Fiches culture générale 2012
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Fiches culture générale 2012
Super merci miss !!!!
C'est a 20h50 ??
Bon je tape ma fiche et la poste ! Après repos!
Demain début de la prépa !!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
C'est a 20h50 ??
Bon je tape ma fiche et la poste ! Après repos!
Demain début de la prépa !!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
INFIRMIERE D.E
Re: Fiches culture générale 2012
merci missdu33
voici ma fiche sur les moyens de luttes contre la discrimination:
Interdiction de certaines formes
Sexe, ethnie, religion = Illégale = poursuite
Mais contrôle délicat (ex : entrée en boite de nuit)
Discrimination « à l’envers » = discrimination positives :
TTT préférentiel à des groupes minoritaires (ex : emploi ou admission dans établissement enseignement >)
But : rétablir l’égalité des chances
-ZEP = zone éducation prioritaire : politique éducative compensatoire dans milieux défavorisés
-ZUS= zone urbaine sensible : encourage activité éco par instauration de zone franches
-Obligation de retenir sur liste électorale ½ de femmes aux élections municipale, régionale, européenne et sénatoriales
-Accès hors concours des élèves issus de lycées situé en ZEP à IEP Paris
Insertion :
Entre indemnisation, assistance et intégration, l’insertion = la méthode et l’objectif de la lutte contre l’exclusion.
Depuis les années 80 : multiples dispositifs d’insertion :
-Création fond de garantie de ressource ou de paiement des loyers
-Prise en charge des pers en situation « urgence sociale » (ex : SAMU social)
-Lutte contre illettrisme
-Augmentation nb place hébergement social ou d’urgence
-Augmentation construction logement locatif sociaux
-Création des « maisons de l’emploi » : accompagnent chômeur dans recherche dans l’emplois
-Accès facile à la formation pro
-Développement des minimas sociaux (ex : création du RSA en 2009, revenue solidarité active)
-Aide à l’emploi, à destination pers peu qualifiées, des jeunes, ou pop marginalisées (titulaire RSA et chômeurs longue durée)
Accès aux droits :
Pauvres ou exclus ≠ inadapté ou asociaux = citoyen
Lutte contre exclusion = fondée sur « accès aux droits » éco, civiq et sociaux.
-Accès aux droits à la santé :
oCréation SAMU social en 1993, secourir la nuit das sans logis en situation de détresse (danger physique, psy ou moral), apporte une aide ponctuelle (alimentation, logement, soins) ou en es véhiculant vers un lieu de soin ou hébergement.
oCréation CMU en 2000 : couverture maladie universelle : instaure droit au remboursement des dépenses de l’assurance maladie pour toute pers qui est établi de façon stable et régulière, résident sur le territoire national
oAides alimentaires : colis, bons, repas servi par asso caritative
-Accès au droit à la formation : RMI- RMA
-Accès au droit au logement :
oVersement aide financière
oPrise en charge de certaines dépenses liées au logement.
oAsso se portant caution pour les baux (bail) de logement
-Accès au droit civique : en théorie les sans domiciles = accès au droit de vote auprès de la mairie de leur lieu de naissance.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
voici ma fiche sur les moyens de luttes contre la discrimination:
Interdiction de certaines formes
Sexe, ethnie, religion = Illégale = poursuite
Mais contrôle délicat (ex : entrée en boite de nuit)
Discrimination « à l’envers » = discrimination positives :
TTT préférentiel à des groupes minoritaires (ex : emploi ou admission dans établissement enseignement >)
But : rétablir l’égalité des chances
-ZEP = zone éducation prioritaire : politique éducative compensatoire dans milieux défavorisés
-ZUS= zone urbaine sensible : encourage activité éco par instauration de zone franches
-Obligation de retenir sur liste électorale ½ de femmes aux élections municipale, régionale, européenne et sénatoriales
-Accès hors concours des élèves issus de lycées situé en ZEP à IEP Paris
Insertion :
Entre indemnisation, assistance et intégration, l’insertion = la méthode et l’objectif de la lutte contre l’exclusion.
Depuis les années 80 : multiples dispositifs d’insertion :
-Création fond de garantie de ressource ou de paiement des loyers
-Prise en charge des pers en situation « urgence sociale » (ex : SAMU social)
-Lutte contre illettrisme
-Augmentation nb place hébergement social ou d’urgence
-Augmentation construction logement locatif sociaux
-Création des « maisons de l’emploi » : accompagnent chômeur dans recherche dans l’emplois
-Accès facile à la formation pro
-Développement des minimas sociaux (ex : création du RSA en 2009, revenue solidarité active)
-Aide à l’emploi, à destination pers peu qualifiées, des jeunes, ou pop marginalisées (titulaire RSA et chômeurs longue durée)
Accès aux droits :
Pauvres ou exclus ≠ inadapté ou asociaux = citoyen
Lutte contre exclusion = fondée sur « accès aux droits » éco, civiq et sociaux.
-Accès aux droits à la santé :
oCréation SAMU social en 1993, secourir la nuit das sans logis en situation de détresse (danger physique, psy ou moral), apporte une aide ponctuelle (alimentation, logement, soins) ou en es véhiculant vers un lieu de soin ou hébergement.
oCréation CMU en 2000 : couverture maladie universelle : instaure droit au remboursement des dépenses de l’assurance maladie pour toute pers qui est établi de façon stable et régulière, résident sur le territoire national
oAides alimentaires : colis, bons, repas servi par asso caritative
-Accès au droit à la formation : RMI- RMA
-Accès au droit au logement :
oVersement aide financière
oPrise en charge de certaines dépenses liées au logement.
oAsso se portant caution pour les baux (bail) de logement
-Accès au droit civique : en théorie les sans domiciles = accès au droit de vote auprès de la mairie de leur lieu de naissance.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Fiches culture générale 2012
bonjour à toutes et à tous, c'est la première fois que je poste un commentaire sur le forum et je me suis dit autant poster un lien intéressant et utile
.
De passage sur le site de France 5 : magazine de la santé, je suis tombé sur le sujet : Infirmières : profession en danger , que je fais partager.
http://www.france5.fr/sante/enquete-de- ... 2011-11-08
bon courage à toutes et à tous !!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

De passage sur le site de France 5 : magazine de la santé, je suis tombé sur le sujet : Infirmières : profession en danger , que je fais partager.
http://www.france5.fr/sante/enquete-de- ... 2011-11-08
bon courage à toutes et à tous !!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Fiches culture générale 2012
Merci beaucoup Myriam ! C'est super sympas !!!
C'est bon, j'ai trouvé l'heure c'est a 20h40 !
LES DISCRIMINATIONS
Discrimination : distinction entre des choses ou des personnes illégitimement ou de façon injustifiée
HALDE : Haute Autorité e Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité
21 mars : Journée nationale de Lutte contre la discrimination
LES DIFFERENTES FORMES DE DISCRIMINATION
La loi de novembre 2001 = 2formes de discrimination sont définies par les directives Europééenes « race » et « travail »
- Discrimination directes : Pers traitée moins favorablement qu’une autre dans une situation comparable
Exple : test a l’embauche, alors que les pers ont la meme qualification
- Discrimination indirecte : Critère neutre, peut entrainer un désavantage pour une pers d’une race ou ethnie differente
Exple : Discrimination salariale
- Discrimination multiples et illégales :
Origine, sexe (sauf si age spécifié) mœurs, situation familiale, opinions politique, syndicat, religieux …
Maintenant surveillance ++ patronyme, apparences physique, orientation sexuelle, age …
CSQCES DES DICRIMINATION
INEGALITE : Différence positive et/ou negative entre personnes
- Economique :
Revenu : Different les hommes des femmes
Inégalité du patrimoine
- Sociale :
Different niveau de vie, inégalité de logemnt, face a l’emploi, la formation, accès aux soins
PAUVRETE Insuf de ressources materielles ; culturelle, sociales, qui ne peut satisfaire c besoins normaux.
