Notes d'actu : Le Magazine de la Santé

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cristal74270
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Message par cristal74270 »

Rue Ambroise-Paré, carrefour de la drogue dure à Paris
le 12/02/2013 à 07:54 | publié le 11/02/2013
La rue Ambroise-Paré, une des principales zones d'achat et de consommation de drogues. FIGARO
C'est ici, près de la gare du Nord (Xe), que se trouve l'un des principaux lieux de vente de la capitale. Face aux habitants excédés, la Mairie met en avant la future salle de shoot.
C'est là, près de la gare du Nord, que le gouvernement et la Mairie de Paris veulent installer la première salle de shoot de France. À première vue, c'est une rue comme tant d'autres à Paris. Le passant pressé ne prêtera guère attention au manège qui se joue chaque jour devant l'hôpital Lariboisière. Tout au plus remarquera-t-il quelques individus alcoolisés qui lui feront presser le pas.
Pourtant, la large rue Ambroise-Paré abrite l'une des principales zones d'achat et de consommation de drogues dures de la capitale. L'endroit, très passant grâce à la présence de l'hôpital, ne manque pas d'atouts pour les consommateurs. Située à proximité immédiate de la première gare d'Europe et des quartiers de Barbès et de la Goutte d'Or, la rue comprend des entrées dans des parkings souterrains et des toilettes publiques: autant d'endroits où les usagers peuvent faire leurs injections à l'abri des regards.
De quoi mettre en colère les riverains de ce secteur difficile, «témoins d'une scène à ciel ouvert. Bruit, agressivité voire agressions, et une présence permanente qui créé un climat pesant» sont leur quotidien, énumère Rémi Féraud, maire du Xe arrondissement.
À ces problèmes s'ajoutent des intrusions dans les halls d'immeuble dont les portes sont forcées. Le 1er décembre, un groupe d'une centaine d'habitants du quartier a défilé dans les rues pour exprimer son «ras-le-bol face à ce cloaque», selon les mots de Pierre Cologner, président de l'association Vivre Gares du Nord et Est. «Notre quartier cumule les nuisances, entre la drogue, la mendicité, et la présence de marginaux alcoolisés», explique-t-il. «Le premier fléau reste l'alcool», que consomment aussi les toxicomanes pour améliorer l'effet des drogues, confirme la présidente de l'association de quartier Action Barbès. Le Monoprix du quartier a ainsi décidé d'avancer la fermeture de ses portes à 22 heures, contre minuit auparavant, afin de repousser ces clients indésirables.
«Les riverains sont excédés, et je le comprends», souligne la présidente d'Action Barbès. «Mais les consommateurs de drogues ont toujours été présents dans Paris. Si on leur interdit un quartier, ils iront ailleurs», explique­-­ ­t-elle. Les associations ont en mémoire les opérations coups de poing contre la place Stalingrad (XIXe), à la fin des années 1990: vingt ans plus tard, les dealers et consommateurs de crack y sont toujours présents.
Trafic de survie
Le profil du secteur gare du Nord est assez différent. Ici, les dealers sont rares. Bien souvent, ce sont les consommateurs qui vendent eux-mêmes du Subutex et surtout du Skenan, substance reine du secteur (voir encadré), afin de financer leur consommation d'héroïne. «C'est un petit trafic de survie», commente le maire du Xe arrondissement. Impossible de faire le compte du nombre d'usagers venant chaque jour se fournir autour de l'hôpital. Les associations de prévention décrivent deux grands groupes de consommateurs de Skenan. Des jeunes, souvent accompagnés de chiens, en rupture familiale (un tiers provient de l'aide sociale à l'enfance), et n'ayant parfois jamais touché à l'héroïne. L'autre groupe est composé d'hommes de 30 à 45 ans, tombés dans la drogue à l'adolescence, et souvent atteints d'hépatite C (55%) et du sida (8%), selon l'association Gaia.
Cette dernière va s'occuper de la première salle de shoot du pays, qui sera installée dans le quartier. «Au-delà de l'enjeu de santé publique, cette salle va permettre d'apaiser un quartier où sévit l'insécurité», en mettant fin aux intrusions dans les immeubles et aux injections «à ciel ouvert», affirme le maire du Xe. «L'efficacité de la présence poli­cière est limitée, il faut passer à autre ­chose», martèle-t-il. Reste à convaincre les habitants, dont beaucoup craignent que la présence de la salle aggrave encore plus la situation.
Le Skenan, substitut à l'héroïne, méconnu et bon marché
Son nom n'est pas connu du grand public, mais son usage est répandu depuis une vingtaine d'années  à Paris avec des effets dévastateurs.  Le Skenan est un antalgique puissant composé de sulfate de morphine  et sert à soulager les douleurs intenses. Délivré uniquement  sur ordonnance, il est aussi prescrit comme substitut à l'héroïne,  dont il partage les mêmes effets  s'il est utilisé en injection.
Ce médicament doit son succès  à son faible prix (environ 5 euros  la gélule) et à sa «pureté».  «Les usagers savent ce qu'ils consomment avec le Skenan, contrairement à l'héroïne coupée de nombreuses fois avec on ne sait quoi», explique l'association Gaia. Surveillée, la délivrance de Skenan,  qui provoque une rapide addiction,  a donné naissance à un marché parallèle où les consommateurs sont aussi fournisseurs. Certains toxicomanes, qui se sont fait prescrire légalement le produit, revendent  leurs gélules non utilisées. D'autres réussissent à dérober des ordonnanciers dans les hôpitaux afin  de se faire de fausses prescriptions. Des professionnels de santé sont également accusés de complaisance. En juillet, deux médecins du Pas-de-Calais ont été condamnés à des peines de prison avec sursis pour avoir délivré trop de Skenan à leurs patients, qui le revendaient ensuite.

