Dépression
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j'ai eu des moments difficiles l'année derniere ou il m'est arrivé ce qu'on appelle une depression...
il a fallu que j'aille voir un psy c'etait des problèmes que j'avais eu il y a longtemps et qui ont resurgi je ne sais pas comment que l'année dernière.
bref, c'est pour dire qu'on est pas a l'abri, memesi tout le monde nous trouve joyeux!
il faut se trouver quelque chose qui rend heureux quand les choses ont tendance a aller mal...
il a fallu que j'aille voir un psy c'etait des problèmes que j'avais eu il y a longtemps et qui ont resurgi je ne sais pas comment que l'année dernière.
bref, c'est pour dire qu'on est pas a l'abri, memesi tout le monde nous trouve joyeux!
il faut se trouver quelque chose qui rend heureux quand les choses ont tendance a aller mal...
- boup
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le rapport aspect dépressif/conduite addictives est flou.
pas mal d'experts se demandent lequel est à l'origine. est ce que le shit declenche un etat depressif sous jacent ou entraine t'il cet état de fait... that is the question!!and we don't have the answer for the moment!!but y en a qui cherchent!!
pas mal d'experts se demandent lequel est à l'origine. est ce que le shit declenche un etat depressif sous jacent ou entraine t'il cet état de fait... that is the question!!and we don't have the answer for the moment!!but y en a qui cherchent!!
Kétamix a écrit :Merci bien Sim, mais mon psy(chopate) m'a déjà diagnostiqué dépressif.
On fait avec et tous les matins je me lève avec un peu plus d'espoir, de niake.
Mais bon ça fait presque un an que ça dure, et ça s'améliore, mine de rien.
Kétamix a écrit :Il parraît, oui![]()
En tout cas c'est fatigant l'énergie qu'on dépense pour donner le change à sa famille et ses amis.
Avec un padré suicidaire, c'est délicat de leur imposer ça en plus, je suis discrêt, ils ne savent pas que je vois un psy de temps en temps.
Kétamix a écrit :C'est vrai, les anti-dépresseurs je suis pas fana de tout ça, en plus comme j'ai déjà une dépendance psychologique à la drogue, j'ai pas envie d'en ajoutter une autre si tu vois ce que je veux dire...
Le pire c'est que j'ai commencé non pas à cause d'un mal-être, paske ça allait plutôt bien, mais juste parceque je trouvais les effets intéressants.
Aujourd'hui: retour de flamme je suppose, même sans dépendance physique, ça fait du dégat.
Trop de voyages introspectifs complètement perché.
C'est là tout le problème, parfois c'est le Nirvana, parfois l'Enfer.
Si je peux me permettre, peux tu nous en dire plus sur ton mal être, c'est à dire, quel est il précisément? (Dépendance à la drogue? Relations tendues au sein de la famille? Des amis(es)? ...).

Soignant D.E. - Fondateur site IFSI / IFAS
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Ancien ESI 3A et président BDE
Ancien Etudiant médecine
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Effectivement, on passe tous par un moment de déprime... La verbalisation à mon avis est importante (pour les filles comme pour les garçons). Cependant, la "vraie" dépression, diagnostiquée médicalement, est vraiment dure... On n'a plus goût à la vie, on ne veut plus rien faire... On se dévalorise sans cesse, on se demande à quoi bon, etc... Non, vraiment, la "déprime" est un mauvais moment à passer, mais on s'en rend compte, on veut essayer de s'en sortir...
Boup, j'ai un doute : la personne en dépression s'en rend-elle compte ? Dans les cours, c'est classé comme une pathologie relevant des névroses, donc a priori le patient se rend compte de ses troubles... Quid ?
Scusez pour le "cours"... J'ai fini
Pour le témoignage perso, je n'ai pas vécu de vraie dépression avec anti-dépresseurs... Mais des coups de déprime oui, comme je pense l'immense majorité des gens... Mais à chaque fois je voulais m'en sortir, bon avec des moments de ras-le-bol et de vouloir laisser tout tomber... Mais pas seulement.
Amodeba
Boup, j'ai un doute : la personne en dépression s'en rend-elle compte ? Dans les cours, c'est classé comme une pathologie relevant des névroses, donc a priori le patient se rend compte de ses troubles... Quid ?
Scusez pour le "cours"... J'ai fini
Pour le témoignage perso, je n'ai pas vécu de vraie dépression avec anti-dépresseurs... Mais des coups de déprime oui, comme je pense l'immense majorité des gens... Mais à chaque fois je voulais m'en sortir, bon avec des moments de ras-le-bol et de vouloir laisser tout tomber... Mais pas seulement.
Amodeba
Mariée depuis le 1er Avril 2006 (non ce n'est pas une blague :-p )
En attente pour reprendre la formation en 3è année...
