Faits d'actualité pour la culture générale de 2007/2008
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Une semaine pour vos reins !
[5 octobre 2007 - 14:00]
Samedi s’ouvre la 3ème Semaine nationale du Rein. Jusqu’au 14 octobre et dans toute la France, les associations de patients se mobilisent pour informer le grand public sur les maladies rénales, qui touchent près de trois millions de Français.
Durant cette semaine placée sous le haut patronage du ministère de la Santé, de nombreux dépistages gratuits par bandelettes urinaires seront proposés dans plus de cent établissements de soins et lieux publics. Une démarche essentielle selon Régis Volle, président de la Fédération nationale d’Aide aux Insuffisants rénaux (FNAIR). Car « on sait aujourd’hui qu’une prise en charge précoce et adaptée peut éviter ou ralentir l’évolution vers l’insuffisance rénale terminale ». Et donc vers la dialyse ou la transplantation, des traitements lourds et invalidants.
Or d’après deux enquêtes BVA menées en 2005 et 2006, la plupart des Français connaissent très mal leurs reins ! A tel point que beaucoup « ignorent jusqu’à leur emplacement et leur fonction » poursuit Régis Volle. D’où l’idée de mobiliser les enfants dès leur plus jeune âge à travers « l’Opération Jules ». Les écoliers de CM1 et CM2 sont ainsi invités à rédiger sur une carte postale -avec l’aide bienvenue de Papa et Maman…- un message de sensibilisation aux risques des maladies rénales.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[5 octobre 2007 - 14:00]
Samedi s’ouvre la 3ème Semaine nationale du Rein. Jusqu’au 14 octobre et dans toute la France, les associations de patients se mobilisent pour informer le grand public sur les maladies rénales, qui touchent près de trois millions de Français.
Durant cette semaine placée sous le haut patronage du ministère de la Santé, de nombreux dépistages gratuits par bandelettes urinaires seront proposés dans plus de cent établissements de soins et lieux publics. Une démarche essentielle selon Régis Volle, président de la Fédération nationale d’Aide aux Insuffisants rénaux (FNAIR). Car « on sait aujourd’hui qu’une prise en charge précoce et adaptée peut éviter ou ralentir l’évolution vers l’insuffisance rénale terminale ». Et donc vers la dialyse ou la transplantation, des traitements lourds et invalidants.
Or d’après deux enquêtes BVA menées en 2005 et 2006, la plupart des Français connaissent très mal leurs reins ! A tel point que beaucoup « ignorent jusqu’à leur emplacement et leur fonction » poursuit Régis Volle. D’où l’idée de mobiliser les enfants dès leur plus jeune âge à travers « l’Opération Jules ». Les écoliers de CM1 et CM2 sont ainsi invités à rédiger sur une carte postale -avec l’aide bienvenue de Papa et Maman…- un message de sensibilisation aux risques des maladies rénales.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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H5N1 : la mutation vers une souche pandémique s’accélère
[5 octobre 2007 - 15:29]
Des chercheurs américains ont découvert une « étape-clé » franchie par H5N1 dans sa mutation, et qui pourrait lui permettre de se transformer en virus grippal humain ouvrant la voie à une pandémie. Rappelons que pour l’heure, H5N1 demeure un virus purement aviaire.
Dans la revue PloS Pathogens » le Dr Yoshihiro Kawaoka, de l’Université du Wisconsin à Madison explique que « la mutation sur une des protéines virales de H5N1 a été identifiée à partir d’échantillons prélevés sur des oiseaux malades d’Europe et d’Afrique ». Cette transformation permettrait au virus aviaire de mieux supporter notre température corporelle de 37° (celle des oiseaux est d’environ 41°) et donc de se développer dans nos voies respiratoires supérieures.
En fait, la mutation fournirait au virus H5N1 une des clés qui lui sont indispensables pour se multiplier dans notre organisme. « Ces clés désactiveraient les verrous que sont les récepteurs équipant nos cellules », précise le Dr Kawaoka. Rassurez-vous, nous n’en sommes pas encore là. « H5N1 devra encore muter à plusieurs reprises » poursuit l’auteur.
D’ailleurs, les autorités sanitaires françaises ont décidé d’abaisser d’un cran le niveau de risque sur l’ensemble du territoire : ce dernier est passé aujourd’hui du niveau « élevé » à « modéré », conformément au Plan national de prévention et de lutte contre une pandémie grippale. Cette baisse du niveau du risque entraîne quelques assouplissements : les rassemblements d’oiseaux sont de nouveau autorisés, leur confinement est levé, et les conditions de participation des pigeons voyageurs à des compétitions sont allégées. Seules les communes des zones humides à risques ne bénéficient pas de ces allègements.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[5 octobre 2007 - 15:29]
Des chercheurs américains ont découvert une « étape-clé » franchie par H5N1 dans sa mutation, et qui pourrait lui permettre de se transformer en virus grippal humain ouvrant la voie à une pandémie. Rappelons que pour l’heure, H5N1 demeure un virus purement aviaire.
Dans la revue PloS Pathogens » le Dr Yoshihiro Kawaoka, de l’Université du Wisconsin à Madison explique que « la mutation sur une des protéines virales de H5N1 a été identifiée à partir d’échantillons prélevés sur des oiseaux malades d’Europe et d’Afrique ». Cette transformation permettrait au virus aviaire de mieux supporter notre température corporelle de 37° (celle des oiseaux est d’environ 41°) et donc de se développer dans nos voies respiratoires supérieures.
En fait, la mutation fournirait au virus H5N1 une des clés qui lui sont indispensables pour se multiplier dans notre organisme. « Ces clés désactiveraient les verrous que sont les récepteurs équipant nos cellules », précise le Dr Kawaoka. Rassurez-vous, nous n’en sommes pas encore là. « H5N1 devra encore muter à plusieurs reprises » poursuit l’auteur.
D’ailleurs, les autorités sanitaires françaises ont décidé d’abaisser d’un cran le niveau de risque sur l’ensemble du territoire : ce dernier est passé aujourd’hui du niveau « élevé » à « modéré », conformément au Plan national de prévention et de lutte contre une pandémie grippale. Cette baisse du niveau du risque entraîne quelques assouplissements : les rassemblements d’oiseaux sont de nouveau autorisés, leur confinement est levé, et les conditions de participation des pigeons voyageurs à des compétitions sont allégées. Seules les communes des zones humides à risques ne bénéficient pas de ces allègements.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Chikungunya en Italie: pas de contamination locale en France, selon Bachelot
il y a 2 heures 27 minutes
LYON (AFP) - La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a affirmé vendredi à Lyon qu'il n'y avait pas eu de malade contaminé par le chikungunya sur le territoire métropolitain français, après l'épidémie estivale survenue en Italie du nord, ayant touché une centaine de personnes.