150.000 seringues distribuées en 2012
Pour limiter la propagation  de l'hépatite C et du sida,  les associations de prévention mettent gratuitement à la disposition des toxicomanes des kits d'injection. Deux distributeurs automatiques sont installés autour de l'hôpital Lariboisière, dont l'un, rue de Maubeuge, est le plus fréquenté de la capitale.  Et les chiffres ne cessent de grimper: en 2012, près de 75.000 kits, soit 150.000 seringues, ont été écoulés sur ce seul distributeur, contre 30.000 en 2008. «Nous devons recharger chaque jour  les automates», qui contiennent 260 kits chacun, explique l'association Safe, qui gère ces distributeurs. «Les usagers sont plus sensibles à l'importance  de changer de seringues à chaque injection», qui peuvent aller jusqu'à dix par jour. «Mais nous sommes bien en dessous  des besoins. Nous retrouvons  des seringues contenant plusieurs produits, signe qu'elles ont été partagées ou utilisées plusieurs fois.» L'association estime qu'elle récupère 75% des seringues qu'elle distribue grâce à des collecteurs disséminés dans le quartier.
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cristal74270
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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé

Message par cristal74270 »

LA PHARMACODéPENDANCE
Pharmacodépendance : l'abus de médicaments nuit à la santé
Par La rédaction d'Allodocteurs.fr
rédigé le 26 juin 2012, mis à jour le 2 juillet 2012
Les Français sont réputés être les plus gros consommateurs de médicaments en Europe, à tel point que certains basculent dans l'addiction. On parle même de toxicomanie médicamenteuse. Alors que se joue-t-il dans cette relation particulière que nous entretenons avec nos médicaments ? Comment trouver la bonne distance entre eux et nous ?
 
Médicaments : quand la dépendance s'intalle...
Les médicaments à potentiel addictif sont nombreux. On peut citer les psychotropes qui agissent sur le système nerveux central, les barbituriques qui agissent sur le sommeil, les benzodiazépines qui servent à calmer les angoisses…. Mais il y a aussi les antalgiques et les médicaments anti-douleur en général.
Quels qu'ils soient, les médicaments sont des substances chimiques qui se retrouvent dans la circulation sanguine et certains peuvent agir au niveau du cerveau. Le cerveau est composé de millions de neurones interconnectés. Ces cellules nerveuses communiquent en envoyant des messagers chimiques appelés neurotransmetteurs.
Lorsqu'un neurotransmetteur est libéré par un neurone, il se lie à un autre neurone au niveau du récepteur de la même manière qu'une clé rentre dans une serrure. Si la clé rentre, le neurone récepteur est activé et fait suivre le signal vers un autre neurone et ainsi de suite. Les molécules médicamenteuses sont capables de se fixer sur les neurones et peuvent du coup, bloquer, ralentir ou intensifier la transmission d'un message. Un médicament peut également se lier directement à un récepteur à la place d'un neurotransmetteur.
Dans le cas d'un abus de médicaments, cette interférence dans la communication nerveuse peut entraîner une sensation pouvant temporairement apporter du plaisir ou une sensation de calme et de bien être. L'envie de ressentir de nouveau cette sensation est à l'origine de la dépendance. La personne consomme alors le médicament de façon compulsive en dehors de toute prescription médicale.
Un sevrage pour mettre fin à la dépendance
Patricia a été très accro à un médicament hypnotique et s'en est sortie…
Parmi les nombreux médicaments susceptibles d'entraîner un effet d'accoutumance, on trouve un hypnotique, un "starter" de sommeil très consommé. De nombreux témoignages de patients font état d'une réelle dépendance à ce produit.
Pour aider les patients dépendants, le service d'addictologie de l'hôpital Paul-Brousse reçoit des patients en consultation et leur propose un protocole de sevrage lorsque cela s'avère nécessaire.
Migraines : gare à la surconsommation de médicaments
Pour apaiser ses migraines, Franck prenait entre 20 et 30 comprimés anti-migraineux par mois. Une consommation qui relève de l'abus médicamenteux.
Les médicaments anti-douleur génèrent eux aussi, bien souvent, des addictions. Parmi eux on peut citer les traitements anti-migraineux.
La migraine étant parfois très douloureuse, elle génère un sentiment d'angoisse chez les malades qui peuvent avoir tendance à prendre trop de médicaments. Pour tenter de mettre fin à ce cercle vicieux, les médecins surveillent de près le nombre de comprimés pris par leurs patients.
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Message par cristal74270 »

