concours 2010
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
pour les surfaces, deux 0
1 m² = 100 dm²
pour les volumes, trois 0
1 m² = 100 dm²
pour les volumes, trois 0
Promo 2010-2013 - Auch
IDE en réa poly
IDE en réa poly
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Ha uii d'accord
Je trouve ma question débile mnt
!!
Mercy

Je trouve ma question débile mnt

Mercy

♥♥♥♥ ESI 2010/2013
Croix Rouge de Nîmes
3°année Me Voila - 120/120 ects - ♥♥♥♥ -
Croix Rouge de Nîmes
3°année Me Voila - 120/120 ects - ♥♥♥♥ -
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Il n'y a pas de question débile ...ptiikeur a écrit :Ha uii d'accord![]()
Je trouve ma question débile mnt!!
Mercy
c'est de ne pas la poser qui pourrait l'être!

J'ai aussi un cadeau pour vous ...

C'est un cours de maths complet!
Chouette, non!?

•●─═ ESI 2010✿2013 ═─●•
________✗La Verrière✗________
。◕‿◕。21 ans Janna's muMy。◕‿◕。
________✗La Verrière✗________
。◕‿◕。21 ans Janna's muMy。◕‿◕。
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
SUPER CHOUETTE OUI !
Bravo Yasmeen, avec ce document, une vrai base de révision pour travaiiler sur de bonnes et solides bases !
MERCI !
Bravo Yasmeen, avec ce document, une vrai base de révision pour travaiiler sur de bonnes et solides bases !
MERCI !

Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
MERCI bcp Yasmeen !!
Nous allons pouvoir nous entrainer avec une vrai base de révision
Super merci encore,
Nous allons pouvoir nous entrainer avec une vrai base de révision
Super merci encore,
Re: Actualités pour concours 2010
Héhé ! Petit coucou matinal
! Niveau actualité, j'aime beaucoup ce que m'offre le journal de tout les jours. Je vous le fait parvenir de suite ! Je pense que c'est aussi une bonne chose de voir à coté des "grands sujets". Ici la grippe H1N1, il faut élargir son éventail d'actualité ! Parfois ceux qui font les sujets ne vont pas chercher plus loin que ce qui se passe en région. Let's go ! Je ne réédite pas mon sujet ci dessus, c'est pour que tout paraisse plus claire.
____________________________
JUSTICE. Intensification de la castration chimique, pression mise sur les médecins. Le nouveau projet de loi suscite l'hostilité des soignants, à l'image de ceux de l'hôpital Charles-Perrens à Bordeaux
Loi sur la délinquance sexuelle : Les médecins refusent d'être aux ordres
Nul ne peut contraindre les délinquants sexuels à se soigner contre leur gré. Mais, à l'avenir, les personnes condamnées au moins à sept ans de prison qui refuseront d'engager une thérapie s'exposeront à de sérieux retours de bâton si elles sont considérées comme dangereuses par les experts. Elles risqueront soit une réincarcération, du fait de la révocation des réductions de peine dont elles ont bénéficié, soit un internement de sûreté pour une durée indéterminée dans un hôpital-prison si elles arrivent au terme de leur détention.
Hostilité du corps médical
La ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, souhaite profiter de ce donnant-donnant pour intensifier le recours à « la castration chimique » et aux substances qui réduisent la production d'hormones ou inactivent celles en circulation dans le sang.
Les soignants auront l'obligation de dénoncer les refus ou les interruptions de traitement à l'autorité judiciaire. Cette priorité médicamenteuse, doublée du rôle de garde-chiourme qui les guette, suscite l'hostilité d'une majorité de médecins.
« Peu de confrères libéraux acceptent de s'occuper des délinquants sexuels. Des centres médicaux psychologiques les refusent. Avec ce genre de loi qui nous place en position d'apprentis sorciers, on trouvera de moins en moins de médecins pour les prendre en charge », lâche le docteur Florent Cochez. Ce psychiatre dirige à Bordeaux, au sein de l'hôpital Charles-Perrens, un service spécialisé dans la prise en charge des auteurs de violences sexuelles (lire ci-contre). Il n'est pas hostile par principe à la castration chimique. Il la pratique d'ailleurs depuis 2005. Mais de là à affirmer que c'est l'antidote à la dangerosité...
Acteur de sa thérapie
« On ne sait pas dire qui est dangereux ou pas, insiste le psychiatre. Nous avons proposé ces traitements à 20 % des 44 malades que nous avons suivis. Chez certains patients, ils agissent véritablement sur l'érection ou les fantasmes. Mais il existe peu d'études sur l'efficacité de ces prescriptions. On sait pourtant qu'elles peuvent générer des effets secondaires voire, dans certains cas, fragiliser les squelettes. » Aux interrogations sur l'impact des substances anti-hormones s'ajoute aussi la peur de voir s'instaurer des prescriptions automatiques.
À Charles-Perrens, ces traitements ne sont pas imposés mais proposés. Un dialogue s'instaure, les malades ont le temps de la réflexion et la possibilité de revenir en arrière après avoir accepté de subir des injections.
« Le soin consiste à réconcilier un pervers avec son fonctionnement pour qu'il le contrôle et non pour qu'il en devienne l'esclave complaisant », relève Pierre Lamothe, chef du service médico-psychologique de Lyon (1). Les soignants craignent aujourd'hui que les délinquants sexuels ne se précipitent sur les médicaments pour mieux s'affranchir de tout travail sur eux-mêmes, la meilleure façon, pourtant, de prévenir la récidive.
Pression sur le soin
Au titre de médecin coordonnateur, le docteur Geffrault assure en Gironde l'interface entre les juges d'application des peines et les médecins traitants qui suivent les délinquants sexuels soumis à des injonctions de soins. « Le système ne marche pas si mal que cela. Les refus, les ruptures de traitement sont relativement rares. »
Cela n'empêche pas les lois de s'empiler. « On vote un texte sans prendre le temps de faire le bilan du précédent, déplore Yvan Guitz, juge d'application des peines au tribunal de grande instance de Bordeaux. Aujourd'hui, on dispose pourtant de tous les outils pour suivre et contrôler les délinquants sexuels les plus lourdement condamnés. »
Les dispositions soumises au Parlement prévoient d'abaisser à sept ans le seuil des condamnations à partir duquel une surveillance judiciaire d'un délinquant jugé dangereux pourra être ordonnée après sa libération.