"Pour l'instant, il n'y a pas eu de cas autochtones de chikungunya, les seuls cas repérés étant des cas +importés+, des visiteurs qui venaient de pays endémiques ou d'Italie par exemple", a précisé la ministre, en visite au Centre national de référence (CNR) sur les arbovirus, chargé de la surveillance épidémiologique des maladies infectieuses.
"Tous ces cas sont surveillés avec beaucoup de soins", a ajouté Mme Bachelot, qui a appelé à "beaucoup de vigilance" car "le moustique vecteur du virus est sur le sol français", dans les Alpes-Maritimes, le Var et la Corse.
Selon le CNR de Lyon, entre avril 2005 et janvier 2007, 898 cas de chikungunya ont été dénombrés en France métropolitaine, tous importés.
Cet été, dans la région de Ravenne (Italie), un voyageur venu d'Inde, porteur du virus du chikungunya, avait été piqué par un moustique ("aedes albopictus"), à qui il avait transmis la maladie et qui avait ensuite infecté des habitants de deux villages comptant au total 4.000 habitants.
Selon le directeur du CNR de Lyon, Hervé Zeller, "quelque 280 cas suspects de chikungunya ont été recensés dans cette zone, dont 120 ont été confirmés". "Il s'agit de la première épidémie hors zone tropicale", a-t-il ajouté.
La maladie, qui ne se transmet pas directement d'homme à homme, se traduit par une forte fièvre (plus de 39°C), des éruptions cutanées et des courbatures dans les articulations.
Au cours de l'hiver 2005-2006 à la Réunion, l'épidémie de chikungunya avait touché près de 40% de la population de l'île, a rappelé Isabelle Schuffenecker, directrice-adjointe du CNR de Lyon, soulignant qu'il n'existait pour ce virus, comme pour celui de la dengue, aucun traitement spécifique ni aucun vaccin commercialisé.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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LYON (AFP) - La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a affirmé vendredi à Lyon qu'il n'y avait pas eu de malade contaminé par le chikungunya sur le territoire métropolitain français, après l'épidémie estivale survenue en Italie du nord, ayant touché une centaine de personnes.
"Pour l'instant, il n'y a pas eu de cas autochtones de chikungunya, les seuls cas repérés étant des cas +importés+, des visiteurs qui venaient de pays endémiques ou d'Italie par exemple", a précisé la ministre, en visite au Centre national de référence (CNR) sur les arbovirus, chargé de la surveillance épidémiologique des maladies infectieuses.
"Tous ces cas sont surveillés avec beaucoup de soins", a ajouté Mme Bachelot, qui a appelé à "beaucoup de vigilance" car "le moustique vecteur du virus est sur le sol français", dans les Alpes-Maritimes, le Var et la Corse.
Selon le CNR de Lyon, entre avril 2005 et janvier 2007, 898 cas de chikungunya ont été dénombrés en France métropolitaine, tous importés.
Cet été, dans la région de Ravenne (Italie), un voyageur venu d'Inde, porteur du virus du chikungunya, avait été piqué par un moustique ("aedes albopictus"), à qui il avait transmis la maladie et qui avait ensuite infecté des habitants de deux villages comptant au total 4.000 habitants.
Selon le directeur du CNR de Lyon, Hervé Zeller, "quelque 280 cas suspects de chikungunya ont été recensés dans cette zone, dont 120 ont été confirmés". "Il s'agit de la première épidémie hors zone tropicale", a-t-il ajouté.
La maladie, qui ne se transmet pas directement d'homme à homme, se traduit par une forte fièvre (plus de 39°C), des éruptions cutanées et des courbatures dans les articulations.
Au cours de l'hiver 2005-2006 à la Réunion, l'épidémie de chikungunya avait touché près de 40% de la population de l'île, a rappelé Isabelle Schuffenecker, directrice-adjointe du CNR de Lyon, soulignant qu'il n'existait pour ce virus, comme pour celui de la dengue, aucun traitement spécifique ni aucun vaccin commercialisé.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Don d'organes, une pensée pour y penser
Jeudi 04 octobre 2007
Chaque année en France, seulement un tiers des malades qui ont besoin d'une greffe peuvent être transplantés. Tous les jours, un homme, une femme ou un enfant meurent à force d'avoir trop attendu la greffe qui les aurait sauvé. Face à cette situation, l'association Greffe de vie lance une nouvelle campagne d'information.
Le samedi 13 et le dimanche 14 octobre 2007, des jardins extraordinaires et éphémères de pensées fleuriront au coeur des villes. Le public sera invité à découvrir ce lieu exceptionnel, porteur de Vie et d'espoir pour les milliers de malades en attente de greffe. Chaque jardin sera animé (concerts, spectacles, jeux, etc.) : un rendez-vous original, placé sous le signe de la fête et de la vie.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Jeudi 04 octobre 2007
Chaque année en France, seulement un tiers des malades qui ont besoin d'une greffe peuvent être transplantés. Tous les jours, un homme, une femme ou un enfant meurent à force d'avoir trop attendu la greffe qui les aurait sauvé. Face à cette situation, l'association Greffe de vie lance une nouvelle campagne d'information.
Le samedi 13 et le dimanche 14 octobre 2007, des jardins extraordinaires et éphémères de pensées fleuriront au coeur des villes. Le public sera invité à découvrir ce lieu exceptionnel, porteur de Vie et d'espoir pour les milliers de malades en attente de greffe. Chaque jardin sera animé (concerts, spectacles, jeux, etc.) : un rendez-vous original, placé sous le signe de la fête et de la vie.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Première mondiale: le Canada va exporter des génériques antisida au Rwanda
AFP - Vendredi 5 octobre, 22h47
MONTREAL (AFP) - Le Canada est devenu le premier pays à recourir à une dérogation au droit des brevets adoptée par l'Organisation mondiale du Commerce (OMC) pour faciliter l'exportation vers le Rwanda d'une version générique d'un médicament breveté contre le sida, a annoncé l'OMC.
Dans un communiqué publié sur son site, l'OMC précise qu'elle a reçu du Canada une notification pour permettre au groupe pharmaceutique canadien Apotex d'exporter l'antirétroviral TriAvir au Rwanda.
Le Rwanda avait déjà informé l'OMC en juillet de son intention d'importer sur deux ans 260.000 boîtes de ce médicament générique.
"La notification du Canada complète le processus" en vue de l'exportation, la première depuis l'adoption en 2003 par l'OMC de dispositions facilitant l'importation par des pays en développement de copies de produits brevetés qu'ils sont incapables de fabriquer eux-mêmes.
La décision de l'OMC complétait elle-même la déclaration de Doha du 14 novembre 2001 sur l'Accord sur les droits de propriété intellectuelle et la santé publique. Cette déclaration autorisait un pays à octroyer à une société nationale une "licence obligatoire" lui permettant de copier un médicament étranger en cas de situation d'urgence sanitaire comme le sida, le paludisme, la tuberculose et "d'autres épidémies".
