Faits d'actualité pour la culture générale de 2007/2008
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
- aneso81
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Les traumatismes des dents ? Un enfant sur trois concerné
[3 octobre 2007 - 09:37]
A l’âge de 12 ans, près d’un enfant sur trois a déjà eu un traumatisme dentaire. Un grand nombre de ces accidents ont lieu entre 2 et 3 ans, principalement lors d’événements de la vie quotidienne. Et plus tard, gare aux activités sportives à risque…
« Pendant la période préscolaire, la majorité des traumatismes concerne les tissus de soutien » a souligné le Dr Chantal Naulin Ifi, praticien hospitalier à Paris, lors des récents Entretiens de Garancière. Chez les plus grands en revanche, les spécialistes sont davantage confrontés à des « fractures coronaires ». Autrement dit, des dents cassées puisqu’il s’agit ici de fractures de la « couronne » de la dent, et non pas d’un quelconque problème cardiologique...
« Le pic d’incidence a lieu chez les garçons de 9-10 ans » poursuit le médecin, « au moment où les jeux et activités sportives deviennent plus vigoureux. Parmi les sports à risque, elle cite les arts martiaux, le handball, le football, le rugby, le hockey ou le cyclisme.
La prévention ? Elle passe principalement par « le port de protège-dents voire de casques ». En cas d’accident enfin, ayez les bons réflexes. A savoir : « retrouver et conserver le morceau fracturé ou la dent expulsée, compresser la zone traumatisée avec une compresse et surtout, consulter un chirurgien dentiste ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[3 octobre 2007 - 09:37]
A l’âge de 12 ans, près d’un enfant sur trois a déjà eu un traumatisme dentaire. Un grand nombre de ces accidents ont lieu entre 2 et 3 ans, principalement lors d’événements de la vie quotidienne. Et plus tard, gare aux activités sportives à risque…
« Pendant la période préscolaire, la majorité des traumatismes concerne les tissus de soutien » a souligné le Dr Chantal Naulin Ifi, praticien hospitalier à Paris, lors des récents Entretiens de Garancière. Chez les plus grands en revanche, les spécialistes sont davantage confrontés à des « fractures coronaires ». Autrement dit, des dents cassées puisqu’il s’agit ici de fractures de la « couronne » de la dent, et non pas d’un quelconque problème cardiologique...
« Le pic d’incidence a lieu chez les garçons de 9-10 ans » poursuit le médecin, « au moment où les jeux et activités sportives deviennent plus vigoureux. Parmi les sports à risque, elle cite les arts martiaux, le handball, le football, le rugby, le hockey ou le cyclisme.
La prévention ? Elle passe principalement par « le port de protège-dents voire de casques ». En cas d’accident enfin, ayez les bons réflexes. A savoir : « retrouver et conserver le morceau fracturé ou la dent expulsée, compresser la zone traumatisée avec une compresse et surtout, consulter un chirurgien dentiste ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Quand les labos vous parlent médicament…
[3 octobre 2007 - 11:10]
Du 15 au 21 octobre se tiendra la deuxième semaine du médicament, organisée par les laboratoires pharmaceutiques. Cette édition 2007 sera centrée sur le progrès thérapeutique… et les conditions pour y parvenir. Et dès le 9 octobre, des expositions seront déjà ouvertes au public.
« Le médicament parlons-en ! », un slogan qui résonne comme une invitation au dialogue entre industriels et chercheurs, mais aussi avec le public et les associations de patients.
Cette année, les laboratoires posent assez crûment la question qui leur brûle les lèvres : « l’innovation est-elle en panne ? » Au cours de cette semaine, des visites de sites, de centres de recherches et des conférences seront organisés.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Du 15 au 21 octobre se tiendra la deuxième semaine du médicament, organisée par les laboratoires pharmaceutiques. Cette édition 2007 sera centrée sur le progrès thérapeutique… et les conditions pour y parvenir. Et dès le 9 octobre, des expositions seront déjà ouvertes au public.
« Le médicament parlons-en ! », un slogan qui résonne comme une invitation au dialogue entre industriels et chercheurs, mais aussi avec le public et les associations de patients.
Cette année, les laboratoires posent assez crûment la question qui leur brûle les lèvres : « l’innovation est-elle en panne ? » Au cours de cette semaine, des visites de sites, de centres de recherches et des conférences seront organisés.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Alzheimer : le régime méditerranéen allongerait la vie !
[3 octobre 2007 - 12:25]
Décidément, le régime méditerranéen n’a pas fini de nous surprendre ! Des chercheurs américains viennent en effet de mettre au jour les bienfaits de cette alimentation riche en fruits et légumes chez des patients souffrant de la maladie d’Alzheimer. Ils vivraient tout bonnement, plus longtemps.
L’étude dirigée par le Dr Nikos Scarmeas ( Columbia University Medical Center, New York) en collaboration avec l’American Academy of Neurology, a porté sur 192 personnes atteintes de la maladie. En 4 ans et demi, 85 sont décédées. Mais pas n’importe lesquelles !
« Les patients qui suivaient scrupuleusement un régime alimentaire de type méditerranéen ont réduit leur risque de mortalité de 76% sur la durée de l’étude » constatent les auteurs. Ils ont ainsi gagné entre 1,3 an et 4 ans de vie par rapport au reste de la cohorte…
Le régime de type « méditerranéen » - ou crétois- se caractérise par une consommation importante de poissons, de céréales (pain, pâtes, riz, semoule...), de pommes de terre. Mais aussi de fruits et légumes et notamment de légumineux comme les haricots ou les fèves. L’huile d’olive constitue la principale source de graisse. Quant aux volailles, viandes rouges, yaourts et fromages, ils doivent enfin être consommés en quantité modérée.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[3 octobre 2007 - 12:25]
Décidément, le régime méditerranéen n’a pas fini de nous surprendre ! Des chercheurs américains viennent en effet de mettre au jour les bienfaits de cette alimentation riche en fruits et légumes chez des patients souffrant de la maladie d’Alzheimer. Ils vivraient tout bonnement, plus longtemps.
L’étude dirigée par le Dr Nikos Scarmeas ( Columbia University Medical Center, New York) en collaboration avec l’American Academy of Neurology, a porté sur 192 personnes atteintes de la maladie. En 4 ans et demi, 85 sont décédées. Mais pas n’importe lesquelles !
« Les patients qui suivaient scrupuleusement un régime alimentaire de type méditerranéen ont réduit leur risque de mortalité de 76% sur la durée de l’étude » constatent les auteurs. Ils ont ainsi gagné entre 1,3 an et 4 ans de vie par rapport au reste de la cohorte…
Le régime de type « méditerranéen » - ou crétois- se caractérise par une consommation importante de poissons, de céréales (pain, pâtes, riz, semoule...), de pommes de terre. Mais aussi de fruits et légumes et notamment de légumineux comme les haricots ou les fèves. L’huile d’olive constitue la principale source de graisse. Quant aux volailles, viandes rouges, yaourts et fromages, ils doivent enfin être consommés en quantité modérée.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Cancer du sein: huit femmes ministres lancent le "mois rose"
AP - Mardi 2 octobre, 20h35
PARIS - A l'invitation de la ministre de la Santé Roselyne Bachelot-Narquin, huit femmes ministres et secrétaires d'Etat, rejointes par le Premier ministre François Fillon, ont pris la pose mardi en fin d'après-midi au pied des immenses photos de l'exposition "J'ai un cancer du sein. Et après" dont l'inauguration ouvrait le "mois rose" en faveur du dépistage du cancer du sein.