De quoi charger la barque des juges d'application des peines, que les hommes politiques prennent pour boucs émissaires à la moindre récidive médiatisée. Si les moyens ne suivent pas, ces magistrats, à qui le ministère de la Justice demande, par ailleurs, de vider les prisons en multipliant les aménagements de peine, risquent fort d'ouvrir le parapluie et d'ordonner des soins à n'en plus finir.
Juges en blouse blanche ?
Inversement, du côté des soignants, l'angoisse de devenir des juges en blouse blanche devient prégnante. « La pression mise sur les médecins n'a jamais été aussi forte, déplore Florent Cochez. Alors que le soin doit être adapté à chaque patient, on se heurte à une loi qui systématise la prise en charge autour d'un enjeu : l'incarcération. C'est inquiétant. »
*Source : Le sud ouest http://www.sudouest.com/
Note de Liline : L'article nous renvoie à un article du monde du 02 octobre 2009. Si vous avez des archives en ce qui concerne ce sujet.
I) Questions pouvant être posé sur ce texte :
* " Peu de confrères libéraux acceptent de s'occuper des délinquants sexuels. Des centres médicaux psychologiques les refusent." Commentez
* Donnez une définition de la castration chimique.
* Que pensez vous de cet article ?
(Ce matin je ne suis pas très inspiré, j'ai un cerveau ralentis xD. Si vous voyez d'autres questions pouvant être posé sur texte, vous pouvez toujours me mp pour que rajoute. Ça peut toujours servir d'entrainement. Sachant que mes questions ne sont pas forcement les plus pertinentes. u_u")
___________________________________
J'ai trouvé aussi des petits bref, qui pourrait être utilisé comme sujet à l'oral.
ÇA VA FAIRE DU BRUIT
Fessée : La députée UMP Edwige Antier va déposer une proposition de loi visant à interdire les châtiments corporels, dont la fessée, a t-elle annoncé hier dans "Le parisien/Aujourd'hui en France". "Plus on léve la main sur un enfant, plus il devient agressif", a t-elle déclaré au quotidien.
Note de Liline : Si vous avez un extrait de cet article dans le Parisien ou Aujourd'hui en france ! Ca peut être utile pour étoffer ce bref. En suite ce qui pourrait être demandé, ce pourrait être une réflexion sur ce petit article, ce que l'on en pense.
___________________
SANTÉ. Ce week-end, toutes les femmes enceintes ont accouché au CHU. Les cliniques étaient en grève
Les maternités privées de gynécologues obstétriciens
Les femmes qui avaient prévu d'accoucher ce week-end à la clinique de Bordeaux-Nord ou à Bordeaux-Rive-Droite Lormont ont été conduites au CHU, la maternité de Pellegrin. Hier à midi, déjà six femmes sur les deux jours, étaient dans ce cas. Yves Noël, directeur Général de la clinique Bordeaux-Nord et Bordeaux-Rive-Droite s'en explique : « Depuis samedi 8 heures, les gynécologues obstétriciens libéraux font grève pour revendiquer une meilleure indemnisation des assurances, en cas de problème à la naissance. À ce jour, ils sont insuffisamment couverts par les assurances, au-delà d'un seuil d'indemnisation qui va de 3 à 6 millions d'euros, ils sont en première ligne pour payer. Avec leur propre argent. Ils ne sont pas protégés. Je suis d'accord sur le constat, le combat est légitime, en revanche, la méthode, à savoir la grève, me semble déplacée. »
Trop dangereux
Dans les cliniques privées cependant, les urgences ont été traitées, même en obstétrique. Jean-Pierre Laplace, gynécologue accoucheur à Bordeaux-Nord est aussi délégué du Syndicat national de gynécologie-obstétrique français qui rassemble dans le pays 1 200 praticiens privés, dont une trentaine en Gironde. « Si l'amendement qui doit être voté ne l'est pas, 90 % des praticiens privés arrêteront leur métier, ils ne réaliseront plus d'accouchement. Trop dangereux, dit-il. Depuis quatre ans, nous négocions. Désormais, lorsque nous accouchons une personne, nous avons cette épée de Damoclès sur nos têtes, nous y pensons tout le temps. La peur de l'accident. Ce vide assuranciel nous fragilise beaucoup, ainsi ce collègue à Béziers, accusé de n'avoir pas pratiqué de césarienne assez tôt. Il a perdu son métier, il est ruiné. Et depuis, il a été diagnostiqué que l'enfant était porteur d'une maladie génétique. »
« Des plafonds trop bas »
Les praticiens du privé attendent la création d'une commission paritaire et espèrent la prise en charge d'un organisme solidaire.
De son côté, le directeur de la clinique annonce que la grève est illimitée, les 27 gynécologues accoucheurs de Bordeaux-Nord et les 7 de Bordeaux-Rive-Droite sont concernés. « La Fédération de l'hospitalisation privée, médecine obstétrique est solidaire mais ne s'implique pas dans ce mouvement de grève, note Yves Noël. Même si on trouve que les obstétriciens ont raison, la grève n'est pas la bonne réponse. Ils veulent être couverts, certes. Aujourd'hui, il est inconcevable de travailler avec ce risque d'exposition. Certaines indemnisations se chiffrent jusqu'à 10 millions d'euros, les plafonds des assurances sont beaucoup trop bas. »
Bordeaux-Nord pratique 3 300 accouchements par an et Bordeaux-Rive-Droite 1 500.
I) Questions pouvant être posé sur ce texte :
* Comment positionnez vous par rapport à ce texte ?
* Quels sont les contraintes quotidienne d'un soignant ? Ses obligations ?
* ...