Selon une étude de 2006, 3% des Rwandais sont séropositifs.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
AFP - Vendredi 5 octobre, 22h47
MONTREAL (AFP) - Le Canada est devenu le premier pays à recourir à une dérogation au droit des brevets adoptée par l'Organisation mondiale du Commerce (OMC) pour faciliter l'exportation vers le Rwanda d'une version générique d'un médicament breveté contre le sida, a annoncé l'OMC.
Dans un communiqué publié sur son site, l'OMC précise qu'elle a reçu du Canada une notification pour permettre au groupe pharmaceutique canadien Apotex d'exporter l'antirétroviral TriAvir au Rwanda.
Le Rwanda avait déjà informé l'OMC en juillet de son intention d'importer sur deux ans 260.000 boîtes de ce médicament générique.
"La notification du Canada complète le processus" en vue de l'exportation, la première depuis l'adoption en 2003 par l'OMC de dispositions facilitant l'importation par des pays en développement de copies de produits brevetés qu'ils sont incapables de fabriquer eux-mêmes.
La décision de l'OMC complétait elle-même la déclaration de Doha du 14 novembre 2001 sur l'Accord sur les droits de propriété intellectuelle et la santé publique. Cette déclaration autorisait un pays à octroyer à une société nationale une "licence obligatoire" lui permettant de copier un médicament étranger en cas de situation d'urgence sanitaire comme le sida, le paludisme, la tuberculose et "d'autres épidémies".
Selon une étude de 2006, 3% des Rwandais sont séropositifs.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Des indicateurs pour mieux appréhender le stress au travail, encore malconnu
AFP - il y a 20 minutes
PARIS (AFP) - La mise en place d'indicateurs "fiables et partagés" sur le stress au travail, annoncée jeudi par Xavier Bertrand, doit servir à mieux appréhender un phénomène encore malconnu, même si des signaux d'alerte, comme le taux d'absentéisme ou d'accidents du travail, existent déjà.
Le ministre du Travail Xavier Bertrand a annoncé jeudi, lors de la conférence syndicats-patronat-gouvernement sur l'amélioration des conditions de travail, la constitution, au plus tard début novembre, d'un groupe d'experts pour proposer, d'ici au 15 janvier 2008, une série d'indicateurs "fiables et partagés" sur les risques psycho-sociaux dans l'entreprise, comme le stress, la dépression, le mal-être.
"Depuis quelques temps, depuis peu de temps, le stress est évoqué", a reconnu le ministre à l'issue de la conférence. Le phénomène s'est notamment tragiquement illustré ces derniers mois par une série de suicides de salariés dans leur entreprise notamment dans le secteur de l'automobile, comme au technocentre Renault de Guyancourt (Yvelines) ou à l'usine PSA de Mulhouse.
Selon un sondage TNS Sofres de juillet, trois quarts des Français (75%) estiment que le mot "stress" décrit le mieux la façon dont beaucoup de gens vivent leur travail.
Une enquête européenne de 2005 révéle également que 27% des travailleurs se plaignaient de problèmes de santé liés à un travail stressant.
"Mais on ne traite bien que ce que l'on connaît bien", a ajouté M. Bertrand. "Le travail s'est intensifié, la concurrence s'est accrue, cela a des conséquences sur les salariés. Or aujourd'hui, si tout le monde admet la réalité du problème, nous n'avons pas d'indicateurs", a-t-il ajouté.
Le poids de ces pathologies est en effet difficile à connaître, d'autant que les troubles dépressifs au travail ne font pas l'objet d'un tableau des maladies professionnelles de la CNAMTS.
Et l'absence de statistiques précises ne permet pas de connaître le nombre de suicides liés au travail, d'autant que ces décès sont rarement déclarés en accident du travail.
Les indicateurs doivent permettre de "mesurer le nombre de salariés exposés à ces risques, de savoir quelles en sont les conséquences précises sur la santé au travail ou encore quels sont les moyens de les prévenir", a-t-il précisé.
Ils permettraient aussi aux employeurs et syndicats de s'accorder sur les responsabilités. Beaucoup d'employeurs préfèrent renvoyer le problème hors du champ du travail, en l'attribuant à une fragilité individuelle, alors que les syndicats mettent souvent en cause l'organisation du travail et demandent des mesures préventives et collectives d'amélioration des conditions de travail.
Parmi les indicateurs possibles, le ministre a notamment évoqué l'absentéisme dans les entreprises. Un élément effectivement considéré par beaucoup d'experts (Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail, INRS) comme pouvant être synonyme d'une situation de travail très dégradée.
De même, le "turn-over" important, le mal-être ambiant, la violence, mais aussi le recours à des produits addictifs (alcool, tabac, somnifères, anxiolitiques, drogues) ou l'augmentation des problèmes de santé chez les salariés (douleurs musculaires et articulaires, fatigue, troubles du sommeil, sensibilité accrue, angoisse), peuvent être des signaux d'alarme, même s'ils alertent surtout des conséquences du stress, et non des causes.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
AFP - il y a 20 minutes
PARIS (AFP) - La mise en place d'indicateurs "fiables et partagés" sur le stress au travail, annoncée jeudi par Xavier Bertrand, doit servir à mieux appréhender un phénomène encore malconnu, même si des signaux d'alerte, comme le taux d'absentéisme ou d'accidents du travail, existent déjà.
Le ministre du Travail Xavier Bertrand a annoncé jeudi, lors de la conférence syndicats-patronat-gouvernement sur l'amélioration des conditions de travail, la constitution, au plus tard début novembre, d'un groupe d'experts pour proposer, d'ici au 15 janvier 2008, une série d'indicateurs "fiables et partagés" sur les risques psycho-sociaux dans l'entreprise, comme le stress, la dépression, le mal-être.
"Depuis quelques temps, depuis peu de temps, le stress est évoqué", a reconnu le ministre à l'issue de la conférence. Le phénomène s'est notamment tragiquement illustré ces derniers mois par une série de suicides de salariés dans leur entreprise notamment dans le secteur de l'automobile, comme au technocentre Renault de Guyancourt (Yvelines) ou à l'usine PSA de Mulhouse.
Selon un sondage TNS Sofres de juillet, trois quarts des Français (75%) estiment que le mot "stress" décrit le mieux la façon dont beaucoup de gens vivent leur travail.
Une enquête européenne de 2005 révéle également que 27% des travailleurs se plaignaient de problèmes de santé liés à un travail stressant.
"Mais on ne traite bien que ce que l'on connaît bien", a ajouté M. Bertrand. "Le travail s'est intensifié, la concurrence s'est accrue, cela a des conséquences sur les salariés. Or aujourd'hui, si tout le monde admet la réalité du problème, nous n'avons pas d'indicateurs", a-t-il ajouté.