SPORT ET SANTE

Le sport est bon pour le cœur, les os, le poids, à tout âge
le 22/01/2013
La reprise d'une activité physique produit un bénéfice aussi bien physique que psychologique.
SI 84 % des plus de 50 ans déclarent pratiquer une activité physique de temps en temps, ils ne sont plus que 44 % à pratiquer au moins une fois par semaine et 17 % à le faire de façon encadrée (Centre national pour le développement du sport, enquête de 2010). Il reste donc plus d'une moitié de cinquantenaires (et plus âgés) qui gagneraient à s'y remettre. Pour cela, nul besoin de prouesses: selon le Pr François Carré (CHU Rennes), même en pratiquant une activité physique modérée, les bénéfices sont légion. Déjà, sur le plan cardiovasculaire: «Grâce au sport, les parois des artères s'assouplissent, d'où une baisse de la tension artérielle. Le sport facilite également la circulation des artères coronaires - celles qui irriguent le cœur - et augmente la fluidité du sang. Une activité régulière favorise la création de nouveaux vaisseaux au niveau du cœur, qui vont prendre le relais des vieilles artères bouchées. L'oxygénation des tissus se fait mieux, de sorte que le cœur et le cerveau en sont les premiers bénéficiaires. Enfin, un sang plus fluide et des artères plus souples, voilà qui réduit d'autant les risques d'accident vasculaire cérébral.»
Autre avantage: chez un adulte en bonne santé, le simple fait de marcher rapidement durant trente minutes par jour (ou toute autre activité physique) réduit de 40 % le risque de développer plus tard un diabète qui est un facteur de risque cardiovasculaire notoire. Et quand diabète il y a, le fait de garder une activité physique rend plus facile le contrôle du diabète. Cela s'explique par le fait que le sport facilite le travail de l'insuline chargée de réguler le taux de sucre dans le sang. Or le diabète de type 2 (de loin le plus fréquent) est justement lié à une insuline inefficace: son ordre de faire rentrer le sucre du sang dans les cellules reste sans effet.
Le sport facilite également la fonte du tissu graisseux, y compris celui localisé au niveau de l'abdomen et qui est le plus mauvais pour la santé. Or ce tissu graisseux produit des molécules inflammatoires soupçonnées de participer à la genèse des cancers: il est d'ailleurs clairement établi que le risque de cancer est réduit chez les Français les plus actifs physiquement. Non seulement ces derniers font moins de cancers. Mais si cancer il y a, ils font moins de récidives. Une activité physique régulière diminue parallèlement les pics de sécrétion de certaines hormones - œstrogènes, testostérone, insuline, etc. - qui favorisent aussi la croissance de certaines tumeurs.
90 minutes par semaine
Ce n'est pas tout: un risque diminué d'ostéoporose, une masse musculaire plus importante font encore partie des bénéfices démontrés d'une activité physique régulière. Chez les personnes dépressives, trente minutes d'exercices soutenus, trois fois par semaine, ont une action très positive sur l'humeur et sans doute sur l'estime de soi. Enfin, dernier bénéfice et non des moindres: «Chez le fumeur, la reprise d'une activité physique aide à mieux gérer le stress et donc à en finir avec la cigarette pour ceux qui veulent faire d'une pierre, deux coups. C'est aussi un bon moyen de diminuer son risque cardiovasculaire (élevé chez le fumeur)», souligne le Dr Alain Bernady, pneumologue (polyclinique côte basque sud).
«Pour autant, les résultats sont au rendez-vous tant que l'on fait du sport régulièrement, mais en cas d'arrêt, le bénéfice devient nul», remarque le Pr Carré. Il faut donc s'y remettre en visant le long terme.
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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé

Message par cristal74270 »

Combien de morts par accidents de la route en 2012 ?-France
Toutes les statistiques et chiffres concernant les accidents
de la route en France en 2011,2012,2013,..Cet article est
régulièrement mis-à-jour.Combien de personnes ont été
tuées en 2011 et en 2012 dans des accidents de la route
en France ?.Tous les chiffres de l'insécurité routière en
2011,2012,2013,.....
Vidéos de prévention concernant les accidents de la route
en France:automobile,motos,camions,vélos,cyclomoteurs,
piétons,..
Cris d'alarme des association d'aides aux victimes de la
violence routière.
Quels sont principaux facteurs d'accidents ?,
qui sont les principales victimes d'accidents routiers ?.
Faut il déposer plainte avec ou sans constitution de partie civile ?,
quel est le rôle des avocats spécialistes de l'indemnisation du
dommage corporel ?,que faire en cas d'accident ?,............
*
 En 2011,plus de 3970 personnes ont été tuées suite à un
accident de la route .Pour l'année 2012,le nombre sera sans
doute équivalent,..hélas...
Aides Aux Victimes :(aides médicales et judiciaires,indemnisation
des préjudices,expertises,avocats,police,justice,conseils,....).
Associations d'Aides aux Victimes de la Violence Routière :Lien/Link.
Sommaire De L'Article :
 1).Statistiques concernant les Accidents de la Route en 2012.
 2).Chiffres et Statistiques concernant les Accidents de la
Route en 2011.
 3).Autres Articles sur l'Insécurité Routière.
1).Les Accidents de la Route en 2012 :Statistiques.
-Statistiques des Accidents de la Route en France en 2012 :ces statistiques seront
disponibles en janvier 2013,(cet article est régulièrement mis à jour).
-Statistiques des Accidents Mortels de la Route en France en 2012 (voitures,motos,
camions,scooters,..ect..) :les statistiques de 2012 concernant les accidents mortels 
dues aux voitures,camions,motos,cyclomoteurs...seront disponibles en janvier 2013.
2).Les Accidents de la Route en 2011 :Chiffres et Statistiques.
L'organisme officiel de La Sécurité Routière a dénombré plus de 3970 personnes
tuées en 2011 (ce chiffre est considéré comme provisoire),et plus de 80 945 blessés
dont certains garderont de graves séquelles à vie (handicaps physiques lourds,...).
  Seule bonne nouvelle:le nombre de morts et de blessés semblent diminuer d'année
en année,malgré l'augmentation les accidents et les exactions commises par les
"pirates de la route".
*
Accidents concernant les Piétons :
En 2011,parmi les 3970 personnes tuées,....
12 % étaient des piétons.
*
Accidents concernant les cyclistes :
  Il y a (environ) 4 % des tués et plus de 5 % des blessés sur la route
parmi les cyclistes.
*
Accidents  concernant les cyclomoteurs (moins de 50 cm3) :
  Les usagers de cyclomoteurs ou de scooters de moins de 50 cm3
constituent 6 % des tués et 14 % des blessés sur la route.
*
Accidents concernant les motos (de plus de 50 cm3) :
  Les usagers de moto constituent plus de 18 % des tués et des blessés,
ce qui est énorme vu le faible nombre de motos sur le réseau routier.
 La moto ce n'est pas du "suicide" pourtant (?)........
*
Accidents concernant les voitures :
  Malgré des efforts très importants en matière de sécurité des véhicules,
de respect des limitations de vitesse,et de l’amélioration des infrastructures,
les automobilistes constituent encore 53 % des tués sur la route ainsi
que 44 % des blessés.
*
Accidents concernant les poids lourds :
  Ils forment 1 % des victimes, et moins de 2 % des tués ,et pourtant ils
sont responsables de plus de 13 % des tués de la circulation en 2011.
 Le poids et le gabarit des poids lourds protègent leurs occupants de la
plupart des accidents de la route.
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Message par fishy72 »

