Actualités 2009
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Re: Actualités 2009
Montant 2009-2010 de la cotisation forfaitaire pour les bénéficiaires du régime d'assurance maladie des étudiants
Après avis du conseil de la Caisse nationale de l'assurance maladie des travailleurs salariés et du conseil d'administration de l'Agence centrale des organismes de sécurité sociale, un arrêté du 30 juillet 2009 a fixé la cotisation forfaitaire due par les bénéficiaires du régime d'assurance maladie des étudiants pour l'année universitaire 2009-2010, à 198 euros (au lieu de 195 euros).
Grâce à cette couverture maladie, les étudiants de moins de 28 ans bénéficient du remboursement des frais médicaux de maladie et de maternité.
L'étudiant qui aura 20 ans entre le 1er octobre et le 30 septembre de l'année suivante est tenu de cotiser à l'occasion des procédures d'inscription.
L'immatriculation s'effectue lors de l'inscription universitaire.
Une protection complémentaire est possible sous conditions de ressources et de composition du foyer.
Les étudiants boursiers, sous réserve de n'avoir pas épuisé leurs droits à bourse au titre de leur cycle ou cursus, sont dispensés du versement à titre provisionnel de la cotisation d'assurance maladie lorsqu'ils justifient, soit d'un avis d'attribution conditionnel favorable de bourse, soit, pour un étudiant en instance de bourse qui n'aurait pas encore reçu un avis conditionnel, de l'avis définitif de l'année précédente.
Notons que les étudiants bénéficient, à compter de la date à laquelle les conditions ci-dessus ne sont plus remplies, notamment après dépassement de l'âge limite de 28 ans ou à la sortie d'un cursus d'études avant d'occuper un premier emploi, du maintien de leur droit aux prestations de l'assurance maladie, maternité pendant une période maximale de 4 ans.
La demande de maintien des droits doit être formulée par l'étudiant auprès de la Caisse primaire d'assurance maladie dont relève son domicile.
[Source : net-iris.fr 03/08/09]
Après avis du conseil de la Caisse nationale de l'assurance maladie des travailleurs salariés et du conseil d'administration de l'Agence centrale des organismes de sécurité sociale, un arrêté du 30 juillet 2009 a fixé la cotisation forfaitaire due par les bénéficiaires du régime d'assurance maladie des étudiants pour l'année universitaire 2009-2010, à 198 euros (au lieu de 195 euros).
Grâce à cette couverture maladie, les étudiants de moins de 28 ans bénéficient du remboursement des frais médicaux de maladie et de maternité.
L'étudiant qui aura 20 ans entre le 1er octobre et le 30 septembre de l'année suivante est tenu de cotiser à l'occasion des procédures d'inscription.
L'immatriculation s'effectue lors de l'inscription universitaire.
Une protection complémentaire est possible sous conditions de ressources et de composition du foyer.
Les étudiants boursiers, sous réserve de n'avoir pas épuisé leurs droits à bourse au titre de leur cycle ou cursus, sont dispensés du versement à titre provisionnel de la cotisation d'assurance maladie lorsqu'ils justifient, soit d'un avis d'attribution conditionnel favorable de bourse, soit, pour un étudiant en instance de bourse qui n'aurait pas encore reçu un avis conditionnel, de l'avis définitif de l'année précédente.
Notons que les étudiants bénéficient, à compter de la date à laquelle les conditions ci-dessus ne sont plus remplies, notamment après dépassement de l'âge limite de 28 ans ou à la sortie d'un cursus d'études avant d'occuper un premier emploi, du maintien de leur droit aux prestations de l'assurance maladie, maternité pendant une période maximale de 4 ans.
La demande de maintien des droits doit être formulée par l'étudiant auprès de la Caisse primaire d'assurance maladie dont relève son domicile.
[Source : net-iris.fr 03/08/09]
IDE en HAD encore en remplacement en réanimation polyvalente
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Re: Actualités 2009
L'OMS évoque 2 milliards de cas de grippe A en cas de pandémie
A la fin de la pandémie, deux milliards de personnes environ auront été atteintes de la grippe A (H1N1), estime l'Organisation mondiale de la Santé.
Le virus, qui se propage rapidement mais dont les effets sont généralement bénins, a fait a ce jour 816 morts, selon des chiffres de l'OMS.
En fournissant cette prévision, l'OMS l'assortit d'une mise au point importante: on ignore actuellement le nombre de personnes qui sont ou ont été atteintes par le virus, car certaines d'entre elles ont pu le porter sans s'en rendre compte en raison de son manque de nocivité.
"A la fin d'une pandémie, entre 15% et 45% d'une population aura été infectée par le nouveau virus pandémique", a expliqué la porte-parole de l'OMS, Aphaluck Bhatiasevi.
"Trente pour cent constitue une estimation médiane, et 30% de la population mondiale correspond à deux milliards", a-t-elle ajouté.
[Source : L'express 04/08/09]
A la fin de la pandémie, deux milliards de personnes environ auront été atteintes de la grippe A (H1N1), estime l'Organisation mondiale de la Santé.
Le virus, qui se propage rapidement mais dont les effets sont généralement bénins, a fait a ce jour 816 morts, selon des chiffres de l'OMS.
En fournissant cette prévision, l'OMS l'assortit d'une mise au point importante: on ignore actuellement le nombre de personnes qui sont ou ont été atteintes par le virus, car certaines d'entre elles ont pu le porter sans s'en rendre compte en raison de son manque de nocivité.
"A la fin d'une pandémie, entre 15% et 45% d'une population aura été infectée par le nouveau virus pandémique", a expliqué la porte-parole de l'OMS, Aphaluck Bhatiasevi.
"Trente pour cent constitue une estimation médiane, et 30% de la population mondiale correspond à deux milliards", a-t-elle ajouté.
[Source : L'express 04/08/09]
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Re: Actualités 2009
Un nouveau site pour une meilleure prise en charge du vieillissement
Un pôle d’information sur les gérontechnologies, produits et services conçus pour le grand âge vient d’apparaître sur la Toile : Gérontechnologie.net, site d’information sur les gérontechnologies, terme nouveau condensant Gérontologie et Technologie, et plus largement sur tous les produits et services pour les 3e et 4e âges et personnes fragilisées… qui sont souvent les mêmes…
Un pôle indispensable quand on sait qu’en 2050 près d'un Français sur 3 aura plus de 60 ans.
Objectif : informer sur les solutions et les innovations en gérontechnologie, y compris dans le domaine des TIC, technologies de l’information et de la communication.
Constat : la prise en charge des conséquences du vieillissement de la population est devenue un enjeu crucial de santé publique, du fait de l’augmentation de la population âgée et très âgée et de l’allongement régulier de l’espérance de vie.
Pour l'INSEE, en 2050 près d'un Français sur 3 aura plus de 60 ans (1 sur 5 en 2005). Entre 2005 et 2020, le nombre des plus de 85 ans devrait doubler.
Enfin, le nombre de personnes dépendantes est en augmentation constante.
Bref, le vieillissement exponentiel de la population est déjà un gros problème pour la société.
Gérontechnologie.net veut aussi bien promouvoir les initiatives permettant d’améliorer le quotidien des personnes âgée en perte d'autonomie : Il existe de nombreuses initiatives dans le cadre de la prise en charge du grand âge et du maintien à domicile des personnes âgées, tant au niveau industriel que dans le domaine de la recherche médicale ou du niveau associatif.
Ces initiatives du bien-vieillir ont pourtant du mal à se développer et à se démocratiser, faute de relais médiatique suffisant.
Gérontechnologie.net s'adresse ainsi en priorité aux acteurs professionnels (maisons de retraite, corps médical, sociétés de service à la personne, industriels...), aux scientifiques, aux associations et structures d'aide à domicile, aux aidants familiaux, aux communes et à toutes les personnes désireuses de s’informer sur les dernières technologies et innovations aidant au bien-vieillir.
[Source : Santelog 04/08/09]
Un pôle d’information sur les gérontechnologies, produits et services conçus pour le grand âge vient d’apparaître sur la Toile : Gérontechnologie.net, site d’information sur les gérontechnologies, terme nouveau condensant Gérontologie et Technologie, et plus largement sur tous les produits et services pour les 3e et 4e âges et personnes fragilisées… qui sont souvent les mêmes…
Un pôle indispensable quand on sait qu’en 2050 près d'un Français sur 3 aura plus de 60 ans.