Le poids de ces pathologies est en effet difficile à connaître, d'autant que les troubles dépressifs au travail ne font pas l'objet d'un tableau des maladies professionnelles de la CNAMTS.
Et l'absence de statistiques précises ne permet pas de connaître le nombre de suicides liés au travail, d'autant que ces décès sont rarement déclarés en accident du travail.
Les indicateurs doivent permettre de "mesurer le nombre de salariés exposés à ces risques, de savoir quelles en sont les conséquences précises sur la santé au travail ou encore quels sont les moyens de les prévenir", a-t-il précisé.
Ils permettraient aussi aux employeurs et syndicats de s'accorder sur les responsabilités. Beaucoup d'employeurs préfèrent renvoyer le problème hors du champ du travail, en l'attribuant à une fragilité individuelle, alors que les syndicats mettent souvent en cause l'organisation du travail et demandent des mesures préventives et collectives d'amélioration des conditions de travail.
Parmi les indicateurs possibles, le ministre a notamment évoqué l'absentéisme dans les entreprises. Un élément effectivement considéré par beaucoup d'experts (Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail, INRS) comme pouvant être synonyme d'une situation de travail très dégradée.
De même, le "turn-over" important, le mal-être ambiant, la violence, mais aussi le recours à des produits addictifs (alcool, tabac, somnifères, anxiolitiques, drogues) ou l'augmentation des problèmes de santé chez les salariés (douleurs musculaires et articulaires, fatigue, troubles du sommeil, sensibilité accrue, angoisse), peuvent être des signaux d'alarme, même s'ils alertent surtout des conséquences du stress, et non des causes.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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100 000 doses illégales : saisie record de médicaments
C’est au mois de Septembre que les douanes de Paris ont décelé 100 000 doses de médicaments illégales : contrefaits, il proviendraient de Chine.
La saisie a été faite suite à plusieurs inspections au sein d’herboristeries et de magasin diététiques de la capitale. Le communiqué de la Direction Générale des Douanes précise que «la détention de ces produits prohibés est consécutive à des opérations d’importation en contrebande et s’inscrit dans le cadre d’un exercice illégal de la profession de pharmacien» ; « la marchandise saisie, extrêmement variée, se décomposait en 350 types de produits, a ajouté la Direction générale des douanes. On a même retrouvé cinq cornes d’antilopes, dont la poudre était censée faire chuter la fièvre ou avoir des vertus aphrodisiaques... »
350 remèdes dangereux selon les douanes. Commercialisés par de pseudos pharmaciens chinois, les douanes parisiennes sont à l’origine de la plus grosse saisie de médicaments de contrebande en France. Fioles, pilules, cachets…les formes sont variées. Le principe était simple dans ces « épiceries » médicamenteuses : une négociation à l’unité avec le client, généralement dépourvu de revenus après décrit sa pathologie.
Seulement le danger est bien réel : placebos ou hyperdosés ? Ils pourraient ainsi provoquer de graves effets secondaires ou intoxications. L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a fait appel à un laboratoire d’experts en vue de déterminer leurs effets.
Une opération des Douanes parisiennes rappelant celle du mois de juillet ayant saisi plus de 20 000 doses. Les saisies des médicaments battent leur plein : elles ont été multipliées par 35 dans l’Hexagone.
Ces épiciers encourent trois ans d’emprisonnement.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
C’est au mois de Septembre que les douanes de Paris ont décelé 100 000 doses de médicaments illégales : contrefaits, il proviendraient de Chine.
La saisie a été faite suite à plusieurs inspections au sein d’herboristeries et de magasin diététiques de la capitale. Le communiqué de la Direction Générale des Douanes précise que «la détention de ces produits prohibés est consécutive à des opérations d’importation en contrebande et s’inscrit dans le cadre d’un exercice illégal de la profession de pharmacien» ; « la marchandise saisie, extrêmement variée, se décomposait en 350 types de produits, a ajouté la Direction générale des douanes. On a même retrouvé cinq cornes d’antilopes, dont la poudre était censée faire chuter la fièvre ou avoir des vertus aphrodisiaques... »
350 remèdes dangereux selon les douanes. Commercialisés par de pseudos pharmaciens chinois, les douanes parisiennes sont à l’origine de la plus grosse saisie de médicaments de contrebande en France. Fioles, pilules, cachets…les formes sont variées. Le principe était simple dans ces « épiceries » médicamenteuses : une négociation à l’unité avec le client, généralement dépourvu de revenus après décrit sa pathologie.
Seulement le danger est bien réel : placebos ou hyperdosés ? Ils pourraient ainsi provoquer de graves effets secondaires ou intoxications. L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a fait appel à un laboratoire d’experts en vue de déterminer leurs effets.
Une opération des Douanes parisiennes rappelant celle du mois de juillet ayant saisi plus de 20 000 doses. Les saisies des médicaments battent leur plein : elles ont été multipliées par 35 dans l’Hexagone.
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Héraclite d'Ephèse
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Le virus de la grippe aviaire pourrait s'"humaniser"
Deux récentes études apportent de nouveaux et inquiétants éléments sur les mécanismes de l'infection humaine par le virus H5N1, responsable de l'actuelle épizootie de grippe aviaire hautement pathogène. Dans un travail publié, jeudi 4 octobre, dans Public Library of Science Pathogens, un groupe de chercheurs de l'université de Wisconsin-Madison, dirigé par Yoshiro Kawaoka, explique avoir identifié une des clés faisant que l'infection par le H5N1 peut ou non avoir des conséquences mortelles.
Selon ces chercheurs, c'est une simple mutation d'une protéine de surface qui accroît la virulence de cet agent pathogène en lui permettant d'aller infecter les cellules situées en profondeur dans l'arbre bronchique. Si cette mutation ne se produit pas, le virus reste dans les régions supérieures des poumons et ne parvient pas à altérer la fonction respiratoire au point que les conséquences de l'infection soient mortelles.
D'après les auteurs de cet article, les souches de H5N1 qui circulent aujourd'hui en Asie, en Afrique et en Europe au sein des populations aviaires sont plus aptes à infecter l'homme et les mammifères que les premières souches identifiées en 1997. Ils estiment aussi que la clé moléculaire qu'ils ont mise en évidence pourrait constituer une "plate-forme" à partir de laquelle le virus pourrait bientôt s'"humaniser" et provoquer une pandémie.
Publié dans The Lancet du 29 septembre, le travail d'une équipe, dirigée par le professeur Jiang Gu (université de Pékin), établit, d'autre part, que l'infection humaine peut aussi atteindre de nombreux organes comme les ganglions lymphatiques, l'intestin et le cerveau. Chez la femme enceinte, le virus peut traverser le placenta et toucher le foetus. Ces résultats laissent craindre qu'une éventuelle pandémie serait très difficile à contrôler du fait des plus grandes possibilités de contaminations inter-humaines.