La scène se passait avenue Duquesne, dans le VIIe arrondissement de Paris. Sous des photos de plusieurs mètres de haut, placardées sur la façade du ministère de la Santé, représentant des femmes opérées d'un cancer du sein, les sept femmes ministres du gouvernement, deux femmes secrétaires d'Etat et M. Fillon sont ainsi venus apporter leur soutien à cette initiative.
Autour de Mme Bachelot-Narquin, hôte des lieux, et du Premier ministre étaient réunies Rachida Dati (Justice), Christine Lagarde (Economie), Michèle Alliot-Marie (Intérieur), Christine Boutin (Logement et Ville), Valérie Pécresse (Enseignement supérieur et Recherche), Christine Albanel (Culture), Nathalie Kosciusko-Morizet (Ecologie) et Valérie Létard (Solidarité), mais aussi une partie des femmes ayant accepté de poser pour les photos de l'exposition. Tous ont posé devant une nuée de photographes et cameramen désireux d'immortaliser la scène et sous le regard ébahi des passants et automobilistes, incrédules devant la présence d'un quart du gouvernement en pleine rue à l'heure de sortie des bureaux.
Mais ils -ou plutôt elles- étaient là pour la bonne cause: sensibiliser l'opinion à l'importance du dépistage du cancer du sein, cancer le plus répandu en France (42.000 cas par an) et première cause de décès féminins par cancer (11.600 décès par an).
"Notre premier objectif est de susciter une plus grande adhésion au dépistage organisé", a déclaré Mme Bachelot-Narquin dans un discours prononcé dans le hall du ministère après la séance photo et la visite de l'exposition. Avec cette campagne de sensibilisation du "mois rose" (du 2 au 31 octobre), la ministre espère donner "une image plus positive" du dépistage.
L'enjeu est de taille: car, si on parvient à atteindre, puis à dépasser un taux de 70% de femmes dépistées de 50 à 74 ans, "la réduction attendue de la mortalité est de 35%", a estimé la ministre après avoir donné la parole à quelques unes des femmes de l'exposition pour qu'elles livrent leur témoignage.
Pour que ce dépistage organisé touche un plus grand nombre de femmes et gagne en efficacité, Mme Bachelot-Narquin propose que la mammographie réalisée dans ce cadre puisse bénéficier, au même titre que celle pratiquée dans le cadre du dépistage individuel, de la "technologie numérique".
La population cible du dépistage organisé gratuit est de 8,4 millions de femmes (âgées de 50 à 74 ans). En 2005, le taux de participation à ce programme était inférieur à 50% (49,3%), hors dépistages individuels (avec ces derniers, le taux atteint 65%). Or, en 2004 (derniers chiffres connus), le programme de dépistage organisé a permis de dépister 10.640 cancers.
Sur les clichés pris par le photographe Florian Launette et par le Pr Pascal Bonnier, le chirurgien marseillais qui a opéré les 38 femmes présentes dans l'exposition, on peut voir des femmes photographiées à mi-hauteur, avec beaucoup de sensibilité, les seins dénudés portant une ou plusieurs cicatrices, parfois les mains posées pudiquement sur la poitrine, souvent le visage radieux et souriant. Et Mme Bachelot-Narquin de résumer le message: "après avoir appris à vivre avec, elles doivent apprendre à vivre après"...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
AP - Mardi 2 octobre, 20h35
PARIS - A l'invitation de la ministre de la Santé Roselyne Bachelot-Narquin, huit femmes ministres et secrétaires d'Etat, rejointes par le Premier ministre François Fillon, ont pris la pose mardi en fin d'après-midi au pied des immenses photos de l'exposition "J'ai un cancer du sein. Et après" dont l'inauguration ouvrait le "mois rose" en faveur du dépistage du cancer du sein.
La scène se passait avenue Duquesne, dans le VIIe arrondissement de Paris. Sous des photos de plusieurs mètres de haut, placardées sur la façade du ministère de la Santé, représentant des femmes opérées d'un cancer du sein, les sept femmes ministres du gouvernement, deux femmes secrétaires d'Etat et M. Fillon sont ainsi venus apporter leur soutien à cette initiative.
Autour de Mme Bachelot-Narquin, hôte des lieux, et du Premier ministre étaient réunies Rachida Dati (Justice), Christine Lagarde (Economie), Michèle Alliot-Marie (Intérieur), Christine Boutin (Logement et Ville), Valérie Pécresse (Enseignement supérieur et Recherche), Christine Albanel (Culture), Nathalie Kosciusko-Morizet (Ecologie) et Valérie Létard (Solidarité), mais aussi une partie des femmes ayant accepté de poser pour les photos de l'exposition. Tous ont posé devant une nuée de photographes et cameramen désireux d'immortaliser la scène et sous le regard ébahi des passants et automobilistes, incrédules devant la présence d'un quart du gouvernement en pleine rue à l'heure de sortie des bureaux.
Mais ils -ou plutôt elles- étaient là pour la bonne cause: sensibiliser l'opinion à l'importance du dépistage du cancer du sein, cancer le plus répandu en France (42.000 cas par an) et première cause de décès féminins par cancer (11.600 décès par an).
"Notre premier objectif est de susciter une plus grande adhésion au dépistage organisé", a déclaré Mme Bachelot-Narquin dans un discours prononcé dans le hall du ministère après la séance photo et la visite de l'exposition. Avec cette campagne de sensibilisation du "mois rose" (du 2 au 31 octobre), la ministre espère donner "une image plus positive" du dépistage.
L'enjeu est de taille: car, si on parvient à atteindre, puis à dépasser un taux de 70% de femmes dépistées de 50 à 74 ans, "la réduction attendue de la mortalité est de 35%", a estimé la ministre après avoir donné la parole à quelques unes des femmes de l'exposition pour qu'elles livrent leur témoignage.
Pour que ce dépistage organisé touche un plus grand nombre de femmes et gagne en efficacité, Mme Bachelot-Narquin propose que la mammographie réalisée dans ce cadre puisse bénéficier, au même titre que celle pratiquée dans le cadre du dépistage individuel, de la "technologie numérique".
La population cible du dépistage organisé gratuit est de 8,4 millions de femmes (âgées de 50 à 74 ans). En 2005, le taux de participation à ce programme était inférieur à 50% (49,3%), hors dépistages individuels (avec ces derniers, le taux atteint 65%). Or, en 2004 (derniers chiffres connus), le programme de dépistage organisé a permis de dépister 10.640 cancers.
Sur les clichés pris par le photographe Florian Launette et par le Pr Pascal Bonnier, le chirurgien marseillais qui a opéré les 38 femmes présentes dans l'exposition, on peut voir des femmes photographiées à mi-hauteur, avec beaucoup de sensibilité, les seins dénudés portant une ou plusieurs cicatrices, parfois les mains posées pudiquement sur la poitrine, souvent le visage radieux et souriant. Et Mme Bachelot-Narquin de résumer le message: "après avoir appris à vivre avec, elles doivent apprendre à vivre après"...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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En Afrique quand le VIH ne tue pas, il fait encore trop d'orphelins
Mercredi 3 octobre, 09h25
Avec 14% de séropositivité au VIH – le virus du SIDA – dans sa population générale, le Malawi n'est pas le pays le plus gravement frappé par la pandémie en Afrique. Mais il est une bonne illustration des inégalités qui, en la matière, affectent la population. Inégalité hommes-femmes essentiellement : selon le Conseil national malawite du SIDA, 58% des séropositifs en 2005 étaient de sexe féminin !
