se montre un temps soit (bon ok je ne parle pas des températures de 0° en plein hiver), le chien ne peut se refraichir autrement qu'en haletant donc rejete une quantité importante de CO2, qui au bout d'un certain temps vu la quantité et vu que l'air ne se renouvelle pas correctement à cause des vitres non suffisament ouvertes, devient plus que toxique, voir mortel
alors laisser un chien dans une voiture, ca me met plus que hors de moi
enfin d'un autre coté c'est aussi un moyen facile pour se débarrasser de son compagnon
c'est inadmissible
la voiture même fenêtre ouverte (c'est vrai qu'en général on baisse pas les vitres au maximum) devient une véritable fournaise dès que le soleil se montre un temps soit (bon ok je ne parle pas des températures de 0° en plein hiver), le chien ne peut se refraichir autrement qu'en haletant donc rejete une quantité importante de CO2, qui au bout d'un certain temps vu la quantité et vu que l'air ne se renouvelle pas correctement à cause des vitres non suffisament ouvertes, devient plus que toxique, voir mortel
alors laisser un chien dans une voiture, ca me met plus que hors de moi
enfin d'un autre coté c'est aussi un moyen facile pour se débarrasser de son compagnon
Dernière modification par Mimine le 10 août 2005 20:52, modifié 1 fois.
"La fonction rechercher n'étant pas nuisible pour la santé, vous pouvez l'utiliser sans risque immédiat pour votre vie"
Mimine a écrit :et moi ce qui me révolte c'est que des abrutis laissent leur chien dans la voiture, meme fenêtre ouverte, et ce quelque soit le temps
c'est inadmissible
la voiture même fenêtre ouverte devient une véritable fournaise dès que le soleil se montre un temps soit (bon ok je ne parle pas des températures de 0° en plein hiver), le chien ne peut se refraichir autrement qu'en haletant donc rejete une quantité importante de CO2, qui au bout d'un certain temps vu la quantité et vu que l'air ne se renouvelle pas correctement à cause des vitres non ouvertes, devient plus que toxique, voir mortel
alors laisser un chien dans une voiture, ca me met plus que hors de moi
enfin d'un autre coté c'est aussi un moyen facile pour se débarrasser de son compagnon
Je n'ai pas précisé mais je ne le laisse jamais dans la voiture en plein soleil premièrement, et deuxièmement jamais quand le soleil commence à chauffer...

Et je ne sais pas si ta dernière phrase me concerne ou non mais personnellement je ne me sens pas atteinte car mon chien m'importe plus que tout !
Infirmière puéricultrice
même a l'ombre, l'habitacle d'une voiture est un four dès que la température extérieure grimpe,enfin bref, je vais pas changer les gens, certains n'ont meme pas conscience de la chose, et pis entre aller faire des courses pendant 3 heures et prendre 5 minutes y a aussi une différence
et non ma dernière phrase ne t'es pas adressée à toi
et non ma dernière phrase ne t'es pas adressée à toi
"La fonction rechercher n'étant pas nuisible pour la santé, vous pouvez l'utiliser sans risque immédiat pour votre vie"
miss purple je suis triste de voir que tu crois que je me moque mais je te jure
que pas du tout je te trouve très gentille et tes remarques me font rire mais c'est juste qu'en ce moment j'ai la pression car j'attends la réponse du fongecif et c'est vrai que je rigole beaucoup mais c'est nerveux mais si tu veux je peut rester sérieuse pas de problème !!! 


Ok....
Personnellement je ne pense pas avoir fait prendre de risques à mon chien en le laissant dans ma voiture puisque je m'arrange toujours pour l'emmener que quand il n'y a pas de soleil...
J'ai toujours de l'eau avec moi et il m'arrive de l'emmener avec moi dans le magasin si vraiment il fait trop chaud dehors... Ou alors je rentre chez moi et je le laisse tranquille...
LE problème c'est que certaines personnes ne se rendent pas compte de tout ça.
j'ai promené mon chien cet après midi et c'est vrai qu'il supporte mal la chaleur.. Je le fais boire beaucoup en promenade et je mouille un peu son poil pour le rafraichir...