Jean-Yves Nau
Article paru dans l'édition du 06.10.07.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Deux récentes études apportent de nouveaux et inquiétants éléments sur les mécanismes de l'infection humaine par le virus H5N1, responsable de l'actuelle épizootie de grippe aviaire hautement pathogène. Dans un travail publié, jeudi 4 octobre, dans Public Library of Science Pathogens, un groupe de chercheurs de l'université de Wisconsin-Madison, dirigé par Yoshiro Kawaoka, explique avoir identifié une des clés faisant que l'infection par le H5N1 peut ou non avoir des conséquences mortelles.
Selon ces chercheurs, c'est une simple mutation d'une protéine de surface qui accroît la virulence de cet agent pathogène en lui permettant d'aller infecter les cellules situées en profondeur dans l'arbre bronchique. Si cette mutation ne se produit pas, le virus reste dans les régions supérieures des poumons et ne parvient pas à altérer la fonction respiratoire au point que les conséquences de l'infection soient mortelles.
D'après les auteurs de cet article, les souches de H5N1 qui circulent aujourd'hui en Asie, en Afrique et en Europe au sein des populations aviaires sont plus aptes à infecter l'homme et les mammifères que les premières souches identifiées en 1997. Ils estiment aussi que la clé moléculaire qu'ils ont mise en évidence pourrait constituer une "plate-forme" à partir de laquelle le virus pourrait bientôt s'"humaniser" et provoquer une pandémie.
Publié dans The Lancet du 29 septembre, le travail d'une équipe, dirigée par le professeur Jiang Gu (université de Pékin), établit, d'autre part, que l'infection humaine peut aussi atteindre de nombreux organes comme les ganglions lymphatiques, l'intestin et le cerveau. Chez la femme enceinte, le virus peut traverser le placenta et toucher le foetus. Ces résultats laissent craindre qu'une éventuelle pandémie serait très difficile à contrôler du fait des plus grandes possibilités de contaminations inter-humaines.
Jean-Yves Nau
Article paru dans l'édition du 06.10.07.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Le Sénat adopte le projet de loi sur le regroupement familial
Le Sénat a adopté, vendredi 5 octobre au matin, le projet de loi relatif à la maîtrise de l'immigration, à l'intégration et à l'asile, qui autorise notamment un recours aux tests ADN pour les candidats au regroupement familial.
Le texte a été adopté, après de nombreuses modifications, par 188 voix contre 135. Les représentants du PS, du PCF et des Verts ont voté contre.
Très critiqué et très contesté, le premier texte de loi présenté par le ministre de l'Immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du co-développement, Brice Hortefeux, a suscité des échanges vifs et de longues discussions. L'opposition, rejointe parfois par des sénateurs UMP et Nouveau centre, a combattu pied à pied des mesures jugées "insupportables".
Après avoir rejeté en commission par deux fois l'amendement sur les tests ADN, proposé par le député Thierry Mariani (UMP), les sénateurs ont contraint le gouvernement à revoir sa copie et à expurger l'article. Le président de la commission des Lois du Sénat, Jean-Jacques Hyest (UMP), a proposé un autre amendement sur le même sujet, avec l'accord de Brice Hortefeux.
Le test facultatif, expérimental pendant 18 mois, sera pris en charge par l'Etat, il sera soumis à l'autorisation d'un juge et sera limité à une recherche de filiation avec la mère. Ces modifications n'ont pas empêché quatre sénateurs UMP et sept UDF de tout de même voter contre cet article.
Une version "édulcorée" des tests ADN ?
"Le texte adopté n'est plus le texte [du député] Mariani, c'est un nouveau texte", a assuré le secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement, Roger Karoutchi. "Même s'il a été modifié, cet amendement n'est en rien édulcoré", a répondu Aurélie Filipetti, porte-parole des députés PS.
Le Conseil consultatif national d'éthique (CCNE) avait estimé dans un avis rendu jeudi 4 octobre que "l'inscription dans la loi d'une identification biologique réservée aux seuls étrangers est en contradiction avec l'esprit de la loi française", craignant la remise en cause d'un certain nombre de "principes fondamentaux".
Autre sujet de discorde : les sénateurs ont refusé de supprimer un article introduit par les députés pour exclure les sans-papiers du dispositif d'hébergement d'urgence (une disposition supprimée en commission mercredi 3 octobre), se contentant d'une modification technique. La majorité, exprimant son embarras, a préféré se contenter de modifier l'article en changeant de place certains termes. Alors que dans la version adoptée par l'Assemblée nationale les personnes sans-papiers ne pouvaient prétendre au maintien dans le dispositif d'hébergement d'urgence, c'est désormais de l'orientation vers "une structure d'hébergement stable ou de soins, ou vers un logement" dont elles sont exclues.
Un tour de passe-passe qui a provoqué la colère de la gauche. Louis Mermaz (PS) s'est vivement opposé au cours de la séance à cette "rédaction entortillée que l'on peut comprendre dans tous les sens", qualifiant cet article de "monstrueux".
Les sénateurs ont approuvé la levée de l'interdiction du recensement des origines ethniques pour la conduite d'études statistiques, une disposition très fortement critiquée elle aussi.
Des dispenses à la formation linguistique
Le gouvernement a aussi été contraint de revoir ses ambitions à la baisse sur une autre mesure phare : l'obligation pour les candidats au regroupement familial de suivre une formation linguistique avant de venir en France.
S'agissant des conjoints de Français, l'article, qui avait été supprimé en commission, a été amendé en séance pour permettre des dispenses et rétablir la possibilité pour les conjoints vivant régulièrement sur le territoire depuis plus de six mois d'obtenir leur visa long séjour.
Les membres de la Haute Assemblée ont légèrement adouci le montant des ressources exigé pour bénéficier du regroupement familial en le maintenant au niveau du SMIC pour les familles de cinq personnes et en le modulant entre 1 et 1,2 fois pour les familles de plus de six membres. Enfin, ils ont obtenu que les personnes âgées soient exclues de cette obligation.
La création du contrat d'accueil et d'intégration a bien été entérinée pour les parents d'enfants bénéficiant du regroupement familial. Ils bénéficieront d'une formation "sur les droits et devoirs des parents en France".
Le non-respect de ce contrat pourra être sanctionné par une suspension des allocations familiales et un non-renouvellement de la carte de séjour.
Enfin, le délai de recours devant la Commission des réfugiés a été rétabli à un mois au lieu de 15 jours et le délai pour déposer un recours après un refus d'entrée sur le territoire passe de 24 à 48 heures.