Comme l'explique la représentante de l'UNICEF au Malawi Aida Girma, la situation est encore plus préoccupante chez les jeunes. « Parmi les 15-24 ans, l'incidence de la contamination à VIH est en effet 4 fois plus élevée chez les femmes (9%) que chez les garçons (2%). » De sorte que si ces derniers ont un taux de séropositivité largement inférieur à la moyenne nationale - il ne dépasse pas 4% - ce n'est pas le cas des filles.
Il y a plus préoccupant encore. Comme le souligne la responsable de l'UNICEF, « plus de 20% des femmes enceintes dans la tranche d'âge des 15-24 ans, étaient contaminées par le VIH en 2004", selon l'ONUSIDA. Ainsi donc le bilan de l'épidémie de VIH dans ce petit pays d'Afrique australe est-il contrasté. Certes, après une montée en puissance entre 1995 et 1999 où l'incidence du VIH dépassait 20%, l'épidémie enregistre depuis lors un fléchissement relatif. Mais seulement un tiers des 170 000 patients dont l'état justifierait la mise en œuvre d'un traitement antirétroviral en bénéficie réellement.
Aujourd'hui le pays compte 1 000 000 de séropositifs ou de malades du SIDA, dont près de la moitié vit dans les villes alors que le pays est essentiellement rural. Les femmes représentent donc près de 60% de cette cohorte et les enfants, 8%. Et plus de 100 000 femmes séropositives donnent chaque année, naissance à un enfant qui risque d'être contaminé au moment de l'accouchement. Il y a encore quelques années, l'OMS estimait que 800 000 enfants étaient ainsi contaminés à la naissance par leur mère séropositive !
Appuyée sur le don par son fabricant de l'antirétroviral Viramune, la mise en place dans 50 pays de programmes de prévention de la transmission du SIDA de la mère à l'enfant a remporté un réel succès. A tel point que l'UNICEF, l'IPPF et les laboratoires Boehringer-Ingehlheim viennent de fêter le traitement de la millionnième mère, précisément à Lilongwe (Malawi). En 6 ans, cette stratégie a sauvé des centaines de milliers d'enfants. Mais du fait de l'accès insuffisant au traitement pour les malades – et donc pour les futures mères – elle a eu un effet indésirable inattendu et dramatique : sur le million d'orphelins pour toutes causes confondues que compte le Malawi, plus de 500 000 sont ce qu'il est convenu d'appeler « des orphelins du SIDA ». Et ils étaient 14 millions dans le monde en 2004, d'après les chiffres rendus publics cette année-là par l'OMS à l'occasion de la Journée mondiale du SIDA.
Au Malawi, 13 millions d'habitants dont… 1 million d'orphelins
Les progrès sont certes réels. « En 4 ans de 2002 à 2006, le nombre de sites de dépistage et de conseil en prévention est passé au Malawi de 70 à 350, et celui des patients encore en vie et traités par antirétroviraux a bondi de 4 000 à plus de 66 000 » fait valoir Aida Girma. Il est encourageant également, de constater que l'observance des traitements dans les pays en développement est généralement identique à celle observée dans les pays riches… quand elle ne lui est pas supérieure !
Aujourd'hui pourtant, et pour une population globale inférieure à 13 millions d'habitants, le Malawi ne compte pas moins d'un million d'orphelins et un million de personnes vivant avec le VIH. Voilà qui plombe littéralement, toutes chances de développement ! Dans un pays dont les agences internationales évaluent le budget de la santé à moins de 43 euros par an et par habitant, cette situation provoque des situations dramatiques. Même s'il se développe, l'accès aux médicaments de base du VIH est encore très insuffisant. La couverture des Malawites par le Cotrimoxazole par exemple est qualifiée de « très insuffisante » par Aida Girma. Pourtant, l'OMS et l'ONUSIDA ont salué dès le mois d'avril 2000 le consensus international qui proposait son utilisation préventive contre certaines affections opportunistes chez les personnes infectées par le VIH !
Que faire alors ? Intensifier les programmes de co-développement menés par les agences internationales – UNICEF, Commission européenne – mais aussi coordonner les efforts individuels des industriels, comme le soulignait le Dr Michael Rabbow, responsable des politiques VIH des laboratoires Boehringer Ingelheim. De nombreuses entreprises s'investissent – souvent de très longue date – dans des programmes humanitaires à destination des pays en développement. Mais elles le font en ordre dispersé, et la mise en place de plans concertés visant tout à la fois le traitement des malades et la prévention de la transmission mère-enfant par exemple, fait aujourd'hui cruellement défaut. Voilà pour les lobbies internationaux, une recommandation autrement productive que le malencontreux procès intenté en 2001 à Prétoria, contre une initiative Sud-africaine de production de génériques anti-SIDA…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Mercredi 3 octobre, 09h25
Avec 14% de séropositivité au VIH – le virus du SIDA – dans sa population générale, le Malawi n'est pas le pays le plus gravement frappé par la pandémie en Afrique. Mais il est une bonne illustration des inégalités qui, en la matière, affectent la population. Inégalité hommes-femmes essentiellement : selon le Conseil national malawite du SIDA, 58% des séropositifs en 2005 étaient de sexe féminin !
Comme l'explique la représentante de l'UNICEF au Malawi Aida Girma, la situation est encore plus préoccupante chez les jeunes. « Parmi les 15-24 ans, l'incidence de la contamination à VIH est en effet 4 fois plus élevée chez les femmes (9%) que chez les garçons (2%). » De sorte que si ces derniers ont un taux de séropositivité largement inférieur à la moyenne nationale - il ne dépasse pas 4% - ce n'est pas le cas des filles.
Il y a plus préoccupant encore. Comme le souligne la responsable de l'UNICEF, « plus de 20% des femmes enceintes dans la tranche d'âge des 15-24 ans, étaient contaminées par le VIH en 2004", selon l'ONUSIDA. Ainsi donc le bilan de l'épidémie de VIH dans ce petit pays d'Afrique australe est-il contrasté. Certes, après une montée en puissance entre 1995 et 1999 où l'incidence du VIH dépassait 20%, l'épidémie enregistre depuis lors un fléchissement relatif. Mais seulement un tiers des 170 000 patients dont l'état justifierait la mise en œuvre d'un traitement antirétroviral en bénéficie réellement.
Aujourd'hui le pays compte 1 000 000 de séropositifs ou de malades du SIDA, dont près de la moitié vit dans les villes alors que le pays est essentiellement rural. Les femmes représentent donc près de 60% de cette cohorte et les enfants, 8%. Et plus de 100 000 femmes séropositives donnent chaque année, naissance à un enfant qui risque d'être contaminé au moment de l'accouchement. Il y a encore quelques années, l'OMS estimait que 800 000 enfants étaient ainsi contaminés à la naissance par leur mère séropositive !
