Future ESI suis je la seule à stresser? des conseils?

[Lirka]

C'est normal d'être stressé, c'est l'inconnu...
Mais dans une semaine ça ira déjà mieux, et après, c'est une histoire de travail (régulier), rien d'inatteignable.

Pour les blouses, personne ne saura te répondre ici à mon avis.
Le plus simple est d'appeler ton IFSI, ou la blanchisserie de l'hôpital, enfin bref : la personne qui s'en charge et de voir s'il est possible de changer.

Sinon ça sera peut-être faisable au fil des 3 années...

Mais ne t'inquiètes pas trop pour ça non plus, c'est jamais du sur mesure de toute façon.
Et il vaut mieux un peu trop large qu'un peu trop serré où tous tes mouvements sont gênés.

[06karim]

faut dire que le taux d'échec est particulièrement faible. L'avantage de nos études c'est d'être très suivi et en même temps d'avoir des études pas uniquement théoriques.
Pas de raison de stresser juste travailler régulièrement. Y a pas de mystère.

N hésite pas à parler avec tes collègues. Vous êtes ensemble pour 3 ans alors tu n'es pas la seule à stresser je te rassure.

[sniper76800]

Il était à combien le taux d'échecs de la promo sept 2010-juil 2013 ?

[loulic]

faut dire que le taux d'échec est particulièrement faible.

A priori 30% des étudiants qui entrent en première année n'iront pas jusqu'au DE ...

[Lenalan]

Il y a très peu d'échecs (dans le sens "on a loupé aux examens, on ne nous donne pas le diplôme") mais il y a quand même beaucoup d'abandons (surtout en 1ère année mais ça continue en 2ème et même en 3ème année). Moi j'ai quitté en milieu de 2ème année et il y a eu du monde après moi qui a fait de même.... Donc sur les promos qui entrent lundi on sait que statistiquement pas mal an ressortiront sans rien ou avec le diplôme d'AS (ce qui n'est en soit pas une catastrophe ). Après ce qui est clair que pour ceux qui arrivent au bout le taux d'échec est très faible, avec des possibilités d'aller au rattrapage, de redoubler etc.... Mais si on s'accroche et qu'on est hyper motivé pour aller au bout il n'y a pas de raison que ça arrive On sait en entrant qu'on va pas au club med et que c'est une formation difficile à plein de niveaux. Et dans 3 ans, le 5 juillet 2016, quand on dira "je suis Infirmière Diplômée d'Etat" on sera fiers de ce qu'on a accompli et c'est l'objectif qu'il faut garder en tête, en sachant qu'entre temps on risque d'avoir des hauts et des bas, mais c'est le jeu!

[loulic]

Donc sur les promos qui entrent lundi on sait que statistiquement pas mal an ressortiront sans rien ou avec le diplôme d'AS (ce qui n'est en soit pas une catastrophe ).

Pratiquement un étudiant sur trois.

On sait en entrant qu'on va pas au club med et que c'est une formation difficile à plein de niveaux.

Je crois que pour beaucoup le choc est grand, et la découverte du monde de la santé (et du monde réel parfois) est une cruelle désillusion. Même en troisième années, certains semblent à mille lieues du travail de l'infirmier et des responsabilité inhérentes à la fonction.

[06karim]

l'abandon est différent de l'échec. Effectivement quand on lit certaines motivations on doit se dire que la réalité risque de déplaire. lol!
Après si on est motivé et qu'on travaille régulièrement le taux d'échec est très très peu élevé.

[augusta]

L'abandon est un échec!

Echouer c'est ne pas réussir.
Abandonner c'est ne pas réussir, même si c'est un choix.

[Lenalan]

Je suis tout à fait d'accord! Arrêter était un choix, personne ne m'a demandé de partir et je suis partie avec le diplôme d'aide-soignante, mais ça reste un échec (je ne suis pas entrée en formation d'aide-soignante). Je fais partie de ces personnes qui sont entrées en 1ère année et qui ne sont pas ressorties avec le DE d'infirmier en poche (oui c'est ça, environ 1 étudiant sur 3 dans ma promo aussi). Ce n'est pas un échec cuisant de ratage aux examens mais ça reste un échec

[06karim]

Désolé mais l'abandon n'entre pas dans le calcul du taux de réussite. L'abandon est un choix personnel. Si vous voulez le voir comme un échec personnel c'est votre perception .
Pour ceux qui veulent faire ce métier y a absolument aucune raison d'échouer au vu de l'accompagnement qui est fourni.
Allez en FAC vous verrez que cela n'a rien à voir!!!

Donc si vous êtes motivé même si vous avez des difficultés vous réussirez sans problème.

N'hésitez pas à communiquer surtout.

[Lenalan]

Désolé mais l'abandon n'entre pas dans le calcul du taux de réussite. L'abandon est un choix personnel. Si vous voulez le voir comme un échec personnel c'est votre perception .
Pour ceux qui veulent faire ce métier y a absolument aucune raison d'échouer au vu de l'accompagnement qui est fourni.
Allez en FAC vous verrez que cela n'a rien à voir!!!

Donc si vous êtes motivé même si vous avez des difficultés vous réussirez sans problème.

N'hésitez pas à communiquer surtout.

Donc l'abandon serait lié à un manque de motivation? Si c'était si simple.....

[augusta]

Je ne sais pas comment est calculé le taux de réussite.
Mais il y a quand même un lien à faire entre le nombre d' entrées en 1ère année et le nombre de diplomés en fin de cursus. C'est justement ce rapport là qui est intéressant, qui parle...

La réussite (ou l'échec) à cette formation ne peut pas n'être que liée à la motivation.
C'est beaucoup beaucoup beaucoup plus complexe que cela.

[06karim]

désolé mais le taux de réussite est calculé par rapport à ceux qui se présente à l'examen.
ceux qui abandonne je répète c'est un choix personnel.
je suis pas là pour faire la psychologie de certains qui ont abandonné la formation...

Si on est motivé et bien sûr si vous travaillez et écoutez, il n'y a aucune raison d'échouer.

[Lenalan]

Le taux de réussite ok, c'est calculé sur les gens qui se présentent à l'examen (donc quoi? 99% de réussite ou pas loin?). Mais est-ce que ne parler que de ça ne masque pas la réalité, c'est à dire occulter le fait qu'on sait parfaitement que 30% des personnes qui vont entrer en 1ère année lundi ressortiront sans le diplôme?

Ne pas en parler reviendrait à dire qu'une fois le concours passé on est sûr à 99% d'avoir le diplôme, ce qui est totalement faux. Ça serait nier la difficulté et les réalités de ces études qui amènent les gens à abandonner. Car la plupart des gens qui abandonnent étaient motivés comme tout le monde en entrant, ils ne sont pas entrés là par hasard en voyant de la lumière, ça arrive mais c'est pas la majorité....

[augusta]

Si Loulic dit que le taux d'échec est de 30%, je ne vois pas trop comment le taux de réussite peut être de 99%?

Si il y a 30% d'échec, c'est qu'il y a 70% de réussite, et c'est bien en prenant en compte le nombre à l'entrée et le nombre de diplomés à la sortie qu'on arrive à un chiffre cohérent, enfin qui veut dire quelque chose.

Loulic?