Pour l'INSEE, en 2050 près d'un Français sur 3 aura plus de 60 ans (1 sur 5 en 2005). Entre 2005 et 2020, le nombre des plus de 85 ans devrait doubler.
Enfin, le nombre de personnes dépendantes est en augmentation constante.
Bref, le vieillissement exponentiel de la population est déjà un gros problème pour la société.
Gérontechnologie.net veut aussi bien promouvoir les initiatives permettant d’améliorer le quotidien des personnes âgée en perte d'autonomie : Il existe de nombreuses initiatives dans le cadre de la prise en charge du grand âge et du maintien à domicile des personnes âgées, tant au niveau industriel que dans le domaine de la recherche médicale ou du niveau associatif.
Ces initiatives du bien-vieillir ont pourtant du mal à se développer et à se démocratiser, faute de relais médiatique suffisant.
Gérontechnologie.net s'adresse ainsi en priorité aux acteurs professionnels (maisons de retraite, corps médical, sociétés de service à la personne, industriels...), aux scientifiques, aux associations et structures d'aide à domicile, aux aidants familiaux, aux communes et à toutes les personnes désireuses de s’informer sur les dernières technologies et innovations aidant au bien-vieillir.
[Source : Santelog 04/08/09]
IDE en HAD encore en remplacement en réanimation polyvalente
Re: Actualités 2009
Hospitalisation à domicile : le boom se confirme
Poussée par les pouvoirs publics, appréciée des patients, l'hospitalisation à domicile se développe à un rythme soutenu. Le nombre de places disponibles a été multiplié par 1,7 entre 2000 et 2006, selon une étude de la Drees (ministères sociaux) publiée cette semaine. Les 164 structures d'hospitalisation à domicile (HAD) offraient, en 2006, 6.700 places, et ont réalisé 85.000 séjours cette année-là. La barre des 8.000 places a été franchie l'an dernier, selon les données de la Fédération nationale des établissements d'HAD (FNEHAD). « Nous devrions atteindre les 300 établissements autorisés dans les mois qui viennent », annonce sa présidente, Elisabeth Hubert.
Cette progression, on la doit d'abord à l'assouplissement des conditions réglementaires d'ouverture des structures, qui sont presque exclusivement des établissements publics ou privés à but non lucratif. Le système de tarification à l'assurance-maladie leur est également plus favorable désormais. La loi de réforme de l'hôpital, promulguée le mois dernier, assouplit encore certaines règles de fonctionnement et permet aux établissements de recruter des internes en médecine.
Qu'elle concerne des patients en chimiothérapie, des soins palliatifs ou des soins lourds pour un nouveau-né, l'hospitalisation à domicile présente l'avantage de raccourcir, de retarder ou d'éviter l'hospitalisation complète. L'HAD est particulièrement adaptée au vieillissement de la population et souvent appréciée des patients. Avec un coût moyen par journée de 210 euros, les professionnels assurent qu'elle permet aussi des économies pour la Sécurité sociale. « On manque d'études médico-économiques pour faire des comparaisons solides, regrette Elisabeth Hubert, mais il est certain que l'HAD est moins coûteuse pour l'assurance-maladie. » « Avec notre grille tarifaire, nous ne pouvons pas facturer plus de 530 euros par jour, pour les cas les plus lourds et complexes. Or, la moyenne du coût d'une hospitalisation complète est de plus de 700 euros. » En l'absence d'études poussées, « l'estimation d'éventuelles économies est impossible à établir », notait le Haut Conseil pour l'avenir de l'assurance-maladie dans un récent rapport.
Malgré ce développement rapide, l'objectif de 15.000 places d'HAD en 2010, fixé par le gouvernement il y a quatre ans, ne sera pas atteint. Pour deux raisons. D'abord, les difficultés de recrutement de médecins, d'infirmières ou de kinés dont souffre l'ensemble du système de santé français, dans certaines régions surtout. Ensuite, un maillage des zones rurales qui reste insuffisant. « L'organisation d'une hospitalisation à domicile peut s'avérer extrêmement complexe dans les contrées les plus rurales, en raison des distances à parcourir pour les professionnels de santé notamment »,explique Elisabeth Hubert. L'ancienne ministre du gouvernement Juppé attend beaucoup du développement de la télé-santé, qui permet par exemple à un médecin de surveiller à distance l'évolution d'une plaie. « Mais cela demande des investissements très lourds », reconnaît-elle.
Les echos
Une alternative à l'hospitalisation complète
L'hospitalisation à domicile (HAD) peut concerner des soins ponctuels pour une période déterminée (une chimiothérapie par exemple), des soins de réadaptation après la phase aiguë d'une maladie, ou encore des soins palliatifs . Elle est distincte du simple maintien à domicile des personnes âgées ou dépendantes. Elle est aussi distincte des soins dispensés par des infirmières libérales à domicile , qui sont moins lourds.Les structures d'HAD sont considérées comme « des établissements d'hospitalisation sans hébergement », au sens du Code de la santé publique. Elles doivent répondre aux mêmes obligations que les hôpitaux en matière d'accréditation , de sécurité, de qualité des soins, de lutte contre les infections nosocomiales, etc. L'HAD est prise en charge à 80 % par l'assurance-maladie, comme toute hospitalisation (sauf pour les affections de longue durée ouvrant droit à une prise en charge à 100 %).
Poussée par les pouvoirs publics, appréciée des patients, l'hospitalisation à domicile se développe à un rythme soutenu. Le nombre de places disponibles a été multiplié par 1,7 entre 2000 et 2006, selon une étude de la Drees (ministères sociaux) publiée cette semaine. Les 164 structures d'hospitalisation à domicile (HAD) offraient, en 2006, 6.700 places, et ont réalisé 85.000 séjours cette année-là. La barre des 8.000 places a été franchie l'an dernier, selon les données de la Fédération nationale des établissements d'HAD (FNEHAD). « Nous devrions atteindre les 300 établissements autorisés dans les mois qui viennent », annonce sa présidente, Elisabeth Hubert.
Cette progression, on la doit d'abord à l'assouplissement des conditions réglementaires d'ouverture des structures, qui sont presque exclusivement des établissements publics ou privés à but non lucratif. Le système de tarification à l'assurance-maladie leur est également plus favorable désormais. La loi de réforme de l'hôpital, promulguée le mois dernier, assouplit encore certaines règles de fonctionnement et permet aux établissements de recruter des internes en médecine.
Qu'elle concerne des patients en chimiothérapie, des soins palliatifs ou des soins lourds pour un nouveau-né, l'hospitalisation à domicile présente l'avantage de raccourcir, de retarder ou d'éviter l'hospitalisation complète. L'HAD est particulièrement adaptée au vieillissement de la population et souvent appréciée des patients. Avec un coût moyen par journée de 210 euros, les professionnels assurent qu'elle permet aussi des économies pour la Sécurité sociale. « On manque d'études médico-économiques pour faire des comparaisons solides, regrette Elisabeth Hubert, mais il est certain que l'HAD est moins coûteuse pour l'assurance-maladie. » « Avec notre grille tarifaire, nous ne pouvons pas facturer plus de 530 euros par jour, pour les cas les plus lourds et complexes. Or, la moyenne du coût d'une hospitalisation complète est de plus de 700 euros. » En l'absence d'études poussées, « l'estimation d'éventuelles économies est impossible à établir », notait le Haut Conseil pour l'avenir de l'assurance-maladie dans un récent rapport.
Malgré ce développement rapide, l'objectif de 15.000 places d'HAD en 2010, fixé par le gouvernement il y a quatre ans, ne sera pas atteint. Pour deux raisons. D'abord, les difficultés de recrutement de médecins, d'infirmières ou de kinés dont souffre l'ensemble du système de santé français, dans certaines régions surtout. Ensuite, un maillage des zones rurales qui reste insuffisant. « L'organisation d'une hospitalisation à domicile peut s'avérer extrêmement complexe dans les contrées les plus rurales, en raison des distances à parcourir pour les professionnels de santé notamment »,explique Elisabeth Hubert. L'ancienne ministre du gouvernement Juppé attend beaucoup du développement de la télé-santé, qui permet par exemple à un médecin de surveiller à distance l'évolution d'une plaie. « Mais cela demande des investissements très lourds », reconnaît-elle.