Appuyée sur le don par son fabricant de l'antirétroviral Viramune, la mise en place dans 50 pays de programmes de prévention de la transmission du SIDA de la mère à l'enfant a remporté un réel succès. A tel point que l'UNICEF, l'IPPF et les laboratoires Boehringer-Ingehlheim viennent de fêter le traitement de la millionnième mère, précisément à Lilongwe (Malawi). En 6 ans, cette stratégie a sauvé des centaines de milliers d'enfants. Mais du fait de l'accès insuffisant au traitement pour les malades – et donc pour les futures mères – elle a eu un effet indésirable inattendu et dramatique : sur le million d'orphelins pour toutes causes confondues que compte le Malawi, plus de 500 000 sont ce qu'il est convenu d'appeler « des orphelins du SIDA ». Et ils étaient 14 millions dans le monde en 2004, d'après les chiffres rendus publics cette année-là par l'OMS à l'occasion de la Journée mondiale du SIDA.
Au Malawi, 13 millions d'habitants dont… 1 million d'orphelins
Les progrès sont certes réels. « En 4 ans de 2002 à 2006, le nombre de sites de dépistage et de conseil en prévention est passé au Malawi de 70 à 350, et celui des patients encore en vie et traités par antirétroviraux a bondi de 4 000 à plus de 66 000 » fait valoir Aida Girma. Il est encourageant également, de constater que l'observance des traitements dans les pays en développement est généralement identique à celle observée dans les pays riches… quand elle ne lui est pas supérieure !
Aujourd'hui pourtant, et pour une population globale inférieure à 13 millions d'habitants, le Malawi ne compte pas moins d'un million d'orphelins et un million de personnes vivant avec le VIH. Voilà qui plombe littéralement, toutes chances de développement ! Dans un pays dont les agences internationales évaluent le budget de la santé à moins de 43 euros par an et par habitant, cette situation provoque des situations dramatiques. Même s'il se développe, l'accès aux médicaments de base du VIH est encore très insuffisant. La couverture des Malawites par le Cotrimoxazole par exemple est qualifiée de « très insuffisante » par Aida Girma. Pourtant, l'OMS et l'ONUSIDA ont salué dès le mois d'avril 2000 le consensus international qui proposait son utilisation préventive contre certaines affections opportunistes chez les personnes infectées par le VIH !
Que faire alors ? Intensifier les programmes de co-développement menés par les agences internationales – UNICEF, Commission européenne – mais aussi coordonner les efforts individuels des industriels, comme le soulignait le Dr Michael Rabbow, responsable des politiques VIH des laboratoires Boehringer Ingelheim. De nombreuses entreprises s'investissent – souvent de très longue date – dans des programmes humanitaires à destination des pays en développement. Mais elles le font en ordre dispersé, et la mise en place de plans concertés visant tout à la fois le traitement des malades et la prévention de la transmission mère-enfant par exemple, fait aujourd'hui cruellement défaut. Voilà pour les lobbies internationaux, une recommandation autrement productive que le malencontreux procès intenté en 2001 à Prétoria, contre une initiative Sud-africaine de production de génériques anti-SIDA…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Des athlètes asthmatiques, sans le savoir
[3 octobre 2007 - 14:25]
D’après un travail américain, près du tiers des jeunes athlètes se plaignant de difficultés respiratoires souffriraient en réalité d’un asthme d’effort. Les auteurs précisent que la plupart n’avaient aucun antécédent de maladie asthmatique.
L’asthme d’effort se manifeste par un essoufflement, une toux, des sifflements... à l’arrêt de l’effort voire entre 5 et 15 minutes plus tard. C’est à ce moment-là que peut survenir une crise parfois dramatique. Aux Etats-Unis entre 1993 et 2000, pas moins de 61 sportifs sont décédés après un exercice physique.
Le Pr Jonathan Parsons du Ohio State University Medical Center s’est intéressé à la santé respiratoire de 107 sportifs de haut niveau. Il s’est avéré que près de quatre sur dix présentaient un asthme d’effort. Et parmi eux, seuls 10% avaient déjà souffert d’un asthme pendant l’enfance. Un résultat qui montre « la forte proportion d’athlètes chez lesquels la maladie n’a pas été diagnostiquée », affirme-t-il.
Or selon lui, ce niveau si élevé de sportifs ignorant leur affection serait principalement dû à la faible utilisation de tests diagnostics fiables. « Pour chaque sujet qui s’engage dans une carrière de compétiteur, nous devrions utiliser l’hyperpnée volontaire eucapnique », assure Parsons. Il s’agit soulignons-le, du test de référence retenu par le Comité international olympique (CIO).Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[3 octobre 2007 - 14:25]
D’après un travail américain, près du tiers des jeunes athlètes se plaignant de difficultés respiratoires souffriraient en réalité d’un asthme d’effort. Les auteurs précisent que la plupart n’avaient aucun antécédent de maladie asthmatique.
L’asthme d’effort se manifeste par un essoufflement, une toux, des sifflements... à l’arrêt de l’effort voire entre 5 et 15 minutes plus tard. C’est à ce moment-là que peut survenir une crise parfois dramatique. Aux Etats-Unis entre 1993 et 2000, pas moins de 61 sportifs sont décédés après un exercice physique.
Le Pr Jonathan Parsons du Ohio State University Medical Center s’est intéressé à la santé respiratoire de 107 sportifs de haut niveau. Il s’est avéré que près de quatre sur dix présentaient un asthme d’effort. Et parmi eux, seuls 10% avaient déjà souffert d’un asthme pendant l’enfance. Un résultat qui montre « la forte proportion d’athlètes chez lesquels la maladie n’a pas été diagnostiquée », affirme-t-il.
Or selon lui, ce niveau si élevé de sportifs ignorant leur affection serait principalement dû à la faible utilisation de tests diagnostics fiables. « Pour chaque sujet qui s’engage dans une carrière de compétiteur, nous devrions utiliser l’hyperpnée volontaire eucapnique », assure Parsons. Il s’agit soulignons-le, du test de référence retenu par le Comité international olympique (CIO).Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Accidents et maladies liés au travail : manifestation pour une "indemnisation intégrale" des victimes
AFP - il y a 15 minutes
PARIS (AFP) - L'indemnisation intégrale --et non forfaitaire-- des victimes d'accidents du travail et de maladies professionnelles sera la principale revendication d'une manifestation organisée à Paris le samedi 13 octobre par la Fnath et l'Andeva, ont indiqué mercredi les deux associations.
"Le premier mot d'ordre sera l'obtention d'une indemnisation intégrale des victimes du travail", a indiqué devant la presse Arnaud de Broca, secrétaire général de la Fnath, qui regroupe des "accidentés de la vie".
En effet, "contrairement à toutes les autres victimes, les accidentés du travail ne bénéficient pour l'instant que d'une réparation forfaitaire et ne sont donc pas indémnisés de tous leurs préjudices", a-t-il expliqué.
"Il est absolument injuste qu'au XXIe siècle, on puisse avoir des blessures ou une altération de sa santé sans en être indemnisé de toutes les conséquences", a ajouté François Desriaux, président de l'Association nationale de défense des victimes de l'amiante (Andeva).
Au printemps dernier, la Fnath et l'Andeva avaient appelé les syndicats à ne pas signer le protocole d'accord sur la prévention, la tarification et la réparation des risques professionnels, négocié entre les partenaires sociaux.
Seules la CFE-CGC et la CGT, qui appelle d'ailleurs aussi à manifester le 13 octobre, n'ont finalement pas signé le texte, contrairement à FO, CFTC et CFDT.