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JUSTICE. Intensification de la castration chimique, pression mise sur les médecins. Le nouveau projet de loi suscite l'hostilité des soignants, à l'image de ceux de l'hôpital Charles-Perrens à Bordeaux
Loi sur la délinquance sexuelle : Les médecins refusent d'être aux ordres
Nul ne peut contraindre les délinquants sexuels à se soigner contre leur gré. Mais, à l'avenir, les personnes condamnées au moins à sept ans de prison qui refuseront d'engager une thérapie s'exposeront à de sérieux retours de bâton si elles sont considérées comme dangereuses par les experts. Elles risqueront soit une réincarcération, du fait de la révocation des réductions de peine dont elles ont bénéficié, soit un internement de sûreté pour une durée indéterminée dans un hôpital-prison si elles arrivent au terme de leur détention.
Hostilité du corps médical
La ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, souhaite profiter de ce donnant-donnant pour intensifier le recours à « la castration chimique » et aux substances qui réduisent la production d'hormones ou inactivent celles en circulation dans le sang.
Les soignants auront l'obligation de dénoncer les refus ou les interruptions de traitement à l'autorité judiciaire. Cette priorité médicamenteuse, doublée du rôle de garde-chiourme qui les guette, suscite l'hostilité d'une majorité de médecins.
« Peu de confrères libéraux acceptent de s'occuper des délinquants sexuels. Des centres médicaux psychologiques les refusent. Avec ce genre de loi qui nous place en position d'apprentis sorciers, on trouvera de moins en moins de médecins pour les prendre en charge », lâche le docteur Florent Cochez. Ce psychiatre dirige à Bordeaux, au sein de l'hôpital Charles-Perrens, un service spécialisé dans la prise en charge des auteurs de violences sexuelles (lire ci-contre). Il n'est pas hostile par principe à la castration chimique. Il la pratique d'ailleurs depuis 2005. Mais de là à affirmer que c'est l'antidote à la dangerosité...
Acteur de sa thérapie
« On ne sait pas dire qui est dangereux ou pas, insiste le psychiatre. Nous avons proposé ces traitements à 20 % des 44 malades que nous avons suivis. Chez certains patients, ils agissent véritablement sur l'érection ou les fantasmes. Mais il existe peu d'études sur l'efficacité de ces prescriptions. On sait pourtant qu'elles peuvent générer des effets secondaires voire, dans certains cas, fragiliser les squelettes. » Aux interrogations sur l'impact des substances anti-hormones s'ajoute aussi la peur de voir s'instaurer des prescriptions automatiques.
À Charles-Perrens, ces traitements ne sont pas imposés mais proposés. Un dialogue s'instaure, les malades ont le temps de la réflexion et la possibilité de revenir en arrière après avoir accepté de subir des injections.
« Le soin consiste à réconcilier un pervers avec son fonctionnement pour qu'il le contrôle et non pour qu'il en devienne l'esclave complaisant », relève Pierre Lamothe, chef du service médico-psychologique de Lyon (1). Les soignants craignent aujourd'hui que les délinquants sexuels ne se précipitent sur les médicaments pour mieux s'affranchir de tout travail sur eux-mêmes, la meilleure façon, pourtant, de prévenir la récidive.
Pression sur le soin
Au titre de médecin coordonnateur, le docteur Geffrault assure en Gironde l'interface entre les juges d'application des peines et les médecins traitants qui suivent les délinquants sexuels soumis à des injonctions de soins. « Le système ne marche pas si mal que cela. Les refus, les ruptures de traitement sont relativement rares. »
Cela n'empêche pas les lois de s'empiler. « On vote un texte sans prendre le temps de faire le bilan du précédent, déplore Yvan Guitz, juge d'application des peines au tribunal de grande instance de Bordeaux. Aujourd'hui, on dispose pourtant de tous les outils pour suivre et contrôler les délinquants sexuels les plus lourdement condamnés. »
Les dispositions soumises au Parlement prévoient d'abaisser à sept ans le seuil des condamnations à partir duquel une surveillance judiciaire d'un délinquant jugé dangereux pourra être ordonnée après sa libération.
De quoi charger la barque des juges d'application des peines, que les hommes politiques prennent pour boucs émissaires à la moindre récidive médiatisée. Si les moyens ne suivent pas, ces magistrats, à qui le ministère de la Justice demande, par ailleurs, de vider les prisons en multipliant les aménagements de peine, risquent fort d'ouvrir le parapluie et d'ordonner des soins à n'en plus finir.
Juges en blouse blanche ?
Inversement, du côté des soignants, l'angoisse de devenir des juges en blouse blanche devient prégnante. « La pression mise sur les médecins n'a jamais été aussi forte, déplore Florent Cochez. Alors que le soin doit être adapté à chaque patient, on se heurte à une loi qui systématise la prise en charge autour d'un enjeu : l'incarcération. C'est inquiétant. »