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en general c'est l'entourage qui pointe un probleme de depression. la personne est trop dedans pour s'en rendre compte.
c'est pour ca qu'il est important de lui signifier sa patho. la plupart du temps ce sont des gnes en grande souffrance qui ne savent pas d'ou vient cette souffrance et de leur dire simplement qu'ils souffent d'une depression permet de mettre un nom sur leur mal etre et donc d'entamer un travail sur eux meme qui s'avere souvent necessaire.
mais temps que la personne est dans le déni de la maladie, le boulot peut pas s'entamer et faut s'armer de patience et d'un bon vidal!!
MAIS verbaliser reste l'ideal. non, prozac n'est pas forcement un ami, srtout quand il st mal prescrit!!! allez donner de l'actrapid à tous les diabétiques vous verrez leresultat. idem pour les antidepresseurs. verbliser permet d'evacuer sa souffrance, de la poser pour pouvoir la travailler. CQFD!!!
juste pas verbaliser face à n'importe qui. face ç une personne qui peut etre aidante.
et pas oublier autre chose. un diabétique va chez un diabeto, un asthmatique chez le pneumo, le depressif chez le psy!!
promis j'arrete la!!
c'est pour ca qu'il est important de lui signifier sa patho. la plupart du temps ce sont des gnes en grande souffrance qui ne savent pas d'ou vient cette souffrance et de leur dire simplement qu'ils souffent d'une depression permet de mettre un nom sur leur mal etre et donc d'entamer un travail sur eux meme qui s'avere souvent necessaire.
mais temps que la personne est dans le déni de la maladie, le boulot peut pas s'entamer et faut s'armer de patience et d'un bon vidal!!
MAIS verbaliser reste l'ideal. non, prozac n'est pas forcement un ami, srtout quand il st mal prescrit!!! allez donner de l'actrapid à tous les diabétiques vous verrez leresultat. idem pour les antidepresseurs. verbliser permet d'evacuer sa souffrance, de la poser pour pouvoir la travailler. CQFD!!!
juste pas verbaliser face à n'importe qui. face ç une personne qui peut etre aidante.
et pas oublier autre chose. un diabétique va chez un diabeto, un asthmatique chez le pneumo, le depressif chez le psy!!
promis j'arrete la!!
Ok Choup, j'essaie de développer:
La drogue, j'ai commencé à 16 ans dans une période ou tout allait bien, réussite en classe (il paraît que je suis un surdoué mais pour être honnête, je ne le ressent pas spécialement), succès avec les filles, apprécié de mes camarades, le monde de Casimir pour un gosse que tout destine au mieux.
Et là, par curiosité, première prise de drogue, un cachet d'exta, suivit de joints.
Bonne impression, j'ai aimé l'effet et mon envie de me faire une idée par moi-même m'a poussée à tout tester en fait (jamais de seringue).
L'abus n'est pas venu de la quantité, mais surtout de la durée: 6 ans maintenant.
Avec mon psy, par le biais entre autre de l'hypnose (4 fois) nous n'avons pu déterminer aucun élément déclencheur dans mon passé.
Les médecins ont reconnus que ma dépendance n'est maintenant que psychologique.
J'ai par moment une envie qui supplante tout de me défoncer, mais je n'ai pas de tremblements, de nausées... comme j'en ai vu chez mes amis.
Et encore, ça se complique, puisque je suis très à l'aise en société sans produits et que je m'en passe aussi pour faire la fête (disons que si personne n'a un truc à vendre, on se prend pas le choux, on s'ammuse quand même).
Forcément ma famille est au courrant que je consomme des drogues et c'est devenu parfois assez explosif, en plus comme mon padré, à la suite d'échecs professionnels est devenu carrément suicidaire, je limitte vachement le dialogue, car vu notre caractère de grandes gueules, ça part vite en free-style.
Le gros problème maintenant est que je ne cesse de commencer à réaliser des projets et que tout d'un coup je lâche pour recommencer autre chose, tu vas me dire ça arrive à tout le monde, certes, mais moi ça dure depuis 4 ans.
Ce n'est pas un manque de courrage, mais mes envies partent dans tout les sens, je ne suis pas stable, mon avenir professionnel est assez ambigu.
Mon dèrnier projet, entrer dans la Marine Nationale.
D'après le psy, si j'y arrive je serais vraiment plus clair dans ma tête.
Les drogues maintenant: je veux me calmer et arr^ter certains produits, mais disons que pour l'instant j'en suis toujours a envisager une conso occasionnelle toute ma vie, bien que j'en connaisse parfaitement les risques.
Mon désarois, est surtout professionnel, bien que ce ne soit pas ça le plus dangereux pour ma santé.
Voilà, j'espère avoir été aussi clair que je le peux.
