Entraînement de la CG
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
moha28 a écrit :Dowbette a écrit :Au temps pour moi Emrysa pour l'environnement.
autre question:
Quel service hospitalier craignez-vous le plus et pourquoi? Que feriez-vous pour surmonter votre angoisse? (dans l'éxercice de votre profession)
Votre argumentaire comprendra une intro dvt et une conclusion
Ca rejoint un peu la question sur le type de patient qu'on appréhende le plus non?
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Bonjour, je me lance mais je ne maitrise pas trop le coup de donner véritablement son avis
L'hopital comprend de nombreux services, certains apparaissent plus difficiles que d'autres en raison du stress occasionné, du public reçu, des maladies soignées. Mais surtout en raison de la personnalité et du vécu de chaque soignant.
Le service qui m'apparait être le plus difficile actuellement est la réanimation néonatale. Voir de petits bouts si fragiles en souffrance, les voir éventuellement mourrir, me semble émotionnellement tres difficile à surmonter. D'autant plus qu'étant mère je crains de faire des "projections" sur ces petits patients.
Pour parvenir à gérer mes émotions, il me faudrait apprendre à concerver une certaine distance. A défaut mon travail ne serait plus professionnel. Aussi afin de rester la plus aidante possible, en cas de dificulté, je soliciterais l'aide de mes collègues et des cadres. Et surtout je n'hésiterais pas à consulter le psychologue de mon service afin de surmonter ces problèmes. Enfin je demanderais à participer à une formation adéquate,(groupe de paroles , soutient et conseil pour faire face aux situations de deuil ...).
Chaque soignant a son propre univers, ses propres craintes et bien que certains malades face plus echo en nous que d'autre, avec la volonté d'aider et en sollicitant toutes les ressources disponibles il est possible d'accomplir son travail avec empathie mais aussi professionnalisme .
Qu'en pensez vous ?

L'hopital comprend de nombreux services, certains apparaissent plus difficiles que d'autres en raison du stress occasionné, du public reçu, des maladies soignées. Mais surtout en raison de la personnalité et du vécu de chaque soignant.
Le service qui m'apparait être le plus difficile actuellement est la réanimation néonatale. Voir de petits bouts si fragiles en souffrance, les voir éventuellement mourrir, me semble émotionnellement tres difficile à surmonter. D'autant plus qu'étant mère je crains de faire des "projections" sur ces petits patients.
Pour parvenir à gérer mes émotions, il me faudrait apprendre à concerver une certaine distance. A défaut mon travail ne serait plus professionnel. Aussi afin de rester la plus aidante possible, en cas de dificulté, je soliciterais l'aide de mes collègues et des cadres. Et surtout je n'hésiterais pas à consulter le psychologue de mon service afin de surmonter ces problèmes. Enfin je demanderais à participer à une formation adéquate,(groupe de paroles , soutient et conseil pour faire face aux situations de deuil ...).
Chaque soignant a son propre univers, ses propres craintes et bien que certains malades face plus echo en nous que d'autre, avec la volonté d'aider et en sollicitant toutes les ressources disponibles il est possible d'accomplir son travail avec empathie mais aussi professionnalisme .
Qu'en pensez vous ?

ESI 3ème année
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mariedumon a écrit :Bonjour, je me lance mais je ne maitrise pas trop le coup de donner véritablement son avis![]()
L'hopital comprend de nombreux services, certains apparaissent plus difficiles que d'autres en raison du stress occasionné, du public reçu, des maladies soignées. Mais surtout en raison de la personnalité et du vécu de chaque soignant.
Le service qui m'apparait être le plus difficile actuellement est la réanimation néonatale. Voir de petits bouts si fragiles en souffrance, les voir éventuellement mourrir, me semble émotionnellement tres difficile à surmonter. D'autant plus qu'étant mère je crains de faire des "projections" sur ces petits patients.
Pour parvenir à gérer mes émotions, il me faudrait apprendre à concerver une certaine distance. A défaut mon travail ne serait plus professionnel. Aussi afin de rester la plus aidante possible, en cas de dificulté, je soliciterais l'aide de mes collègues et des cadres. Et surtout je n'hésiterais pas à consulter le psychologue de mon service afin de surmonter ces problèmes. Enfin je demanderais à participer à une formation adéquate,(groupe de paroles , soutient et conseil pour faire face aux situations de deuil ...).
Chaque soignant a son propre univers, ses propres craintes et bien que certains malades face plus echo en nous que d'autre, avec la volonté d'aider et en sollicitant toutes les ressources disponibles il est possible d'accomplir son travail avec empathie mais aussi professionnalisme .