*Source : Le sud ouest http://www.sudouest.com/
Note de Liline : L'article nous renvoie à un article du monde du 02 octobre 2009. Si vous avez des archives en ce qui concerne ce sujet.
I) Questions pouvant être posé sur ce texte :
* " Peu de confrères libéraux acceptent de s'occuper des délinquants sexuels. Des centres médicaux psychologiques les refusent." Commentez
* Donnez une définition de la castration chimique.
* Que pensez vous de cet article ?
(Ce matin je ne suis pas très inspiré, j'ai un cerveau ralentis xD. Si vous voyez d'autres questions pouvant être posé sur texte, vous pouvez toujours me mp pour que rajoute. Ça peut toujours servir d'entrainement. Sachant que mes questions ne sont pas forcement les plus pertinentes. u_u")
___________________________________
J'ai trouvé aussi des petits bref, qui pourrait être utilisé comme sujet à l'oral.
ÇA VA FAIRE DU BRUIT
Fessée : La députée UMP Edwige Antier va déposer une proposition de loi visant à interdire les châtiments corporels, dont la fessée, a t-elle annoncé hier dans "Le parisien/Aujourd'hui en France". "Plus on léve la main sur un enfant, plus il devient agressif", a t-elle déclaré au quotidien.
Note de Liline : Si vous avez un extrait de cet article dans le Parisien ou Aujourd'hui en france ! Ca peut être utile pour étoffer ce bref. En suite ce qui pourrait être demandé, ce pourrait être une réflexion sur ce petit article, ce que l'on en pense.
___________________
SANTÉ. Ce week-end, toutes les femmes enceintes ont accouché au CHU. Les cliniques étaient en grève
Les maternités privées de gynécologues obstétriciens
Les femmes qui avaient prévu d'accoucher ce week-end à la clinique de Bordeaux-Nord ou à Bordeaux-Rive-Droite Lormont ont été conduites au CHU, la maternité de Pellegrin. Hier à midi, déjà six femmes sur les deux jours, étaient dans ce cas. Yves Noël, directeur Général de la clinique Bordeaux-Nord et Bordeaux-Rive-Droite s'en explique : « Depuis samedi 8 heures, les gynécologues obstétriciens libéraux font grève pour revendiquer une meilleure indemnisation des assurances, en cas de problème à la naissance. À ce jour, ils sont insuffisamment couverts par les assurances, au-delà d'un seuil d'indemnisation qui va de 3 à 6 millions d'euros, ils sont en première ligne pour payer. Avec leur propre argent. Ils ne sont pas protégés. Je suis d'accord sur le constat, le combat est légitime, en revanche, la méthode, à savoir la grève, me semble déplacée. »
Trop dangereux
Dans les cliniques privées cependant, les urgences ont été traitées, même en obstétrique. Jean-Pierre Laplace, gynécologue accoucheur à Bordeaux-Nord est aussi délégué du Syndicat national de gynécologie-obstétrique français qui rassemble dans le pays 1 200 praticiens privés, dont une trentaine en Gironde. « Si l'amendement qui doit être voté ne l'est pas, 90 % des praticiens privés arrêteront leur métier, ils ne réaliseront plus d'accouchement. Trop dangereux, dit-il. Depuis quatre ans, nous négocions. Désormais, lorsque nous accouchons une personne, nous avons cette épée de Damoclès sur nos têtes, nous y pensons tout le temps. La peur de l'accident. Ce vide assuranciel nous fragilise beaucoup, ainsi ce collègue à Béziers, accusé de n'avoir pas pratiqué de césarienne assez tôt. Il a perdu son métier, il est ruiné. Et depuis, il a été diagnostiqué que l'enfant était porteur d'une maladie génétique. »
« Des plafonds trop bas »
Les praticiens du privé attendent la création d'une commission paritaire et espèrent la prise en charge d'un organisme solidaire.
De son côté, le directeur de la clinique annonce que la grève est illimitée, les 27 gynécologues accoucheurs de Bordeaux-Nord et les 7 de Bordeaux-Rive-Droite sont concernés. « La Fédération de l'hospitalisation privée, médecine obstétrique est solidaire mais ne s'implique pas dans ce mouvement de grève, note Yves Noël. Même si on trouve que les obstétriciens ont raison, la grève n'est pas la bonne réponse. Ils veulent être couverts, certes. Aujourd'hui, il est inconcevable de travailler avec ce risque d'exposition. Certaines indemnisations se chiffrent jusqu'à 10 millions d'euros, les plafonds des assurances sont beaucoup trop bas. »
Bordeaux-Nord pratique 3 300 accouchements par an et Bordeaux-Rive-Droite 1 500.
I) Questions pouvant être posé sur ce texte :
* Comment positionnez vous par rapport à ce texte ?
* Quels sont les contraintes quotidienne d'un soignant ? Ses obligations ?
* ...
Résultation IFAS mi juin > Dax, Mont-de-Marsan. Restons optimiste !
Oral le 05 Mai et le 12 Mai x_x
Oral le 05 Mai et le 12 Mai x_x
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Oh moi aussi je l'avais télécharger les cours de maths !! J'y travaillé avant mais plus depuis un moment du coup j'ai oublier de vous en faire part
désolé! heuresement il y a eu yasmeen ! 