ça va cristal et toi?

merci beaucoup :D
ESI 2013/2016 :D
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cristal74270
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Message par cristal74270 »

ça va merci ! je panique un peu pour les tests psy ! je ne suis pas assez rapide et encore trop d'erreur !
:roll:
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Message par fishy72 »

courage, tu as encore un peu moins d'un mois pour t'entraîner ;)
ESI 2013/2016 :D
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cristal74270
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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé

Message par cristal74270 »

bun oui voilà le souci est là ! moins de un mois :(
bon aller je vais m'y mettre ,
bisous à tous
cristal :clin:
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Message par cristal74270 »

Accidents domestiques : 18 500 morts chaque année en France
Des associations appellent à en faire la grande cause nationale 2013.
Attention dans les escaliers
Publié le 7 novembre 2012
  Les accidents domestiques affectent plus généralement les personnes âgées et les jeunes enfants Crédit Reuters
Les accidents domestiques font quatre fois plus de morts que les accidents de la route chaque année. Surprenant, et pourtant bien vrai. Les accidents de la vie courante, qui pourraient très souvent être évités si des mesures de précaution ou de vigilance étaient appliques, tuent ainsi près de 18 500 personnes par an. Pour tenter de faire baisser ce chiffre, le Collectif interassociatif de lutte contre les accidents de la vie courante (Clac), qui regroupe une quarantaine d'associations nationales, a donc réclamé au Premier ministre Jean-Marc Ayrault le statut de Grande cause nationale 2013, qui permet d'organiser des collectes et surtout autorise la diffusion gratuite de spots de sensibilisation dans les médias sur service public, pour les accidents domestiques. Ces derniers affectent plus généralement les personnes âgées et les jeunes enfants.
Il ne serait pourtant pas très compliqué d'améliorer la sécurité. Des rehausseurs de siège de toilettes ou des barres de soutien, mais aussi l'installation d'adhésifs antidérapants ou de planches dans la baignoire dans les salles de bains permettraient notamment de diminuer le nombre de chutes des personnes âgées à leurs domiciles. 10 000 personnes meurt chaque année en France de chutes. Une plus grande sensibilisation est donc nécessaire, notamment pour faire prendre conscience aux professionnels, comme les ergothérapeutes, mais aussi aux proches et aux familles qu'ils doivent intervenir. Une majorité de personnes âgées ne réalisent en effet pas les risques qu'elles encourent si elles ne changent pas un minimum leur monde environnant.
Pour rappel, la France se classe au 22e rang européen en matière de sécurité de l'enfant selon l'Alliance européenne, loin derrière les pays scandinave.
En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/pepites/acciden ... Xxge8x3.99

Accidents de travail
Le plan de santé au travail 2010-2014

Les constats
Des progrès indéniables ont été accomplis en matière de santé et de sécurité au travail au cours de ces dix dernières années.
Pour autant, nous ne devons pas relâcher notre effort car certains chiffres restent élevés :
le nombre des accidents du travail stagne à un niveau trop élevé d’environ 700 000 par an (dont plus de 44 000 accidents graves) ;
pour le seul régime général, les maladies professionnelles ne cessent d’augmenter (plus de 45 000 en 2008) ;
plus d’une personne par jour meurt d’un accident du travail (569 décès en 2008) ou des suites d’une maladie professionnelle (425 décès en 2008) ;
plus de 13 % de la population active sont aujourd’hui exposés à au moins un agent cancérogène ;
environ 55 % d[/b]es accidents mortels du travail des salariés du régime général sont des accidents de la route ;
trop d’avis d’inaptitude (cf. Rapport Gausselin) débouchent sur un licenciement.