La drogue, j'ai commencé à 16 ans dans une période ou tout allait bien, réussite en classe (il paraît que je suis un surdoué mais pour être honnête, je ne le ressent pas spécialement), succès avec les filles, apprécié de mes camarades, le monde de Casimir pour un gosse que tout destine au mieux.
Et là, par curiosité, première prise de drogue, un cachet d'exta, suivit de joints.
Bonne impression, j'ai aimé l'effet et mon envie de me faire une idée par moi-même m'a poussée à tout tester en fait (jamais de seringue).
L'abus n'est pas venu de la quantité, mais surtout de la durée: 6 ans maintenant.
Avec mon psy, par le biais entre autre de l'hypnose (4 fois) nous n'avons pu déterminer aucun élément déclencheur dans mon passé.
Les médecins ont reconnus que ma dépendance n'est maintenant que psychologique.
J'ai par moment une envie qui supplante tout de me défoncer, mais je n'ai pas de tremblements, de nausées... comme j'en ai vu chez mes amis.
Et encore, ça se complique, puisque je suis très à l'aise en société sans produits et que je m'en passe aussi pour faire la fête (disons que si personne n'a un truc à vendre, on se prend pas le choux, on s'ammuse quand même).
Forcément ma famille est au courrant que je consomme des drogues et c'est devenu parfois assez explosif, en plus comme mon padré, à la suite d'échecs professionnels est devenu carrément suicidaire, je limitte vachement le dialogue, car vu notre caractère de grandes gueules, ça part vite en free-style.
Le gros problème maintenant est que je ne cesse de commencer à réaliser des projets et que tout d'un coup je lâche pour recommencer autre chose, tu vas me dire ça arrive à tout le monde, certes, mais moi ça dure depuis 4 ans.
Ce n'est pas un manque de courrage, mais mes envies partent dans tout les sens, je ne suis pas stable, mon avenir professionnel est assez ambigu.
Mon dèrnier projet, entrer dans la Marine Nationale.
D'après le psy, si j'y arrive je serais vraiment plus clair dans ma tête.
Les drogues maintenant: je veux me calmer et arr^ter certains produits, mais disons que pour l'instant j'en suis toujours a envisager une conso occasionnelle toute ma vie, bien que j'en connaisse parfaitement les risques.
Mon désarois, est surtout professionnel, bien que ce ne soit pas ça le plus dangereux pour ma santé.
Voilà, j'espère avoir été aussi clair que je le peux.
la drogue comble les mq de la vie, elle semble l'embélir la rendre plus facile, affronter les aléas mais ce n'est qu'une fiction, en fait elle crée plutôt des besoins et la dépendance psychique est la plus dure à combatre.
Il faut retrouver un investissement (loisirs, passion , travail...) pour compenser le mq psychologique + un travail sur soi avec une aide c'est mieux.
Prendre une drogue qquelle soit c'est regresser on recherche la fusion d'avec motre mère qui date de notre ptte enfance
Il faut retrouver un investissement (loisirs, passion , travail...) pour compenser le mq psychologique + un travail sur soi avec une aide c'est mieux.
Prendre une drogue qquelle soit c'est regresser on recherche la fusion d'avec motre mère qui date de notre ptte enfance
T'as tout compris, c'est une façon d'investir mon temps qu'il me faut, que ce soit par un loisir (mais les activités sportives que j'aime coûtent très chère, peux pas payer !: équitation, voile, surf) ou un taf sérieux, intéressant, durable un minimum, une fois arrivé à un certain équilibre, je pense qu'il sera plus facile de mettre un frein à la came.
Allez, comme ça, betite boutade: tu veux dire que ma mère se défonce elle aussi ?

Allez, comme ça, betite boutade: tu veux dire que ma mère se défonce elle aussi ?



Dernière modification par Invité le 13 janv. 2005 22:52, modifié 1 fois.
Bah, cette coupure ne me fera pas de mal je pense, et puis un bâteau militaire c'est une vraie ville, on est loin d'être seul.
Les fréquences de rentrées, aucune idée, cela dépend de ton affectation, sur le Charles de Gaule, par exemple, une mission peut durer 6 mois.
L'occasion d'aller dans des pays que je n'aurais pas eu à découvrir.
Si je suis affecté à Terre, avec des mission en eaux territoriales, ce sera perm 3 week-ends sur 4, et 1 de garde.
Je préffererais des missions longues.
C'est la mer qui prend l'homme, tatating.
Les fréquences de rentrées, aucune idée, cela dépend de ton affectation, sur le Charles de Gaule, par exemple, une mission peut durer 6 mois.
L'occasion d'aller dans des pays que je n'aurais pas eu à découvrir.
Si je suis affecté à Terre, avec des mission en eaux territoriales, ce sera perm 3 week-ends sur 4, et 1 de garde.
Je préffererais des missions longues.
C'est la mer qui prend l'homme, tatating.