piercing et tatouage, cheveux bleus, long durant les études

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Carlotta
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Message par Carlotta »

foliemimine a écrit :
Artefact a écrit :
dididu80 a écrit :Salut!
Y a une fille de ma promo qui a eu des problémes en stage parce qu'elle avait ce piercing elle a pas voulu l'enlevé parce que c'était la prothése résultat elle s'est payé un 6/20 mais aprés si tu l'enléves en stages pas de soucis :clin:


:roll: :roll: Je trouve cela limite de la part de l'équipe soignante!! On ne juge pas un ESI sur son apparence mais bien sur ses aptitudes professionnelles.



QUESTION D HYGIENE


Je vois pas où est le problème d'hygiène pour un percing qui n'entre pas en contact avec le patient !!!
Il y a bien plus de problemes d'hygiène avec les IDE qui portent une bague à chaque doigts de chaque mains et qui portent une montre au boulot !! :choque:
Et puis on autorise les boucles d'oreilles alors pourquoi pas les percing !!
C'est juste un jugement de la part de l'équipe et non un problème d'hygiène !!
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Artefact
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Message par Artefact »

foliemimine a écrit :
Artefact a écrit :
dididu80 a écrit :Salut!
Y a une fille de ma promo qui a eu des problémes en stage parce qu'elle avait ce piercing elle a pas voulu l'enlevé parce que c'était la prothése résultat elle s'est payé un 6/20 mais aprés si tu l'enléves en stages pas de soucis :clin:


:roll: :roll: Je trouve cela limite de la part de l'équipe soignante!! On ne juge pas un ESI sur son apparence mais bien sur ses aptitudes professionnelles.



QUESTION D HYGIENE


je ne suis pas d'accord à moins que la personne se présente avec de croute de saleté au niveau du piercing!!!

J'ai côtoyé des anciens camarade de promo et des ESI que j'ai encadré et je ne suis pas choquée par le fait qu'elles portent des piercing à l'oreille, à l'arcade sourcilière, à la langue, au nombril ( je ne vais pas regarder sous leur tenue quand même!!). Le fait de porter un piercing ne fait pas de la personne un microbe ambulant!

Je sanctionnerai plutôt une personne qui néglige le lavage des mains!!
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foliemimine
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Message par foliemimine »

nan mais je te dirai pas le contraire non plus! moi aussi ca me choque pas!et en matiere de piercing suis plutot bine placée pôur en parler mais il faut prendre aussi en compte la relation soignant soigné! ca peut etre mal vu par certains patients!
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Message par foliemimine »

Piercing et hépatite C : Phénomène de mode ou problème de Santé Publique
Hepatitis C from body piercing

Denis OUZAN
Institut Arnault Tzanck, St Laurent Du Var
et Réseau Ville Hôpital Hépatite C Côte d’Azur

Tirés à part : Denis OUZAN, Département d’Hépatologie, Institut Arnault Tzanck, avenue Maurice Donat, 06721 Saint Laurent Du Var Cedex

Tél : 04 92 27 39 54
E-mail : denis.ouzan@wanadoo.fr

Piercings et tatouages connaissent un succès croissant, particulièrement auprès des jeunes. Or, ces pratiques en forte progression entraînent une effraction de la barrière cutanée. Les voies de transmission du virus de l’hépatite C (VHC) les mieux identifiées, sont celles qui permettent à du matériel souillé par le sang d’un sujet infecté d’entrer en contact avec le sang d’un sujet jusqu’alors indemne. Par extension, on peut imaginer que toute forme d’effraction cutanée par du matériel contaminé puisse constituer une voie d’infection : piercing [1], tatouage [2, 3], morsure [4], soins de beauté [5], rasage [6, 7], certaines pratiques coutumières comme cela a été montré au Japon dans des foyers endémiques [8].

Le piercing attire aujourd’hui une clientèle variée plutôt jeune de toutes conditions sociales. Il consiste à percer la peau ou certaines muqueuses à l’aide d’une aiguille pleine ou d’un cathéter, pour implanter un bijou. Les localisations les plus prisées sont le nez, les oreilles et le nombril. On estime à environ 100 000 le nombre d’actes réalisés chaque année en France. Le piercing du lobe de l’oreille est en France réalisé essentiellement par des bijoutiers. Il est effectué grâce à un pistolet “ perce oreille ”. Pratiquement toutes les femmes de France ont eu un piercing du lobe de l’oreille. Les piercings plus complexes (face, langue, cartilage, nombril, organes génitaux) sont réalisés par des professionnels dans des salons où sont effectués également des tatouages. Ces piercings sont aussi effectués par des “ perceurs ” ambulants travaillant à domicile, sur les marchés, ou dans les “ rave ” parties. Il existe aussi des “ coiffeurs-perceurs ”. Pour des raisons de coût, des adolescentes pratiqueraient entre elles le piercing avec la même aiguille. Les piercings corporels sont plus souvent réalisés chez des sujets jeunes [9], 9 fois plus fréquemment chez les utilisateurs de drogues que dans la population générale du même âge [9]. Tatoueurs et perceurs échappent à toute réglementation sanitaire. Leur nombre est estimé entre 800 et 1400. Ils ne sont assujettis à aucun texte précis, alors qu’ils interviennent sur le corps humain dans un but esthétique avec un matériel médical (pince, aiguille, cathéter, stérilisateur, gants).

En prison, tatouage et piercing, sont réalisés par les prisonniers eux-mêmes, le piercing est réalisé alors avec un pin’s, une aiguille à coudre ou un morceau de grillage, le plus souvent sans aucune précaution [10]. En terme de fréquence, environ 20% des prisonniers interrogés dans une étude multicentrique européenne déclarent avoir été tatoués en prison au cours de leur vie [10]. Cette pratique était significativement plus fréquente chez les usagers de drogue par voie intraveineuse. La plupart des sujets tatoués s’étaient également fait percer la peau [10]. Quelque soit le pays considéré, les détenus concernés n’avaient jamais utilisé de matériel à usage unique, ni recouru à des méthodes de désinfection adéquate [10].