Les enjeux du Plan Santé au travail 2
Fort de ces constats, il apparaît évident que le combat pour l’emploi engagé du fait du ralentissement économique conjoncturel doit aller de pair avec la volonté commune de tout faire pour mieux prévenir la pénibilité par une politique de prévention primaire plus effective, assurer à chacun la préservation de son intégrité physique et psychique, son bien-être au travail, et le bénéfice de conditions de travail de qualité.
Cette promotion de la qualité des emplois doit être un axe prioritaire de notre politique. Le gouvernement y accorde d’autant plus d’importance que la santé au travail et l’amélioration des conditions de travail sont tout à la fois une clé de la performance économique et sociale, et de la compétitivité, une exigence pour le recrutement et le développement de l’emploi dans certains secteurs professionnels, et enfin une condition du maintien en activité des salariés les plus âgés et de la valorisation de leur expérience.
Outre l’objectif transversal de travailler mieux à tous les âges de la vie, quatre axes majeurs seront mis en oeuvre :
Développer la recherche et la connaissance en santé au travail dans des conditions de pérennité, de visibilité et de rigueur scientifique, et en assurer la diffusion opérationnelle, jusqu’aux entreprises et à leurs salariés ;
développer les actions de prévention des risques professionnels, en particulier des risques psychosociaux, du risque chimique, notamment cancérigènes, mutagènes ou reprotoxiques (CMR) et neurotoxiques, et des troubles musculo-squelettiques (TMS) ;
Renforcer l’accompagnement des entreprises dans leurs actions de prévention, en s’attachant tout particulièrement aux entreprises de moins de 50 salariés, souvent dépourvues de représentation du personnel, mieux les informer des enjeux de la prévention et leur procurer les outils indispensables et adaptés ;
renforcer la coordination et la mobilisation des différents partenaires, tant au niveau national que dans les régions, et assurer, au travers de la mise en oeuvre de la réforme des services de santé au travail, la place de ces acteurs dans la stratégie de prévention.
Enfin, ce nouveau plan doit s’inscrire dans un contexte plus général qui suppose :
de traduire la stratégie européenne de santé au travail 2007-2012, qui pose notamment le principe d’une réduction de 25 % du taux d’incidence global des accidents du travail ;
de contribuer à la stratégie européenne pour l’emploi pour renforcer les taux d’activité des seniors, en particulier en favorisant la prévention primaire de la pénibilité et en renforçant les dispositifs visant à prévenir la désinsertion professionnelle ;
d’assurer la mise en œuvre par les fabricants, importateurs et utilisateurs en aval de substances chimiques, dans les délais impartis, par des règlements protecteurs de la santé des salariés (à commencer par les dispositifs Reach et CLP) ;
de renforcer notre réactivité face au développement de certains risques, comme les risques psychosociaux ou à la menace de risques émergents, notamment les risques chimiques ;
de prendre en compte l’impact sur les salariés des nouvelles formes d’organisation des processus productifs et d’accentuer fortement l’amélioration des conditions de travail, notamment pour les petites et moyennes entreprises, pour les travailleurs fragilisés en raison de leur situation de travail, ou encore face à des risques émergents ou à des mutations technologiques.
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Message par cristal74270 »

Panorama des plus grandes découvertes scientifiques de 2012
L'année 2012 a été riche en découvertes scientifiques en tous genres, avec en premier lieu celle de la particule de Dieu, le fameux boson de Higgs. De la réalité augmentée de Google à un hypothétique vaccin contre le Sida, tour du monde des découvertes les plus impressionnantes.

La découverte de la particule de Dieu par le LHC (Large Hadron Collider, traduction française : Grand Collisionneur de Hadrons) est LA plus grande découverte de l'année 2012, selon une des plus prestigieuses des revues scientifiques, Science, jeudi 20 décembre. 
Les scientifiques cherchent le boson de Higgs, surnommée la "particule de Dieu", depuis plus de quatre décennies. En juillet, l'équipe du centre de recherche nucléaire européen de l'organisation européenne pour la recherche nucléaire (Cern) à Genève a annoncé la détection d'une particule qui correspondait à la description de l'insaisissable boson de Higgs.
Le boson de Higgs est une particule associée au mécanisme de Brout-Englert-Higgs supposé être à l'origine des masses de particules élémentaires : des quarks, des leptons et surtout des bosons W et Z du modèle électrofaible. Un journaliste de Forbes, Alex Knapp, a estimé que le coût de la découverte du boson s'élevait à 13,25 milliards de dollars, soit un peu plus de 10 milliards d'euros.
La chasse au boson de Higgs par CNRS
Le LHC est situé dans un anneau de 27 kilomètres et enterré à 100 m sous terre à la frontière franco-suisse, près de Genève. Il est désormais le plus puissant des accélérateurs de particules au monde. Des protons (ou des ions) de très haute énergie circulant dans deux faisceaux tournants à contre-sens se choquent les uns contre les autres, dans le but de rechercher des indices de la supersymétrie, de la matière noire et de l’origine de la masse des particules élémentaires. C'est comme cela qu'une capture du boson de Higgs a pu être faite.
La particule avait d'abord été découverte par un physicien britannique Peter Higgs, professeur depuis presque 50 ans, lorsqu'il avait 34 ans et travaillait à l'Université d'Edimbourg. Mais jusque-là, personne n'était parvenu à prouver que sa théorie était vraie.