J'ai toujours de l'eau avec moi et il m'arrive de l'emmener avec moi dans le magasin si vraiment il fait trop chaud dehors... Ou alors je rentre chez moi et je le laisse tranquille...
LE problème c'est que certaines personnes ne se rendent pas compte de tout ça.
j'ai promené mon chien cet après midi et c'est vrai qu'il supporte mal la chaleur.. Je le fais boire beaucoup en promenade et je mouille un peu son poil pour le rafraichir...
Infirmière puéricultrice
pour que le rafraichissement soit vraiment efficace il ne faut surtout pas mouiller le poil, car avec la chaleur le chien seche et a encore plus chaud apres a cause de l'évaporation
non pour vraiment rafraichir, faut mouiller les coussinets et les parties génitales (ou le ventre
)
non pour vraiment rafraichir, faut mouiller les coussinets et les parties génitales (ou le ventre

"La fonction rechercher n'étant pas nuisible pour la santé, vous pouvez l'utiliser sans risque immédiat pour votre vie"
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misspurple a écrit :whiteangel a écrit :
hello miss c une ménagerie chez toi entre le caniche édenté et les chats parlant c une annexe de zoo![]()
![]()
eh oui que veux tu je vais monter un cirque enfin...un freak show![]()
Vivi on dirait que ta chatte marque son territoire partout, elle a le droit de sortir? peut-être qu'elle s'ennuie, essaie de lui mettre des joujoux peut-être je ne sais pas.
Je suis en appartement donc elle ne sort pas. Mais elle a des joujous partout dans l'appartement, entre les baballes, le grattoir, les trucs qui pendouillent, je sais pas encore comment je fais pour pas me casser la figure la nuit quand jme leve

