blague
Modérateur : Modérateurs
> Depuis que je suis à la retraite, je m'ennuie un peu alors,
> l'autre jour, je suis allé en ville et suis entré dans un magasin.
> J'étais là depuis à peine 5 minutes, lorsque je suis sorti, il
> y avait un policier qui rédigeait une contravention pour mauvais
> stationnement.
>
> Je me suis rendu auprès de lui et lui dit : "Allons, monsieur,
> pourquoi ne pas donner une chance à un citoyen retraité ?"
> Il m'ignora et continua à écrire.
>
> Je l'ai traité de Nazi. Il m'a regardé et a commencé à écrire
> une autre contravention, parce que les pneus étaient soi-disant trop usés.
> Alors, je l'ai traité de "tête de cochon". Il finit la
> deuxième contravention et la plaça sur le pare-brise avec la première.
> Il commença ensuite à en rédiger une troisième sous un
> quelconque prétexte fallacieux
>
> Cela continua pendant environ 20 minutes.
> Plus je le traitais de tous les noms, du style : "saloperie
> de flic" "poulet aux hormones" "gestapo" "chien policier" "homme des
> cavernes" "néanderthalien" "singe en uniforme" etc. plus il rédigeait
> de contraventions.
>
> Personnellement, je m'en foutais un peu : J'étais venu au
> centre commercial en bus.
>

> l'autre jour, je suis allé en ville et suis entré dans un magasin.
> J'étais là depuis à peine 5 minutes, lorsque je suis sorti, il
> y avait un policier qui rédigeait une contravention pour mauvais
> stationnement.
>
> Je me suis rendu auprès de lui et lui dit : "Allons, monsieur,
> pourquoi ne pas donner une chance à un citoyen retraité ?"
> Il m'ignora et continua à écrire.
>
> Je l'ai traité de Nazi. Il m'a regardé et a commencé à écrire
> une autre contravention, parce que les pneus étaient soi-disant trop usés.
> Alors, je l'ai traité de "tête de cochon". Il finit la
> deuxième contravention et la plaça sur le pare-brise avec la première.
> Il commença ensuite à en rédiger une troisième sous un
> quelconque prétexte fallacieux
>
> Cela continua pendant environ 20 minutes.
> Plus je le traitais de tous les noms, du style : "saloperie
> de flic" "poulet aux hormones" "gestapo" "chien policier" "homme des
> cavernes" "néanderthalien" "singe en uniforme" etc. plus il rédigeait
> de contraventions.
>
> Personnellement, je m'en foutais un peu : J'étais venu au
> centre commercial en bus.
>



- Frankie30
- VIP
- Messages : 1814
- Inscription : 10 févr. 2005 15:32
- Localisation : Un jour ailleurs... Mais quand ?
L'inventeur de la moto Harley Davidson, Arthur Davidson, décède et monte au ciel. À la porte, St Pierre dit à Arthur :
- Vu que vous avez été un homme bon et que vos motos ont changé le monde, votre récompense sera de rencontrer Dieu directement.
Dieu reconnaît Arthur et commente :
- Ainsi, vous êtes l'inventeur de la moto Harley Davidson !
Arthur dit :
- Oui, c'est moi.
Dieu commente :
- Eh bien, il n'y a pas de quoi être fier d'avoir inventé quelque chose qui
est instable, fait beaucoup de bruit, pollue outrageusement et coûte une
fortune.
Arthur est embarrassé un instant, mais fini par dire :
- Excusez moi, mais vous n'êtes pas l'inventeur de la femme ?
Dieu dit :
- Mais oui !
- Eh bien, dit Arthur, de professionnel à professionnel, il y a de graves
défauts de conception dans votre invention :
1. Il n'y a pas de constance dans le design du pare-choc avant,
2. Ça claque et ça caquette constamment à haute vitesse,
3. L'arrière est trop mou et branle trop,
4. L'entrée est placée trop près de la sortie,
5. Et les coûts de maintenance sont excessifs.
Hummmm, vous marquez des points là, réplique Dieu ; attendez !
Dieu va sur son ordinateur céleste et tape quelques mots.
L'ordinateur imprime les résultats et Dieu les lit à Arthur :
- C'est vrai qu'il y a des défauts dans mon invention, dit Dieu, mais selon
tous les sondages, il y a plus d'hommes qui enfourchent mon invention que la vôtre !!!!!!!
- Vu que vous avez été un homme bon et que vos motos ont changé le monde, votre récompense sera de rencontrer Dieu directement.
Dieu reconnaît Arthur et commente :
- Ainsi, vous êtes l'inventeur de la moto Harley Davidson !
Arthur dit :
- Oui, c'est moi.
Dieu commente :
- Eh bien, il n'y a pas de quoi être fier d'avoir inventé quelque chose qui
est instable, fait beaucoup de bruit, pollue outrageusement et coûte une
fortune.
Arthur est embarrassé un instant, mais fini par dire :
- Excusez moi, mais vous n'êtes pas l'inventeur de la femme ?
Dieu dit :
- Mais oui !
- Eh bien, dit Arthur, de professionnel à professionnel, il y a de graves
défauts de conception dans votre invention :
1. Il n'y a pas de constance dans le design du pare-choc avant,
2. Ça claque et ça caquette constamment à haute vitesse,
3. L'arrière est trop mou et branle trop,
4. L'entrée est placée trop près de la sortie,
5. Et les coûts de maintenance sont excessifs.
Hummmm, vous marquez des points là, réplique Dieu ; attendez !
Dieu va sur son ordinateur céleste et tape quelques mots.
L'ordinateur imprime les résultats et Dieu les lit à Arthur :
- C'est vrai qu'il y a des défauts dans mon invention, dit Dieu, mais selon
tous les sondages, il y a plus d'hommes qui enfourchent mon invention que la vôtre !!!!!!!
C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con 