Parmi les autres découvertes de l'année, citées par la revue Science :
Un ancêtre éloigné. Les scientifiques ont séquencé le plan ADN des Denisovans, une espèce humaine éteinte qui a vécu aux côtés  de nos ancêtres.
Faire des oeufs à partir de cellules souches. Des chercheurs japonais ont montré que les cellules souches embryonnaires de souris peuvent devenir des cellules d'oeufs viables.
Envoyer Curiosity sur Mars. Les ingénieurs de la mission de la Nasa ont déposé le Rover Curiosity en toute sécurité et avec précision sur la planète Mars. Ils ont utilisé une "grue spatiale" et trois câbles.
Plus puissant que les rayons X. Les chercheurs ont utilisé un "laser à rayons X", qui brille un milliard de fois plus que les sources de rayonnement synchrotron traditionnels, afin de déterminer les causes de la maladie du sommeil africaine. Ce nouveau laser permet de détecter des protéines que les rayons X "traditionnels" ne voient pas.
Rendre inactif des gènes. Un outil connu sous le nom TALENs, qui signifie "activateur de transcription de type nucléases effectives", a permis aux scientifiques de modifier ou de rendre inactifs des gènes spécifiques chez les animaux comme les poissons zèbres et des crapauds et des cellules de patients atteints de maladies.
Des particules d'antimatière. L'existence de fermions de Majorana, qui agissent comme particules d'antimatières et se cannibalisent entre eux, a été débattu pendant plus de 70 ans. Cette année, une équipe de physiciens et de chimistes aux Pays-Bas a fourni la première preuve solide que cette matière exotique existe, sous la forme de quasi-particules. Ce sont des groupes d'électrons interactifs qui se comportent comme des particules solitaires.
L'ADN plus utile que prévu. Selon 30 articles d'une étude révélée cette année et qui a duré dix ans, le code génétique humain est plus fonctionnelle que les chercheurs le pensaient. Bien que seulement 2% du génome conditionnent les protéines, l'encyclopédie des éléments d'ADN et le projet Encode ont indiqué que près de 80% de celui-ci est utile pour faire activer ou désactiver des gènes.
Interface cerveau-machine. Des scientifiques ont montré que les patients paralysés pouvaient déplacer un bras mécanique avec leur esprit et effectuer des mouvements complexes en trois dimensions. La technologie est encore au stade expérimental, et coûteuse, mais l'équipe a bon espoir qu'un jour elle aiderait les patients paralysés par des attaques cardiaques ou les blessures à la colonne vertébrale.
Résolution du mystère des neutrinos. Des centaines de chercheurs travaillant sur l'expérience du réacteur de neutrino de la baie de Daya en Chine, ont résolu la dernière partie du puzzle décrivant comment les neutrinos changent d'état ou de "parfum" lorsqu'ils atteignent la vitesse de la lumière. Les neutrinos pourraient aider les chercheurs à expliquer pourquoi l'univers contient autant de matière et si peu d'antimatière .
Fusionner le réel et le virtuel. Google, en présentant son projet Glass, a révolutionné le principe de réalité augmentée. A chaque fois qu'il y aura un morceau de verre entre vous et le monde, il y aura de l'information : des applications, de la communication, des jeux... Ces lunettes de réalité virtuelles devraient être en vente en 2014.
Un test de dépistage contre le cancer du pancréas simple et pas cher. C'est un jeune homme de 15 ans, Jack Andraka, du Maryland qui a fait une des découvertes les plus importantes de l'année. Cette idée, qu'il a eu en cours de biologie au lycée, a été d'utiliser une simple bande de papier pour détecter le cancer du pancréas. Simple, pas cher, et plus efficace que les tests qui existent auparavant.
Un vaccin contre le SIDA ? Une étude publiée dans le New England Journal of Medecine a prouvé que le médicament Truvada, qui existe depuis 2004 pour soigner le VIH, est aussi une "stratégie prometteuse" pour prévenir contre le Sida. Depuis la découverte du SIDA, on estime que 21,8 millions de personnes sont mortes du syndrome.
En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/decryptage/pano ... YppEr6R.99

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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé

Message par cristal74270 »

[b]Pilules de 3ème et 4ème génération : réduction des prescriptions mais pas d'arrêt [/b]
Marisol Touraine a annoncé la limitation des prescriptions des pilules de 3ème et 4ème génération en France.