- Monétaire : insuf de revenu
- D’existence : Abs de bien pour usage normal
- Subjective : difference entre revenu et besoin necessaire
5millions de pers en F sous le seuil de pauvreté
5 millions de pers en précarité profL
12-13 millions de pers percevant les minimas sociaux
EXCLUSION Processus qui part cumul de handicap conduit a un enchainement de rupture : famille, éco, sociale
Repli et rejet
- Exlusion profL (chomage)
- Exclusion éco
- Exclusion sociale (soins famille)
- Exclusion culturelle (école)
Causes de l’exclusion :
- Economiq : Diminution/ perte de revenu, chomagelgue durée …
- PersL : Maladie, handicap, faible qualification, eclatement familiale
Csqces de l’exclusion :
- Sociale : mendicité, délinquance, prostitution, Alcoolisme et toxicomanie
- Santé publique : Troubles du comportements, maladies
LA nouvelle pauvreté = Personnes qui ne sont pas nés pauvres, mais dues a plusieurs accidents de la vie, le sont devenus
Lutte contre l’exclusion :
- Aide sociale
- Minimas sociaux (création 1970) Maintenant il yen a 8
RMI revenu mini insertien+ API Alloc parent isolé + autres aides= RSA Revenu de solidarité active
AI Alloc d’Insertion ; ASS Alloc Solidarité Spécifique ; Alloc adulte handicapé ; Alloc assurance veuvage ; Alloc supp de vieillesse ; Alloc sup d’invalidité
LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS
Interdiction de certaines discriminations :
Sexe, ethnie, religion …=> Poursuite si non respect
Discrimination positive = égalité des chance = TTT préferentielle a des groupes minoritaire
Déjà en place en France :
- ZEP Zone d’Education prioritaire : espaces défavorisés
- ZUS Zone urbaine sensible : Encouragement de création d’entreprise dans les zones franches
- Obligation de la moitié des femmes sur les listes electorales
- Accès hors concours de ZEP a l’IEP de Paris
Insertion : (lutte contre l’exclusion +++)
+++ depuis le milieu des années 80
- Création d’un fond de garantie de paiement des loyers
- Prise en charge de services pour les pers en situation d’urgence (SAMU social)
- Lutte contre l’illètrisme
- Logement locatif sociaux
- Accès a la formation profL
- Dvlpt des minimas socaux
- Aide a l’emploi
- Création de maison de l’emploi
- Augmentation du nb de place ds les hebergement social et d’urgence
Accès aux droits
- Droit a la santé : SAMU social (1993) CMU (2000) Aides alimentaires (assoc)
- Accès a la formation
- Accès au logement (APL)
- Accès aux droits civiques (meme pour les sans abris)Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
C'est bon, j'ai trouvé l'heure c'est a 20h40 !
LES DISCRIMINATIONS
Discrimination : distinction entre des choses ou des personnes illégitimement ou de façon injustifiée
HALDE : Haute Autorité e Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité
21 mars : Journée nationale de Lutte contre la discrimination
LES DIFFERENTES FORMES DE DISCRIMINATION
La loi de novembre 2001 = 2formes de discrimination sont définies par les directives Europééenes « race » et « travail »
- Discrimination directes : Pers traitée moins favorablement qu’une autre dans une situation comparable
Exple : test a l’embauche, alors que les pers ont la meme qualification
- Discrimination indirecte : Critère neutre, peut entrainer un désavantage pour une pers d’une race ou ethnie differente
Exple : Discrimination salariale
- Discrimination multiples et illégales :
Origine, sexe (sauf si age spécifié) mœurs, situation familiale, opinions politique, syndicat, religieux …
Maintenant surveillance ++ patronyme, apparences physique, orientation sexuelle, age …
CSQCES DES DICRIMINATION
INEGALITE : Différence positive et/ou negative entre personnes
- Economique :
Revenu : Different les hommes des femmes
Inégalité du patrimoine
- Sociale :
Different niveau de vie, inégalité de logemnt, face a l’emploi, la formation, accès aux soins
PAUVRETE Insuf de ressources materielles ; culturelle, sociales, qui ne peut satisfaire c besoins normaux.
- Monétaire : insuf de revenu
- D’existence : Abs de bien pour usage normal
- Subjective : difference entre revenu et besoin necessaire
5millions de pers en F sous le seuil de pauvreté
5 millions de pers en précarité profL
12-13 millions de pers percevant les minimas sociaux
EXCLUSION Processus qui part cumul de handicap conduit a un enchainement de rupture : famille, éco, sociale
Repli et rejet
- Exlusion profL (chomage)
- Exclusion éco
- Exclusion sociale (soins famille)
- Exclusion culturelle (école)
Causes de l’exclusion :
- Economiq : Diminution/ perte de revenu, chomagelgue durée …
- PersL : Maladie, handicap, faible qualification, eclatement familiale
Csqces de l’exclusion :
- Sociale : mendicité, délinquance, prostitution, Alcoolisme et toxicomanie
- Santé publique : Troubles du comportements, maladies
LA nouvelle pauvreté = Personnes qui ne sont pas nés pauvres, mais dues a plusieurs accidents de la vie, le sont devenus
Lutte contre l’exclusion :
- Aide sociale
- Minimas sociaux (création 1970) Maintenant il yen a 8
RMI revenu mini insertien+ API Alloc parent isolé + autres aides= RSA Revenu de solidarité active
AI Alloc d’Insertion ; ASS Alloc Solidarité Spécifique ; Alloc adulte handicapé ; Alloc assurance veuvage ; Alloc supp de vieillesse ; Alloc sup d’invalidité
LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS
Interdiction de certaines discriminations :
Sexe, ethnie, religion …=> Poursuite si non respect
Discrimination positive = égalité des chance = TTT préferentielle a des groupes minoritaire
Déjà en place en France :
- ZEP Zone d’Education prioritaire : espaces défavorisés
- ZUS Zone urbaine sensible : Encouragement de création d’entreprise dans les zones franches
- Obligation de la moitié des femmes sur les listes electorales
- Accès hors concours de ZEP a l’IEP de Paris
Insertion : (lutte contre l’exclusion +++)
+++ depuis le milieu des années 80
- Création d’un fond de garantie de paiement des loyers
- Prise en charge de services pour les pers en situation d’urgence (SAMU social)
- Lutte contre l’illètrisme
- Logement locatif sociaux
- Accès a la formation profL
- Dvlpt des minimas socaux
- Aide a l’emploi
- Création de maison de l’emploi
- Augmentation du nb de place ds les hebergement social et d’urgence
Accès aux droits
- Droit a la santé : SAMU social (1993) CMU (2000) Aides alimentaires (assoc)
- Accès a la formation
- Accès au logement (APL)
- Accès aux droits civiques (meme pour les sans abris)Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
INFIRMIERE D.E
Re: Fiches culture générale 2012
Bonjour,
Je viens de m'inscrire sur le forum et je viens de découvrir vos fiches et je trouve que c'est une très bonne idée d'échanger nos info. Je voulais savoir si il était prévu de poster une fiche sur la maltraitance?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je viens de m'inscrire sur le forum et je viens de découvrir vos fiches et je trouve que c'est une très bonne idée d'échanger nos info. Je voulais savoir si il était prévu de poster une fiche sur la maltraitance?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Fiches culture générale 2012
Ce vendredi on a une fiche sur la violence!!
Mais on en a déjà un peu parlé dans nos fiches enfant, adulte et personne agées!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Mais on en a déjà un peu parlé dans nos fiches enfant, adulte et personne agées!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Fiches culture générale 2012
Bon moi je vais vous donnez des fiches de SSH, c'est la culture G qu'on aborde rapidement en médecine, même si ce n'est pas au concours, ça peut toujours lancer quelques pistes 
Fin de vie
On ne meurt plus chez soi, on meurt à l'hôpital ou dans des services spécialisés (maisons de retraites). A la fin de vie, développe des techniques sur le bien mourir (abréger ou prolonger la durée de vie), mais aussi sur la réanimation. Cherche à fuir la mort.