Le texte doit encore passer l'épreuve de la Commission mixte paritaire ( CMP, composée de sept sénateurs et de sept députés), qui devra élaborer un texte de compromis avant le vote définitif, le dernier mot étant laissé, en cas d'échec, aux députés. La CMP devrait se tenir le 16 octobre au Sénat.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le Sénat a adopté, vendredi 5 octobre au matin, le projet de loi relatif à la maîtrise de l'immigration, à l'intégration et à l'asile, qui autorise notamment un recours aux tests ADN pour les candidats au regroupement familial.
Le texte a été adopté, après de nombreuses modifications, par 188 voix contre 135. Les représentants du PS, du PCF et des Verts ont voté contre.
Très critiqué et très contesté, le premier texte de loi présenté par le ministre de l'Immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du co-développement, Brice Hortefeux, a suscité des échanges vifs et de longues discussions. L'opposition, rejointe parfois par des sénateurs UMP et Nouveau centre, a combattu pied à pied des mesures jugées "insupportables".
Après avoir rejeté en commission par deux fois l'amendement sur les tests ADN, proposé par le député Thierry Mariani (UMP), les sénateurs ont contraint le gouvernement à revoir sa copie et à expurger l'article. Le président de la commission des Lois du Sénat, Jean-Jacques Hyest (UMP), a proposé un autre amendement sur le même sujet, avec l'accord de Brice Hortefeux.
Le test facultatif, expérimental pendant 18 mois, sera pris en charge par l'Etat, il sera soumis à l'autorisation d'un juge et sera limité à une recherche de filiation avec la mère. Ces modifications n'ont pas empêché quatre sénateurs UMP et sept UDF de tout de même voter contre cet article.
Une version "édulcorée" des tests ADN ?
"Le texte adopté n'est plus le texte [du député] Mariani, c'est un nouveau texte", a assuré le secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement, Roger Karoutchi. "Même s'il a été modifié, cet amendement n'est en rien édulcoré", a répondu Aurélie Filipetti, porte-parole des députés PS.
Le Conseil consultatif national d'éthique (CCNE) avait estimé dans un avis rendu jeudi 4 octobre que "l'inscription dans la loi d'une identification biologique réservée aux seuls étrangers est en contradiction avec l'esprit de la loi française", craignant la remise en cause d'un certain nombre de "principes fondamentaux".
Autre sujet de discorde : les sénateurs ont refusé de supprimer un article introduit par les députés pour exclure les sans-papiers du dispositif d'hébergement d'urgence (une disposition supprimée en commission mercredi 3 octobre), se contentant d'une modification technique. La majorité, exprimant son embarras, a préféré se contenter de modifier l'article en changeant de place certains termes. Alors que dans la version adoptée par l'Assemblée nationale les personnes sans-papiers ne pouvaient prétendre au maintien dans le dispositif d'hébergement d'urgence, c'est désormais de l'orientation vers "une structure d'hébergement stable ou de soins, ou vers un logement" dont elles sont exclues.
Un tour de passe-passe qui a provoqué la colère de la gauche. Louis Mermaz (PS) s'est vivement opposé au cours de la séance à cette "rédaction entortillée que l'on peut comprendre dans tous les sens", qualifiant cet article de "monstrueux".
Les sénateurs ont approuvé la levée de l'interdiction du recensement des origines ethniques pour la conduite d'études statistiques, une disposition très fortement critiquée elle aussi.
Des dispenses à la formation linguistique
Le gouvernement a aussi été contraint de revoir ses ambitions à la baisse sur une autre mesure phare : l'obligation pour les candidats au regroupement familial de suivre une formation linguistique avant de venir en France.
S'agissant des conjoints de Français, l'article, qui avait été supprimé en commission, a été amendé en séance pour permettre des dispenses et rétablir la possibilité pour les conjoints vivant régulièrement sur le territoire depuis plus de six mois d'obtenir leur visa long séjour.
Les membres de la Haute Assemblée ont légèrement adouci le montant des ressources exigé pour bénéficier du regroupement familial en le maintenant au niveau du SMIC pour les familles de cinq personnes et en le modulant entre 1 et 1,2 fois pour les familles de plus de six membres. Enfin, ils ont obtenu que les personnes âgées soient exclues de cette obligation.
La création du contrat d'accueil et d'intégration a bien été entérinée pour les parents d'enfants bénéficiant du regroupement familial. Ils bénéficieront d'une formation "sur les droits et devoirs des parents en France".
Le non-respect de ce contrat pourra être sanctionné par une suspension des allocations familiales et un non-renouvellement de la carte de séjour.
Enfin, le délai de recours devant la Commission des réfugiés a été rétabli à un mois au lieu de 15 jours et le délai pour déposer un recours après un refus d'entrée sur le territoire passe de 24 à 48 heures.
Le texte doit encore passer l'épreuve de la Commission mixte paritaire ( CMP, composée de sept sénateurs et de sept députés), qui devra élaborer un texte de compromis avant le vote définitif, le dernier mot étant laissé, en cas d'échec, aux députés. La CMP devrait se tenir le 16 octobre au Sénat.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Héraclite d'Ephèse
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Les cellules souches au cœur du Nobel de médecine
Crédit Photo : Nobel Prize organisation
La médaille du Prix Nobel, à l'effigie de son fondateur, Alfred Nobel.
Deux Américains et un Britannique ont été distingués lundi par le comité Nobel pour leurs travaux sur des cellules souches.
Ils ont mis au point "une technologie d'une immense importance", selon l'Académie suédoise.
- le 08/10/2007 - 12h02
Le prix Nobel de médecine 2007 a été attribué aux Américains Mario Capecchi et Oliver Smithies, ainsi qu'au Britannique Martin Evans, pour leurs travaux sur les cellules souches, a annoncé lundi le comité Nobel.
Leurs recherches ont porté sur les modifications génétiques de souris à l'aide de cellules souches embryonnaires, a indiqué le comité Nobel. "Leurs découvertes ont permis de mettre au point une technologie d'une immense importance" pour cibler les gènes de souris. Les trois lauréats travaillent dans des laboratoires différents aux Etats-Unis et au Royaume-Uni.
Ce premier prix Nobel sera suivi mardi par celui de physique et mercredi, par celui de chimie. Jeudi, l'académie suédoise annoncera le lauréat du Nobel de littérature. Le Nobel de la paix, le seul attribué par la Norvège conformément aux volontés de son fondateur Alfred Nobel, sera quant à lui dévoilé vendredi 12. Enfin, le Nobel de l'économie sera révélé lundi prochain.
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Deux Américains et un Britannique ont été distingués lundi par le comité Nobel pour leurs travaux sur des cellules souches.
Ils ont mis au point "une technologie d'une immense importance", selon l'Académie suédoise.
- le 08/10/2007 - 12h02
Le prix Nobel de médecine 2007 a été attribué aux Américains Mario Capecchi et Oliver Smithies, ainsi qu'au Britannique Martin Evans, pour leurs travaux sur les cellules souches, a annoncé lundi le comité Nobel.
