Concours possible si séropositivité et sida déclaré?

[WILLIAMM]

Un rêve dans le sens où j'ai enfin trouvé un métier qui puisse me plaire.

Dégringolade? Pire que 3 ans de chômage, euh franchement pas possible.

Maltraitance? Je ne ferai pas à autrui ce qu'on a fait aux miens.

Je sais pas si c'est plus pire ou moins pire, je ne saurais comparer (j'ai rarement été au chômage)

Ce qu'on veut dire par "dégringolade" c'est que oui, c'est un rêve pour beaucoup, et parfois le rêve n'est pas en phase avec la réalité. Ce qui abouti parfois à des désillusions, des déceptions (on lit souvent "je ne m'attendais pas à ça"), et des situations auxquelles on ne sait pas faire face (voir le post "harcèlement moral à l'IFSI", par exemple, ou "déçue, envie de tout arrêter"). Le milieu hospitalier est loin d'être le pays des bisounours, les IFSI sont parfois un panier de crabe, on y va rarement pour enfiler des perles et on a parfois en face de nous "des gros c...." (en stage ou comme formateurs/directeurs), il faut savoir réagir correctement à ça aussi et c'est pas facile, c'est tout un art de comprendre et d'appliquer les règles du "jeu".....

*Ben j'ai fait un stage avec des patients psys = ça s'est bien passé.
*Je suis allé voir une personne en oncologie que je connaissais et je l'ai vu mourir à petit feu = je n'étais pas anéanti (mais triste quand même mais c normal vu que je la connaissais ).
*Je suis allé voir des personnes âgées de mon quartier qui avaient été placées en EHPAD.
*Et quand j'étais ado je suis allé voir le mec de mon cousin (qui avait une maladie orpheline, il en est mort), dans un centre où les gens avaient des handicaps lourds et certains n'avaient plus de bras, ni de jambes.
*Et je suis allé avec ma mère dans la maison de retraite la plus dure de ma ville pour voir dans quels conditions elle travaillait et j'ai parlé à une infirmière qui était au bord du suicide car elle en pouvait plus de ce service.
Voilà donc je pense en avoir vu quand même assez pour me faire une idée du métier. Et ce que j'ai vu ne m'a pas dégoûté et ne m'a pas fait fuir, bien au contraire.

[Lenalan]

Un rêve dans le sens où j'ai enfin trouvé un métier qui puisse me plaire.

Dégringolade? Pire que 3 ans de chômage, euh franchement pas possible.

Maltraitance? Je ne ferai pas à autrui ce qu'on a fait aux miens.

Je sais pas si c'est plus pire ou moins pire, je ne saurais comparer (j'ai rarement été au chômage)

Ce qu'on veut dire par "dégringolade" c'est que oui, c'est un rêve pour beaucoup, et parfois le rêve n'est pas en phase avec la réalité. Ce qui abouti parfois à des désillusions, des déceptions (on lit souvent "je ne m'attendais pas à ça"), et des situations auxquelles on ne sait pas faire face (voir le post "harcèlement moral à l'IFSI", par exemple, ou "déçue, envie de tout arrêter"). Le milieu hospitalier est loin d'être le pays des bisounours, les IFSI sont parfois un panier de crabe, on y va rarement pour enfiler des perles et on a parfois en face de nous "des gros c...." (en stage ou comme formateurs/directeurs), il faut savoir réagir correctement à ça aussi et c'est pas facile, c'est tout un art de comprendre et d'appliquer les règles du "jeu".....

*Ben j'ai fait un stage avec des patients psys = ça s'est bien passé.
*Je suis allé voir une personne en oncologie que je connaissais et je l'ai vu mourir à petit feu = je n'étais pas anéanti (mais triste quand même mais c normal vu que je la connaissais ).
*Je suis allé voir des personnes âgées de mon quartier qui avaient été placées en EHPAD.
*Et quand j'étais ado je suis allé voir le mec de mon cousin (qui avait une maladie orpheline, il en est mort), dans un centre où les gens avaient des handicaps lourds et certains n'avaient plus de bras, ni de jambes.
*Et je suis allé avec ma mère dans la maison de retraite la plus dure de ma ville pour voir dans quels conditions elle travaillait et j'ai parlé à une infirmière qui était au bord du suicide car elle en pouvait plus de ce service.
Voilà donc je pense en avoir vu quand même assez pour me faire une idée du métier. Et ce que j'ai vu ne m'a pas dégoûté et ne m'a pas fait fuir, bien au contraire.

Tu as le droit d'être anéanti par la mort d'un proche, et tu as même le droit de pleurer quand un patient décède (ça m'est arrivé quelque fois), on est pas des robots non plus et on ne nous demande pas d'avoir un coeur de pierre, on nous demande de savoir prendre du recul (un patient ce n'est pas un ami, ni notre famille).

Mais ce n'est pas de ça dont je te parlais, faire face à la maladie, au handicap, à la mort, aux plaies ouvertes... C'est pas le plus compliqué. Le plus compliqué (pour moi) c'est faire face à la connerie humaine qu'on rencontre parfois ici ou là, car il faut bien reconnaître qu'il y a autant de cons dans cette profession qu'ailleurs, et c'est là qu'il faut savoir s'adapter. On ne gère pas les cons de la même façon en étant ESI et dans la vie de tous les jours

[WILLIAMM]

Connerie humaine = PE, ML, Région etc...
C bon.

[Lenalan]

Il y en a partout

[CmwaLili]

Connerie humaine = PE, ML, Région etc...
C bon.

T'as oublié Hollande

[WILLIAMM]

Connerie humaine = PE, ML, Région etc...
C bon.

T'as oublié Hollande

Ouais, mais lui c un peu de ma faute si il est, là où il est.

[Lenalan]

Vu le choix qu'on avait ........

[WILLIAMM]

Vu le choix qu'on avait ........

Grave.

[Anonyme222222]

les IFSI sont parfois un panier de crabe, on y va rarement pour enfiler des perles et on a parfois en face de nous "des gros c...." (en stage ou comme formateurs/directeurs),

Oui enfin des "gros c....", il y en a de part et d'autres notamment celles et ceux qui arrivent plein de certitudes et peu d'humilité.

[Lenalan]

les IFSI sont parfois un panier de crabe, on y va rarement pour enfiler des perles et on a parfois en face de nous "des gros c...." (en stage ou comme formateurs/directeurs),

Oui enfin des "gros c....", il y en a de part et d'autres notamment celles et ceux qui arrivent plein de certitudes et peu d'humilité.

Tout à fait, j'en ai connu aussi des comme ça