Acharnement thérapeutique
Depuis 1950, réanimation, survie artificielle (en état végétatif). Poursuivre les soins au-delà du raisonnable n'est-ce pas là une forme de violence inutile à l'égard du sujet ? On utilise de manière systématique tous les moyens médicaux pour maintenir en vie, par exemple des traitements pour prolonger la vie sans en tirer des bénéfices (soins palliatif) plus rien de thérapeutique, pas d'amélioration, résultat nul...
On peut parler d'acharnement thérapeutique lorsque le patient décède suite à l'obstination du médecin. Mais si cela marche, aura-t-il eu tort de s'acharner ou raison de s'obstiner? Les pronostique ne sont toujours pas exactes. On ne peut pas justifier l'acharnement mais il existe pourtant bien. Argument ? Respect de la vie, maintenir la vie (base de la médecine) pouvoir faire encore quelque chose pour le patient. Bénéfice pour la personne. Prolongement simplement organique, intérêt ? Plus d'aptitude sociale, simple survie biologique. Il faut voir la vie de la personne dans son ensemble pas seulement l'être biologique. Mais aussi prendre en compte la qualité de vie. Voir les bénéfiques pour la personne globalement. Futilité des soins, inutile de continuer le traitement car impossibilité de rémission. Il faut que la durée et la qualité de vie soi acceptable. Pronostique bon ?
Déterminé quel état de vie, pronostique, l'attente à un rôle majeur pour le dressage d'un diagnostic. Pour ensuite construire une décision. Absence d'avenir ou avenir non assuré.
(Service néonatal obligation de sauvé la vie,) critère pour évaluation de qualité et durée de vie : autonomie, acquisition intellectuelle, vie relationnelle.
Passage du soin curatif à palliatif, si on a fait le maximum, si irréversible, ou limité les soins par le médecin. Tenir compte avec la famille des désirs réels du malade, la décision revient au médecin.
Le refus de l'acharnement est une reconnaissance de la limite de la médecine, reconnaît que l'homme meurt et ne guérit pas toujours
Euthanasie du grec Eu-thanatos : bonne mort, mort volontaire et douce. Devoir du médecin, assisté l'agonie des patients, soin palliatif : adoucir la fin de vie des malade.
Sens actuel : procurer la mort délibérément (connotation négative) acte de procurer la mort par compassion pour un patient souffrant indéniablement.
Active : provoquer activement, directement délibérément la mort = faire mourir
Passivement : interrompre un soin, laissé mourir
Même finalité, active= peut continuer de vivre, passive= en fin de vie
Patient doit être volontaire, agit avec son consentement pour en finir avec les souffrances.
Suicide médicalement assisté interdit : donner les moyens médicaux pour se suicider, proche de l'euthanasie active mais indirecte, c'est le patient qui fait l'acte.
Loi du 22 avril 2005 : pour les personnes en fin de vie, phase avancé ou terminal, maladie rare ou incurable avec pronostic vital engagé, reconnaissance de l'euthanasie passive, arrêt des soins.
Essayer de convaincre et persuadé le patient pour continuer les soins, son choix doit être respecté (autonomie du patient). Directive anticipé pour patient ne pouvant pas manifester leur dernière volonté (personne de confiance)
Décision d'arrêt de soin : il faut le respect individuel du patient et une procédure collégiale. Lors d'une phase avancé ou stade terminal, médecin peut arrêter pour plusieurs conditions : concertation médical avec l'équipe de soin le médecin traitant et un avis d'un consultant (médecin qualifier) étranger à l'équipe médicale. Mais la décision revient toujours au médecin en charge du patient.
Recherche du souhait du patient (directive anticipé), tenu de consulter. Compromis équilibré.
Double effet : soulage la douleur même si cela a pour effet de précipiter la mort, en fin de vie (augmentation de la dose de morphine), confort pour les médecins, intention pour soulager la souffrance la mort étant un effet second. Transparence
Refus de soin, éthique sur le principe de ne pas nuire et de l'autonomie (respect du désir de la volonté). Respecter le refus de soin mais en essayant de persuader. Doit informer des conséquences. Vocation première : droit du patient à vivre sa vie (autonomie). Respect de son refus et de sa volonté.
Refus du traitement => refus de la vie ? Demande de mort ?
Souvent la volonté du patient n'est pas respecter, directive anticipé trop peu connu, famille laissé en dehors car incompétence médicale et la situation peut les influencer.
Légalisation de l'euthanasie
Ambiguïté de la demande, irréversibilité du geste.
Liberté de mourir : acte de liberté et dignité de vivre. Libre juge de sa vie
Refuser par la société car protection de la vie (paternalisme), la bienveillance est plus forte que la liberté.
Suicide acte de liberté ? Acte de détresse de personne malade, traduction de la pression, auto dépréciation, fuite dans la mort. Demande différente du désir/vouloir.
Culture palliatif, loi suffit lors de la fin de vie (double effet), soulager les souffrances, sédation en phrase terminal, pas d'agonie.
Exception dur à définir.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Fin de vie
On ne meurt plus chez soi, on meurt à l'hôpital ou dans des services spécialisés (maisons de retraites). A la fin de vie, développe des techniques sur le bien mourir (abréger ou prolonger la durée de vie), mais aussi sur la réanimation. Cherche à fuir la mort.
Acharnement thérapeutique
Depuis 1950, réanimation, survie artificielle (en état végétatif). Poursuivre les soins au-delà du raisonnable n'est-ce pas là une forme de violence inutile à l'égard du sujet ? On utilise de manière systématique tous les moyens médicaux pour maintenir en vie, par exemple des traitements pour prolonger la vie sans en tirer des bénéfices (soins palliatif) plus rien de thérapeutique, pas d'amélioration, résultat nul...
On peut parler d'acharnement thérapeutique lorsque le patient décède suite à l'obstination du médecin. Mais si cela marche, aura-t-il eu tort de s'acharner ou raison de s'obstiner? Les pronostique ne sont toujours pas exactes. On ne peut pas justifier l'acharnement mais il existe pourtant bien. Argument ? Respect de la vie, maintenir la vie (base de la médecine) pouvoir faire encore quelque chose pour le patient. Bénéfice pour la personne. Prolongement simplement organique, intérêt ? Plus d'aptitude sociale, simple survie biologique. Il faut voir la vie de la personne dans son ensemble pas seulement l'être biologique. Mais aussi prendre en compte la qualité de vie. Voir les bénéfiques pour la personne globalement. Futilité des soins, inutile de continuer le traitement car impossibilité de rémission. Il faut que la durée et la qualité de vie soi acceptable. Pronostique bon ?
Déterminé quel état de vie, pronostique, l'attente à un rôle majeur pour le dressage d'un diagnostic. Pour ensuite construire une décision. Absence d'avenir ou avenir non assuré.
(Service néonatal obligation de sauvé la vie,) critère pour évaluation de qualité et durée de vie : autonomie, acquisition intellectuelle, vie relationnelle.
Passage du soin curatif à palliatif, si on a fait le maximum, si irréversible, ou limité les soins par le médecin. Tenir compte avec la famille des désirs réels du malade, la décision revient au médecin.
Le refus de l'acharnement est une reconnaissance de la limite de la médecine, reconnaît que l'homme meurt et ne guérit pas toujours
Euthanasie du grec Eu-thanatos : bonne mort, mort volontaire et douce. Devoir du médecin, assisté l'agonie des patients, soin palliatif : adoucir la fin de vie des malade.
Sens actuel : procurer la mort délibérément (connotation négative) acte de procurer la mort par compassion pour un patient souffrant indéniablement.
Active : provoquer activement, directement délibérément la mort = faire mourir
Passivement : interrompre un soin, laissé mourir
Même finalité, active= peut continuer de vivre, passive= en fin de vie
Patient doit être volontaire, agit avec son consentement pour en finir avec les souffrances.
Suicide médicalement assisté interdit : donner les moyens médicaux pour se suicider, proche de l'euthanasie active mais indirecte, c'est le patient qui fait l'acte.