La France met un frein à l'utilisation des pilules de 3ème et 4ème génération et demande à l'Union européenne d'en faire autant. Marisol Touraine a annoncé ce vendredi la mise en place d'un dispositif dont le but est de réduire la prescription de ces pilules dans le pays.
Néanmoins, ces dernières continueront à être utilisées. "Il n'y a actuellement aucune nouvelle preuve qui suggérerait un changement dans le profil de sécurité connu des pilules combinées commercialisées actuellement", a estimé l'Agence nationale de sécurité du médicament, l'ANSM, avant d'ajouter qu'il "n'y a de ce fait aucune raison que les femmes arrêtent leur contraception".
"A l'heure actuelle, l'agence n'a reçu aucune preuve d'un Etat membre concernant des troubles emboliques veineux associés aux contraceptifs combinés", a-t-elle conclu.
La semaine dernière, l'agence a lancé une concertation afin de limiter la prescription des pilules contraceptives de dernière génération. Les pilules de 3ème génération ne seront plus remboursées à partir du 31 mars prochain. L'agence a rappelé que les pilules contraceptives combinées ont "un risque très rare de thrombose et que ce risque varie selon les types de pilules combinées" assurant surveiller ces contraceptifs de "manière constante et régulière".
Pour rappel, une jeune femme victime d'un accident vasculaire cérébral avait porté plainte en décembre.
En France, 2,5 millions de femmes prennent ces pilules. Cela représente la moitié des femmes sous pilule dans le pays.
Ces pilules de dernière génération sont commercialisées par les principaux groupes pharmaceutiques, à savoir Merck, Bayer ou Sanofi.
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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé

Message par cristal74270 »

FAMILLE

Les familles monoparentales
Une famille sur cinq est aujourd’hui monoparentale en France. Au total, ce ne sont pas moins de trois millions d’enfants de moins de 25 ans qui sont élevés soit par leur père, soit par leur mère. Si la monoparentalité n’est pas un phénomène nouveau, son incidence augmente considérablement et son visage évolue. Qui sont ces familles et quelles sont leurs difficultés ? État des lieux.
En 2008, l’INSEE dévoile que les familles monoparentales sont 2,5 fois plus nombreuses qu’il y a quarante ans et concernent aujourd’hui une famille sur cinq. Dans 85 % des cas, c’est la mère qui est à la tête de famille. Une fois sur deux, elle ne travaille pas à temps plein. Parce qu’elles présentent des risques accrus de pauvreté et de précarité sociale, les familles monoparentales devraient susciter la plus grande attention des politiques. Parce qu’elles posent la question d’une nouvelle forme de parentalité, elles interrogent tout autant le droit de la famille. Le point sur les évolutions et les difficultés de ces familles plus contemporaines que traditionnelles.

Les familles recomposées
Selon l’Insee, le nombre de familles recomposées n’augmente pas dans la société française de manière aussi forte et régulière que les ruptures d’unions ou les familles monoparentales. On en dénombre 580 000 en France métropolitaine. Quelques chiffres pour mieux les connaître...
L'INSEEa publié ce mois-ci une enquête démographique sur les familles françaises recomposées. Elle permet, entre autres, d’établir les différences statistiques entre ces dernières et des familles traditionnelles. À titre d’exemple, il y a 35,2% des couples recomposés où la femme est plus âgée que l’homme tandis qu’ils ne sont que 18,9% dans des couples de famille traditionnelle. En moyenne, sept ans séparent le plus jeune enfant des unions précédentes et l’aîné des enfants de l’union en cours. Pour les familles traditionnelles, l’écart d’âge moyen entre l’aîné et le deuxième enfant est de 3,3 ans. Enfin, au sein même des familles recomposées cette fois, il y a davantage de beaux-pères (450 000) que de belles-mères (140 000) puisque, après une séparation, ce sont les mères qui ont le plus souvent la garde des enfants.

Les familles homo parentales

Combien y a-t-il d'enfants élevés par des couples homosexuels ?
"En posant qu'un couple de même sexe sur dix vit avec des enfants et que ces couples ont en moyenne deux enfants (à l'instar des couples de sexe différent), (on) aboutit en 2005 à une estimation situant le nombre d'enfants résidant avec un couple de même sexe dans une fourchette de 24.000 à 40.000, la grande majorité vivant avec un couple de femmes", dit encore l'Ined.
 Problème : ni les couples non cohabitant ni les enfants vivant ailleurs ne sont comptés. Or certains enfants peuvent vivre, dans le cadre d'une garde alternée, avec un couple de même sexe et avec un couple hétérosexuel. Les associations homosexuelles, quant à elles, parlent de 200 à 300.000 enfants concernés. Constatant que l'homoparentalité "reste difficile à quantifier, faute d'instruments adaptés", l'Ined et l'Insee ont décidé en 2009 de mettre au point des questions spécifiques (sexe du 'conjoint' ou 'ami', informations sur leurs enfants respectifs, existence de couples non cohabitants, usage de plusieurs logements entre lesquels circulent les enfants), qui ont commencé à être posées dans le cadre du recensement 2011. Les premiers résultats ne seront disponibles que début 2013.
Source sur TF1 News : L'homosexualité et l'homoparentalité en chiffres
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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé

Message par cristal74270 »

