l'avenir de la formation IDE, quelques questions?

Le forum des étudiants en soins infirmiers

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RCA
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Message par RCA »

un article interessant, disponible sur le site de la coordination nationale infirmière(syndicat professionnel):

"Le 30 septembre prochain, une des dernières réunions sur le nouveau programme des études en IFSI aura lieu au ministère.
Après avoir étudié les documents de travail, nous constatons qu’il est proposé d’amputer les études de 3 mois et demi.
On concentre, on restreint, on remanie et hop : on sort du chapeau une durée de 34 mois… !
Le ministère jongle avec la durée des congés des étudiants, les heures de stages et de théorie. Les 3ème années devraient passer leur diplôme en juin afin qu’il n’y ait pas d’étudiant en période de congés mais des diplômés.
Force est de constater que nos dirigeants auraient déjà décidé :
la licence universitaire ne sera pas pour les infirmiers.

Le ministère semble nous réserver une licence professionnelle sans espoir de doctorat !
La licence universitaire équivaut à 6 semestres soit 36 mois.
La licence professionnelle équivaut (après 2 années en études supérieures post bac) à 2 semestres soit 12 mois.
De plus, la mise en place d’une Licence professionnelle fait ressurgir une potentielle VAE infirmière que nous avions écartée en 2007.
Au nom de quel lobbying le gouvernement aura-t-il tranché pour une licence professionnelle ?
La profession infirmière n’est-elle pas une fois de plus sacrifiée pour des intérêts économiques et politiques ?
Devons-nous accepter ces manœuvres et ces décisions sans reconnaissance réelle et justifiée des professionnels concernés ?
A l’heure où le gouvernement souhaite ouvrir le débat concernant la coopération entre professionnels de santé, il est impératif que le cadre de notre formation soit posé !
Nous exigeons la mise en place d’un LMD infirmier dont il est urgent de définir le D et notamment la science infirmière à laquelle il s’adossera.

La Coordination Nationale Infirmière CNI, syndicat professionnel infirmier, réaffirme l’urgence de la définition du cadre de la réforme des études."

Nathalie Depoire

Mais aussi, interview de J.Clément, cadre de santé infirmier disponible sur studyrama.fr:

..."La formation est-elle si difficile d’accès ?

« La formation n’est pas en soi difficile d’accès. Un quota d’étudiants à admettre en première année est défini par arrêté chaque année. En 2008, le quota a été fixé à 30342 étudiants (Arrêté du 20 juin 2008 fixant le nombre d’étudiants à admettre en première année d’études préparatoires au diplôme d’Etat d’infirmier Sur le plan national). Chaque région dispose ensuite d’une partie de ce quota inextensible. Il y a donc une notion de places limitées et donc de concours. Parfois, localement, les places sont peu nombreuses par rapport au nombre de candidats. Attention, le concours n’est pas plus facile quand les places sont très nombreuses. Il y a un minimum de résultats à obtenir pour être admis. »"...
RCA
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Message par RCA »

Je maintiens ce que je dis: concours IFSi année 2003, tous les sujets de tests psychotechniques étaient les même sur la région de lyon.
RCA
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Message par RCA »

Pour le nombre d'heures de formation:

Formation IDE en Europe : Directive 77/453/CEE du 27 juin 1977
Directive 77/453/CEE du Conseil, du 27 juin 1977, visant à la coordination des dispositions législatives, réglementaires et administratives concernant les activités de l’infirmier responsable des soins généraux (Journal officiel n° L 176 du 15/07/1977)

DIRECTIVE DU CONSEIL du 27 juin 1977 visant à la coordination des dispositions législatives, réglementaires et administratives concernant les activités de l’infirmier responsable des soins généraux (77/453/CEE)