Des pénibles comme lui on en rencontre pas souvent. c'était une glue. le genre à me coller au basques jusqu'à obtention de ce qu'il voulait : des bouts, des morceaux de bidoche, de fromage, des frites, des oignons... Il était casse-bonbon à un point qu'on imagine pas, il mangeait de tout. toujours là, derrière la porte, sur une chaise de la cuisine, à l'affût du moindre reliquat de repas négligemment oublié sur la table ou le buffet. Un simple bruit de plat à lasagne, un froissement de papier alu suffisait à le réveiller pour venir voir s'il se passait quelque chose d’intéressant dans la cuisine... les repas du matin et du soir étaient une véritable cérémonie qui débutait par des allées et venues de la cuisine au couloir, et du couloir à la cuisine dans d'interminable ronds de pattes et de majestueux arabesques de queue. Et le repas engloutis, il partait repus miauler, meugler plutôt comme un veau, à l'étage on ne sait trop pourquoi, pour ouvrir les armoires, éventuellement celle du grenier...
Il était omniprésent dans la maison, omniprésent également au jardin quand, sur ses talons il suivais mon père fumant sa cigarette. omniprésent aussi derrière ma mère qui jardinait, omniprésent à m'attendre à la porte de jardin, de jour comme de nuit pour me faire des joies, en se roulant dans la poussière, roucoulant tel un pigeon, réclamant à coups de tête, des caresses et encore des caresses... Il tenait de sa mère Calypso, un superbe Terre Neuve qui l’avait recueilli tout petit, au milieu des pigeons à Aubervilliers
Ticha était naturellement inquiet. il se méfiait des gens, des portes fermées, s'agaçait des oiseaux dans le jardin, fuyait le bruit des autos, des mobylettes... Les cartons le terrorisait. Il quittait la maison le soir venu, quand la lumière ténue confondait son pelage au gris du crépuscule. Dans le silence des soirées estivales il aérait son poils, les sens éveillés aux stimulis qui n'agressent pas. De Ticha le pétochard, il devenait Ticha le hardi. Alors quel diable l'a poussé de l'autre coté de la rue ? Nul ne sait. peut-être a-il poursuivi un autre chat qui violait son territoire... Il était jaloux de son territoire, et le défendait comme un lion Fallait-il qu'il se batte pour lui aussi loin ?
il ne dormira plus sur mon lit, ne dormira plus non plus sur celui de mon frère, ni celui de ma Mère, ni celui de mon Père, ni sur les chaises de la cuisine, ni dans la véranda. Il dormait le plus clair de son temps. Le reste, il le passait dans nos jambes. Il ne sera plus au pieds de la table, tel Job attendant que des miettes tombent de la table. Job été était patient, lui pas, et les trous dans la nappe en témoignent encore. Plus de jeu de saute-mouton sur les chaises le temps du repas, plus de miaulements agacés, plus de coup de pattes, plus rien. Juste un grand vide, Il prenait de la place, il prenait de l'amour, sa seule présence restituait l'essentiel de ce qu'il recevait en caresses et en temps.
Il était le Vieux Chat, la vieille carne, mon Plein de Poils, Mon Loukoum, Mon poussin, Mon Ticha... et tous ceux pour lui qu'on n'a pas eu le temps d'inventer.
Il était omniprésent dans la maison, omniprésent également au jardin quand, sur ses talons il suivais mon père fumant sa cigarette. omniprésent aussi derrière ma mère qui jardinait, omniprésent à m'attendre à la porte de jardin, de jour comme de nuit pour me faire des joies, en se roulant dans la poussière, roucoulant tel un pigeon, réclamant à coups de tête, des caresses et encore des caresses... Il tenait de sa mère Calypso, un superbe Terre Neuve qui l’avait recueilli tout petit, au milieu des pigeons à Aubervilliers
Ticha était naturellement inquiet. il se méfiait des gens, des portes fermées, s'agaçait des oiseaux dans le jardin, fuyait le bruit des autos, des mobylettes... Les cartons le terrorisait. Il quittait la maison le soir venu, quand la lumière ténue confondait son pelage au gris du crépuscule. Dans le silence des soirées estivales il aérait son poils, les sens éveillés aux stimulis qui n'agressent pas. De Ticha le pétochard, il devenait Ticha le hardi. Alors quel diable l'a poussé de l'autre coté de la rue ? Nul ne sait. peut-être a-il poursuivi un autre chat qui violait son territoire... Il était jaloux de son territoire, et le défendait comme un lion Fallait-il qu'il se batte pour lui aussi loin ?
il ne dormira plus sur mon lit, ne dormira plus non plus sur celui de mon frère, ni celui de ma Mère, ni celui de mon Père, ni sur les chaises de la cuisine, ni dans la véranda. Il dormait le plus clair de son temps. Le reste, il le passait dans nos jambes. Il ne sera plus au pieds de la table, tel Job attendant que des miettes tombent de la table. Job été était patient, lui pas, et les trous dans la nappe en témoignent encore. Plus de jeu de saute-mouton sur les chaises le temps du repas, plus de miaulements agacés, plus de coup de pattes, plus rien. Juste un grand vide, Il prenait de la place, il prenait de l'amour, sa seule présence restituait l'essentiel de ce qu'il recevait en caresses et en temps.
Il était le Vieux Chat, la vieille carne, mon Plein de Poils, Mon Loukoum, Mon poussin, Mon Ticha... et tous ceux pour lui qu'on n'a pas eu le temps d'inventer.
Dernière modification par fridhu le 10 août 2005 21:50, modifié 1 fois.
Fridhu
fridhu a écrit :Des pénibles comme lui on en rencontre pas souvent. c'était une glue. le genre à me coller au basques jusqu'à obtention de ce qu'il voulait : des bouts, des morceaux de bidoche, de fromage, des frites, des oignons... Il était casse-bonbon à un point qu'on imagine pas, il mangeait de tout. toujours là, derrière la porte, sur une chaise de la cuisine, à l'affût du moindre reliquat de repas négligemment oublié sur la table ou le buffet. Un simple bruit de plat à lasagne, un froissement de papier alu suffisait à le réveiller pour venir voir s'il se passait quelque chose d’intéressant dans la cuisine... les repas du matin et du soir étaient une véritable cérémonie qui débutait par des allées et venues de la cuisine au couloir, et du couloir à la cuisine dans d'interminable ronds de pattes et de majestueux arabesques de queue. Et le repas engloutis, il partait repus miauler, meugler plutôt comme un veau, à l'étage on ne sait trop pourquoi, pour ouvrir les armoires, éventuellement celle du grenier...
Il était omniprésent dans la maison, omniprésent également au jardin quand, sur ses talons il suivais mon père fumant sa cigarette. omniprésent aussi derrière ma mère qui jardinait, omniprésent à m'attendre à la porte de jardin, de jour comme de nuit pour me faire des joies, en se roulant dans la poussière, roucoulant tel un pigeon, réclamant à coups de tête, des caresses et encore des caresses... Il tenait de sa mère Calypso, un superbe Terre Neuve qui l’avait recueilli tout petit, au milieu des pigeons à Aubervilliers
Ticha était naturellement inquiet. il se méfiait des gens, des portes fermées, s'agaçait des oiseaux dans le jardin, fuyait le bruit des autos, des mobylettes... Les cartons le terrorisait. Il quittait la maison le soir venu, quand la lumière ténue confondait son pelage au gris du crépuscule. Dans le silence des soirées estivales il aérait son poils, les sens éveillés aux stimulis qui n'agressent pas. De Ticha le pétochard, il devenait Ticha le hardi. Alors quel diable l'a poussé de l'autre coté de la rue ? Nul ne sait. peut-être a-il poursuivi un autre chat qui violait son territoire... Il était jaloux de son territoire, et le défendait comme un lion Fallait-il qu'il se batte pour lui aussi loin ?
il ne dormira plus sur mon lit, ne dormira plus non plus sur celui de mon frère, ni celui de ma Mère, ni celui de mon Père, ni sur les chaises de la cuisine, ni dans la véranda. Il dormait le plus clair de son temps. Le reste, il le passait dans nos jambes. Il ne sera plus au pieds de la table, tel Job attendant que des miettes tombent de la table. Job été était patient, lui pas, et les trous dans la nappe en témoignent encore. Plus de jeu de saute-mouton sur les chaises le temps du repas, plus de miaulements agacés, plus de coup de pattes, plus rien. Juste un grand vide, Il prenait de la place, il prenait de l'amour, sa seule présence restituait l'essentiel de ce qu'il recevait en caresses et en temps.
Il était le Vieux Chat, la vieille carne, mon Plein de Poils, Mon Loukoum, Mon poussin, Mon Ticha... et tous ceux pour lui qu'on n'a pas eu le temps d'inventer.
c'est beau et bien écrit