Leurs recherches ont porté sur les modifications génétiques de souris à l'aide de cellules souches embryonnaires, a indiqué le comité Nobel. "Leurs découvertes ont permis de mettre au point une technologie d'une immense importance" pour cibler les gènes de souris. Les trois lauréats travaillent dans des laboratoires différents aux Etats-Unis et au Royaume-Uni.
Ce premier prix Nobel sera suivi mardi par celui de physique et mercredi, par celui de chimie. Jeudi, l'académie suédoise annoncera le lauréat du Nobel de littérature. Le Nobel de la paix, le seul attribué par la Norvège conformément aux volontés de son fondateur Alfred Nobel, sera quant à lui dévoilé vendredi 12. Enfin, le Nobel de l'économie sera révélé lundi prochain.
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Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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Attention au feu, un site pour prévenir
[8 octobre 2007 - 13:32]
Pratique et ludique, le premier site internet français entièrement dédié à la prévention des incendies domestiques. Sur www.attentionaufeu.fr , vous trouverez une mine d’informations pour vous aider à vous protéger au mieux d’un éventuel incendie.
Comme les enfants sont souvent les premières victimes, toute une partie du site leur est consacrée. Ils peuvent y découvrir les sources potentielles d’incendie grâce à des activités ludiques et interactives. Mais aussi poser des questions à des experts, ou bien encore tester leurs connaissances sur le feu.
Dans la rubrique « votre espace », vous trouverez de nombreux conseils, mais aussi tous les gestes pour éviter le pire et les comportements à adopter en cas d’incendie à la maison. Le site compte aussi une rubrique « juridique et assurance ». Edité par la société Kidde, www.attentionaufeu.fr présente également toutes les solutions matérielles pour se prémunir du feu : détecteur de fumée, couverture anti-feu, extincteur…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Pratique et ludique, le premier site internet français entièrement dédié à la prévention des incendies domestiques. Sur www.attentionaufeu.fr , vous trouverez une mine d’informations pour vous aider à vous protéger au mieux d’un éventuel incendie.
Comme les enfants sont souvent les premières victimes, toute une partie du site leur est consacrée. Ils peuvent y découvrir les sources potentielles d’incendie grâce à des activités ludiques et interactives. Mais aussi poser des questions à des experts, ou bien encore tester leurs connaissances sur le feu.
Dans la rubrique « votre espace », vous trouverez de nombreux conseils, mais aussi tous les gestes pour éviter le pire et les comportements à adopter en cas d’incendie à la maison. Le site compte aussi une rubrique « juridique et assurance ». Edité par la société Kidde, www.attentionaufeu.fr présente également toutes les solutions matérielles pour se prémunir du feu : détecteur de fumée, couverture anti-feu, extincteur…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Les ados et l’alcool : moins, mais plus fort
[9 octobre 2007 - 08:00]
Nos adolescents boivent un peu moins d’alcool qu’il y a 5 ans. Mais lorsqu’ils consomment en week-end, alcools forts et bière défilent ! C’est ce qui ressort de l’enquête Escapad 2005. Même les prémix (mélanges de sodas et d’alcool), ont plus la côte que le ballon de rouge. Aussi bien chez les filles que chez les garçons.
L’Enquête sur la Santé et les Consommations lors de l’Appel de Préparation à la Défense (Escapad) interroge chaque année un échantillon de participants à cette journée, seule survivance du service militaire. Cet outil propose une vision précise de la consommation des drogues, illicites et licites, chez les jeunes de 17 ans.
Il en ressort que les alcools forts sont les plus prisés des ados. Ils sont en effet un sur deux (49,4%) à consommer des spiritueux pour égayer leurs soirées. Et presque autant (44,6%) privilégient la bière. Viennent ensuite les champagnes et les mousseux (33%), les prémix (37,6%) puis loin derrière, le vin avec 22,2%.
Hormis pour les alcools forts, cette hiérarchie varie cependant selon les sexes. Si les garçons apprécient massivement la bière, les filles lui préfèrent les prémix. Des boissons qui, comme le souligne le Dr Patrick Fouilland président de la Fédération des Acteurs en Alcoologie et Addictologie, « sont un mode d’entrée bien réel dans la consommation d’alcool pour des jeunes pourtant sans désir initial de consommation »…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Nos adolescents boivent un peu moins d’alcool qu’il y a 5 ans. Mais lorsqu’ils consomment en week-end, alcools forts et bière défilent ! C’est ce qui ressort de l’enquête Escapad 2005. Même les prémix (mélanges de sodas et d’alcool), ont plus la côte que le ballon de rouge. Aussi bien chez les filles que chez les garçons.
L’Enquête sur la Santé et les Consommations lors de l’Appel de Préparation à la Défense (Escapad) interroge chaque année un échantillon de participants à cette journée, seule survivance du service militaire. Cet outil propose une vision précise de la consommation des drogues, illicites et licites, chez les jeunes de 17 ans.
Il en ressort que les alcools forts sont les plus prisés des ados. Ils sont en effet un sur deux (49,4%) à consommer des spiritueux pour égayer leurs soirées. Et presque autant (44,6%) privilégient la bière. Viennent ensuite les champagnes et les mousseux (33%), les prémix (37,6%) puis loin derrière, le vin avec 22,2%.
Hormis pour les alcools forts, cette hiérarchie varie cependant selon les sexes. Si les garçons apprécient massivement la bière, les filles lui préfèrent les prémix. Des boissons qui, comme le souligne le Dr Patrick Fouilland président de la Fédération des Acteurs en Alcoologie et Addictologie, « sont un mode d’entrée bien réel dans la consommation d’alcool pour des jeunes pourtant sans désir initial de consommation »…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Face à l’herpès, brisez le silence !
[9 octobre 2007 - 09:31]
« Ne laissez plus un bouton d’herpès gâcher les plus beaux moments de la vie ». La campagne d’information du laboratoire GSK, qui a débuté le 17 septembre, vise à encourager les patients à engager le dialogue avec leur médecin.
Près de 7 millions de Français présentent régulièrement des poussées d’herpès au niveau du visage. Celles-ci sont provoquées par un virus – le HSV – qui reste dans l’organisme entre les poussées. Il y demeure à vie, se manifestant sous formes de poussées plus ou moins fréquentes et qui durent de 6 à 12 jours. La poussée « type » se déroule en trois phases :
Des signes annonciateurs : sensations de brûlures, picotements, gonflement de la lèvre quelques jours ou quelques heures avant la crise ;
Ils sont suivis de rougeurs, puis de cloques et de croûtes ;
La cicatrisation enfin, n’intervient qu’une dizaine de jours en moyenne après le début de la crise.
Comme de nombreuses maladies virales, l’herpès est une maladie très contagieuse. La transmission se fait par contact direct, et si le risque est majoré en période de poussée il est également bien réel en l’absence de symptômes apparents.