LE CONSEIL DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES
- vu le traité instituant la Communauté économique européenne, et notament ses articles 49, 57, 66 et 235,
- vu la proposition de la Commission,
- vu l’avis de l’Assemblée (1),
- vu l’avis du Comité économique et social (2),
- considérant que, pour réaliser la reconnaissance mutuelle des diplômes, certificats et autres titres d’infirmier responsable des soins généraux, telle que la prescrit la directive 77/452/CEE (3), la similitude des formations dans les États membres permet de limiter la coordination dans ce domaine à l’exigence du respect de normes minimales, laissant pour le surplus aux États membres la liberté d’organisation de leur enseignement ; considérant que la coordination prévue par la présente directive n’exclut pas pour autant une coordination ultérieure ;
- considérant que la coordination prévue par la présente directive porte sur la formation professionnelle des infirmiers responsables des soins généraux ; que, en ce qui concerne la formation, la majorité des États membres ne font pas actuellement de distinction entre les infirmiers exerçant leur activité comme salarié et ceux l’exerçant de manière indépendante ; que, de ce fait, et pour favoriser pleinement la libre circulation des professionnels dans la Communauté, il apparaît donc nécessaire d’étendre aux infirmiers salariés l’application de la présente directive,

A ARRÊTÉ LA PRÉSENTE DIRECTIVE :

Article premier

1. Les États membres subordonnent la délivrance des certificats, diplômes et autres titres d’infirmier responsable des soins généraux, visés à l’article 3 de la directive 77/452/CEE, à la réussite d’un examen donnant la garantie que l’intéressé a acquis au cours de sa formation :
- a) une connaissance adéquate des sciences qui sont à la base des soins généraux, y compris une connaissance suffisante de l’organisme, des fonctions physiologiques et du comportement des personnes en bonne santé et des personnes malades, ainsi que des relations existant entre l’état de santé et l’environnement physique et social de l’être humain ;
- b) une connaissance suffisante de la nature et de l’éthique de la profession et des principes généraux concernant la santé et les soins ;
- c) une expérience clinique adéquate ; celle-ci, qu’il convient de choisir pour sa valeur formatrice, doit être acquise sous le contrôle d’un personnel infirmier qualifié, et dans des lieux où l’importance du personnel qualifié et l’équipement sont appropriés aux soins infirmiers à dispenser au malade ;
- d) la capacité de participer à la formation du personnel sanitaire et une expérience de la collaboration avec ce personnel ;
- e) une expérience de la collaboration avec d’autres professionnels du secteur sanitaire.

2. La formation visée au paragraphe 1 comporte au moins :
- a) une formation scolaire générale de dix années sanctionnée par un diplôme, certificat ou autre titre délivré par les autorités ou organismes compétents d’un État membre ou par un certificat attestant la réussite à un examen d’admission, de niveau équivalent, aux écoles professionnelles d’infirmiers ; (1)JO nº C 65 du 5.6.1970, p. 12. (2)JO nº C 108 du 26.8.1970, p. 23. (3)Voir page 1 du présent Journal officiel.
- b) une formation à temps plein, spécifiquement professionnelle, portant obligatoirement sur les matières du programme d’études figurant en annexe à la présente directive et comprenant trois ans d’études ou 4 600 heures d’enseignement théorique et pratique.

3. Les États membres veillent que l’institution chargée de la formation d’infirmiers soit responsable de la coordination entre la théorie et la pratique pour l’ensemble du programme d’études.

L’enseignement théorique et technique visé à la partie A de l’annexe doit être pondéré et coordonné avec l’enseignement infirmier clinique, visé à la partie B de la même annexe, de telle sorte que les connaissances et expériences énumérées au paragraphe 1 puissent être acquises de façon adéquate.

L’enseignement infirmier clinique doit s’effectuer sous la forme de stages guidés dans les services d’un centre hospitalier ou dans d’autres services de santé, notamment dans des centres de soins infirmiers à domicile, agréés par les autorités ou organismes compétents. Au cours de cette formation, les candidats infirmiers participent aux activités des services en cause dans la mesure où ces activités concourent à leur formation. Ils sont initiés aux responsabilités qu’impliquent les soins infirmiers.