Les echos
Une alternative à l'hospitalisation complète
L'hospitalisation à domicile (HAD) peut concerner des soins ponctuels pour une période déterminée (une chimiothérapie par exemple), des soins de réadaptation après la phase aiguë d'une maladie, ou encore des soins palliatifs . Elle est distincte du simple maintien à domicile des personnes âgées ou dépendantes. Elle est aussi distincte des soins dispensés par des infirmières libérales à domicile , qui sont moins lourds.Les structures d'HAD sont considérées comme « des établissements d'hospitalisation sans hébergement », au sens du Code de la santé publique. Elles doivent répondre aux mêmes obligations que les hôpitaux en matière d'accréditation , de sécurité, de qualité des soins, de lutte contre les infections nosocomiales, etc. L'HAD est prise en charge à 80 % par l'assurance-maladie, comme toute hospitalisation (sauf pour les affections de longue durée ouvrant droit à une prise en charge à 100 %).
Carpe Diem
•.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•Envol pour 2009-2012 à Chambéry •.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•
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Re: Actualités 2009
Les gommes à la nicotine peuvent contenir des nitrosamines cancérigènes
Les nitrosamines sont des composés chimiques hautement cancérigènes, même à l'état de traces. La fumée du tabac en contient en quantité notable. On sait depuis 1990 que les gommes à la nicotine (celles vendues à l'époque tout au moins) contiennent aussi des nitrosamines : leur présence dans la bouche est durable compte tenu du mode de consommation.
Une autre étude compare les taux de nitrosamines spécifiques du tabac dans différents produits commerciaux : il semble qu'il soit difficile de purifier suffisamment les produits pour en rendre la présence indétectable. Les palliatifs nicotiniques pharmaceutiques contiennent donc des produits cancérigènes à dose faible mais détectable.
La récente communication de la Food & Drug Administration (FDA) révélant que des cartouches de nicotine de cigarette électronique contiennent des traces de nitrosamines ne surprend donc pas. Ce qui est surprenant c'est que l'agence fédérale états-unienne en déduit qu'il convient d'interdire la commercialisation de ces produits en restant muette sur le danger relatif des palliatifs pharmaceutiques ou celui du tabac sous ses différentes formes, fumé comme sucé.
unairneuf.org
Les nitrosamines sont des composés chimiques hautement cancérigènes, même à l'état de traces. La fumée du tabac en contient en quantité notable. On sait depuis 1990 que les gommes à la nicotine (celles vendues à l'époque tout au moins) contiennent aussi des nitrosamines : leur présence dans la bouche est durable compte tenu du mode de consommation.
Une autre étude compare les taux de nitrosamines spécifiques du tabac dans différents produits commerciaux : il semble qu'il soit difficile de purifier suffisamment les produits pour en rendre la présence indétectable. Les palliatifs nicotiniques pharmaceutiques contiennent donc des produits cancérigènes à dose faible mais détectable.
La récente communication de la Food & Drug Administration (FDA) révélant que des cartouches de nicotine de cigarette électronique contiennent des traces de nitrosamines ne surprend donc pas. Ce qui est surprenant c'est que l'agence fédérale états-unienne en déduit qu'il convient d'interdire la commercialisation de ces produits en restant muette sur le danger relatif des palliatifs pharmaceutiques ou celui du tabac sous ses différentes formes, fumé comme sucé.
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Carpe Diem
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Re: Actualités 2009
Allaitement maternel et VIH : bientôt de nouvelles recommandations OMS
Les recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) visant à prévenir la transmission du VIH à un enfant nouveau-né par sa mère, pourraient être modifiées à la fin de l’année. Par rapport aux protocoles courts actuellement recommandés, une trithérapie « longue » pendant le dernier trimestre de grossesse et poursuivie 6 mois après la naissance en cas d’allaitement, réduit encore de 42% le risque de transmission du virus.
Elle doit toujours être associée à l’administration d’un antirétroviral – la névirapine – à l’enfant. Menée par l’OMS, l’Agence nationale française de Recherche contre le SIDA (ANRS), le Center for Diseases Control and Prevention (CdC) et les National Institutes of Health (NIH)américains, cette étude a été rendue publique à la dernière conférence de l’IAS en Afrique du Sud.
La transmission mère-enfant du VIH, est un risque majeur. Les traitements standards utilisés dans la période critique du travail et de l’accouchement, ont considérablement réduit les risques. En revanche, le choix de l’allaitement ne se pose pas. Exception à ses règles habituelles, l’OMS recommande ainsi le recours à l’allaitement artificiel sous réserve qu’il soit « acceptable, praticable, économiquement supportable, possible à long terme et sûr… ». Il doit aussi être « exclusif ».
Les recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) visant à prévenir la transmission du VIH à un enfant nouveau-né par sa mère, pourraient être modifiées à la fin de l’année. Par rapport aux protocoles courts actuellement recommandés, une trithérapie « longue » pendant le dernier trimestre de grossesse et poursuivie 6 mois après la naissance en cas d’allaitement, réduit encore de 42% le risque de transmission du virus.
Elle doit toujours être associée à l’administration d’un antirétroviral – la névirapine – à l’enfant. Menée par l’OMS, l’Agence nationale française de Recherche contre le SIDA (ANRS), le Center for Diseases Control and Prevention (CdC) et les National Institutes of Health (NIH)américains, cette étude a été rendue publique à la dernière conférence de l’IAS en Afrique du Sud.
La transmission mère-enfant du VIH, est un risque majeur. Les traitements standards utilisés dans la période critique du travail et de l’accouchement, ont considérablement réduit les risques. En revanche, le choix de l’allaitement ne se pose pas. Exception à ses règles habituelles, l’OMS recommande ainsi le recours à l’allaitement artificiel sous réserve qu’il soit « acceptable, praticable, économiquement supportable, possible à long terme et sûr… ». Il doit aussi être « exclusif ».
Carpe Diem
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Re: Actualités 2009
Cet été, respirez le bon air
Les vacances, c’est l’occasion d’un repos salutaire. C’est toujours celle d’un dépaysement et aussi le moment de respirer un bon air. Un air plus propre, mais aussi parfois riche en éléments essentiels à notre équilibre comme l’iode...
Eh oui, la vieille expression consacrée qui a trait au « bon air », comme c’est d’ailleurs souvent le cas, est une réalité biologique et non pas seulement valable au sens figuré ! Et que vous alliez à la mer ou à la montagne, vous en tirerez des bénéfices spécifiques. On sait bien sûr, que l’air marin est riche en iode, un élément fixé par la glande thyroïde et indispensable à notre métabolisme. A telle enseigne que le fameux syndrome dit du « Crétin des Alpes » est lié, lui, à la carence en iode de certaines populations de haute montagne atteintes de retard mental.
Au bord de la mer donc, vos enfants pourront « recharger leurs batteries » en iode. Mais au cas où vous auriez choisi la montagne, rassurez-vous ! Car le problème lié aux carences en haute montagne a pratiquement disparu, et vos petits pourront retirer des avantages réels d’un séjour en altitude.
Quant à ceux qui sont allergiques aux acariens, la montagne leur offre une arme absolue pour des vacances reposantes, sans crises d’asthme. En effet, ces petites bêtes ne supportent absolument pas l’altitude. Alors partez l’esprit tranquille, assurés de toutes manières que ce « bon air » sera bénéfique...
Les vacances, c’est l’occasion d’un repos salutaire. C’est toujours celle d’un dépaysement et aussi le moment de respirer un bon air. Un air plus propre, mais aussi parfois riche en éléments essentiels à notre équilibre comme l’iode...
Eh oui, la vieille expression consacrée qui a trait au « bon air », comme c’est d’ailleurs souvent le cas, est une réalité biologique et non pas seulement valable au sens figuré ! Et que vous alliez à la mer ou à la montagne, vous en tirerez des bénéfices spécifiques. On sait bien sûr, que l’air marin est riche en iode, un élément fixé par la glande thyroïde et indispensable à notre métabolisme. A telle enseigne que le fameux syndrome dit du « Crétin des Alpes » est lié, lui, à la carence en iode de certaines populations de haute montagne atteintes de retard mental.