A quatre heures du matin. Jean-Mimi rentre au domicile conjugal un peu torché...
- Putain, elle ne va pas encore être contente, je vais déjà me faire un jus de citron pour masquer l'odeur d'alcool...
Le matin, Paty l'engueule
- T'as encore bu comme un trou hier ! T'es rentré pochtronné !
- Meuh non, comment peux-tu dire ça ?
- Le canari, écrasé dans le presse-citron, il s'est suicidé ?

- Putain, elle ne va pas encore être contente, je vais déjà me faire un jus de citron pour masquer l'odeur d'alcool...
Le matin, Paty l'engueule
- T'as encore bu comme un trou hier ! T'es rentré pochtronné !
- Meuh non, comment peux-tu dire ça ?
- Le canari, écrasé dans le presse-citron, il s'est suicidé ?


Aux portes du paradis, un nouvel arrivant commence son récit:
- Cela faisait un certain temps que je soupçonnais ma femme d’avoir une relation extra conjugale. Je suis donc rentre chez moi à l’improviste et évidemment, je l'ai trouvé complètement nue sur le lit. J’ai immédiatement fouillé l'appartement pour trouver le coupable. En vain. Et puis, je me suis souvenu qu'habitant le 15ème étage d'une tour, nous disposions d'un petit balcon. J'ai donc ouvert la porte-fenêtre et c'est la que j'ai vu cet homme suspendu dans le vide et s'agrippant à la rambarde du balcon. Je lui ai piétiné les mains pour qu'il tombe, mais il tenait bon. Alors je suis parti chercher un marteau. A grands coups sur chaque main, il a fini par lâcher prise. Mais un arbre a amorti sa chute. Voyant qu 'il bougeait encore, j'ai attrapé le réfrigérateur de la cuisine et je l'ai fait basculer sur cet individu. L 'effort a été si violent que j'ai succombé à une crise cardiaque. Et donc me voilà.
- Ah bon ! Répond St Pierre passionné.
- C 'est bon vous êtes admis au paradis.Un second homme se présente peu après et commence à raconter l'histoire de sa mort a St Pierre:
- Voyez-vous, débute-t-il, j'étais en train de repeindre mon balcon au 17eme étage d'une tour. Mon tabouret a vacillé et j'ai basculé dans le vide. Mais j'ai eu la possibilité de me rattraper à un balcon, deux étages plus bas. Je pensais être sauvé quand le propriétaire de ce balcon a commencé à me piétiner les mains puis à me casser les doigts à coups de marteau. Il était fou furieux que je m’accroche à son balcon. Et pire, lorsque j'ai lâche prise, comme je ne suis pas mort tout de suite, il m'a balancé son frigo sur la tête pour m’achever.St Pierre :
- Oui, j'ai entendu parler de cette histoire, vous pouvez entrer au paradis.Un troisième homme arrive et entame, lui aussi, son récit à St Pierre:
- Franchement, je ne sais pas comment c'est arrivé ! J’étais caché à poil dans un frigo et me voilà !!!
- Cela faisait un certain temps que je soupçonnais ma femme d’avoir une relation extra conjugale. Je suis donc rentre chez moi à l’improviste et évidemment, je l'ai trouvé complètement nue sur le lit. J’ai immédiatement fouillé l'appartement pour trouver le coupable. En vain. Et puis, je me suis souvenu qu'habitant le 15ème étage d'une tour, nous disposions d'un petit balcon. J'ai donc ouvert la porte-fenêtre et c'est la que j'ai vu cet homme suspendu dans le vide et s'agrippant à la rambarde du balcon. Je lui ai piétiné les mains pour qu'il tombe, mais il tenait bon. Alors je suis parti chercher un marteau. A grands coups sur chaque main, il a fini par lâcher prise. Mais un arbre a amorti sa chute. Voyant qu 'il bougeait encore, j'ai attrapé le réfrigérateur de la cuisine et je l'ai fait basculer sur cet individu. L 'effort a été si violent que j'ai succombé à une crise cardiaque. Et donc me voilà.