Loi du 22 avril 2005 : pour les personnes en fin de vie, phase avancé ou terminal, maladie rare ou incurable avec pronostic vital engagé, reconnaissance de l'euthanasie passive, arrêt des soins.
Essayer de convaincre et persuadé le patient pour continuer les soins, son choix doit être respecté (autonomie du patient). Directive anticipé pour patient ne pouvant pas manifester leur dernière volonté (personne de confiance)
Décision d'arrêt de soin : il faut le respect individuel du patient et une procédure collégiale. Lors d'une phase avancé ou stade terminal, médecin peut arrêter pour plusieurs conditions : concertation médical avec l'équipe de soin le médecin traitant et un avis d'un consultant (médecin qualifier) étranger à l'équipe médicale. Mais la décision revient toujours au médecin en charge du patient.
Recherche du souhait du patient (directive anticipé), tenu de consulter. Compromis équilibré.
Double effet : soulage la douleur même si cela a pour effet de précipiter la mort, en fin de vie (augmentation de la dose de morphine), confort pour les médecins, intention pour soulager la souffrance la mort étant un effet second. Transparence
Refus de soin, éthique sur le principe de ne pas nuire et de l'autonomie (respect du désir de la volonté). Respecter le refus de soin mais en essayant de persuader. Doit informer des conséquences. Vocation première : droit du patient à vivre sa vie (autonomie). Respect de son refus et de sa volonté.
Refus du traitement => refus de la vie ? Demande de mort ?
Souvent la volonté du patient n'est pas respecter, directive anticipé trop peu connu, famille laissé en dehors car incompétence médicale et la situation peut les influencer.
Légalisation de l'euthanasie
Ambiguïté de la demande, irréversibilité du geste.
Liberté de mourir : acte de liberté et dignité de vivre. Libre juge de sa vie
Refuser par la société car protection de la vie (paternalisme), la bienveillance est plus forte que la liberté.
Suicide acte de liberté ? Acte de détresse de personne malade, traduction de la pression, auto dépréciation, fuite dans la mort. Demande différente du désir/vouloir.
Culture palliatif, loi suffit lors de la fin de vie (double effet), soulager les souffrances, sédation en phrase terminal, pas d'agonie.
Exception dur à définir.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
IBO en Guadeloupe
Re: Fiches culture générale 2012
Etre malade
La médecine n'est pas seulement organique, touche notre conscience au-delà de notre corps, change l'individu par rapport aux autres. Être malade est une expérience bouleversant la relation avec son entourage, les lieux d'existence. Être malade redéfinit les liens sociaux et perturbe même la personnalité.
Une expérience unique.
La maladie met en jeu l'identité du sujet physiquement, physiologiquement, socialement. Il y a une relation entre le patient et son corps.
La maladie peut causer un remaniement du corps, redessine l'apparence que ce soit à cause de la maladie ou des traitements comme en chimiothérapie où les cheveux ne poussent plus. La maladie touche le corps qui nous constitue, qui nous définit. Être son corps, c'est la représentation que l'on a de nous-même, c'est la relation qu'on a avec le monde. Au début de la vie, le nourrisson n'a pas de représentation de lui-même, et se sépare de plus en plus de sa mère lorsqu'il grandit. La maladie touche les bases de la représentation de nous-même. La maladie est l'expérience de la rupture, de la différence avec soi-même. La maladie affecte le sentiment de soi, comme lors d'une amputation où il y aura une infériorisation.
Une rupture biographique majeure comme le SIDA, implique un bouleversement total. Les séropositifs doivent prendre de nombreux médicaments affectant la vie du patient. La maladie limite les capacités à se projeter dans le futur à cause de la mort qui est soudainement bien plus proche. La maladie oblige le sujet à avoir l'identité de la maladie.
Pour les malades chroniques, vivant leur maladie, il y a une requalification de soi-même. Leur maladie étant incurable, les malades intègrent les contraintes et les aléas. Il y a une renonciation de l'identité sociale, professionnelle, entraînant une perte de statut social. Les patients sont alors définis par leur maladie. Certain s'adapte avec leur maladie, pour conserver un statut social et une identité, pour ne pas simplement être réduit comme une personne malade.
Le sujet se questionne sur les sens de sa maladie pour la combattre et l'accepter. La recherche du sens de la maladie est un mécanisme interprétatif visant à intégrer la maladie au malade, l'aidant pour la compréhension. Le patient cherche les origines de sa maladie dans des événements antérieures débouchant à des théories non rationnelles. Le sujet cherche un sens dans sa maladie car c'est une épreuve qu'il vit individuellement l'affectant à tous les plans. Par exemple, son statut social est redéfinit lors de l'arrivé de la maladie. Lorsque le sujet était sain il participait à la société, la maladie est représentée comme un obstacle dans sa vie. La médecine juge alors le malade pour définir s'il est socialement valide. La médecine crée la réalité sociale de la maladie. Le médecin donne le nom de la maladie, prescrit des médicaments, et définit socialement le sujet. Ce statut est variable selon l'époque, la société, il peut être réintroduit ou alors mis en marge. La maladie interrompt l'activité, c'est un handicap dans la vie sociale (exemple : mis en place l'arrêt de travail) donc la maladie empêche de tenir sa position social au sein de la société. La maladie redéfinit des nouvelles normes de vie. Certaines maladies sont proies à des réactions violentes de la société. Le malade doit subir le regard social. L’étiquetage social est un handicap pour le sujet. Si la pathologie est visible, le regard social est d'autant plus violent. Être malade peut être un désavantage social, un obstacle à la participation de la société.
Stigmate : E. Goffman : Est stigmate une personne lorsque celle-ci porte un attribut qui va le disqualifier. Exemple : stigmatisation du SIDA en Amérique, qui était perçu comme un cancer homosexuel. Ils étaient mis à distance de peur de contaminer la société.
Santé/ maladie n'est pas seulement biologique. C'est une expérience individuelle avant tout, qui régit les normes sociales. Être en bonne santé est une valeur positive et idéale.
Certain malade passe leur vie à se soigner et d'autre se soigne pour vivre.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
La médecine n'est pas seulement organique, touche notre conscience au-delà de notre corps, change l'individu par rapport aux autres. Être malade est une expérience bouleversant la relation avec son entourage, les lieux d'existence. Être malade redéfinit les liens sociaux et perturbe même la personnalité.
Une expérience unique.
La maladie met en jeu l'identité du sujet physiquement, physiologiquement, socialement. Il y a une relation entre le patient et son corps.
La maladie peut causer un remaniement du corps, redessine l'apparence que ce soit à cause de la maladie ou des traitements comme en chimiothérapie où les cheveux ne poussent plus. La maladie touche le corps qui nous constitue, qui nous définit. Être son corps, c'est la représentation que l'on a de nous-même, c'est la relation qu'on a avec le monde. Au début de la vie, le nourrisson n'a pas de représentation de lui-même, et se sépare de plus en plus de sa mère lorsqu'il grandit. La maladie touche les bases de la représentation de nous-même. La maladie est l'expérience de la rupture, de la différence avec soi-même. La maladie affecte le sentiment de soi, comme lors d'une amputation où il y aura une infériorisation.
Une rupture biographique majeure comme le SIDA, implique un bouleversement total. Les séropositifs doivent prendre de nombreux médicaments affectant la vie du patient. La maladie limite les capacités à se projeter dans le futur à cause de la mort qui est soudainement bien plus proche. La maladie oblige le sujet à avoir l'identité de la maladie.
Pour les malades chroniques, vivant leur maladie, il y a une requalification de soi-même. Leur maladie étant incurable, les malades intègrent les contraintes et les aléas. Il y a une renonciation de l'identité sociale, professionnelle, entraînant une perte de statut social. Les patients sont alors définis par leur maladie. Certain s'adapte avec leur maladie, pour conserver un statut social et une identité, pour ne pas simplement être réduit comme une personne malade.