Au bord de la mer donc, vos enfants pourront « recharger leurs batteries » en iode. Mais au cas où vous auriez choisi la montagne, rassurez-vous ! Car le problème lié aux carences en haute montagne a pratiquement disparu, et vos petits pourront retirer des avantages réels d’un séjour en altitude.
Quant à ceux qui sont allergiques aux acariens, la montagne leur offre une arme absolue pour des vacances reposantes, sans crises d’asthme. En effet, ces petites bêtes ne supportent absolument pas l’altitude. Alors partez l’esprit tranquille, assurés de toutes manières que ce « bon air » sera bénéfique...
Carpe Diem
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Re: Actualités 2009
A/H1N1 : la France se met en ordre de bataille
En pleine période estivale le gouvernement français prépare activement la rentrée… de la grippe A (H1N1).
Après avoir réorganisé le dispositif médical en y faisant entrer la médecine de ville le 23 juillet dernier, les autorités mettent au point des « plans de continuité d’activité » (PCA). Ces derniers s’appliqueront dans l’administration et les entreprises. Objectif, éviter la désorganisation du pays.
« Nous avons commencé à sensibiliser les services de l’Etat à la notion de plan de continuité » précise Patrick Lapouze, directeur de cabinet du Préfet de Loire-Atlantique. « Tout devrait être prêt à la fin du mois de septembre. Il s’agit d’organiser la polyvalence des agents de l’Etat pour pallier une élévation de l’absentéisme » dû à la grippe.
« Priorité a été donnée aux services de santé, de secours et de sécurité. Pour chaque poste, une fiche explicative rappelle les tâches à accomplir. Le fonctionnaire remplaçant saura ainsi que faire » poursuit Patrick Lapouze.
Cette préparation active est également de rigueur dans le secteur privé, subdivisé en deux catégories : les entreprises vitales (celles chargées de la distribution de l’eau et de l’élimination des déchets par exemple) et toutes les autres. Les premières sont en contact étroit avec les Directions départementales des Affaires sanitaires et sociales (DDASS) « pour coordonner au maximum les actions » précise Françoise Jubault, directrice adjointe à la DDASS de Loire-Atlantique.
Plus de 1 000 morts à l’échelle mondiale
Les autres et notamment les PME, ne sont pas oubliées. Le gouvernement a récemment adressé des courriers à l’Assemblée des Chambres françaises de Commerce et d’Industrie (ACFCI). Cette dernière a ainsi élaboré un document méthodologique récapitulatif destiné aux entreprises. Il porte toutes les informations utiles: définition de la nouvelle grippe, modèles d’affichage des mesures de prévention sanitaire, check-list de préparation et calendrier de déclenchement d’un PCA …
« L’ensemble de ces mesures est soumis à une montée en puissance progressive, en lien avec la situation épidémiologique réelle qui prévaudra dans le pays » rassure Patrick Lapouze.
Quoi qu’il en soit, les autorités scrutent le moindre mouvement du nouveau virus grippal. Un signe ne trompe pas : les médecins vigies des Groupes régionaux d’Observation de la Grippe (GROG) procèdent à des prélèvements rhino-pharyngés systématiques chez tous les consultants pour symptômes évocateurs de la grippe. Cette surveillance est normalement active en hiver, d’octobre à avril. Mais face à la situation de pandémie -dont le bilan s’établit désormais à 162 380 cas dont 1 154 mortels selon l’OMS- la veille a été réactivée en plein été…
Soulignons enfin que le réseau spécialisé InfoVac en Suisse, vient de mettre en ligne 2 pages spéciales sur la pandémie. La première est consacrée à la grippe H1N1/09comme l’appellent nos voisins. La seconde traite de la question des vaccins. Une information précise, concise et fouillée…
Source : InVS, Groupes régionaux d’Observation de la Grippe (GROG), 30 juillet 2009
En pleine période estivale le gouvernement français prépare activement la rentrée… de la grippe A (H1N1).
Après avoir réorganisé le dispositif médical en y faisant entrer la médecine de ville le 23 juillet dernier, les autorités mettent au point des « plans de continuité d’activité » (PCA). Ces derniers s’appliqueront dans l’administration et les entreprises. Objectif, éviter la désorganisation du pays.
« Nous avons commencé à sensibiliser les services de l’Etat à la notion de plan de continuité » précise Patrick Lapouze, directeur de cabinet du Préfet de Loire-Atlantique. « Tout devrait être prêt à la fin du mois de septembre. Il s’agit d’organiser la polyvalence des agents de l’Etat pour pallier une élévation de l’absentéisme » dû à la grippe.
« Priorité a été donnée aux services de santé, de secours et de sécurité. Pour chaque poste, une fiche explicative rappelle les tâches à accomplir. Le fonctionnaire remplaçant saura ainsi que faire » poursuit Patrick Lapouze.
Cette préparation active est également de rigueur dans le secteur privé, subdivisé en deux catégories : les entreprises vitales (celles chargées de la distribution de l’eau et de l’élimination des déchets par exemple) et toutes les autres. Les premières sont en contact étroit avec les Directions départementales des Affaires sanitaires et sociales (DDASS) « pour coordonner au maximum les actions » précise Françoise Jubault, directrice adjointe à la DDASS de Loire-Atlantique.
Plus de 1 000 morts à l’échelle mondiale
Les autres et notamment les PME, ne sont pas oubliées. Le gouvernement a récemment adressé des courriers à l’Assemblée des Chambres françaises de Commerce et d’Industrie (ACFCI). Cette dernière a ainsi élaboré un document méthodologique récapitulatif destiné aux entreprises. Il porte toutes les informations utiles: définition de la nouvelle grippe, modèles d’affichage des mesures de prévention sanitaire, check-list de préparation et calendrier de déclenchement d’un PCA …
« L’ensemble de ces mesures est soumis à une montée en puissance progressive, en lien avec la situation épidémiologique réelle qui prévaudra dans le pays » rassure Patrick Lapouze.
Quoi qu’il en soit, les autorités scrutent le moindre mouvement du nouveau virus grippal. Un signe ne trompe pas : les médecins vigies des Groupes régionaux d’Observation de la Grippe (GROG) procèdent à des prélèvements rhino-pharyngés systématiques chez tous les consultants pour symptômes évocateurs de la grippe. Cette surveillance est normalement active en hiver, d’octobre à avril. Mais face à la situation de pandémie -dont le bilan s’établit désormais à 162 380 cas dont 1 154 mortels selon l’OMS- la veille a été réactivée en plein été…
Soulignons enfin que le réseau spécialisé InfoVac en Suisse, vient de mettre en ligne 2 pages spéciales sur la pandémie. La première est consacrée à la grippe H1N1/09comme l’appellent nos voisins. La seconde traite de la question des vaccins. Une information précise, concise et fouillée…
Source : InVS, Groupes régionaux d’Observation de la Grippe (GROG), 30 juillet 2009
Carpe Diem
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nouveau variant du VIH
Une équipe de virologues français a identifié un nouveau variant du VIH de type 1, virus à l'origine de la majorité des cas de sida, génétiquement très proche du virus d'immunodéficience simien SIVgor découvert récemment chez le gorille. Le nouveau variant a été identifié chez une patiente originaire du Cameroun qui présentait un profil rare. Celle-ci «va bien», disent les chercheurs, mais son cas montre l'existence de ce «prototype» de virus. «La découverte de cette nouvelle lignée met en lumière la nécessité de surveiller de près l'émergence de nouveaux variants du VIH, particulièrement en Afrique centrale, à l'origine de tous les groupes du type VIH-1», souligne l'équipe de Jean-Christophe Plantier (Centre hospitalier de Rouen) qui est à l'origine de ces travaux dont elle a publié les résultats dimanche dans Nature Medicine.
┣▇▇▇═─ Infirmière aux urgences/SMUR !
Re: Actualités 2009
Une deuxième journée de solidarité ?
L’ancien ministre de la Santé et des Solidarités Philippe Bas a émis l'idée de prendre en charge, par une deuxième journée de solidarité, le "cinquième risque", celui de la dépendance des personnes âgées et du handicap. "Dans notre pays, quand on est malade, on a un bon système de santé. Mais quand on est dépendant, handicapé ou frappé par les maladies du grand âge, on a un système qui est complexe et inabouti" a déclaré jeudi Philippe Bas sur Europe 1.