Qu'en pensez vous ?
je trouve ca tres bien mais c'est un avis d'1 nulle en cg
"faire et refaire c'est toujours travailler"
maman de 2 princes et d'une princesse
Infirmière
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sakhiyya a écrit :Epreuve d'admissibilité mars 2004
La philo, c'est bon de 7 à 77 ans.
Comment expliquer cet engouement pour la philosophie§?
dans une societe ou tout va vite besoin de comprendre la "vie",
besoin de reflexion "cogito ergo sum"je pense donc je suis
moment de detente
de voir du positif dans le negatif
"carpe diem "profitez du jour present
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Infirmière
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mariedumon a écrit :Bonjour, je me lance mais je ne maitrise pas trop le coup de donner véritablement son avis![]()
L'hopital comprend de nombreux services, certains apparaissent plus difficiles que d'autres en raison du stress occasionné, du public reçu, des maladies soignées. Mais surtout en raison de la personnalité et du vécu de chaque soignant.
Le service qui m'apparait être le plus difficile actuellement est la réanimation néonatale. Voir de petits bouts si fragiles en souffrance, les voir éventuellement mourrir, me semble émotionnellement tres difficile à surmonter. D'autant plus qu'étant mère je crains de faire des "projections" sur ces petits patients.
Pour parvenir à gérer mes émotions, il me faudrait apprendre à concerver une certaine distance. A défaut mon travail ne serait plus professionnel. Aussi afin de rester la plus aidante possible, en cas de dificulté, je soliciterais l'aide de mes collègues et des cadres. Et surtout je n'hésiterais pas à consulter le psychologue de mon service afin de surmonter ces problèmes. Enfin je demanderais à participer à une formation adéquate,(groupe de paroles , soutient et conseil pour faire face aux situations de deuil ...).
Chaque soignant a son propre univers, ses propres craintes et bien que certains malades face plus echo en nous que d'autre, avec la volonté d'aider et en sollicitant toutes les ressources disponibles il est possible d'accomplir son travail avec empathie mais aussi professionnalisme .
Qu'en pensez vous ?
pas mal....
Pensez-vous que l'éducation ne se fait qu'à l'école?
ESI 2010-2013!!!
I- l'éducation à l'école :
- on apprend le respect ( se lever lorsqu'un prof arrive, ne pas couper la parole etc... )
- intervenants extérieurs pour l'éducation sexuelle, respecter les consignes de sécurité ( au volant etc... )
- apprentissage de l'écrit, la lecture et soutien pour les devoirs
II - les autres acteurs de l'éducation
- famille : règles de savoir-vivre ( on ne rote pas à table, on attend que tout le monde ait fini de manger pour sortir de table )
- rôle des médias : infos, campagnes de prévention etC...
- rôle des pairs : amis, entourage, travail etc...
- on apprend le respect ( se lever lorsqu'un prof arrive, ne pas couper la parole etc... )
- intervenants extérieurs pour l'éducation sexuelle, respecter les consignes de sécurité ( au volant etc... )
- apprentissage de l'écrit, la lecture et soutien pour les devoirs
II - les autres acteurs de l'éducation
- famille : règles de savoir-vivre ( on ne rote pas à table, on attend que tout le monde ait fini de manger pour sortir de table )
- rôle des médias : infos, campagnes de prévention etC...
- rôle des pairs : amis, entourage, travail etc...
IDE depuis le 31 mai 2012 !

- ptitjustine
- Adepte
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question qui me pose problème: quels sont les conséquences de la banalisation du sida en france ?
Je ne vois pas quels sont less adaptés ?
Par contre j'aurai commençé par la défénition du sida ( Syndrome d'ImmunoDificiende acquise ). Pour les conséquences de la banalisation du sida, je pense à un relachement des comportements
- manque de protections pendant les raports et d'hygiènes
- manque de dépistages alors qu'il est gratuit dans certains cas
- fausses imformations du dtyle qu'il existe un vaccin
mais je bloque pur le plan, alors si vous avez une idée, à vos clavier !
Je ne vois pas quels sont less adaptés ?
Par contre j'aurai commençé par la défénition du sida ( Syndrome d'ImmunoDificiende acquise ). Pour les conséquences de la banalisation du sida, je pense à un relachement des comportements
- manque de protections pendant les raports et d'hygiènes
- manque de dépistages alors qu'il est gratuit dans certains cas
- fausses imformations du dtyle qu'il existe un vaccin
mais je bloque pur le plan, alors si vous avez une idée, à vos clavier !