Des mesures d’hygiène aux traitements, les solutions ne manquent pas. Aujourd’hui pourtant, près du tiers des patients les plus sévèrement atteints ne consultent pas ! Maladie taboue, l’herpès provoque trop souvent un repli sur soi. Le patient a le sentiment d’être sale, repoussant. L’objectif de la campagne en cours est précisément de rompre le silence : d’inciter les malades à parler de leur herpès avec leur médecin, pour bénéficier d’une prise en charge adaptée…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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« Ne laissez plus un bouton d’herpès gâcher les plus beaux moments de la vie ». La campagne d’information du laboratoire GSK, qui a débuté le 17 septembre, vise à encourager les patients à engager le dialogue avec leur médecin.
Près de 7 millions de Français présentent régulièrement des poussées d’herpès au niveau du visage. Celles-ci sont provoquées par un virus – le HSV – qui reste dans l’organisme entre les poussées. Il y demeure à vie, se manifestant sous formes de poussées plus ou moins fréquentes et qui durent de 6 à 12 jours. La poussée « type » se déroule en trois phases :
Des signes annonciateurs : sensations de brûlures, picotements, gonflement de la lèvre quelques jours ou quelques heures avant la crise ;
Ils sont suivis de rougeurs, puis de cloques et de croûtes ;
La cicatrisation enfin, n’intervient qu’une dizaine de jours en moyenne après le début de la crise.
Comme de nombreuses maladies virales, l’herpès est une maladie très contagieuse. La transmission se fait par contact direct, et si le risque est majoré en période de poussée il est également bien réel en l’absence de symptômes apparents.
Des mesures d’hygiène aux traitements, les solutions ne manquent pas. Aujourd’hui pourtant, près du tiers des patients les plus sévèrement atteints ne consultent pas ! Maladie taboue, l’herpès provoque trop souvent un repli sur soi. Le patient a le sentiment d’être sale, repoussant. L’objectif de la campagne en cours est précisément de rompre le silence : d’inciter les malades à parler de leur herpès avec leur médecin, pour bénéficier d’une prise en charge adaptée…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Le Bégaiement : 600 000 Français concernés
[9 octobre 2007 - 11:05]
« Brisons le tabou, agissons ! ». C’est un véritable appel à l’action que les organisateurs de la 10ème Journée mondiale du bégaiement lanceront le 22 octobre prochain. « La première façon d’agir, c’est d’en parler autour de soi » souligne l’association Parole Bégaiement.
Trouble affectant la parole, le bégaiement est à l’origine d’une véritable souffrance pour les 600 000 Français concernés. Il débute souvent entre deux et quatre ans, rarement à l’âge adulte sauf après un traumatisme important.
En fait et plutôt qu’une cause précise, les spécialistes évoquent un ensemble de facteurs prédisposants : retard de parole, tensions familiales, anxiété… Certains événements peuvent aussi jouer un rôle déclencheur : naissance d’un autre enfant, déménagement, changement d’école ou séparation. Au même titre que certaines prédispositions génétiques d’ailleurs, encore que ce sujet soit toujours discuté.
« Si rien n’est entrepris, sur quatre enfants qui commencent à bégayer, un restera bègue à l’âge adulte. Et il n’existe aucun moyen de prévoir lequel » souligne l’association. « D’où l’importance d’une intervention précoce ». C’est-à-dire dès l’âge de 2 ans, auprès d’un orthophoniste.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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« Brisons le tabou, agissons ! ». C’est un véritable appel à l’action que les organisateurs de la 10ème Journée mondiale du bégaiement lanceront le 22 octobre prochain. « La première façon d’agir, c’est d’en parler autour de soi » souligne l’association Parole Bégaiement.
Trouble affectant la parole, le bégaiement est à l’origine d’une véritable souffrance pour les 600 000 Français concernés. Il débute souvent entre deux et quatre ans, rarement à l’âge adulte sauf après un traumatisme important.
En fait et plutôt qu’une cause précise, les spécialistes évoquent un ensemble de facteurs prédisposants : retard de parole, tensions familiales, anxiété… Certains événements peuvent aussi jouer un rôle déclencheur : naissance d’un autre enfant, déménagement, changement d’école ou séparation. Au même titre que certaines prédispositions génétiques d’ailleurs, encore que ce sujet soit toujours discuté.
« Si rien n’est entrepris, sur quatre enfants qui commencent à bégayer, un restera bègue à l’âge adulte. Et il n’existe aucun moyen de prévoir lequel » souligne l’association. « D’où l’importance d’une intervention précoce ». C’est-à-dire dès l’âge de 2 ans, auprès d’un orthophoniste.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Grippe : la saison 2006-2007 a été « modérée »
[9 octobre 2007 - 14:00]
Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de ce jour est entièrement consacré à la surveillance épidémiologique et virologique de la grippe saisonnière en France, pour la saison 2006-2007. Bilan : l’épidémie a été « d’une intensité modérée, sans sévérité particulière ».
Ainsi le virus grippal est-il apparu mi-janvier 2007 pour s’éteindre 7 semaines plus tard, début mars 2007. Durant cette période épidémique, 2,1 millions de personnes ont consulté leur généraliste pour un syndrome grippal.
Il s’agit donc d’un crû relativement modeste, selon les rédacteurs du BEH. « La saison 2006-2007 a été caractérisée par une épidémie d’intensité modérée et sans sévérité particulière. » La moyenne des 2,45 millions de malades observée ces dernières années n’a en effet pas été atteinte. Pour ce qui est des virus grippaux en circulation, ils étaient majoritairement apparentés à la souche A/Wisconsin/67/2005 présente dans le vaccin antigrippal de la saison concernée. Enfin, aucun cas humain de grippe d’origine aviaire n’a été diagnostiqué en France durant cette épidémie.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de ce jour est entièrement consacré à la surveillance épidémiologique et virologique de la grippe saisonnière en France, pour la saison 2006-2007. Bilan : l’épidémie a été « d’une intensité modérée, sans sévérité particulière ».
Ainsi le virus grippal est-il apparu mi-janvier 2007 pour s’éteindre 7 semaines plus tard, début mars 2007. Durant cette période épidémique, 2,1 millions de personnes ont consulté leur généraliste pour un syndrome grippal.
Il s’agit donc d’un crû relativement modeste, selon les rédacteurs du BEH. « La saison 2006-2007 a été caractérisée par une épidémie d’intensité modérée et sans sévérité particulière. » La moyenne des 2,45 millions de malades observée ces dernières années n’a en effet pas été atteinte. Pour ce qui est des virus grippaux en circulation, ils étaient majoritairement apparentés à la souche A/Wisconsin/67/2005 présente dans le vaccin antigrippal de la saison concernée. Enfin, aucun cas humain de grippe d’origine aviaire n’a été diagnostiqué en France durant cette épidémie.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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