Philippe Bas a participé à la mise en œuvre en 2004 de la première journée de solidarité.La première journée de solidarité, qui correspondait à l’origine au lundi de Pentecôte et a depuis été adaptée au cas par cas, permet de récolter 2,2 milliards d’euros par an.
Le Figaro
L’ancien ministre de la Santé et des Solidarités Philippe Bas a émis l'idée de prendre en charge, par une deuxième journée de solidarité, le "cinquième risque", celui de la dépendance des personnes âgées et du handicap. "Dans notre pays, quand on est malade, on a un bon système de santé. Mais quand on est dépendant, handicapé ou frappé par les maladies du grand âge, on a un système qui est complexe et inabouti" a déclaré jeudi Philippe Bas sur Europe 1.
Philippe Bas a participé à la mise en œuvre en 2004 de la première journée de solidarité.La première journée de solidarité, qui correspondait à l’origine au lundi de Pentecôte et a depuis été adaptée au cas par cas, permet de récolter 2,2 milliards d’euros par an.
Le Figaro
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Re: Actualités 2009
Peste pulmonaire: un chien soupçonné dans les cas mortels en Chine
Un chien est soupçonné d'être à l'origine d'une épidémie de peste pulmonaire qui a fait trois morts dans le nord-ouest de la Chine, ont rapporté jeudi les médias chinois.
Selon le directeur du Bureau de contrôle des épidémies de la province du Qinghai, Wang Hu, cité par les médias chinois, les premiers test effectués ont montré que le chien mort du premier cas mortel -- un berger de 32 ans -- serait sûrement la cause de l'épidémie.
Le chien serait décédé après avoir mangé une marmotte infectée, a-t-il expliqué.
"La première victime a enterré le chien sans aucune protection. Après avoir été contaminé, l'homme a été en contact avec ses proches et ses voisins sans qu'aucune mesure de protection ne soit prise, ce qui a conduit à leur contamination", a déclaré M. Wang.
Trois personnes sont mortes dans la ville de Ziketan, peuplée de 10.000 habitants, qui a été placée sous stricte quarantaine. Selon le ministère chinois de la Santé, l'épidémie est sous contrôle et aucun cas nouveau n'a été constaté. Cette région reculée et montagneuse est peu peuplée, ce qui aide au travail de prévention.
Des habitants de Ziketan contactés par l'AFP mercredi ont indiqué que certains avaient tenté de fuir, mais n'ont pas pu dire s'ils avaient réussi à sortir de la zone de quarantaine.
La peste pulmonaire est la forme la plus virulente de la maladie, mais aussi la moins fréquente. Un traitement par antibiotiques est efficace si le diagnostic est posé à temps.
Un chien est soupçonné d'être à l'origine d'une épidémie de peste pulmonaire qui a fait trois morts dans le nord-ouest de la Chine, ont rapporté jeudi les médias chinois.
Selon le directeur du Bureau de contrôle des épidémies de la province du Qinghai, Wang Hu, cité par les médias chinois, les premiers test effectués ont montré que le chien mort du premier cas mortel -- un berger de 32 ans -- serait sûrement la cause de l'épidémie.
Le chien serait décédé après avoir mangé une marmotte infectée, a-t-il expliqué.
"La première victime a enterré le chien sans aucune protection. Après avoir été contaminé, l'homme a été en contact avec ses proches et ses voisins sans qu'aucune mesure de protection ne soit prise, ce qui a conduit à leur contamination", a déclaré M. Wang.
Trois personnes sont mortes dans la ville de Ziketan, peuplée de 10.000 habitants, qui a été placée sous stricte quarantaine. Selon le ministère chinois de la Santé, l'épidémie est sous contrôle et aucun cas nouveau n'a été constaté. Cette région reculée et montagneuse est peu peuplée, ce qui aide au travail de prévention.
Des habitants de Ziketan contactés par l'AFP mercredi ont indiqué que certains avaient tenté de fuir, mais n'ont pas pu dire s'ils avaient réussi à sortir de la zone de quarantaine.
La peste pulmonaire est la forme la plus virulente de la maladie, mais aussi la moins fréquente. Un traitement par antibiotiques est efficace si le diagnostic est posé à temps.
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Re: Actualités 2009
Alimentation : Le bisphénol A qualifié d’ " arme de destruction massive"
De plus en plus d’études scientifiques suggèrent que le bisphénol A, substance chimique de synthèse présentes dans de nombreux produits plastiques, fait courir un risque sérieux pour la santé humaine. L’ONG française Antidote Europe, composée de chercheurs du CNRS, qualifie le bisphénol A de véritable " arme de destruction massive" et réclame une interdiction de son utilisation dans les biberons par principe de précaution. Le bisphénol A, omniprésent dans notre maison ( canalisations, bouteilles en plastique, biberons, emballages plastique) fait en effet courir principalement des risques pour le foetus et les nourissons.
Le point sur les différentes études réalisées.
Ce biberon en polycarbonate est fabriqué à partir de Bisphénol A : une substance chimique dont on risque d’entendre parler de plus en plus et pour longtemps. Pour notre malheur, le Bisphenol A est omniprésent dans notre maison, dans les placards à provisions, dans l’eau du robinet (canalisations en PVC « plastifié » par le BPA) ou les boissons en bouteille (récipients portant le label « PC », « 7 » ou « 3 »), dans les aliments sur notre table (barquettes, boites de conserves tapissées de polycarbonate)… Il s’installe insidieusement dans les corps des hommes, des femmes, des enfants sans oublier les bébés et les fœtus.
Aujourd’hui, la quasi-totalité de la population est contaminée par le Bisphenol A à son insu (on peut le détecter dans le sang ou les urines)1-6. Ce n’est pas un poison violent, il ne foudroie pas ses victimes, qui dans un premier temps n’éprouvent pas de gène et ne souffrent d’aucune maladie. Et pourtant...
Bisphénol A : où en est-on ?
Le 10 juin 2009, le député PS Gérard Bapt (président du groupe d’étude sur la santé environnementale) demande au gouvernement de reconsidérer le dossier sur le Bisphenol A (BPA)7. Il se base sur la position de l’agence américaine de l’alimentation (Food and Drug Administration), sur la prise de mesure de précautions de certains gouvernements et sur plusieurs études montrant l’influence du Bisphenol A sur l’organisme à des doses inférieures aux doses permises à l’heure actuelle.
D’abord ignorée, cette demande est finalement entendue et Chantal Jouanno, secrétaire d’Etat à l’écologie, a demandé à l’AFSSA de reprendre l’expertise sur les effets du Bisphenol A.
Malgré la nécessité d’une nouvelle étude menée par l’ensemble des autorités sanitaires sur l’importance de la pollution de l’environnement santé par le BPA, les conditions d’exposition de la population doivent d’ores et déjà êtres révisées. Les rapports scientifiques démontrant les risques liés à l’exposition au Bisphenol A existent déjà et des mesures peuvent et doivent être prises dès aujourd’hui.
Où se cache le bisphénol A ?
Le BPA n’existe pas dans la nature. C’est une substance chimique fabriquée facilement (phénol + acétone). L’une des plus produites au monde : 3 milliards de kilos par an... soit environ 500g par habitant de la planète, en moyenne !
Il est utilisé pour la production de plastiques, eux-mêmes utilisés pour fabriquer certaines bouteilles destinées à contenir nos boissons, le revêtement intérieur de certaines boîtes de conserve métalliques... et la majorité des biberons !
En contact avec l’eau ou les aliments que ces récipients contiennent, le Bisphenol A s’extrait du plastique pour se mêler au contenu. Il se dissout plus rapidement dans l’eau chaude que froide, et encore mieux dans l’huile ou les graisses. Du lait qui chauffe dans le biberon ? Une aubaine ! Le lait tiède est un support idéal pour transférer le Bisphénol A dans l’organisme du bébé.
Si la substance passe dans l’organisme , c’est grave docteur ?
Dans le monde scientifique, beaucoup le craignent.
On observe que des cellules humaines en culture (maintenues vivantes hors du corps) et exposées au BPA se révoltent. Les outils dont nos cellules disposent pour résister au stress, pour éviter de devenir cancéreuses, pour bien communiquer avec leurs voisines deviennent inopérants.