┣▇▇▇═─ Infirmière aux urgences/SMUR !
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)

Merci Yasmeen

Concours ifsi 2009 échoué...un BTS sanitaire et sociale et un enfant plus tard, projet mûri : concours AS 2014 !
Re: Actualités pour concours 2010
Qu'est-ce que le syndrome Guillain-Barré ?
Selon l'Afssaps, ce syndrome peut à la fois être provoqué par la grippe et par le vaccin contre la grippe. Crédits photo : AFP
FOCUS - Un cas «probable» a été signalé mardi en France, après une vaccination contre la grippe H1N1. Cette maladie du système nerveux périphérique reste très rare. Explications.
Qu'est-ce que le syndrome Guillain-Barré ? C'est une maladie inflammatoire auto-immune [dysfonctionnement du système immunitaire, ndlr] qui s'attaque au système nerveux et provoque des lésions. Il s'agit d'une maladie relativement rare, avec chaque année en France entre 1 700 et 1 800 cas recensés. Il peut survenir à tout âge, indépendamment du sexe.
Quels sont les symptômes ? Les symptômes peuvent être bénins (fourmillements, pertes de sensibilité, tachycardie, maux de tête) ou peuvent conduire à des états beaucoup plus sérieux, comme d'importants troubles moteurs ou une paralysie complète. Le diagnostic se fait la plupart du temps par ponction lombaire ou électromyogramme. C'est une maladie potentiellement grave : 10 % des patients gardent des séquelles motrices et 5 % décèdent. La contagiosité de ce syndrome n'a pas été démontrée.
Quelle est la cause de cette maladie ? La cause exacte de cette maladie n'est pour l'heure pas connue. Mais, selon les experts, la survenue d'un syndrome de Guillain-Barré est précédée dans 60 à 70 % des cas d'une infection aiguë virale ou bactérienne des voies respiratoires ou gastro-intestinales. La grippe, une hépatite, la rougeole ou une mononucléose sont considérées comme des facteurs de risque possible.
Quel rapport avec le vaccin contre la grippe A ? Selon l'Afssaps, cette maladie peut à la fois être provoquée par la grippe et par le vaccin contre la grippe. Mais la grippe elle-même augmenterait plus le risque de Guillain-Barré que le vaccin. En effet, la plupart des études ne démontrent pas de risque accrû de le contracter en se faisant vacciner. Seules trois d'entre elles mettent en évidence un risque multiplié de 1,4 à 3 après vaccination.
L'incidence serait «de 4 à 7 cas pour 100 000 sujets porteurs» de la grippe, alors que le risque par le vaccin n'atteindrait qu'un cas pour un million de vaccinés. En 1976, aux Etats-Unis, 45 millions d'Américains avaient reçu un vaccin contre la grippe porcine. Près de 500 d'entres eux avaient développé un syndrome Guillain-Barré. 25 en étaient morts.
Pour l'heure, aucun cas de syndrome Guillain-Barré lié à la vaccination contre la grippe A n'a été recensé dans le monde. Le cas de la jeune Française n'est pas encore avéré : des examens complémentaires sont actuellement en cours.
lefigaro.fr
Selon l'Afssaps, ce syndrome peut à la fois être provoqué par la grippe et par le vaccin contre la grippe. Crédits photo : AFP
FOCUS - Un cas «probable» a été signalé mardi en France, après une vaccination contre la grippe H1N1. Cette maladie du système nerveux périphérique reste très rare. Explications.
Qu'est-ce que le syndrome Guillain-Barré ? C'est une maladie inflammatoire auto-immune [dysfonctionnement du système immunitaire, ndlr] qui s'attaque au système nerveux et provoque des lésions. Il s'agit d'une maladie relativement rare, avec chaque année en France entre 1 700 et 1 800 cas recensés. Il peut survenir à tout âge, indépendamment du sexe.
Quels sont les symptômes ? Les symptômes peuvent être bénins (fourmillements, pertes de sensibilité, tachycardie, maux de tête) ou peuvent conduire à des états beaucoup plus sérieux, comme d'importants troubles moteurs ou une paralysie complète. Le diagnostic se fait la plupart du temps par ponction lombaire ou électromyogramme. C'est une maladie potentiellement grave : 10 % des patients gardent des séquelles motrices et 5 % décèdent. La contagiosité de ce syndrome n'a pas été démontrée.
Quelle est la cause de cette maladie ? La cause exacte de cette maladie n'est pour l'heure pas connue. Mais, selon les experts, la survenue d'un syndrome de Guillain-Barré est précédée dans 60 à 70 % des cas d'une infection aiguë virale ou bactérienne des voies respiratoires ou gastro-intestinales. La grippe, une hépatite, la rougeole ou une mononucléose sont considérées comme des facteurs de risque possible.
Quel rapport avec le vaccin contre la grippe A ? Selon l'Afssaps, cette maladie peut à la fois être provoquée par la grippe et par le vaccin contre la grippe. Mais la grippe elle-même augmenterait plus le risque de Guillain-Barré que le vaccin. En effet, la plupart des études ne démontrent pas de risque accrû de le contracter en se faisant vacciner. Seules trois d'entre elles mettent en évidence un risque multiplié de 1,4 à 3 après vaccination.
L'incidence serait «de 4 à 7 cas pour 100 000 sujets porteurs» de la grippe, alors que le risque par le vaccin n'atteindrait qu'un cas pour un million de vaccinés. En 1976, aux Etats-Unis, 45 millions d'Américains avaient reçu un vaccin contre la grippe porcine. Près de 500 d'entres eux avaient développé un syndrome Guillain-Barré. 25 en étaient morts.
Pour l'heure, aucun cas de syndrome Guillain-Barré lié à la vaccination contre la grippe A n'a été recensé dans le monde. Le cas de la jeune Française n'est pas encore avéré : des examens complémentaires sont actuellement en cours.
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Re: Actualités pour concours 2010
L’AP-HP répond sur les fermetures de Centres IVG
« IVG : Pas de diminution de l’offre de soins à l’AP-HP », répond l’AP-HP dans son communiqué du 13 novembre. L’AP-HP précise que si elle assure 19% des naissances en Ile de France, elle effectue 22% des IVG. Pourtant, samedi 14 novembre avait lieu la marche pour sauver l’IVG, à la suite de la fermeture récente de 4 centres d’IVG en région parisienne et en particulier, celle du centre de l’Hôpital Tenon, en juillet dernier. Au moment où l’on annonce la suppression de 1.150 emplois, L’AP-HP répond par la « recomposition globale de l’offre sanitaire ».