- Ah bon ! Répond St Pierre passionné.
- C 'est bon vous êtes admis au paradis.Un second homme se présente peu après et commence à raconter l'histoire de sa mort a St Pierre:
- Voyez-vous, débute-t-il, j'étais en train de repeindre mon balcon au 17eme étage d'une tour. Mon tabouret a vacillé et j'ai basculé dans le vide. Mais j'ai eu la possibilité de me rattraper à un balcon, deux étages plus bas. Je pensais être sauvé quand le propriétaire de ce balcon a commencé à me piétiner les mains puis à me casser les doigts à coups de marteau. Il était fou furieux que je m’accroche à son balcon. Et pire, lorsque j'ai lâche prise, comme je ne suis pas mort tout de suite, il m'a balancé son frigo sur la tête pour m’achever.St Pierre :
- Oui, j'ai entendu parler de cette histoire, vous pouvez entrer au paradis.Un troisième homme arrive et entame, lui aussi, son récit à St Pierre:
- Franchement, je ne sais pas comment c'est arrivé ! J’étais caché à poil dans un frigo et me voilà !!!
Une femme vient d'accoucher. Elle attend le médecin. Celui-ci arrive avec le bébé. La jeune mère, impatiente de le voir, pleure de bonheur. Mais alors que le médecin s'approche de la mère avec le bébé dans les bars, il le jette au sol, lui saute dessus, le ramasse, le lance contre le mur, l'utilise comme ballon de foot, et finalement le jette par la fenêtre La jeune mère hurle "Mon bébé ...mon bébé... salop...vous n'êtes qu'un salop..." Le médecin lui dit "Poisson d'avril, il était déjà mort"
humour noir..désolé...
pour de bon...
humour noir..désolé...

casimir2 a écrit :Une femme vient d'accoucher. Elle attend le médecin. Celui-ci arrive avec le bébé. La jeune mère, impatiente de le voir, pleure de bonheur. Mais alors que le médecin s'approche de la mère avec le bébé dans les bars, il le jette au sol, lui saute dessus, le ramasse, le lance contre le mur, l'utilise comme ballon de foot, et finalement le jette par la fenêtre La jeune mère hurle "Mon bébé ...mon bébé... salop...vous n'êtes qu'un salop..." Le médecin lui dit "Poisson d'avril, il était déjà mort"
humour noir..désolé...pour de bon...







- barth59
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- Inscription : 21 déc. 2003 17:12
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casimir2 a écrit :Une femme vient d'accoucher. Elle attend le médecin. Celui-ci arrive avec le bébé. La jeune mère, impatiente de le voir, pleure de bonheur. Mais alors que le médecin s'approche de la mère avec le bébé dans les bars, il le jette au sol, lui saute dessus, le ramasse, le lance contre le mur, l'utilise comme ballon de foot, et finalement le jette par la fenêtre La jeune mère hurle "Mon bébé ...mon bébé... salop...vous n'êtes qu'un salop..." Le médecin lui dit "Poisson d'avril, il était déjà mort"
humour noir..désolé...pour de bon...

"Un con qui marche ira toujours plus loin que deux intelectuels assis..."
Un Tiote baise à ma tite Croustet!
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