Le sujet se questionne sur les sens de sa maladie pour la combattre et l'accepter. La recherche du sens de la maladie est un mécanisme interprétatif visant à intégrer la maladie au malade, l'aidant pour la compréhension. Le patient cherche les origines de sa maladie dans des événements antérieures débouchant à des théories non rationnelles. Le sujet cherche un sens dans sa maladie car c'est une épreuve qu'il vit individuellement l'affectant à tous les plans. Par exemple, son statut social est redéfinit lors de l'arrivé de la maladie. Lorsque le sujet était sain il participait à la société, la maladie est représentée comme un obstacle dans sa vie. La médecine juge alors le malade pour définir s'il est socialement valide. La médecine crée la réalité sociale de la maladie. Le médecin donne le nom de la maladie, prescrit des médicaments, et définit socialement le sujet. Ce statut est variable selon l'époque, la société, il peut être réintroduit ou alors mis en marge. La maladie interrompt l'activité, c'est un handicap dans la vie sociale (exemple : mis en place l'arrêt de travail) donc la maladie empêche de tenir sa position social au sein de la société. La maladie redéfinit des nouvelles normes de vie. Certaines maladies sont proies à des réactions violentes de la société. Le malade doit subir le regard social. L’étiquetage social est un handicap pour le sujet. Si la pathologie est visible, le regard social est d'autant plus violent. Être malade peut être un désavantage social, un obstacle à la participation de la société.
Stigmate : E. Goffman : Est stigmate une personne lorsque celle-ci porte un attribut qui va le disqualifier. Exemple : stigmatisation du SIDA en Amérique, qui était perçu comme un cancer homosexuel. Ils étaient mis à distance de peur de contaminer la société.
Santé/ maladie n'est pas seulement biologique. C'est une expérience individuelle avant tout, qui régit les normes sociales. Être en bonne santé est une valeur positive et idéale.
Certain malade passe leur vie à se soigner et d'autre se soigne pour vivre.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Fiches culture générale 2012
Maladie
Réalité plurielle. Fait du corps : pathologie d'organe ou de système, lésion, anomalie, signe objectif qualifiable avec une norme statistiquement définie.
Selon qui la considère (médecin, société), il y a autant de représentations que d'acteurs. Pour le malade et son entourage c'est une gêne qui interrompt l'ordinaire. Lors d'une pathologie grave, c'est une rupture majeure envahissant tous les secteurs. La maladie n'affecte pas seulement la personne malade, mais aussi le rapport avec les autres et le statut dans la société. Être malade est un rôle qui doit être assuré par le malade, pour avoir accès aux médicaments et aux arrêts maladie. Être malade est un statut socialement reconnu. La maladie fait rencontrer 2 acteurs différents, le médecin et le malade. Ces 2 acteurs sont différents sur plusieurs plans : les attentes, les savoirs.
Il y a une différence entre être malade et se sentir malade. On peut se sentir malade et ne pas l'être tout comme on peut être malade sans se sentir malade. Une bonne santé apparente ne veut pas forcément dire qu'une personne va bien. Cet état dépend de la pathologie, en effet une personne ayant un cancer peut ne pas le ressentir directement. Il y a les personnes qui se sentent malade sans l'être, comme les hypocondriaques par exemple, ce sont des personnes qui se croit malade tout le temps mais qui ne le sont réellement pas. La maladie diffère selon le point de vue du malade et du médecin. Il y a 3 différents points de vue. En anglais, ces trois points de vues sont définit par trois mots bien distinct qui sont illness, disease et sickness.
Illness signifie le point de vue du malade, c'est ce que vit et ressent le patient lorsqu'il est malade. C'est l'expérience personnelle, l'interprétation de la maladie par le malade.
Disease est la maladie du point de vue du médecin. C'est une connaissance scientifique, attestable dans la structure et le fonctionnement. Il est relégué par la subjectivité du malade.
Enfin, sickness est la maladie du point de vue social, la reconnaissance de la maladie désigné par le médecin après un diagnostic. Donc la maladie est une réalité sociale, donnant au malade des droits (arrêt maladie) et des devoirs (prise de traitement). Être malade selon le patient, c'est en premier temps avoir le sentiment d'une anomalie, le malade ressent des symptômes subjectifs comme la présence d'une douleur signe d'une rupture du quotidien. Lors d'un diagnostic, grâce à la sémiologie (étude des signes cliniques), le médecin donne un nom à la pathologie. La maladie bouleverse le mode de vie, les activités et le rapport social qu'entretient le patient avec les autres. Le malade cherche en premier temps ce qui lui arrive, il cherche les causes de sa maladie.
Le médecin et le patient sont donc différents et lors de la rencontre de ces deux acteurs, il y a une confrontation.
Il peut y avoir une incompréhension entre le médecin et le malade. Ils ne parlent pas avec les mêmes mots, le même vocabulaire. Le malade se plaint de ses symptômes, souvent imaginé (avoir une boule au ventre). Le médecin doit alors interpréter les symptômes donnés et les traduire grâce à son savoir scientifique pour obtenir un diagnostic. Souvent, la plainte n'est pas toujours comprise par le médecin. Le patient se plaint de sa maladie pour se faire écouter et compris, mais elle peut cacher une autre demande ou une autre attente. Seules les lésions sont contestables par le médecin, mais il est possible qu'aucune maladie ne correspond aux symptômes donnés par le malade. Pour que la plainte soit reçue, elle doit être identifiée.
Les plaintes peuvent être incompréhensibles pour différente raisons. La catégorie social ou les cultures peuvent ne pas être les mêmes. Certaines cultures ressente les maladies différemment, les exprimes d'une autre manière ou exprime une autre souffrance. La description des maux du patient fait référence à sa culture, ce qui peut être une source de quiproquo. Les symptômes sont « codés » par la culture, or s'il y a une interculturalité, les plaintes ne pourront pas rencontrer les connaissances du médecin ce qui conclura à un mauvais diagnostique. C'est pour cela qu'il faut que les relations médecin-malade soit unique et individualiser.
Empathie (du grec en : dans ; pathie : souffrance): se décentrer pour comprendre ce qu'une autre personne ressent, ces réactions psychologiquesÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Réalité plurielle. Fait du corps : pathologie d'organe ou de système, lésion, anomalie, signe objectif qualifiable avec une norme statistiquement définie.
Selon qui la considère (médecin, société), il y a autant de représentations que d'acteurs. Pour le malade et son entourage c'est une gêne qui interrompt l'ordinaire. Lors d'une pathologie grave, c'est une rupture majeure envahissant tous les secteurs. La maladie n'affecte pas seulement la personne malade, mais aussi le rapport avec les autres et le statut dans la société. Être malade est un rôle qui doit être assuré par le malade, pour avoir accès aux médicaments et aux arrêts maladie. Être malade est un statut socialement reconnu. La maladie fait rencontrer 2 acteurs différents, le médecin et le malade. Ces 2 acteurs sont différents sur plusieurs plans : les attentes, les savoirs.
Il y a une différence entre être malade et se sentir malade. On peut se sentir malade et ne pas l'être tout comme on peut être malade sans se sentir malade. Une bonne santé apparente ne veut pas forcément dire qu'une personne va bien. Cet état dépend de la pathologie, en effet une personne ayant un cancer peut ne pas le ressentir directement. Il y a les personnes qui se sentent malade sans l'être, comme les hypocondriaques par exemple, ce sont des personnes qui se croit malade tout le temps mais qui ne le sont réellement pas. La maladie diffère selon le point de vue du malade et du médecin. Il y a 3 différents points de vue. En anglais, ces trois points de vues sont définit par trois mots bien distinct qui sont illness, disease et sickness.
Illness signifie le point de vue du malade, c'est ce que vit et ressent le patient lorsqu'il est malade. C'est l'expérience personnelle, l'interprétation de la maladie par le malade.
Disease est la maladie du point de vue du médecin. C'est une connaissance scientifique, attestable dans la structure et le fonctionnement. Il est relégué par la subjectivité du malade.