4. Cinq ans au plus tard après la notification de la présente directive, à la lumière d’un examen de la situation et sur proposition de la Commission, le Conseil décide si les dispositions du paragraphe 3 concernant la répartition pondérée entre, d’une part, l’enseignement théorique et technique et, d’autre part, l’enseignement infirmier clinique doivent être maintenues ou modifiées.

5. Les États membres peuvent accorder des dispenses partielles à des personnes ayant acquis une partie de la formation prévue au paragraphe 2 sous b) dans le cadre d’autres formations de niveau au moins équivalent.

Article 2

- Nonobstant les dispositions de l’article 1er, les États membres peuvent autoriser le mode de formation à temps partiel, dans des conditions admises par les autorités nationales compétentes.
- La durée totale de la formation à temps partiel ne peut être inférieure à celle de la formation à temps plein. Le niveau de la formation ne peut être compromis par son caractère de formation à temps partiel.

Article 3

La présente directive s’applique également aux ressortissants des États membres qui, conformément au règlement (CEE) nº 1612/68 du Conseil, du 15 octobre 1968, relatif à la libre circulation des travailleurs à l’intérieur de la Communauté (1), exercent ou exerceront à titre de salarié une des activités visées à l’article 1er de la directive 77/452/CEE.

Article 4

- 1. Les États membres prennent les mesures nécessaires pour se conformer à la présente directive dans un délai de deux ans à compter de sa notification et en informent immédiatement la Commission.
- 2. Les États membres communiquent à la Commission le texte des dispositions essentielles de droit interne qu’ils adoptent dans le domaine couvert par la présente directive.

Article 5

Au cas où, dans l’application de la présente directive, des difficultés majeures se présenteraient dans certains domaines pour un État membre, la Commission examine ces difficultés en collaboration avec cet État et prend l’avis du comité de hauts fonctionnaires de la santé publique institué par la décision 75/365/CEE (2), modifiée par la décision 77/455/CEE (3). Le cas échéant, la Commission soumet au Conseil des propositions appropriées.

Article 6

Les États membres sont destinataires de la présente directive.

Fait à Luxembourg, le 27 juin 1977. Par le Conseil Le président J. SILKIN[/b]
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Message par jjland83 »

Cher RCA vous lisez les choses de façon amusante... mais vous êtes franchement pénible. D'abord contentez vous de placer des liens plutôt que de citer des bribes de textes long et bien inutiles. Un lien et hop on va voir la totalité des choses ailleurs.

Dans l'article de J. CLEMENT de Studyrama, je suis bien placé pour vous en parler puisque je suis l'intervievé... il est écrit que "l'accès à la formation n'est pas difficile en soi". Car la question posée est de savoir s'il faut suivre une prépa ou non. Et un peu plus loin il est dit dans ce même article "Attention, le concours n’est pas plus facile quand les places sont très nombreuses. Il y a un minimum de résultats à obtenir pour être admis. »". Il n'est donc pas dit que le concours est facile, merci. Et à partir du moment ou le minimum n'est pas là vous ne rentrez pas en Ifsi. Sinon comment expliquez-vous que des Ifsi ne fassent pas le plein à la rentrée !

Les tests psycho identiques en Rhônes Alpes. Faux et refaux. renseignez-vous auprès des sociétés ou universités qui ont fait les tests. Et déjà j'ai au moins trois batteries de tests sur Lyon...