Les deux associations reprochent à ce texte "de maintenir la réparation forfaitaire" et de "porter en germe une remise en cause de la +faute inexcusable+ de l'employeur".
L'enjeu de la mobilisation est maintenant pour elles qu'il ne soit pas transposé dans une loi.
Le défilé du 13, qui partira vers 14H00 de la tour Montparnasse, aura aussi pour mot d'ordre l'opposition aux franchises médicales annoncées par le gouvernement, car "leur application aux accidents du travail et aux maladies professionnelles est contraire au principe de la réparation intégrale des préjudices", a expliqué Michel Parigot, vice-président de l'Andeva.
Au passage, la Fnath et l'Andeva ont pressé l'Etat d'écouter davantage les associations de victimes en matière de prévention des risques professionnels.
Elles ont récemment refusé le "strapontin" que le gouvernement leur a, selon elles, proposé à la conférence nationale sur les conditions de travail prévue jeudi.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
AFP - il y a 15 minutes
PARIS (AFP) - L'indemnisation intégrale --et non forfaitaire-- des victimes d'accidents du travail et de maladies professionnelles sera la principale revendication d'une manifestation organisée à Paris le samedi 13 octobre par la Fnath et l'Andeva, ont indiqué mercredi les deux associations.
"Le premier mot d'ordre sera l'obtention d'une indemnisation intégrale des victimes du travail", a indiqué devant la presse Arnaud de Broca, secrétaire général de la Fnath, qui regroupe des "accidentés de la vie".
En effet, "contrairement à toutes les autres victimes, les accidentés du travail ne bénéficient pour l'instant que d'une réparation forfaitaire et ne sont donc pas indémnisés de tous leurs préjudices", a-t-il expliqué.
"Il est absolument injuste qu'au XXIe siècle, on puisse avoir des blessures ou une altération de sa santé sans en être indemnisé de toutes les conséquences", a ajouté François Desriaux, président de l'Association nationale de défense des victimes de l'amiante (Andeva).
Au printemps dernier, la Fnath et l'Andeva avaient appelé les syndicats à ne pas signer le protocole d'accord sur la prévention, la tarification et la réparation des risques professionnels, négocié entre les partenaires sociaux.
Seules la CFE-CGC et la CGT, qui appelle d'ailleurs aussi à manifester le 13 octobre, n'ont finalement pas signé le texte, contrairement à FO, CFTC et CFDT.
Les deux associations reprochent à ce texte "de maintenir la réparation forfaitaire" et de "porter en germe une remise en cause de la +faute inexcusable+ de l'employeur".
L'enjeu de la mobilisation est maintenant pour elles qu'il ne soit pas transposé dans une loi.
Le défilé du 13, qui partira vers 14H00 de la tour Montparnasse, aura aussi pour mot d'ordre l'opposition aux franchises médicales annoncées par le gouvernement, car "leur application aux accidents du travail et aux maladies professionnelles est contraire au principe de la réparation intégrale des préjudices", a expliqué Michel Parigot, vice-président de l'Andeva.
Au passage, la Fnath et l'Andeva ont pressé l'Etat d'écouter davantage les associations de victimes en matière de prévention des risques professionnels.
Elles ont récemment refusé le "strapontin" que le gouvernement leur a, selon elles, proposé à la conférence nationale sur les conditions de travail prévue jeudi.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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MAL-LOGEMENT
Le DAL installe 48 tentes
près de la Bourse à Paris
NOUVELOBS.COM | 04.10.2007 | 10:57
Le campement, dont l'accès est bloqué par les forces de l'ordre, est situé devant le "ministère de la crise du logement".
"Ministère de la crise du logement" au 24 rue de la Banque à Paris
(c) Reuters
Des militants du DAL (Droit au logement) ont installé une cinquantaine de tentes dans la nuit du mercredi 3 au jeudi 4 octobre rue de la Banque, dans le IIe arrondissement de Paris.
Le campement a été installé vers minuit devant le "ministère de la crise du logement", bâtiment squatté depuis décembre dernier par des associations et des familles mal-logées. Jeudi matin, 48 tentes étaient installées dans cette rue proche de la Bourse. Les forces de l'ordre bloquent les accès au campement.
Familles menacées d'expulsion
"On a recensé 138 ménages représentés", a expliqué à l'Associated Press Jean-Baptiste Eyraud, président du DAL. Une cinquantaine d'enfants en bas âge sont présents, de même qu'une quinzaine de femmes enceintes et une trentaine de militants du DAL et du comité des sans-logis. "Il y a des familles menacées d'expulsion et une majorité de gens qui vivent dans des hôtels, des foyers ou des hébergements précaires".
Le DAL réclame notamment 500 relogements immédiats, ainsi que la mise en place d'un plan de 100.000 logements "tout de suite". Pour atteindre ce dernier objectif, il "faut appliquer la loi" en réquisitionnant les logements vacants et de "la justice dans l'attribution des logements sociaux parce que les attributions sont arbitraires", a souligné Jean-Baptiste Eyraud. (avec AP) Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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Tests ADN : la bataille parlementaire continue
Le Sénat a adopté une version expurgée de l'amendement autorisant le recours aux tests ADN pour les candidats au regroupement familial.
Prochaine étape : la convocation d'une commission mixte paritaire afin de mettre au point un texte commun aux deux assemblées.
- le 04/10/2007 - 07h24
Pour le président du MRAP, Mouloud Aounit, c'est "une faute éthique, morale". Et le vote du Sénat sur les tests ADN en matière de regroupement familial est une "régression, une tache qui souille la page de l'histoire des droits et des libertés fondamentales". Au Sénat même, les discussions ont été rudes. Bernard Frimat (PS) a estimé que le dispositif voté par le Sénat, "même meilleur" que celui qu'avaient adopté les députés, restait "détestable". Son collègue Pierre-Yves Collombat a dénoncé "une disposition parfaitement inapplicable", "une usine à gaz", qui "permet au gouvernement de sauver la face".
Pourtant, après avoir rejeté dans un premier temps l'amendement controversé, les sénateurs en ont adopté finalement une version expurgée dans la nuit de mercredi à jeudi. Une douzaine de sénateurs d'autres groupes ont voté avec la gauche contre cet article, qui a été adopté par 176 voix (l'UMP représente 159 voix, y compris celle du président de séance qui, traditionnellement ne participe pas au vote), contre 138 (PS, PSF et radicaux de gauche en représentent 125). Dès que le projet de loi sur la maîtrise de l'immigration discuté au Sénat sera adopté dans son ensemble, une commission mixte paritaire (Assemblée-Sénat) sera convoquée afin de mettre au point un texte commun aux deux assemblées. Celui-ci sera ensuite soumis aux députés et sénateurs pour son adoption définitive.
Les tests expérimentés pendant 18 mois
L'amendement Mariani, introduit dans le projet de loi sur la maîtrise de l'immigration sous la forme d'un article 5 bis pour pallier l'absence dans un certain nombre de pays d'un service de l'état civil fiable, avait été supprimé en commission après avoir provoqué une levée de boucliers. En ligne de mire : la conception d'une famille trop réductrice car basée sur la seule parenté biologique, selon des généticiens ; et le risque de drames possibles si des pères devaient découvrir à l'occasion de ces tests qu'ils n'étaient pas les vrais géniteurs de leurs enfants.