Enfin, sickness est la maladie du point de vue social, la reconnaissance de la maladie désigné par le médecin après un diagnostic. Donc la maladie est une réalité sociale, donnant au malade des droits (arrêt maladie) et des devoirs (prise de traitement). Être malade selon le patient, c'est en premier temps avoir le sentiment d'une anomalie, le malade ressent des symptômes subjectifs comme la présence d'une douleur signe d'une rupture du quotidien. Lors d'un diagnostic, grâce à la sémiologie (étude des signes cliniques), le médecin donne un nom à la pathologie. La maladie bouleverse le mode de vie, les activités et le rapport social qu'entretient le patient avec les autres. Le malade cherche en premier temps ce qui lui arrive, il cherche les causes de sa maladie.
Le médecin et le patient sont donc différents et lors de la rencontre de ces deux acteurs, il y a une confrontation.
Il peut y avoir une incompréhension entre le médecin et le malade. Ils ne parlent pas avec les mêmes mots, le même vocabulaire. Le malade se plaint de ses symptômes, souvent imaginé (avoir une boule au ventre). Le médecin doit alors interpréter les symptômes donnés et les traduire grâce à son savoir scientifique pour obtenir un diagnostic. Souvent, la plainte n'est pas toujours comprise par le médecin. Le patient se plaint de sa maladie pour se faire écouter et compris, mais elle peut cacher une autre demande ou une autre attente. Seules les lésions sont contestables par le médecin, mais il est possible qu'aucune maladie ne correspond aux symptômes donnés par le malade. Pour que la plainte soit reçue, elle doit être identifiée.
Les plaintes peuvent être incompréhensibles pour différente raisons. La catégorie social ou les cultures peuvent ne pas être les mêmes. Certaines cultures ressente les maladies différemment, les exprimes d'une autre manière ou exprime une autre souffrance. La description des maux du patient fait référence à sa culture, ce qui peut être une source de quiproquo. Les symptômes sont « codés » par la culture, or s'il y a une interculturalité, les plaintes ne pourront pas rencontrer les connaissances du médecin ce qui conclura à un mauvais diagnostique. C'est pour cela qu'il faut que les relations médecin-malade soit unique et individualiser.
Empathie (du grec en : dans ; pathie : souffrance): se décentrer pour comprendre ce qu'une autre personne ressent, ces réactions psychologiquesÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Fiches culture générale 2012
Médecin malade
Du paternalisme médical a l'autonomie éclairée: évolution de la relation médecin malade.
Dialogue délicat entre 2 personnes. Qualité de la communication très importante car participe à la thérapie et favorise le traitement. Chaque relation est unique par la singularité des patients. Il faut donc s'adapter aux patients. C'est une des compétences qu'un médecin doit avoir. Confiance indispensable. Cette relation est au cœur de la pratique. Au début de l'histoire de la médecine, il y avait un paternalisme aliénant, infantilisant les malades. Les patients acceptaient aveuglement les traitements dans l'ignorance total (de la maladie et des traitements). Aujourd'hui, la confiance se gagne avec l'information, le patient est autonome et participe à son traitement. Il faut respecter la volonté du patient.
Paternalisme: Abus du pouvoir médical.
Dès le serment d'Hippocrate, la décision médical était possédé seulement par le médecin car seul lui sait ce qui est bon pour le patient. Seul son jugement compte car seul lui a les connaissances. Le médecin prenait donc les choix à la place du patient. Le malade était une personne ayant des connaissances profanes. Il est impuissant et vulnérable ainsi qu'ignorant (aucun savoir médical). Le rapport est dissymétrique, le médecin agit tel un parent bienfaiteur car le patient est diminué par la maladie. Il est donc légitime qu'il prenne des décisions à sa place sans le consulter, dans l'intérêt du malade. Le patient était donc passif. Il n'était informé ni sur la maladie ni sur le traitement dans son intérêt. C'était pour son bien que rien ne lui était révélé car cela pourrait avoir des conséquences néfastes.
Le déclin: Loi Huriet-Serusclat en 1988: Besoin du consentement du patient pour des expérimentations, ainsi que le droit de se retirer à n'importe quel moment. C'est une protection pour les patients. Limite de la médecine: dans le cas de thérapie anti cancéreuse et de maladie incurable. Diffusion des connaissances médicales grâce en grande partie à internet, le médecin n'est plus le seul à avoir des connaissances. La pseudo-expertise rééquilibre un peu la relation médecin-malade (même si celle-ci n'est pas toujours bénéfique). Les soins sont devenus un produit de consommation, le patient devient un "usagé" du système de santé. Le modernisme médical, on change de médecin pour changer de traitement.
Débat éthique: Revendication de l'autonomie contre la bienfaisance médicale
Excès du paternalisme, quelle est la place du patient dans la relation médecin-malade?
La base de l'éthique est la bienfaisance: faire le bien du patient en cherchant ce qu'il y a de meilleur pour lui. Dans le but d'être utile et ne pas nuire. Le médecin cherche à faire le bien du patient mais pas son bien. Ces deux représentations du bien ne sont pas parfois la même. Il faut la reconnaissance de l'autodétermination, le sujet juge par lui-même ce qui est le mieux pour lui.
Autonomie vient du grec Autonomos (auto: soi-même, nomos: règle) désigne l'indépendance, la possibilité de gérer sa santé et plus généralement sa vie en pleine conscience et en toute liberté. C'est agir librement pour un but donné. Si celle-ci est réduite, c'est qu'on est contrôlé par autrui. Il y a trois conditions à l'autonomie: la liberté, la délibération (déterminer ses buts) et l'action possible. Respecter un individu autonome c'est au minimum reconnaitre de cette personne d'avoir les droits, les opinions, les choix, des croyances. Le patient n'est plus inférieur au médecin. Il est autonome, associé avec la décision médicale. Son consentement guide la décision, qui doit être "éclairée" c'est-à-dire avec des informations claires et précises.
Selon Engelhart, la bienfaisance ne fait pas concurrence à l'autonomie. C'est l'accomplissement d'un bien reconnu par le patient pour son bien. Il a la liberté de choix et n'est pas soumis. L'autonomie doit être supérieure à la bienfaisance.
Autonomie éclairée.
La loi donne un compromis entre bienfaisance et autonomie, donnant alors une nouvelle définition à la relation médecin-malade plus équilibré.
Le consentement libre et éclairée gouverne la relation, obligeant d'avoir l'accord ou le refus du malade.
La loi du 4 mars 2002 apporte un changement radical. En effet le médecin doit transmettre des informations pour prendre avec le patient une décision, contrairement au paternalisme médical. Le médecin doit savoir comment dire et quand dire au patient ce qu'il veut savoir. Car le patient n'est pas obliger de tout entendre comme par exemple le temps qu'il lui reste à vivre. La loi du 4 mars 2002 donne droit à l'information. En effet le patient a le droit d'être informé avant de prendre une quelconque décision médical. Il doit connaitre son état de santé de manière claire et transparente avant de donner son consentement. Il a aussi le droit de connaitre le rapport bénéfice/risque d'un traitement, les alternatives thérapeutique et les effets indésirables possibles. De plus le médecin doit s'adapter au patient en lui donnant une information qu'il sera apte à comprendre. Le patient a aussi le droit de ne pas savoir ce qu'il a sauf lorsqu'il y a risque de contamination (SIDA) car il y a possibilité que d'autres personnes soient touchées. De plus, la loi oblige à demander le consentement avant tout acte médicamenteux. Seul lors de cas d'urgence, le recueil n'est pas obligatoire. Lors de cas grave (coma) le médecin doit deviner ce que le patient aurait voulu. Il peut consulter une personne de confiance désigné par le malade. Cette consultation est possible grâce à la loi Leonetti (2005). Le patient peut déterminer une personne de confiance qui fera respecter sa volonté lorsque celui-ci ne n'en sera pas apte. Il représentera le patient et le médecin doit tenir compte de la personne de confiance, mais n'est pas obliger de se soumettre à celle-ci. Le consentement doit être valide, c'est-à-dire que le patient doit être capable de comprendre et de donner son consentement. Seulement, le patient peut être incapable de donner son contentement: l'incapacité de faite comme les personnes comateuses, et l'incapacité de droit comme les mineurs (juridiquement incapable), les schizophrènes. La loi prévoit aussi que le patient doit être informé de la façon la plus complète possible. Il doit être libre de toute pression médicale et sociale, il a aussi le droit de ne pas se soigner et doit être informer des conséquences. Le patient devient donc un acteur.