Des personnes présentant des taux élevés de bisphénol A sont aussi plus souvent sujettes à des maladies cardio-vasculaires, au diabète, à un dysfonctionnement du foie… Un voisin redoutable : le diéthyl stilbestrol
Le diéthyl stilbestrol (DES) a été à l’origine de l’une des plus graves catastrophes médicamenteuses du XXème siècle. Prescrit a des femmes enceintes, on ne s’apercevra que trente ans plus tard qu’il a provoqué des malformations génitales, des cancers, des problèmes pour concevoir et pour mener une grossesse à terme chez les filles et chez les petites-filles de ces femmes. Ces enfants « DES » qui n’avaient été en contact avec le diéthyl stilbestrol que dans le ventre de leur mère, en ont pourtant été perturbés pendant toute leur vie. Une vraie bombe à retardement !
Le DES a une structure très voisine du Bisphénol A, ce qui signifie que ces deux substances ont très probablement des activités biologiques très voisines aussi. Le bisphénol A aurait-il des effets similaires à ceux du diéthyl stilbestrol ? Contribuerait-il à augmenter le nombre de cas de certains cancers ? à faire diminuer la fertilité des couples ? à induire des maladies neurologiques graves ? Se révèlera-t-il avoir été une bombe à retardement dans trente ans ?
Un doute qui dérange
Il y a plus de 50 ans, les experts officiels n’ont rien trouvé à redire à propos du DES. 30 ans plus tard, les premières victimes sont apparues et sont chaque jour plus nombreuses. Aujourd’hui, les experts officiels, ceux de nos agences de sécurité sanitaire, ne trouvent rien à signaler non plus au sujet du Bisphenol A. Cependant la situation est différente car la voix d’autres experts nous parvient et les conclusions de leurs études respectives sont alarmantes.
Alors qui croire ? Nos experts officiels, chaque jour plus contestés par les rapports publiés au sujet du BPA ? Ou alors les experts indépendants, désintéressés, dont les rapports font foi et ont déjà convaincu des villes, des capitales et même des gouvernements à prendre des mesures concrètes pour enrayer l’exposition de la population au Bisphenol A ?
Mais alors que faire ?
Ne pas se résigner.
D’abord, s’informer. Des scientifiques indépendants et désintéressés proposent une expertise impartiale, valable pour l’homme. Ils en ont informé, et continuent à en informer, les autorités françaises16, européennes20, américaines21.
Ce sont par exemple ceux qui oeuvrent dans Antidote Europe, qui refusent de prendre en considération les nombreuses données des effets du Bisphénol A sur des animaux. Ils savent en effet que ces données n’ont pas de valeur pour l’homme et peuvent gravement induire en erreur, car il est prouvé qu’aucune espèce n’est un modèle biologique fiable pour une autre.
Se méfier des déclarations rassurantes sur le Bisphénol A quand elles émanent d’organes qui ont des intérêts économiques directs liés à cette substance, ou qui sont sous influence plus ou moins occulte de ces intérêts.
Agir
Informer ses proches. Diffuser le spot qui vous a fait vous poser toutes ces questions, diffuser l’adresse de ce site et signer la pétition.
Appliquer le principe de précaution : utiliser des biberons en verre, ne jamais consommer un aliment ou boire une boisson qui a séjourné dans un récipient en plastique (barquette, bouteille, boîte de conserve tapissée de plastique…) exposé au soleil, éviter de chauffer les aliments dans leur emballage, préférer les boissons en bouteille de verre, retrouver le goût de faire la cuisine à partir d’aliments frais plutôt qu’à partir de conserves...
Intervenir auprès des responsables de crèches (municipales en particulier), des cantines scolaires ou du lieu de travail, pour attirer leur attention sur les risques du Bisphénol A.
Faire part de vos réserves concernant le Bisphénol A dans les emballages aux responsables de vos commerces d’approvisionnement alimentaire.
Demander à vos élus locaux, départementaux, régionaux ou nationaux d’intervenir auprès des autorités pour mettre sans délai les enfants et les femmes enceintes à l’abri de cette substance, en attendant d’en protéger toute la population.
Ecrire au Ministre de la Santé, de la Consommation, de l’Environnement dans le même but49.
Demander au Ministre de la Recherche de lancer une étude sérieuse sur les effets biologiques du Bisphénol A chez l’homme. Les outils et méthodes modernes à cette fin ne manquent pas (toxicogénomique par exemple).
La guerre de tranchée des « pour » et des « contre » le Bisphénol A ne cessera que quand des données scientifiques indiscutables, fiables et reproductibles seront à disposition, c’est-à-dire obtenues sur du matériel biologique d’origine humaine ou par étude épidémiologique, et non pas sur des « modèles animaux ». Il est en effet démontré rigoureusement qu’aucune espèce n’est un modèle biologique fiable pour une autre, même très proche en termes d’évolution 50
Carevox - Antidote Europe
De plus en plus d’études scientifiques suggèrent que le bisphénol A, substance chimique de synthèse présentes dans de nombreux produits plastiques, fait courir un risque sérieux pour la santé humaine. L’ONG française Antidote Europe, composée de chercheurs du CNRS, qualifie le bisphénol A de véritable " arme de destruction massive" et réclame une interdiction de son utilisation dans les biberons par principe de précaution. Le bisphénol A, omniprésent dans notre maison ( canalisations, bouteilles en plastique, biberons, emballages plastique) fait en effet courir principalement des risques pour le foetus et les nourissons.
Le point sur les différentes études réalisées.
Ce biberon en polycarbonate est fabriqué à partir de Bisphénol A : une substance chimique dont on risque d’entendre parler de plus en plus et pour longtemps. Pour notre malheur, le Bisphenol A est omniprésent dans notre maison, dans les placards à provisions, dans l’eau du robinet (canalisations en PVC « plastifié » par le BPA) ou les boissons en bouteille (récipients portant le label « PC », « 7 » ou « 3 »), dans les aliments sur notre table (barquettes, boites de conserves tapissées de polycarbonate)… Il s’installe insidieusement dans les corps des hommes, des femmes, des enfants sans oublier les bébés et les fœtus.
Aujourd’hui, la quasi-totalité de la population est contaminée par le Bisphenol A à son insu (on peut le détecter dans le sang ou les urines)1-6. Ce n’est pas un poison violent, il ne foudroie pas ses victimes, qui dans un premier temps n’éprouvent pas de gène et ne souffrent d’aucune maladie. Et pourtant...
Bisphénol A : où en est-on ?
Le 10 juin 2009, le député PS Gérard Bapt (président du groupe d’étude sur la santé environnementale) demande au gouvernement de reconsidérer le dossier sur le Bisphenol A (BPA)7. Il se base sur la position de l’agence américaine de l’alimentation (Food and Drug Administration), sur la prise de mesure de précautions de certains gouvernements et sur plusieurs études montrant l’influence du Bisphenol A sur l’organisme à des doses inférieures aux doses permises à l’heure actuelle.
D’abord ignorée, cette demande est finalement entendue et Chantal Jouanno, secrétaire d’Etat à l’écologie, a demandé à l’AFSSA de reprendre l’expertise sur les effets du Bisphenol A.
Malgré la nécessité d’une nouvelle étude menée par l’ensemble des autorités sanitaires sur l’importance de la pollution de l’environnement santé par le BPA, les conditions d’exposition de la population doivent d’ores et déjà êtres révisées. Les rapports scientifiques démontrant les risques liés à l’exposition au Bisphenol A existent déjà et des mesures peuvent et doivent être prises dès aujourd’hui.
Où se cache le bisphénol A ?
Le BPA n’existe pas dans la nature. C’est une substance chimique fabriquée facilement (phénol + acétone). L’une des plus produites au monde : 3 milliards de kilos par an... soit environ 500g par habitant de la planète, en moyenne !
Il est utilisé pour la production de plastiques, eux-mêmes utilisés pour fabriquer certaines bouteilles destinées à contenir nos boissons, le revêtement intérieur de certaines boîtes de conserve métalliques... et la majorité des biberons !
En contact avec l’eau ou les aliments que ces récipients contiennent, le Bisphenol A s’extrait du plastique pour se mêler au contenu. Il se dissout plus rapidement dans l’eau chaude que froide, et encore mieux dans l’huile ou les graisses. Du lait qui chauffe dans le biberon ? Une aubaine ! Le lait tiède est un support idéal pour transférer le Bisphénol A dans l’organisme du bébé.