Le nouveau texte, voté à l'initiative du président de la commission des Lois, Jean-Jacques Hyest, prévoit désormais, pour éviter ce dernier risque, que le test recherche "une filiation déclarée avec la mère du demandeur". En outre, il encadre le processus, en obligeant les agents diplomatiques ou consulaires à saisir le tribunal de grande instance de Nantes, "pour qu'il statue (...) sur la nécessité de faire procéder à une telle identification", de façon à mettre la procédure en conformité avec le droit commun. Le gouvernement, qui a prévu d'inscrire ce dispositif dans un cadre expérimental d'une durée maximum de 18 mois, a fait adopter un sous-amendement précisant que ces analyses génétiques sont réalisées, à la demande du candidat au regroupement familial, "aux frais de l'Etat". Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Prochaine étape : la convocation d'une commission mixte paritaire afin de mettre au point un texte commun aux deux assemblées.
- le 04/10/2007 - 07h24
Pour le président du MRAP, Mouloud Aounit, c'est "une faute éthique, morale". Et le vote du Sénat sur les tests ADN en matière de regroupement familial est une "régression, une tache qui souille la page de l'histoire des droits et des libertés fondamentales". Au Sénat même, les discussions ont été rudes. Bernard Frimat (PS) a estimé que le dispositif voté par le Sénat, "même meilleur" que celui qu'avaient adopté les députés, restait "détestable". Son collègue Pierre-Yves Collombat a dénoncé "une disposition parfaitement inapplicable", "une usine à gaz", qui "permet au gouvernement de sauver la face".
Pourtant, après avoir rejeté dans un premier temps l'amendement controversé, les sénateurs en ont adopté finalement une version expurgée dans la nuit de mercredi à jeudi. Une douzaine de sénateurs d'autres groupes ont voté avec la gauche contre cet article, qui a été adopté par 176 voix (l'UMP représente 159 voix, y compris celle du président de séance qui, traditionnellement ne participe pas au vote), contre 138 (PS, PSF et radicaux de gauche en représentent 125). Dès que le projet de loi sur la maîtrise de l'immigration discuté au Sénat sera adopté dans son ensemble, une commission mixte paritaire (Assemblée-Sénat) sera convoquée afin de mettre au point un texte commun aux deux assemblées. Celui-ci sera ensuite soumis aux députés et sénateurs pour son adoption définitive.
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L'amendement Mariani, introduit dans le projet de loi sur la maîtrise de l'immigration sous la forme d'un article 5 bis pour pallier l'absence dans un certain nombre de pays d'un service de l'état civil fiable, avait été supprimé en commission après avoir provoqué une levée de boucliers. En ligne de mire : la conception d'une famille trop réductrice car basée sur la seule parenté biologique, selon des généticiens ; et le risque de drames possibles si des pères devaient découvrir à l'occasion de ces tests qu'ils n'étaient pas les vrais géniteurs de leurs enfants.
Le nouveau texte, voté à l'initiative du président de la commission des Lois, Jean-Jacques Hyest, prévoit désormais, pour éviter ce dernier risque, que le test recherche "une filiation déclarée avec la mère du demandeur". En outre, il encadre le processus, en obligeant les agents diplomatiques ou consulaires à saisir le tribunal de grande instance de Nantes, "pour qu'il statue (...) sur la nécessité de faire procéder à une telle identification", de façon à mettre la procédure en conformité avec le droit commun. Le gouvernement, qui a prévu d'inscrire ce dispositif dans un cadre expérimental d'une durée maximum de 18 mois, a fait adopter un sous-amendement précisant que ces analyses génétiques sont réalisées, à la demande du candidat au regroupement familial, "aux frais de l'Etat". Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Cancer du sein : trop de femmes abandonnent leur traitement
[4 octobre 2007 - 12:25]
Selon un travail américain, 13% des femmes traitées pour un cancer du sein, outre-atlantique, cesseraient de prendre leurs médicaments à cause des effets secondaires. Notamment des douleurs musculaires. Et ceci sans en avertir leur médecin.
Après avoir été opérées, les patientes incluses dans l’étude du Pr Lynn Henry de l’Université du Michigan, avaient reçu un traitement hormonal. Plus précisément des inhibiteurs de l’aromatase qui bloquent les estrogènes à l’origine de la prolifération des tumeurs cancéreuses. Car rappelons que près des deux tiers des cancers du sein sont hormonaux-dépendants.
« Nous savions que 25% à 30% des femmes sous ce traitement souffraient de maux de têtes et de douleurs musculaires », souligne l’auteur. « Mais nous avons été réellement surpris de constater qu’autant de patientes avaient arrêté de se traiter ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Selon un travail américain, 13% des femmes traitées pour un cancer du sein, outre-atlantique, cesseraient de prendre leurs médicaments à cause des effets secondaires. Notamment des douleurs musculaires. Et ceci sans en avertir leur médecin.
Après avoir été opérées, les patientes incluses dans l’étude du Pr Lynn Henry de l’Université du Michigan, avaient reçu un traitement hormonal. Plus précisément des inhibiteurs de l’aromatase qui bloquent les estrogènes à l’origine de la prolifération des tumeurs cancéreuses. Car rappelons que près des deux tiers des cancers du sein sont hormonaux-dépendants.
« Nous savions que 25% à 30% des femmes sous ce traitement souffraient de maux de têtes et de douleurs musculaires », souligne l’auteur. « Mais nous avons été réellement surpris de constater qu’autant de patientes avaient arrêté de se traiter ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Soldats du feu : vos poumons sont en danger !
[4 octobre 2007 - 14:24]
Les pompiers professionnels présenteraient plus de symptômes respiratoires et seraient davantage sujets aux allergies que le reste de la population. Voilà la conclusion d’une nouvelle étude publiée dans le Journal européen de Pneumologie (ERJ). En cause, les polluants respirés sur les lieux d’intervention.
En dépit de quelques études isolées, les données sur la santé pulmonaire des pompiers restaient parcellaires. C’est donc pour combler cette lacune que le Dr David Miedinger et ses collègues du service de pneumologie de l’Hôpital universitaire de Bâle (Suisse) ont lancé une étude auprès des pompiers professionnels de ce canton. Quelque 101 soldats du feu ont ainsi été examinés, puis les résultats comparés à ceux d’un groupe témoin.
Il en ressort que les pompiers sont « significativement plus nombreux à se plaindre de divers symptômes au cours de leur travail ». Notamment d’écoulement nasal (19% des pompiers contre 2% dans le groupe contrôle), d’irritation de la gorge (26% contre 3%), de sensation de brûlure oculaire (21% contre 3%) et de toux (28% contre 3%). Mais également de maux de tête (25% contre 3%) et d’essoufflement (7% contre 2%). En revanche, les pourcentages d’asthme se sont avérés comparables dans les deux groupes.
Pour les auteurs, ces conclusions sont « surprenantes quand on pense que les pompiers sont généralement considérés comme des travailleurs en meilleure santé que le reste de la population. Et qu’ils doivent se soumettre régulièrement à divers examens médicaux ainsi qu’à des tests d’aptitude physique ». Voilà peut-être qui permettra de faire avancer le dossier de reconnaissance du caractère dangereux de la profession de pompier. Car si cette dernière est désormais reconnue par la loi, il n’en est rien ressorti dans les faits…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Les pompiers professionnels présenteraient plus de symptômes respiratoires et seraient davantage sujets aux allergies que le reste de la population. Voilà la conclusion d’une nouvelle étude publiée dans le Journal européen de Pneumologie (ERJ). En cause, les polluants respirés sur les lieux d’intervention.