Dans le commentaire du syndicat SNPI vous omettez une chose qui montre oh combien vous ne suivez pas vraiment les choses. Le document qui est servi en pature par ce syndicat est un document de travail d'une réunion à venir. En gros un brouillon qui va être soumis à la discussion d'un groupe de travail qui se réunit le 30/09. Et ensuite les débats et éventuelles décisions seront soumis à un autre groupe de travail, dit élargi pour amender ces propositions et prendre du recul sur le premier groupe. Les groupes se réunissent encore jusqu'à la fin d'année. Chaque groupe c'est 35 à 40 personnes représentants tous les grands syndicats et les organisations professionnelles. Vous demanderez pourquoi le SNPI ne fait pas partie de ces groupes, chacun est libre de s'auto exclure des discussions.
Mais venir sortir ici cette info montre à quel point vous ne connaissez qu'une chose, c'est le déballage de fausses infos avec des sources tronquées. Car voyez-vous entre une déclaration syndicale, et c'est bien qu'ils soient présents et vigilants, mais avec des raccourcis un peu racoleurs, et les 20 juristes de la DHOS spécialistes du droit français et européen des professions paramédicales, la raison l'emporte...

Et pour vous, de grâce cessez votre déballage, vous en devenez ridicule... Ce n'est même plus drôle de dialoguer avec vous.
Jérôme
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Message par RCA »

Cher jérôme,
je vous signale que j'ai mis sur ce post l'ensemble de votre réponse, y compris les éléments que vous venez de préciser, et entre guillemets pour respecter la nature de vos propos.
je sais très bien qu'il faut prendre un texte syndical pour ce qu'il est, et n'ai aucune affinité particulière avec le snpi.
d'ailleurs, le texte que j'ai mis sur le post n'est pas d'eux mais d'un autre syndicat, la coordination nationale infirmière(pas plus d'affinité pour eux).
Quand à la directive sectorielle de l'UE, vous n'allez quand même pas me dire que je l'ai fabriqué de toute pièce. Et effectivement, cela peut être un obstacle pour une mise en place de VAE IDE, donc ce que je dis n'est pas absurde.

Quand à votre remarque:
"Attention, le concours n’est pas plus facile quand les places sont très nombreuses. Il y a un minimum de résultats à obtenir pour être admis. ». Il n'est donc pas dit que le concours est facile, merci. Et à partir du moment ou le minimum n'est pas là vous ne rentrez pas en Ifsi. Sinon comment expliquez-vous que des Ifsi ne fassent pas le plein à la rentrée ! "
cela signifie-t-il que ces instituts n'ont pas trouvé assez de candidats capables d'obtenir les notes minimales d'admissibilité et d'admission pour remplir leurs quotas? Chacun peut en conclure ce qu'il veut...
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Message par jjland83 »

Non vous ne mettez que ce qui vous arrange sinon pourquoi mettre en gras un morceau de citation...
La VAE IDE, je ne sais pas comment vous le dire, mais elle est impossible pour les trois raisons citées dans l'article placé en première page du site infirmiers.com. Inutile d'aller charcher je ne sais quoi pour montrer n'importe quoi !
Le document de travail de la DHOS a été reçu par toutes celles et ceux qui participent aux groupes de travail convié demain pour en parler. On va donc les laisser en discuter et puis ensuite on verra ce qu'il en sort.

Pour une fois que vous lisez bien... oui les Ifsi n'ont pas assez de candidats parfois. Il en faut du temps pour que vous compreniez les choses. Vous ne savez sans doute pas quel est le quota d'IDE accepté en Ifsi. Il est de 30342 (fixé par un arrêté). Et il y a bien plus de candidats que cela. Seulement ils sont concentrés différemment selon le territoire.

Mais encore une fois je ne cerne pas du tout votre façon de faire qui consiste à balancer des erreurs et puis de voir ce qui se passe.

Je ne sais pas si vous vous rendez compte de l'effet que ça donne... Plusieurs internautes vous ont fait des remarques... vous allez finir tout seul sur ce topic devenu bien inutile...

Jérôme
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Message par Creol »

Bien, si l'on revient sur l'avenir de la formation en elle même, on s'apperçoit qu'il faut reprendre deux concepts fondamentaux qui déterminent notre environnement immédiat.
-Le soin,
-le traitement.

la première dimension du soin est d'être à l'écoute de l'autre. Le soin est différent du traitement car celui çi est dans le domaine du
curatif c'est à dire qu'il a une cause et découle d'un diagnostic.

le traitement, donc, dépend en grande partie d'un diagnostic médical. Le soin du diagnostic infirmier (rôle propre)

Notre pays a principalement privilégié le curatif. Les conséquences sont (en partie) un énorme déficit de la sécurité sociale. Au Canada le système est préventif, d'où une certaine avance sur nous.