"Les parents sont des os sur lesquels les enfants font leurs dents." 

pauvres betes.... j'ose meme pas imaginer la mort atroce que ca doit etre !!!! laisser des animaux mourir comme ca, c ignoble !
je ne pense pas que le gars ait vraiment reflechit, il ne devait certainement pas se rendre compte du risque, mais c vrai que c completement inconscient. il ne viendrait à personne l'idée de rester dans une voiture en plein soleil avec les vitres fermées !!!
je ne pense pas que le gars ait vraiment reflechit, il ne devait certainement pas se rendre compte du risque, mais c vrai que c completement inconscient. il ne viendrait à personne l'idée de rester dans une voiture en plein soleil avec les vitres fermées !!!
en stage chir generale
BereChoupinette et son chouchou en guerre contre la mediocrité...
BereChoupinette et son chouchou en guerre contre la mediocrité...
Mimine a écrit :et moi ce qui me révolte c'est que des abrutis laissent leur chien dans la voiture, meme fenêtre ouverte, et ce quelque soit le temps
c'est inadmissible
alors laisser un chien dans une voiture, ca me met plus que hors de moi
Ils doivent croirent qu'un chien résite aux trés hautes températures!
Certains y laissent même leurs gamins!
Si House dit "c'est un Wegener" c'est peut-être un wegener ou ce n'est peut-être pas un wegener! En libé dans l'arrière pays grassois.