En dépit de quelques études isolées, les données sur la santé pulmonaire des pompiers restaient parcellaires. C’est donc pour combler cette lacune que le Dr David Miedinger et ses collègues du service de pneumologie de l’Hôpital universitaire de Bâle (Suisse) ont lancé une étude auprès des pompiers professionnels de ce canton. Quelque 101 soldats du feu ont ainsi été examinés, puis les résultats comparés à ceux d’un groupe témoin.
Il en ressort que les pompiers sont « significativement plus nombreux à se plaindre de divers symptômes au cours de leur travail ». Notamment d’écoulement nasal (19% des pompiers contre 2% dans le groupe contrôle), d’irritation de la gorge (26% contre 3%), de sensation de brûlure oculaire (21% contre 3%) et de toux (28% contre 3%). Mais également de maux de tête (25% contre 3%) et d’essoufflement (7% contre 2%). En revanche, les pourcentages d’asthme se sont avérés comparables dans les deux groupes.
Pour les auteurs, ces conclusions sont « surprenantes quand on pense que les pompiers sont généralement considérés comme des travailleurs en meilleure santé que le reste de la population. Et qu’ils doivent se soumettre régulièrement à divers examens médicaux ainsi qu’à des tests d’aptitude physique ». Voilà peut-être qui permettra de faire avancer le dossier de reconnaissance du caractère dangereux de la profession de pompier. Car si cette dernière est désormais reconnue par la loi, il n’en est rien ressorti dans les faits…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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De faux apothicaires chinois vendent des médicaments contrefaits à Paris…
[4 octobre 2007 - 16:00]
Fioles, sirops, cachets, pilules… La saisie à Paris par les Douanes, de plus de 100 000 doses de faux médicaments dans des « épiceries-pharmacies » tenues par des Chinois est hallucinante. C’est la prise la plus importante jamais réalisée en France. La marchandise était importée illégalement de Chine.
Ces médicaments contrefaits ont été saisis dans cinq magasins « diététiques » et herboristeries des IIIe, XIe et XXe arrondissements de la capitale. « Il y avait un peu de tout, principalement des préparations vendues comme des remèdes chinois » » précise la Direction générale des Douanes. « Nous avons découvert 350 types de produits différents ». Du jamais vu de mémoire de douanier.
Les échoppes des faux apothicaires chinois étaient de véritables cavernes d’Ali baba : cornes d’Antilope en poudre pour faire chuter la fièvre … ou monter la pression sexuelle, pommades douteuses, sirops indéterminés… La panoplie complète du parfait contrefacteur. Il s’y trouvait même des corticoïdes, des oestrogènes et des antiviraux ! Or dans le meilleur des cas ces faux médicaments n’étaient que de simples placebos. Et bien souvent il s’agissait de produits surdosés exposant l’utilisateur à des intoxications graves… voire mortelles.
On ne le rappellera jamais assez : un médicament n’est pas un produit comme un autre. Si on ne meurt pas d’une fausse montre ou d’un sac (mal) copié, un médicament contrefait peut tuer. Et même tuer beaucoup. A l’image des 200 000 malades atteints du paludisme qui décèdent chaque année dans le monde, victimes de contrefaçons.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Fioles, sirops, cachets, pilules… La saisie à Paris par les Douanes, de plus de 100 000 doses de faux médicaments dans des « épiceries-pharmacies » tenues par des Chinois est hallucinante. C’est la prise la plus importante jamais réalisée en France. La marchandise était importée illégalement de Chine.
Ces médicaments contrefaits ont été saisis dans cinq magasins « diététiques » et herboristeries des IIIe, XIe et XXe arrondissements de la capitale. « Il y avait un peu de tout, principalement des préparations vendues comme des remèdes chinois » » précise la Direction générale des Douanes. « Nous avons découvert 350 types de produits différents ». Du jamais vu de mémoire de douanier.
Les échoppes des faux apothicaires chinois étaient de véritables cavernes d’Ali baba : cornes d’Antilope en poudre pour faire chuter la fièvre … ou monter la pression sexuelle, pommades douteuses, sirops indéterminés… La panoplie complète du parfait contrefacteur. Il s’y trouvait même des corticoïdes, des oestrogènes et des antiviraux ! Or dans le meilleur des cas ces faux médicaments n’étaient que de simples placebos. Et bien souvent il s’agissait de produits surdosés exposant l’utilisateur à des intoxications graves… voire mortelles.
On ne le rappellera jamais assez : un médicament n’est pas un produit comme un autre. Si on ne meurt pas d’une fausse montre ou d’un sac (mal) copié, un médicament contrefait peut tuer. Et même tuer beaucoup. A l’image des 200 000 malades atteints du paludisme qui décèdent chaque année dans le monde, victimes de contrefaçons.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Un vrai progrès contre les cancers du sein les plus agressifs
[5 octobre 2007 - 08:00]
Une étude menée à la Clinique gynécologique de la Croix-Rouge à Munich, apporte un espoir de réelle amélioration de leur survie aux femmes atteintes de cancer du sein HER2 positif dit inflammatoire. Ces tumeurs figurent parmi les plus agressives pour ce type de cancer. Il s’agit donc d’un résultat important.
Selon les laboratoires Roche, « l’adjonction d’Herceptin (trastazumab) à une chimiothérapie avant chirurgie pour cancer du sein (a permis) par rapport à une chimiothérapie utilisée seule, d’éradiquer totalement des tumeurs chez presque trois fois plus de femmes souffrant de cancer du sein inflammatoire HER2- positif ».
Le trastazumab appartient à la catégorie des anticorps monoclonaux, qui ont bouleversé le pronostic de certains cancers – et notamment les cancers du sein – au début des années 2000. Les auteurs l’ont ici utilisé dans le cadre d’un traitement néo-adjuvant, en appoint à une chimiothérapie préalable à la chirurgie. Menée à partir d’une cohorte de 228 patientes atteintes de cancer du sein HER2-positif dont 61 présentaient un cancer dit inflammatoire, l’étude NOAH pour NeOAdjuvant Herceptin, a permis une éradication totale des tumeurs chez 55% de ces malades contre 19% en cas de chimiothérapie simple.
Un million de cancers du sein sont diagnostiqués chaque année dans le monde. La mortalité reste importante au niveau global avec plus de 400 000 décès, mais ce chiffre cache de terribles inégalités. En effet dans les pays les plus développés où la prise en charge est efficace et rapide, le taux de guérisons cliniques dépasse désormais 85%… La découverte de la protéine HER2, particulièrement présente dans les formes peu répondantes à la chimiothérapie, a constitué un progrès capital. Or 20% à 30% des femmes atteintes de cancers du sein souffrent d’une forme HER2-positive.
Au mois de juin à Chicago, lors de la réunion de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO), le Pr Brian Leyland-Jones (Emory University d’Atlanta, USA) demandait que l’évaluation du statut HER2 des tumeurs soit systématiquement inscrite au référentiel des traitements. Voilà un travail qui apporte de l’eau à son moulin…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Une étude menée à la Clinique gynécologique de la Croix-Rouge à Munich, apporte un espoir de réelle amélioration de leur survie aux femmes atteintes de cancer du sein HER2 positif dit inflammatoire. Ces tumeurs figurent parmi les plus agressives pour ce type de cancer. Il s’agit donc d’un résultat important.