La loi du 4 mars 2002 est une avancée majeure, mais comment doit-on informer le patient? Par exemple lors de l'incertitude d'un diagnostic, comment évoquer les effets indésirables et les traitements. Est-ce que tous les risques doivent-être donnés ? Il doit donc trouver le juste milieu car s'il y a trop de donné le patient pourrait être traumatisé, cela pourrait donc lui nuire. Il faut donc accompagné le patient dans sa prise de conscience. La liberté de consentir peut aussi nuire au patient dans le cas où celui-ci ne veut pas sa soigner. Doit-on donc accepté son choix et ne pas le persuadé? Son choix est-il donc le meilleur pour lui? Le médecin doit donc collaborer, donner son avis au patient qui est devant des choix qu'il ne connait pas. Le médecin et le malade sont donc tous les deux impliqués dans la décision. Le médecin doit donc s'adapter au patient, lui laisser le choix de choisir la relation qu'ils entretiennent. Il doit orienter le malade tout en respectant son autonomie.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Du paternalisme médical a l'autonomie éclairée: évolution de la relation médecin malade.
Dialogue délicat entre 2 personnes. Qualité de la communication très importante car participe à la thérapie et favorise le traitement. Chaque relation est unique par la singularité des patients. Il faut donc s'adapter aux patients. C'est une des compétences qu'un médecin doit avoir. Confiance indispensable. Cette relation est au cœur de la pratique. Au début de l'histoire de la médecine, il y avait un paternalisme aliénant, infantilisant les malades. Les patients acceptaient aveuglement les traitements dans l'ignorance total (de la maladie et des traitements). Aujourd'hui, la confiance se gagne avec l'information, le patient est autonome et participe à son traitement. Il faut respecter la volonté du patient.
Paternalisme: Abus du pouvoir médical.
Dès le serment d'Hippocrate, la décision médical était possédé seulement par le médecin car seul lui sait ce qui est bon pour le patient. Seul son jugement compte car seul lui a les connaissances. Le médecin prenait donc les choix à la place du patient. Le malade était une personne ayant des connaissances profanes. Il est impuissant et vulnérable ainsi qu'ignorant (aucun savoir médical). Le rapport est dissymétrique, le médecin agit tel un parent bienfaiteur car le patient est diminué par la maladie. Il est donc légitime qu'il prenne des décisions à sa place sans le consulter, dans l'intérêt du malade. Le patient était donc passif. Il n'était informé ni sur la maladie ni sur le traitement dans son intérêt. C'était pour son bien que rien ne lui était révélé car cela pourrait avoir des conséquences néfastes.
Le déclin: Loi Huriet-Serusclat en 1988: Besoin du consentement du patient pour des expérimentations, ainsi que le droit de se retirer à n'importe quel moment. C'est une protection pour les patients. Limite de la médecine: dans le cas de thérapie anti cancéreuse et de maladie incurable. Diffusion des connaissances médicales grâce en grande partie à internet, le médecin n'est plus le seul à avoir des connaissances. La pseudo-expertise rééquilibre un peu la relation médecin-malade (même si celle-ci n'est pas toujours bénéfique). Les soins sont devenus un produit de consommation, le patient devient un "usagé" du système de santé. Le modernisme médical, on change de médecin pour changer de traitement.
Débat éthique: Revendication de l'autonomie contre la bienfaisance médicale
Excès du paternalisme, quelle est la place du patient dans la relation médecin-malade?
La base de l'éthique est la bienfaisance: faire le bien du patient en cherchant ce qu'il y a de meilleur pour lui. Dans le but d'être utile et ne pas nuire. Le médecin cherche à faire le bien du patient mais pas son bien. Ces deux représentations du bien ne sont pas parfois la même. Il faut la reconnaissance de l'autodétermination, le sujet juge par lui-même ce qui est le mieux pour lui.
Autonomie vient du grec Autonomos (auto: soi-même, nomos: règle) désigne l'indépendance, la possibilité de gérer sa santé et plus généralement sa vie en pleine conscience et en toute liberté. C'est agir librement pour un but donné. Si celle-ci est réduite, c'est qu'on est contrôlé par autrui. Il y a trois conditions à l'autonomie: la liberté, la délibération (déterminer ses buts) et l'action possible. Respecter un individu autonome c'est au minimum reconnaitre de cette personne d'avoir les droits, les opinions, les choix, des croyances. Le patient n'est plus inférieur au médecin. Il est autonome, associé avec la décision médicale. Son consentement guide la décision, qui doit être "éclairée" c'est-à-dire avec des informations claires et précises.
Selon Engelhart, la bienfaisance ne fait pas concurrence à l'autonomie. C'est l'accomplissement d'un bien reconnu par le patient pour son bien. Il a la liberté de choix et n'est pas soumis. L'autonomie doit être supérieure à la bienfaisance.
Autonomie éclairée.
La loi donne un compromis entre bienfaisance et autonomie, donnant alors une nouvelle définition à la relation médecin-malade plus équilibré.
Le consentement libre et éclairée gouverne la relation, obligeant d'avoir l'accord ou le refus du malade.
La loi du 4 mars 2002 apporte un changement radical. En effet le médecin doit transmettre des informations pour prendre avec le patient une décision, contrairement au paternalisme médical. Le médecin doit savoir comment dire et quand dire au patient ce qu'il veut savoir. Car le patient n'est pas obliger de tout entendre comme par exemple le temps qu'il lui reste à vivre. La loi du 4 mars 2002 donne droit à l'information. En effet le patient a le droit d'être informé avant de prendre une quelconque décision médical. Il doit connaitre son état de santé de manière claire et transparente avant de donner son consentement. Il a aussi le droit de connaitre le rapport bénéfice/risque d'un traitement, les alternatives thérapeutique et les effets indésirables possibles. De plus le médecin doit s'adapter au patient en lui donnant une information qu'il sera apte à comprendre. Le patient a aussi le droit de ne pas savoir ce qu'il a sauf lorsqu'il y a risque de contamination (SIDA) car il y a possibilité que d'autres personnes soient touchées. De plus, la loi oblige à demander le consentement avant tout acte médicamenteux. Seul lors de cas d'urgence, le recueil n'est pas obligatoire. Lors de cas grave (coma) le médecin doit deviner ce que le patient aurait voulu. Il peut consulter une personne de confiance désigné par le malade. Cette consultation est possible grâce à la loi Leonetti (2005). Le patient peut déterminer une personne de confiance qui fera respecter sa volonté lorsque celui-ci ne n'en sera pas apte. Il représentera le patient et le médecin doit tenir compte de la personne de confiance, mais n'est pas obliger de se soumettre à celle-ci. Le consentement doit être valide, c'est-à-dire que le patient doit être capable de comprendre et de donner son consentement. Seulement, le patient peut être incapable de donner son contentement: l'incapacité de faite comme les personnes comateuses, et l'incapacité de droit comme les mineurs (juridiquement incapable), les schizophrènes. La loi prévoit aussi que le patient doit être informé de la façon la plus complète possible. Il doit être libre de toute pression médicale et sociale, il a aussi le droit de ne pas se soigner et doit être informer des conséquences. Le patient devient donc un acteur.