Pensez-vous que l'éducation ne se fasse qu'a l'école?
L'enfant naît dans la première cellule sociale, à savoir la famille qui y excerce un rôle éducatif. Toutefois, l'école à une part non négligable dans ce processus.
L'école excerce un rôle éducatif: acquissition des normes de la société, du respect.
Rôle social: socialisation de l'enfant, premier contact vers l'extérieur(maternelles); eventuel relai entre la famille et l'enfant
Néanmoins, c'est à la famille qu'incombe la plus grande part d'éducation. Aujourd'hui, des spécialistes affirme qu'il y a des déficiences d'éducation chez les familles les plus défavorisées, comme le démontre les délits effectués par des enfants de plus en plus jeunes
L'enfant naît dans la première cellule sociale, à savoir la famille qui y excerce un rôle éducatif. Toutefois, l'école à une part non négligable dans ce processus.
L'école excerce un rôle éducatif: acquissition des normes de la société, du respect.
Rôle social: socialisation de l'enfant, premier contact vers l'extérieur(maternelles); eventuel relai entre la famille et l'enfant
Néanmoins, c'est à la famille qu'incombe la plus grande part d'éducation. Aujourd'hui, des spécialistes affirme qu'il y a des déficiences d'éducation chez les familles les plus défavorisées, comme le démontre les délits effectués par des enfants de plus en plus jeunes
Dowbette a écrit :I- l'éducation à l'école :
- on apprend le respect ( se lever lorsqu'un prof arrive, ne pas couper la parole etc... )
- intervenants extérieurs pour l'éducation sexuelle, respecter les consignes de sécurité ( au volant etc... )
- apprentissage de l'écrit, la lecture et soutien pour les devoirs
II - les autres acteurs de l'éducation
- famille : règles de savoir-vivre ( on ne rote pas à table, on attend que tout le monde ait fini de manger pour sortir de table )
- rôle des médias : infos, campagnes de prévention etC...
- rôle des pairs : amis, entourage, travail etc...
pas mal tes réponses j ajouterais le sport qui permet de respecter son adversaire "le salu" comme le judo par exemle
ESI 2010-2013!!!
ptitjustine a écrit :question qui me pose problème: quels sont les conséquences de la banalisation du sida en france ?
Je ne vois pas quels sont less adaptés ?
Par contre j'aurai commençé par la défénition du sida ( Syndrome d'ImmunoDificiende acquise ). Pour les conséquences de la banalisation du sida, je pense à un relachement des comportements
- manque de protections pendant les raports et d'hygiènes
- manque de dépistages alors qu'il est gratuit dans certains cas
- fausses imformations du dtyle qu'il existe un vaccin
mais je bloque pur le plan, alors si vous avez une idée, à vos clavier !
les conséquences:
je dirais:
des rapports non protéges
le sida vécu comme une maladie normale donc risque de prolifération ou de contaminations plus importantes.
des campagnes d'informations qui n'ont plus aucun intérêt
des coûts liés à la prise en charge des malades plus chers.
ESI 2010-2013!!!
Aujourd-hui, la prévention sur le SIDA fléchit, les jeunes sont de moins en moins au courant des risques qu'incombent cette maladie et les médias traitent moins du sujet. Quels sont les conséquences de cette banalisation?
La prévension au sein des établissements scolaires est moindre: les jeunes ne sont pas informés et peuvent ainsi adopter des comportements à risques (oubli du préservatif...). De même, notre société est le théâtre d'une banalisation de la maladie: des fausses idées persistent ( sida que pour les homos, vaccin) alors que la maladie sévit toujours.
En dépit, d'un jour consacré au SIDA ( 1er dec), les médias parlent peu du sujet, le SIDA n'interesse plus, on assite à une erossion de cette maladie.
C'est bref, c'est une question difficile quoi!!
La prévension au sein des établissements scolaires est moindre: les jeunes ne sont pas informés et peuvent ainsi adopter des comportements à risques (oubli du préservatif...). De même, notre société est le théâtre d'une banalisation de la maladie: des fausses idées persistent ( sida que pour les homos, vaccin) alors que la maladie sévit toujours.
En dépit, d'un jour consacré au SIDA ( 1er dec), les médias parlent peu du sujet, le SIDA n'interesse plus, on assite à une erossion de cette maladie.
C'est bref, c'est une question difficile quoi!!