[b]LES RIDES ET LE BOTOX[/b]
Injections non anodines :
- La toxique botulique, commercialisée sous le nom de « BOTOX », est le plus puissant poison connu sur la planète.
- 40 millions de fois plus violent que le cyanure par exemple.
- Son utilisation esthétique contre les rides est toutefois devenue un véritable phénomène de société.
- Aux Etats-Unis surtout où il a fait la fortune du laboratoire qui le commercialise.
- Des femmes ayant recours à des injections de Botox en France, en Allemagne et en Italie parlent de leur expérience plus ou moins réussie.
- Les chercheurs admettent que cette bactérie responsable de « Botulisme » n’a pas encore livré tous ses secret.
Aux États-Unis, la FDA a pris la peine de prononcer une mise en garde contre l’utilisation de la toxine botulique.
Le responsable du département de neurologie de la FDA, explique que son administration s’intéresse à des cas d’hospitalisations d’adultes et d’enfants à la suite de problèmes qui pourraient être dus à une diffusion de la toxine dans le corps après une injection locale pour raisons médicales.
Dans tous les cas, explique-t-il en substance, patients et médecins doivent être tenus au courant des risques et s’alerter dès les premiers symptômes.
Selon l’association Public Citizen, la toxine botulique serait la cause de 87 hospitalisations et de 16 décès (dont 4 enfants) aux États-Unis, entre 1997 et 2006.
Le produit est interdit aux femmes enceintes ou allaitantes, aux personnes atteintes de maladies neurologiques et déconseillé aux patients hypersensibles ou allergiques à certaines substances.
Tout patient doit signer un consentement avant toute injection et bien se renseigner avant l’opération.
Actualité du botox : En Janvier 2009, c’est au tour du ministère canadien de la Santé d’intervenir sur le sujet en expliquant qu’il y a un “risque de dispersion de la toxine dans d’autres parties du corps”, qui elles, n’ont pas été traitées au Botox.

Témoignage des femmes qui ont des injections de Botox !
1. Salomee
13 février 2013
Bonjour, je n’avais aucune angoisse par rapport au botox mais aujourdhui je sais que ne n’en ferai plus jamais. La première injection il y a un an s’est bien passée, mon visage était beau avec des traits reposés, bref réussite totale. Je viens de refaire un an après une nouvelle tentative et là c’est la catastrophe. Ma paupière gauche est complètement retombée, je suis complètement déprimée et je ne sais pas combien de temps cela va durer. J’ai l’impression que tout le monde me regarde dans la rue … Et pourtant mon praticien est un pro .. Fini le botox ….
2. Nathalie
7 février 2013
J’ai 43 ans. J’ai fait des injections de botox en 2001 et 2002 (pates d oies ride du lion front + récemment) ensuite j’ai arrêté suite à des maux de tête; j’ai repris en 2008 tous les 3 à 6 mois. Cela fait donc maintenant 5 ans et les maux de tête sont importants + des troubles de la vue je vais donc arrêter. Je pense que l’on ne parle pas assez des risques et des effets secondaires.


LE BOTULISME / DEFINITION
Le botulisme est une maladie grave, mais relativement rare, provoquée par une toxine extrêmement puissante synthétisée dans les aliments par botulisme.
Le botulisme se manifeste d’abord par des troubles visuels, une Sécheresse de la bouche et une déglutition difficile. Ensuite, les symptômes plus graves apparaissent en passant de la fatigue à une paralysie progressive de tous les muscles du corps. 
Transmission du botulisme
On trouve couramment les spores de la bactérie dans le sol, les Sédiments marins et les poissons. Les spores sont résistantes à la chaleur et germent dans des conditions d'anaérobie. Les bactéries peuvent ensuite se développer et synthétiser la toxine. 
Le danger, qui peut être mortel, vient de l'Ingestion de la toxine, susceptible d'être présente dans des aliments mal préparés. Il s'agit avant tout d'une toxi-infection alimentaire mais le botulisme se transmet parfois par l'intermédiaire des plaies ou par colonisation de l'intestin chez l'enfant. Il n'y a pas de contagion interhumaine.
Le traitement est essentiellement basé sur les symptômes (soins respiratoires intensifs avec Ventilation assistée), les Antibiotique ayant pas d’effet sur la toxine. 
Il existe un Vaccin antibotulique dont les effets secondaires peuvent être néfastes ; il n’est donc réservé qu’aux personnes à risques. 
Le mieux est de se protéger contre la source de la Contamination, en respectant les mesures d’hygiène relatives aux aliments.
L'ingestion de denrées alimentaires mal conservées peut provoquer le botulisme
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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé

Message par WILLIAMM »

La vente de Diane 35 interdite à partir du 30 avril.

*L’ANSM a décidé de suspendre dans trois mois l’AMM de ce traitement contre l’acné utilisé comme contraceptif.
*Diane 35 est soupçonnée d’avoir causé au moins 4 morts.
*Médicament autorisé en France depuis 1987, commercialisé par Bayer, l’Irlande est le seul pay européen à l’avoir commercialisé en tant que contraceptif.
*Efficace contre l’acné.
*Mais risque de phlébite ou d’embolie pulmonaire multipliée par 4.
*Concerne 315 000 femmes en France.
*L’agence européenne du médicament aura le dernier mot (décision en juin).
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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé

Message par WILLIAMM »

La survie en matière de cancer progresse.

*Varie en fonction de la localisation de la tumeur.
*Les femmes ont de meilleurs résultats que les hommes.
*La survie progresse grâce aux progrès thérapeutiques et à la précocité des diagnostics.
*Le cancer touche 365 000 personnes par an en France.
*La survie à 10 ans est de 93% pour le cancer du testicule mais moins de 10% pour certaines tumeurs.
*Amélioration de la survie à 5 ans pour les cancers les plus fréquents : prostate, côlon, sein.
*Le cancer du sein reste néanmoins la première cause de décès par cancer chez la Femme.
*La survie par cancer ne progresse pas pour les cancers associés à l’alcool et au tabac (cancer du poumon et cancer des voies aérodigestives supérieures).
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