L’AP-HP comprend 16 centres d’IVG: 9 à Paris ( Bichat, Cochin, Lariboisière, Pitié-Salpétrière, Robert Debré, Saint-Antoine, Trousseau, Saint-Louis) et 7 en petite couronne (Avicenne, Béclère, Beaujon, Bicêtre, C.Celton, HEGP, Jean Verdier, L.Mourier)
« Depuis 2001, la loi autorisant depuis lors que l’IVG médicamenteuse soit pratiquée en ville, les IVG, après une forte croissance des interventions jusqu’en 1996, connaissent un léger recul. Cette évolution, qui permet une augmentation de l’offre globale, s’accompagne d’un fléchissement assez sensible du recours à l’IVG instrumentale (66,7% des actes en 2008 contre 80% en 1996) pratiqué en milieu hospitalier et, face à cette évolution, AP-HP doit adapter son organisation pour pallier une certaine disparité en termes de prise en charge : 7 centres seulement sur 18 pratiquaient jusqu'à fin 2008 toutes les techniques disponibles en un même lieu, ce qui ne permettait pas une réponse adaptée aux besoins des patientes.
C’est dans ce contexte ou l’AP-HP doit répondre de sa mission de service public qu’on été opérés cette année certains transferts d’unités selon un cahier des charges qui fait obligation à la fois de ne pas diminuer le volume d’activités et de proposer aux femmes l’ensemble des techniques existantes :
- l’activité modeste de Jean Rostand a rejoint le centre de Bicêtre au moment de l’ouverture de la nouvelle maternité (mai)
- Tenon ( qui maintient une antenne d’accueil et d’orientation) s’est regroupé avec le centre d’orthogénie de Saint Antoine (juillet)
- Broussais, dont les activités hospitalières sont en cours de redéploiement vers les autres hôpitaux de l’AP-HP, a été transféré à Cochin/Saint Vincent de Paul (septembre)
Parallèlement l’orthogénie va bénéficier de la recomposition globale de l’ offre sanitaire de l’AP-HP autour des 12 nouveaux groupes hospitaliers d’ici 2011 : chaque groupe hospitalier devra en effet disposer d’un centre d’IVG, de telle façon que sur un même territoire un niveau d’activité au moins équivalent à ce qu’il est actuellement soit proposé ainsi que tous les modes d’intervention (IVG chirurgicale sous anesthésie générale ou locale, IVG médicamenteuse)
Ainsi, la prise en charge d’orthogénie à l’AP-HP ne sera pas diminuée mais progressivement réorganisée pour offrir aux femmes une prise en charge plus complète et plus sûre.»
Le Planning Familial considère qu’« il s'agit d'une atteinte grave à l'obligation légale d’organisation de l'offre de soin en matière d'avortement à l'hôpital public.
santelog
« IVG : Pas de diminution de l’offre de soins à l’AP-HP », répond l’AP-HP dans son communiqué du 13 novembre. L’AP-HP précise que si elle assure 19% des naissances en Ile de France, elle effectue 22% des IVG. Pourtant, samedi 14 novembre avait lieu la marche pour sauver l’IVG, à la suite de la fermeture récente de 4 centres d’IVG en région parisienne et en particulier, celle du centre de l’Hôpital Tenon, en juillet dernier. Au moment où l’on annonce la suppression de 1.150 emplois, L’AP-HP répond par la « recomposition globale de l’offre sanitaire ».
L’AP-HP comprend 16 centres d’IVG: 9 à Paris ( Bichat, Cochin, Lariboisière, Pitié-Salpétrière, Robert Debré, Saint-Antoine, Trousseau, Saint-Louis) et 7 en petite couronne (Avicenne, Béclère, Beaujon, Bicêtre, C.Celton, HEGP, Jean Verdier, L.Mourier)
« Depuis 2001, la loi autorisant depuis lors que l’IVG médicamenteuse soit pratiquée en ville, les IVG, après une forte croissance des interventions jusqu’en 1996, connaissent un léger recul. Cette évolution, qui permet une augmentation de l’offre globale, s’accompagne d’un fléchissement assez sensible du recours à l’IVG instrumentale (66,7% des actes en 2008 contre 80% en 1996) pratiqué en milieu hospitalier et, face à cette évolution, AP-HP doit adapter son organisation pour pallier une certaine disparité en termes de prise en charge : 7 centres seulement sur 18 pratiquaient jusqu'à fin 2008 toutes les techniques disponibles en un même lieu, ce qui ne permettait pas une réponse adaptée aux besoins des patientes.
C’est dans ce contexte ou l’AP-HP doit répondre de sa mission de service public qu’on été opérés cette année certains transferts d’unités selon un cahier des charges qui fait obligation à la fois de ne pas diminuer le volume d’activités et de proposer aux femmes l’ensemble des techniques existantes :
- l’activité modeste de Jean Rostand a rejoint le centre de Bicêtre au moment de l’ouverture de la nouvelle maternité (mai)
- Tenon ( qui maintient une antenne d’accueil et d’orientation) s’est regroupé avec le centre d’orthogénie de Saint Antoine (juillet)
- Broussais, dont les activités hospitalières sont en cours de redéploiement vers les autres hôpitaux de l’AP-HP, a été transféré à Cochin/Saint Vincent de Paul (septembre)
Parallèlement l’orthogénie va bénéficier de la recomposition globale de l’ offre sanitaire de l’AP-HP autour des 12 nouveaux groupes hospitaliers d’ici 2011 : chaque groupe hospitalier devra en effet disposer d’un centre d’IVG, de telle façon que sur un même territoire un niveau d’activité au moins équivalent à ce qu’il est actuellement soit proposé ainsi que tous les modes d’intervention (IVG chirurgicale sous anesthésie générale ou locale, IVG médicamenteuse)
Ainsi, la prise en charge d’orthogénie à l’AP-HP ne sera pas diminuée mais progressivement réorganisée pour offrir aux femmes une prise en charge plus complète et plus sûre.»
Le Planning Familial considère qu’« il s'agit d'une atteinte grave à l'obligation légale d’organisation de l'offre de soin en matière d'avortement à l'hôpital public.
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Yasmeen a écrit :Il n'y a pas de question débile ...ptiikeur a écrit :Ha uii d'accord![]()
Je trouve ma question débile mnt!!
Mercy
c'est de ne pas la poser qui pourrait l'être!
J'ai aussi un cadeau pour vous ...
http://ifsitests.free.fr/Formations/CourIFP.pdf
C'est un cours de maths complet!
Chouette, non!?
Merci bcp pour l'info !