Si la substance passe dans l’organisme , c’est grave docteur ?
Dans le monde scientifique, beaucoup le craignent.
On observe que des cellules humaines en culture (maintenues vivantes hors du corps) et exposées au BPA se révoltent. Les outils dont nos cellules disposent pour résister au stress, pour éviter de devenir cancéreuses, pour bien communiquer avec leurs voisines deviennent inopérants.
Des personnes présentant des taux élevés de bisphénol A sont aussi plus souvent sujettes à des maladies cardio-vasculaires, au diabète, à un dysfonctionnement du foie… Un voisin redoutable : le diéthyl stilbestrol
Le diéthyl stilbestrol (DES) a été à l’origine de l’une des plus graves catastrophes médicamenteuses du XXème siècle. Prescrit a des femmes enceintes, on ne s’apercevra que trente ans plus tard qu’il a provoqué des malformations génitales, des cancers, des problèmes pour concevoir et pour mener une grossesse à terme chez les filles et chez les petites-filles de ces femmes. Ces enfants « DES » qui n’avaient été en contact avec le diéthyl stilbestrol que dans le ventre de leur mère, en ont pourtant été perturbés pendant toute leur vie. Une vraie bombe à retardement !
Le DES a une structure très voisine du Bisphénol A, ce qui signifie que ces deux substances ont très probablement des activités biologiques très voisines aussi. Le bisphénol A aurait-il des effets similaires à ceux du diéthyl stilbestrol ? Contribuerait-il à augmenter le nombre de cas de certains cancers ? à faire diminuer la fertilité des couples ? à induire des maladies neurologiques graves ? Se révèlera-t-il avoir été une bombe à retardement dans trente ans ?
Un doute qui dérange
Il y a plus de 50 ans, les experts officiels n’ont rien trouvé à redire à propos du DES. 30 ans plus tard, les premières victimes sont apparues et sont chaque jour plus nombreuses. Aujourd’hui, les experts officiels, ceux de nos agences de sécurité sanitaire, ne trouvent rien à signaler non plus au sujet du Bisphenol A. Cependant la situation est différente car la voix d’autres experts nous parvient et les conclusions de leurs études respectives sont alarmantes.
Alors qui croire ? Nos experts officiels, chaque jour plus contestés par les rapports publiés au sujet du BPA ? Ou alors les experts indépendants, désintéressés, dont les rapports font foi et ont déjà convaincu des villes, des capitales et même des gouvernements à prendre des mesures concrètes pour enrayer l’exposition de la population au Bisphenol A ?
Mais alors que faire ?
Ne pas se résigner.

Ce sont par exemple ceux qui oeuvrent dans Antidote Europe, qui refusent de prendre en considération les nombreuses données des effets du Bisphénol A sur des animaux. Ils savent en effet que ces données n’ont pas de valeur pour l’homme et peuvent gravement induire en erreur, car il est prouvé qu’aucune espèce n’est un modèle biologique fiable pour une autre.

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La guerre de tranchée des « pour » et des « contre » le Bisphénol A ne cessera que quand des données scientifiques indiscutables, fiables et reproductibles seront à disposition, c’est-à-dire obtenues sur du matériel biologique d’origine humaine ou par étude épidémiologique, et non pas sur des « modèles animaux ». Il est en effet démontré rigoureusement qu’aucune espèce n’est un modèle biologique fiable pour une autre, même très proche en termes d’évolution 50
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Carpe Diem
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Re: Actualités 2009
Un site pour aborder la question de l’alcool avec vos enfants
Pour aider les parents à se prémunir d’éventuelles situations de risque liées à la consommation d’alcool de leurs ados, l’Association Entreprise et Prévention lance un nouveau site internet : http://www.alcooletparents.com. Une initiative plutôt réussie…
Quand et comment en parler à mon enfant ? Comment l’aider à résister à la pression de ses amis ? Comment réagir si mon fils de 16 ans revient ivre d’une soirée ? Autant de questions générales ou au contraire bien spécifiques, auxquelles le site propose des éléments de réponse.
On y trouve également des informations sur les effets des substances psycho-actives chez les jeunes. Les parents peuvent aussi échanger leurs expériences à travers un forum, et poser directement leurs questions à des médecins dans le cadre de la rubrique « Rendez-vous de l’expert ».
Source : Entreprise et Prévention, juillet 2009
Pour aider les parents à se prémunir d’éventuelles situations de risque liées à la consommation d’alcool de leurs ados, l’Association Entreprise et Prévention lance un nouveau site internet : http://www.alcooletparents.com. Une initiative plutôt réussie…
Quand et comment en parler à mon enfant ? Comment l’aider à résister à la pression de ses amis ? Comment réagir si mon fils de 16 ans revient ivre d’une soirée ? Autant de questions générales ou au contraire bien spécifiques, auxquelles le site propose des éléments de réponse.
On y trouve également des informations sur les effets des substances psycho-actives chez les jeunes. Les parents peuvent aussi échanger leurs expériences à travers un forum, et poser directement leurs questions à des médecins dans le cadre de la rubrique « Rendez-vous de l’expert ».
Source : Entreprise et Prévention, juillet 2009
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Re: Actualités 2009
Un composant du raisin aurait des vertus anti-inflammatoires
Des expériences sur des souris ont montré que le resvératrol pouvait empêcher des septicémies.
Le vin rouge continue de passionner toutes sortes de scientifiques. Et une nouvelle étude met en lumière de nouveaux bienfaits de certains des composants du vin rouge qui pourraient contribuer à son effet bénéfique pour la santé lors d'une consommation modérée. Des chercheurs d'Écosse et de Singapour se sont intéressés aux propriétés anti-inflammatoires d'une molécule dont le vin est riche, le resvératrol (The Faseb Journal, août 2009). Et ils ont pu montrer, sur des souris de laboratoire, que ses propriétés anti-inflammatoires étaient réelles, et trouver une explication.
Le resvératrol est un hydrocarbure aromatique (polyphénol de la classe des stilbènes) produit par les plantes dans le cadre de leur défense contre leurs agents pathogènes, insectes ou micro-organismes. Le raisin, les mûres ou les cacahuètes en produisent de bonnes quantités. Tout comme certains arbres, pins ou eucalyptus. Et au début des années 1990, des études tendirent à montrer qu'il était l'agent responsable de l'alimentaire French paradox, étant associé à une moindre sensibilité aux maladies cardiovasculaires. D'autres qualités lui sont également attribuées, à tort ou à raison.
Propriétés anti-inflammatoires
Aujourd'hui, ce sont ses propriétés anti-inflammatoires qui sont mises en avant. Les chercheurs ont pris deux groupes de souris. Aux premières, ils ont administré du resvératrol. Aux secondes, rien. Puis les deux groupes ont eu le droit à des injections de puissants agents inflammatoires capables de déclencher des septicémies pouvant entraîner la mort.
Les souris ayant reçu le resvératrol ont continué à se porter comme des charmes tandis que celles qui ne l'avaient pas reçu ont développé de forts symptômes inflammatoires. Et les chercheurs ont pu montrer que le resvératrol agissait en empêchant la formation de deux enzymes jouant un rôle essentiel dans les processus inflammatoires. Bien que très préliminaires, ces résultats pourraient ouvrir la voie à des traitements plus efficaces contre les infections. «L'objectif de notre étude, explique ainsi Alirio Alendez, de l'université de Glasgow, était effectivement d'identifier une piste de thérapie pour aider aux traitements des maladies inflammatoires sévères.» Il faut maintenant concrétiser tout cela par des travaux sur l'homme.
Des expériences sur des souris ont montré que le resvératrol pouvait empêcher des septicémies.
Le vin rouge continue de passionner toutes sortes de scientifiques. Et une nouvelle étude met en lumière de nouveaux bienfaits de certains des composants du vin rouge qui pourraient contribuer à son effet bénéfique pour la santé lors d'une consommation modérée. Des chercheurs d'Écosse et de Singapour se sont intéressés aux propriétés anti-inflammatoires d'une molécule dont le vin est riche, le resvératrol (The Faseb Journal, août 2009). Et ils ont pu montrer, sur des souris de laboratoire, que ses propriétés anti-inflammatoires étaient réelles, et trouver une explication.