La loi du 4 mars 2002 est une avancée majeure, mais comment doit-on informer le patient? Par exemple lors de l'incertitude d'un diagnostic, comment évoquer les effets indésirables et les traitements. Est-ce que tous les risques doivent-être donnés ? Il doit donc trouver le juste milieu car s'il y a trop de donné le patient pourrait être traumatisé, cela pourrait donc lui nuire. Il faut donc accompagné le patient dans sa prise de conscience. La liberté de consentir peut aussi nuire au patient dans le cas où celui-ci ne veut pas sa soigner. Doit-on donc accepté son choix et ne pas le persuadé? Son choix est-il donc le meilleur pour lui? Le médecin doit donc collaborer, donner son avis au patient qui est devant des choix qu'il ne connait pas. Le médecin et le malade sont donc tous les deux impliqués dans la décision. Le médecin doit donc s'adapter au patient, lui laisser le choix de choisir la relation qu'ils entretiennent. Il doit orienter le malade tout en respectant son autonomie.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Fiches culture générale 2012
Médicament
Avancé révolution thérapeutique, différente origine et des principes actifs
Traitement de plus en plus puissant.
Pharmakon grec = remède et poison, substance avec un principe actif, objet technique, objet de profit.
Disease mongering : fabriquer/inventer une maladie pour vendre un médicament associé.
Le médicament est aussi un vecteur de croyance et d'espoir (placebo), en France 3 /4 des consultations se termine par une prescription de médicament. Valeur symbolique.
Peut contenir des effets iatrogènes (effet secondaire)
Beaucoup d'évolution grâce à la biologie moderne, pharmacovigilance.
Les maladies iatrogéniques représentent 10% des hospitalisations
Progrès de la pharmacologie grâce aux connaissances physiologiques (hormone de croissance) ? Physiopathologie d'une maladie,
Recherches sont souvent financer par les firmes pharmacologiques
Mécanismes d'évaluation d'un médicament sont long ce qui permet d'amélioré la protection. Expérience in vitro : étape clinique en 3 phase : toxicité, posologie, essaie thérapeutique contre un placebo. Besoin d'une vigilance quand même lors de la mise sur le marché. Enquête épidémiologique pour chercher les effets rares.
Essais contre placebo en DOUBLE AVEUGLE, pour éliminer les effets non spécifique et pour être efficace on randomise l’essai et on contrôle les deux groupes. Le vérum doit être supérieur au placebo pour être mise sur le marché, mais mise en place d'une pharmacovigilance.
Le marché du médicament. Investissement important alors prix des médicaments élevés pour compenser la recherche/développement. Seul les pays occidentaux sont important car soigne les maladies « de riche ». Place infime pour les maladies rares car débouché insuffisante.
Image du médicament (G. Besançon) représentation mentale de ce qu'on entend
Image externe : image donnée à voir ou à entendre comme la publicité, le marketing. Mobilisation de l'imaginaire : médicament de confort : importance du nom de fantaisie, couleur saveur taille....
Image interne : représentation consciente et inconsciente détermine les attitudes. Vaccins = images négatives,
Statut du médicament : pas seulement un objet, médiateur, valorisation du pouvoir médical. Représente la force de vouloir guérir.
Effet placebo : facteur extérieur augmente l'effet pharmacologique, s'additionne à l'effet attendu = facteur extra pharmacologique. Conviction du soignant influence sur le malade, besoin de l'adhésion du patient => reflet de la qualité médecin malade.
Surconsommation la France est le premier pays de consommation de psychotrope, usage détourner plus dans le cadre médical, la demande est devenu banalisé, médicalisation de souffrance non pathologique, malaise social pour améliorer le confort psychique, souffrance n'est plus pathologique.
Auto médicalisation est devenue un réflexe banal, prise de médicament sans avis médical, sans ordonnance ou réutilisation. Environs 7 français sur 10, favorisé par l'information médicale, l'autodiagnostic. Utilisation pour agir vite contre les symptômes (afin de tenir son rôle social) solution d'attente, manque de temps et de moyens financiers. Souvent pour des affections bénignes, sans gravité, accélère la guérison. Mais source de danger, le retard de diagnostic en cachant les symptômes. On peut aggraver la maladie, et le risque iatrogène est d'autant plus important (erreur de posologie).
Voili-voilou pour un aperçu de ce qu'on aborde en médecineÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Avancé révolution thérapeutique, différente origine et des principes actifs
Traitement de plus en plus puissant.
Pharmakon grec = remède et poison, substance avec un principe actif, objet technique, objet de profit.
Disease mongering : fabriquer/inventer une maladie pour vendre un médicament associé.
Le médicament est aussi un vecteur de croyance et d'espoir (placebo), en France 3 /4 des consultations se termine par une prescription de médicament. Valeur symbolique.
Peut contenir des effets iatrogènes (effet secondaire)
Beaucoup d'évolution grâce à la biologie moderne, pharmacovigilance.
Les maladies iatrogéniques représentent 10% des hospitalisations
Progrès de la pharmacologie grâce aux connaissances physiologiques (hormone de croissance) ? Physiopathologie d'une maladie,
Recherches sont souvent financer par les firmes pharmacologiques
Mécanismes d'évaluation d'un médicament sont long ce qui permet d'amélioré la protection. Expérience in vitro : étape clinique en 3 phase : toxicité, posologie, essaie thérapeutique contre un placebo. Besoin d'une vigilance quand même lors de la mise sur le marché. Enquête épidémiologique pour chercher les effets rares.
Essais contre placebo en DOUBLE AVEUGLE, pour éliminer les effets non spécifique et pour être efficace on randomise l’essai et on contrôle les deux groupes. Le vérum doit être supérieur au placebo pour être mise sur le marché, mais mise en place d'une pharmacovigilance.
Le marché du médicament. Investissement important alors prix des médicaments élevés pour compenser la recherche/développement. Seul les pays occidentaux sont important car soigne les maladies « de riche ». Place infime pour les maladies rares car débouché insuffisante.
Image du médicament (G. Besançon) représentation mentale de ce qu'on entend
Image externe : image donnée à voir ou à entendre comme la publicité, le marketing. Mobilisation de l'imaginaire : médicament de confort : importance du nom de fantaisie, couleur saveur taille....
Image interne : représentation consciente et inconsciente détermine les attitudes. Vaccins = images négatives,
Statut du médicament : pas seulement un objet, médiateur, valorisation du pouvoir médical. Représente la force de vouloir guérir.
Effet placebo : facteur extérieur augmente l'effet pharmacologique, s'additionne à l'effet attendu = facteur extra pharmacologique. Conviction du soignant influence sur le malade, besoin de l'adhésion du patient => reflet de la qualité médecin malade.
Surconsommation la France est le premier pays de consommation de psychotrope, usage détourner plus dans le cadre médical, la demande est devenu banalisé, médicalisation de souffrance non pathologique, malaise social pour améliorer le confort psychique, souffrance n'est plus pathologique.
Auto médicalisation est devenue un réflexe banal, prise de médicament sans avis médical, sans ordonnance ou réutilisation. Environs 7 français sur 10, favorisé par l'information médicale, l'autodiagnostic. Utilisation pour agir vite contre les symptômes (afin de tenir son rôle social) solution d'attente, manque de temps et de moyens financiers. Souvent pour des affections bénignes, sans gravité, accélère la guérison. Mais source de danger, le retard de diagnostic en cachant les symptômes. On peut aggraver la maladie, et le risque iatrogène est d'autant plus important (erreur de posologie).
Voili-voilou pour un aperçu de ce qu'on aborde en médecineÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
IBO en Guadeloupe
Re: Fiches culture générale 2012
merci kysa pour les fichesÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Fiches culture générale 2012
Que font les moderateurs !! OÙ SONT LES SOURCES !!
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N'ehpad infirmier qui veut
Re: Fiches culture générale 2012
je comprend pas on a pas le droit de merttre nos fiches?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.infthomas a écrit :Que font les moderateurs !! OÙ SONT LES SOURCES !!
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Fiches culture générale 2012
sixela95 a écrit :je comprend pas on a pas le droit de merttre nos fiches?infthomas a écrit :Que font les moderateurs !! OÙ SONT LES SOURCES !!
Pareil pas compris la remarque...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Promo 2009-2012