Prépa concours infirmière par le cned à la rentrée.
BAC obtenu avec mention AB
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Derien les choupinoux!
Maintenant on bosse ...
Jvous bizote

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________✗La Verrière✗________
。◕‿◕。21 ans Janna's muMy。◕‿◕。
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Ha ben super cool
!!
Moi qui avait du mal à trouver les bases!!
Mnt dès que je comprend pas un truc je viendrais demander ici
Et comme ca on pourra tous échanger...
Mercyy Yasmeen
Est-ce que les tableaux il faut les connaitre parcoeur?


Moi qui avait du mal à trouver les bases!!
Mnt dès que je comprend pas un truc je viendrais demander ici

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Mercyy Yasmeen



♥♥♥♥ ESI 2010/2013
Croix Rouge de Nîmes
3°année Me Voila - 120/120 ects - ♥♥♥♥ -
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Oui, ça t'aidra pour l'écrit !ptiikeur a écrit :
Est-ce que les tableaux il faut les connaitre parcoeur?
Concours ifsi 2009 échoué...un BTS sanitaire et sociale et un enfant plus tard, projet mûri : concours AS 2014 !
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Les tableaux de conversion, il faut les comprendre pour les apprendre... allez pas apprendre des trucs par coeur que vous comprenez pas...
Si y'en a qui ont besoin d'aide je suis là, je gère bien les conversions, pour vous dire je crois que ça avait sauvé mon écrit...
Il faut se dire que quand on est en une dimension, une colonne par unité, deux dimensions, deux colonnes par unité, trois dimensions, trois colonnes par unité (dieu merci nous vivons dans un monde à seulement 3 dimensions spaciales)...
Si y'en a qui ont besoin d'aide je suis là, je gère bien les conversions, pour vous dire je crois que ça avait sauvé mon écrit...
Il faut se dire que quand on est en une dimension, une colonne par unité, deux dimensions, deux colonnes par unité, trois dimensions, trois colonnes par unité (dieu merci nous vivons dans un monde à seulement 3 dimensions spaciales)...
Infirmière
♥ Miss Inf.com 2010 ♥
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