Le resvératrol est un hydrocarbure aromatique (polyphénol de la classe des stilbènes) produit par les plantes dans le cadre de leur défense contre leurs agents pathogènes, insectes ou micro-organismes. Le raisin, les mûres ou les cacahuètes en produisent de bonnes quantités. Tout comme certains arbres, pins ou eucalyptus. Et au début des années 1990, des études tendirent à montrer qu'il était l'agent responsable de l'alimentaire French paradox, étant associé à une moindre sensibilité aux maladies cardiovasculaires. D'autres qualités lui sont également attribuées, à tort ou à raison.
Propriétés anti-inflammatoires
Aujourd'hui, ce sont ses propriétés anti-inflammatoires qui sont mises en avant. Les chercheurs ont pris deux groupes de souris. Aux premières, ils ont administré du resvératrol. Aux secondes, rien. Puis les deux groupes ont eu le droit à des injections de puissants agents inflammatoires capables de déclencher des septicémies pouvant entraîner la mort.
Les souris ayant reçu le resvératrol ont continué à se porter comme des charmes tandis que celles qui ne l'avaient pas reçu ont développé de forts symptômes inflammatoires. Et les chercheurs ont pu montrer que le resvératrol agissait en empêchant la formation de deux enzymes jouant un rôle essentiel dans les processus inflammatoires. Bien que très préliminaires, ces résultats pourraient ouvrir la voie à des traitements plus efficaces contre les infections. «L'objectif de notre étude, explique ainsi Alirio Alendez, de l'université de Glasgow, était effectivement d'identifier une piste de thérapie pour aider aux traitements des maladies inflammatoires sévères.» Il faut maintenant concrétiser tout cela par des travaux sur l'homme.
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Re: Actualités 2009
A faible dose, le vin pourrait protéger contre Alzheimer
Selon une étude récente, un ou deux verres quotidiens réduisent les possibilités de voir la maladie apparaître chez les personnes âgées. En revanche, les gros buveurs multiplient les risques par deux.
En matière d'alcool, jamais rien ne semble définitif et idéal. Alors que la brochure de l'Institut national du cancer (Inca) indiquait il y a quelques mois que la consommation quotidienne d'un seul verre de vin augmentait un peu le risque de cancer, une nouvelle étude présentée en début de semaine insiste sur le fait que cette même consommation modérée réduit la probabilité d'être victime de la maladie d'Alzheimer.
Cette dernière publication, présentée lors d'un congrès d'experts à Vienne, en Autriche, consacré à cette maladie neurodégénérative, s'appuie sur une enquête menée auprès de 3 079 sujets âgés de 75 ans et plus. Ces personnes ont été observées pendant six ans et ont été priées de noter précisément leur consommation d'alcool. Puis elles ont été réparties en quatre catégories : nul alcool, entre un et sept verres d'alcool par semaine, huit à quatorze verres et plus de quatorze verres consommés sur la même période, selon Kaycee Sink, l'un des auteurs de l'étude effectuée par l'université américaine Wake Forest de Winston-Salem en Caroline du Nord. Après examen des patients tous les six mois, il est apparu que parmi les personnes qui se limitaient à un ou deux verres d'alcool, surtout du vin, par jour, le risque d'être atteint de la maladie d'Alzheimer était réduit de 37 %.
En revanche, parmi les personnes présentant déjà des troubles mineurs de la mémoire et qui ont consommé plus de 14 verres par semaine, le risque d'Alzheimer était jusqu'à deux fois plus élevé que parmi les personnes s'abstenant de boire quelque alcool que ce soit.
Un «choix» cornélien
Dans un rapport édité en 2007 qui collationnait un grand nombre de travaux effectués dans le monde entier, l'Inca concluait qu'en «l'absence de dose sans effet, la consommation régulière d'alcool n'est pas conseillée. L'augmentation du risque est significative même pour une consommation d'alcool modérée avec un risque d'autant plus élevé que la consommation l'est». Cette notion avait déclenché un tollé chez les alcooliers et les viticulteurs bien sûr, mais aussi chez certains médecins affirmant que les faibles consommations d'alcool sont bénéfiques, en particulier contre les maladies cardiovasculaires. Le Pr Dominique Marininchi, directeur général de l'Inca, avait cherché à désamorcer la polémique : «Nous avons voulu donner une information. Et dire qu'en matière d'alcool, le seuil de consommation sans risque, c'est-à-dire celui où l'on n'observe pas d'effet néfaste en termes de cancer, est très faible. Notre propos n'est pas d'interdire quoi que ce soit, mais d'informer.» Au fond, toute la question est de savoir si nous voulons une vie avec un risque zéro : car la consommation modérée d'alcool a également d'autres bienfaits personnels (se sentir bien) et pluriels (faciliter la vie sociale).
À Vienne, on rappelle qu'avec l'accroissement de l'espérance de vie, quelque seize millions de personnes seront atteintes de la maladie d'Alzheimer en Europe en 2050 contre sept millions recensées en 2000. Être atteint d'un cancer ou perdre la tête : un «choix» cornélien.
Selon une étude récente, un ou deux verres quotidiens réduisent les possibilités de voir la maladie apparaître chez les personnes âgées. En revanche, les gros buveurs multiplient les risques par deux.
En matière d'alcool, jamais rien ne semble définitif et idéal. Alors que la brochure de l'Institut national du cancer (Inca) indiquait il y a quelques mois que la consommation quotidienne d'un seul verre de vin augmentait un peu le risque de cancer, une nouvelle étude présentée en début de semaine insiste sur le fait que cette même consommation modérée réduit la probabilité d'être victime de la maladie d'Alzheimer.
Cette dernière publication, présentée lors d'un congrès d'experts à Vienne, en Autriche, consacré à cette maladie neurodégénérative, s'appuie sur une enquête menée auprès de 3 079 sujets âgés de 75 ans et plus. Ces personnes ont été observées pendant six ans et ont été priées de noter précisément leur consommation d'alcool. Puis elles ont été réparties en quatre catégories : nul alcool, entre un et sept verres d'alcool par semaine, huit à quatorze verres et plus de quatorze verres consommés sur la même période, selon Kaycee Sink, l'un des auteurs de l'étude effectuée par l'université américaine Wake Forest de Winston-Salem en Caroline du Nord. Après examen des patients tous les six mois, il est apparu que parmi les personnes qui se limitaient à un ou deux verres d'alcool, surtout du vin, par jour, le risque d'être atteint de la maladie d'Alzheimer était réduit de 37 %.
En revanche, parmi les personnes présentant déjà des troubles mineurs de la mémoire et qui ont consommé plus de 14 verres par semaine, le risque d'Alzheimer était jusqu'à deux fois plus élevé que parmi les personnes s'abstenant de boire quelque alcool que ce soit.
Un «choix» cornélien
Dans un rapport édité en 2007 qui collationnait un grand nombre de travaux effectués dans le monde entier, l'Inca concluait qu'en «l'absence de dose sans effet, la consommation régulière d'alcool n'est pas conseillée. L'augmentation du risque est significative même pour une consommation d'alcool modérée avec un risque d'autant plus élevé que la consommation l'est». Cette notion avait déclenché un tollé chez les alcooliers et les viticulteurs bien sûr, mais aussi chez certains médecins affirmant que les faibles consommations d'alcool sont bénéfiques, en particulier contre les maladies cardiovasculaires. Le Pr Dominique Marininchi, directeur général de l'Inca, avait cherché à désamorcer la polémique : «Nous avons voulu donner une information. Et dire qu'en matière d'alcool, le seuil de consommation sans risque, c'est-à-dire celui où l'on n'observe pas d'effet néfaste en termes de cancer, est très faible. Notre propos n'est pas d'interdire quoi que ce soit, mais d'informer.» Au fond, toute la question est de savoir si nous voulons une vie avec un risque zéro : car la consommation modérée d'alcool a également d'autres bienfaits personnels (se sentir bien) et pluriels (faciliter la vie sociale).
À Vienne, on rappelle qu'avec l'accroissement de l'espérance de vie, quelque seize millions de personnes seront atteintes de la maladie d'Alzheimer en Europe en 2050 contre sept millions recensées en 2000. Être atteint d'un cancer ou perdre la tête : un «choix» cornélien.
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