Selon les laboratoires Roche, « l’adjonction d’Herceptin (trastazumab) à une chimiothérapie avant chirurgie pour cancer du sein (a permis) par rapport à une chimiothérapie utilisée seule, d’éradiquer totalement des tumeurs chez presque trois fois plus de femmes souffrant de cancer du sein inflammatoire HER2- positif ».
Le trastazumab appartient à la catégorie des anticorps monoclonaux, qui ont bouleversé le pronostic de certains cancers – et notamment les cancers du sein – au début des années 2000. Les auteurs l’ont ici utilisé dans le cadre d’un traitement néo-adjuvant, en appoint à une chimiothérapie préalable à la chirurgie. Menée à partir d’une cohorte de 228 patientes atteintes de cancer du sein HER2-positif dont 61 présentaient un cancer dit inflammatoire, l’étude NOAH pour NeOAdjuvant Herceptin, a permis une éradication totale des tumeurs chez 55% de ces malades contre 19% en cas de chimiothérapie simple.
Un million de cancers du sein sont diagnostiqués chaque année dans le monde. La mortalité reste importante au niveau global avec plus de 400 000 décès, mais ce chiffre cache de terribles inégalités. En effet dans les pays les plus développés où la prise en charge est efficace et rapide, le taux de guérisons cliniques dépasse désormais 85%… La découverte de la protéine HER2, particulièrement présente dans les formes peu répondantes à la chimiothérapie, a constitué un progrès capital. Or 20% à 30% des femmes atteintes de cancers du sein souffrent d’une forme HER2-positive.
Au mois de juin à Chicago, lors de la réunion de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO), le Pr Brian Leyland-Jones (Emory University d’Atlanta, USA) demandait que l’évaluation du statut HER2 des tumeurs soit systématiquement inscrite au référentiel des traitements. Voilà un travail qui apporte de l’eau à son moulin…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Les médicaments contre la maladie d’Alzheimer ont une « efficacité modeste »
[5 octobre 2007 - 10:15]
La Haute autorité de Santé (HAS) conclut après les avoir réévalués, que les quatre médicaments qui bénéficient d’une indication officielle dans le traitement de la maladie d’Alzheimer « n’enrayent pas (sa) progression ». Ils n’agissent en fait que sur les symptômes, et non contre le mal lui-même. En revanche, leur niveau de service médical rendu (SMR) a été confirmé, compte-tenu de la gravité de la maladie.
Les quatre médicaments concernés sont le donépézil (Aricept®), la galantamine (Réminyl®), la rivastigmine (Exelon®) et la mémantine (Ebixa®). « Leurs effets sont modestes et portent essentiellement sur les troubles cognitifs » précise la HAS. Le « progrès thérapeutique apporté n’est pas aussi important qu’attendu. Il est désormais considéré comme mineur ».
Toutefois et en dépit du caractère modeste des effets observés, la place de ces traitements dans la prise en charge de la maladie d’Alzheimer est maintenue. « Les médicaments ne sont qu’un des éléments de cette prise en charge, mais les experts ont estimé qu’ils y jouent un rôle structurant » conclut la Haute Autorité.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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La Haute autorité de Santé (HAS) conclut après les avoir réévalués, que les quatre médicaments qui bénéficient d’une indication officielle dans le traitement de la maladie d’Alzheimer « n’enrayent pas (sa) progression ». Ils n’agissent en fait que sur les symptômes, et non contre le mal lui-même. En revanche, leur niveau de service médical rendu (SMR) a été confirmé, compte-tenu de la gravité de la maladie.
Les quatre médicaments concernés sont le donépézil (Aricept®), la galantamine (Réminyl®), la rivastigmine (Exelon®) et la mémantine (Ebixa®). « Leurs effets sont modestes et portent essentiellement sur les troubles cognitifs » précise la HAS. Le « progrès thérapeutique apporté n’est pas aussi important qu’attendu. Il est désormais considéré comme mineur ».
Toutefois et en dépit du caractère modeste des effets observés, la place de ces traitements dans la prise en charge de la maladie d’Alzheimer est maintenue. « Les médicaments ne sont qu’un des éléments de cette prise en charge, mais les experts ont estimé qu’ils y jouent un rôle structurant » conclut la Haute Autorité.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Pour une maternité plus sûre, l’homéopathie des futures mamans
[5 octobre 2007 - 11:41]
Risque d’effets secondaires et de malformations obligent, grossesse et traitements allopathiques ne font pas bon ménage. Voilà sans doute l’une des raisons pour lesquelles l’homéopathie gagne peu à peu les maternités. Pour permettre aux futures mamans de continuer à se traiter malgré leur état, pour soulager les maux de la grossesse et même pour préparer l’accouchement.
« Avec l’homéopathie, il n’y a pas de contre-indications » nous explique Anne-Marie Curat, membre du Conseil national de l’Ordre des Sages-Femmes. « C’est très rassurant pour une femme enceinte, qui dès qu’elle lit la notice d’un traitement allopathique, relève la fameuse annotation : ‘contre-indiqué chez la femme enceinte et allaitante’ ».
Nausées, vomissements, ballonnements, constipation, troubles du sommeil, crampes, vergetures, tension mammaire et naturellement contractions… Aujourd’hui, les traitements homéopathiques sont utilisés contre la plupart des maux associés à la grossesse. Jusqu’à la préparation à l’accouchement avec un traitement dont l’efficacité est reconnue. Appelé Caulophyllum, ce dernier « favorise la dilatation et réduit la durée du travail », précise Anne-Marie Curat.
« Nous ne proposons évidemment pas ces traitements de façon systématique », poursuit la sage-femme. « Nous agissons toujours au cas par cas. Mais bien souvent, nous répondons aussi aux demandes des patientes qui souhaitent être traitées par homéopathie ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[5 octobre 2007 - 11:41]
Risque d’effets secondaires et de malformations obligent, grossesse et traitements allopathiques ne font pas bon ménage. Voilà sans doute l’une des raisons pour lesquelles l’homéopathie gagne peu à peu les maternités. Pour permettre aux futures mamans de continuer à se traiter malgré leur état, pour soulager les maux de la grossesse et même pour préparer l’accouchement.
« Avec l’homéopathie, il n’y a pas de contre-indications » nous explique Anne-Marie Curat, membre du Conseil national de l’Ordre des Sages-Femmes. « C’est très rassurant pour une femme enceinte, qui dès qu’elle lit la notice d’un traitement allopathique, relève la fameuse annotation : ‘contre-indiqué chez la femme enceinte et allaitante’ ».
Nausées, vomissements, ballonnements, constipation, troubles du sommeil, crampes, vergetures, tension mammaire et naturellement contractions… Aujourd’hui, les traitements homéopathiques sont utilisés contre la plupart des maux associés à la grossesse. Jusqu’à la préparation à l’accouchement avec un traitement dont l’efficacité est reconnue. Appelé Caulophyllum, ce dernier « favorise la dilatation et réduit la durée du travail », précise Anne-Marie Curat.
« Nous ne proposons évidemment pas ces traitements de façon systématique », poursuit la sage-femme. « Nous agissons toujours au cas par cas. Mais bien souvent, nous répondons aussi aux demandes des patientes qui souhaitent être traitées par homéopathie ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
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