Ainis, nous infirmiers, et futurs infirmiers (ce qui est mon cas) nous avons, nous aurons donc notre rôle à jouer dans la prévention et l'éducation pour la santé, car de plus en plus (il suffit d'allumer sa télé ou de regarder les quotidiens) la prévention prend un place prépondérante.

Notre métier évolue et évoluera plus encore demain, c'est donc en toute logique que notre formation, nos qualifications évoluerons.
Mais je le répète, tout ceci ne peut se faire de manière précipité.

Voilà pourquoi j'interpelle souvent les différents intervenants sur ce forum pour leur rappeler que BAc+3/ Licence seul ne veut rien dire. Il faut savoir et comprendre pourquoi nous allons vers cet équivalence et pourquoi celle-çi est inévitable.

Bien, sur ce, je vous laisse donc avec ces quelques phrases que j'estime convenables et qui , je l'espère n'offusquera personne, car mon temps de parole sur ce sujet est largement dépassé et je laisse à d'autre le soin de le poursuivre.
infirmier dans une vie antérieure.
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Message par jjland83 »

Vous avez parfaitement cerné le problème de notre concept de santé français. Effectivement le pourcentage du budget santé dédié à la prévention est de quelques dixièmes de %... Sans doute insuffisant.

La comparaison avec le Canada est une excellente idée. Ils ont très clairement une dizaine d'années d'avance sur nous. Que ce soit leur ordre infirmier, leur autonomie par rapport aux médecinx, leurs cursus universitaires, les pôles enseignements et recherche ou soins, et le rôle de prévention en santé de l'infirmière.

Si on va vers ce modèle je suis preneur de suite. Et vive les expérimentations infirmières cliniciennes ou expertes en France. La consultation infirmière ça marche.
Mais si on plonge dans le panneau de la réforme qui va vite et qui fait plaisir tout de suite, alors oui on aura le LMD, le Bac+3 stupide, mais derrière on pleurera sur notre pauvre profession qui se ratatinera progressivement. Actuellement la lutte des petits pouvoirs ne joue pas en faveur du collectif, c'est bien dommage.

Vous lirez sur ce site très prochainement un entretien avec une docteure en sciences infirmières au québec, un vrai bonheur de lucidité. Pourquoi pas chez nous ?

Jérôme
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Message par RCA »

dernières nouvelles:
le rapport de l'inspection générale des services sur l'intégration des formations paramédicales au schéma LMD est paru, disponible sur le site du ministère santé.gouv.fr.
questions : "la moitié des étudiants en IFSI sont des aides soignants et des étudiants possédant un bac pro..."cela parait beaucoup...?
Non, contrairement aux affirmations de certains, la VAE (partielle bien sûr) du diplôme d'état n'est pas abandonnée.
Que pensez vous de ce rapport?
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Message par jjland83 »

Encore une fois vous lisez ce que vous voulez lire.
Qu'est ce qui est trop ? Il faudrait que l'Ifsi soit réservé aux titulaires des Bac généraux ? Je ne comprends pas votre remarque. ET vous oubliez aussi les candidats qui passent par le JVA, sans aucun Bac...
D'une part le rapport que vous citez est en ligne sur le site depuis peu mais il a été rendu en septembre 2008 aus commanditaires (plusieurs ministères). Et ce n'est qu'un rapport parmi bien d'autres déjà rendus ou à venir.
Concernant la VAE, je vous suggère de jeter un oeil sur les critères qui empêchent d'envisager une VAE actuellement... et je vous confirme que cette VAE sera abandonnée dans l'état actuel des choses. C'est d'ailleurs la même chose pour le métier de médecin...
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