Le risque de transmission virale par le piercing est apparu suffisamment important pour justifier, dès 1998 par décision du Conseil de l’Union Européenne, l’exclusion de tout donneur de sang qui a eu un piercing dans l’année précédant le don [11].

Plus récemment, le comité d’experts réuni par l’ANAES a recommandé d’élargir le dépistage de l’hépatite C aux sujets ayant eu un piercing ou un tatouage réalisé sans matériel à usage unique [12]. Le tatouage est un des critères retenus comme pertinents par les Centres d’Examens de Santé pour le dépistage de l’hépatite C [13].

Dix à 20% des piercings se compliquent d’une infection bactérienne à staphylocoque, streptocoque, ou bacille pyocyanique [14]. Cette infection, qui peut être locale, locorégionale ou générale, survient immédiatement ou pendant la cicatrisation qui peut durer plusieurs mois. Si le risque d’infection bactérienne est fréquent et bien documenté, il n’y a aucune raison de ne pas craindre une infection virale [14]. Le risque d’infection virale est d’ailleurs commun à toutes les pratiques de modification corporelle avec effraction cutanée (tatouage, piercing, maquillage permanent, épilation par hydrolyse, rasage). Il convient donc de s’interroger sur les risques sanitaires que ces méthodes font courir aux professionnels et à la population.

Plusieurs cas d’hépatites aiguës virales liées au piercing ont été publiés [15], dont 2 cas d’hépatites fulminantes virales B mortelles aux USA [16].

Dans ce numéro, Grasset et al [1] rapportent l’observation d’une femme qui a été probablement contaminée par le VHC au cours d’un piercing de l’oreille. Les premières observations d’hépatite C ont été rapportées en 1991 [2] et 1996 [3] à la suite de tatouages. Plus récemment, Rocca et al. [17] ont rapporté une observation d’hépatite C probablement liée à un piercing parmi 16 cas d’hépatite aiguë. Plusieurs études épidémiologiques dans différentes populations ont retrouvé un tatouage comme facteur de risque indépendant d’infection à VHC [18-25]. Deux études, réalisées sur des cohortes de donneurs de sang, ont établi un lien entre piercing auriculaire et infection par le VHC chez les sujets de sexe masculin [26, 27], et une étude italienne a retrouvé ce lien chez les sujets des 2 sexes [5]. Une étude canadienne retient ce facteur de risque chez les malades atteints d’hépatite C [28]. Deux autres études cas-témoins récentes, l’une américaine [29] et l’autre française [30], se sont intéressées à des sujets ni toxicomanes ni transfusés. Le tatouage et des gestes proches du piercing comme l’acupuncture ou les soins chez l’esthéticienne sont apparus comme des facteurs indépendants d’infection à VHC [29, 30]. Enfin, on imagine mal que le risque de transmission du VHC soit reconnu en cas d’accidents d’exposition au sang chez les professionnels de santé [31] (particulièrement avec les aiguilles creuses) et qu’il ne le soit pas au cours des manœuvres de piercing (où l’usage d’aiguille creuse et le saignement sont courants).

Ainsi un certain nombre d’arguments permettent de penser que tous les actes de modification corporelle avec effraction cutanée sont susceptibles de transmettre une infection virale C. Dans l’observation de Grasset et al. [1] sur le piercing du lobe de l’oreille, c’est l’utilisation d’un pistolet, dont l’embase, impossible à stériliser, a été incriminée. Ce mécanisme est du reste très voisin de celui qui a été observé dans les cas d’hépatite C survenus dans un service de pédiatrie, à la suite de l’utilisation partagée incorrecte des lecteurs de glycémie [32]. La difficulté à nettoyer et à stériliser un pistolet perce oreille, est soulevée par une enquête réalisée en Australie auprès de 35 établissements réalisant les piercings [33]. Trente trois des 35 établissements possédaient le guide de bonnes pratiques émis en 1996 par le département australien de santé publique, 27 perceurs l’avaient lu en totalité et 6 en partie. Parmi les 20 perceurs qui utilisaient un pistolet, 14 ne suivaient pas les règles de bonnes pratiques concernant le nettoyage puis la désinfection du pistolet [33].

La plupart de ces praticiens ne connaissaient pas les règles universelles d’hygiène. Ils avaient entendu parler du VHC, sans connaître ses voies de transmission. Pour réduire les risques de contamination par le VHC, les auteurs proposaient qu’une formation spécifique sur le matériel de piercing et les règles d’hygiène soit obligatoire avant l’enregistrement du praticien comme un professionnel du piercing [33].

Une enquête analogue a été réalisée en France par Béatrice Luminet, Médecin Inspecteur de Santé Publique [34]. L’étude de la pratique des tatoueurs et des perceurs réalisée dans 8 studios du département de l’Hérault, a révélé des lacunes d’hygiène préoccupantes qui sont, plus inquiétantes pour le tatouage que pour le piercing. Aucun des studios visités ne respectait l’ensemble des règles édictées en matière d’hygiène, ni les différentes étapes nécessaires à la prévention de la transmission d’une infection bactérienne ou virale. Cinq prélèvements ont été faits effectués sur des aiguilles à tatouage prêtes à être utilisées, un sur un bijou de piercing, un sur un porte-aiguille, trois sur des buses de dermographe, et un sur un manchon de dermographe. Ces onze prélèvements sont tous revenus non stériles du laboratoire [34]. Conscients de leurs lacunes, les professionnels rencontrés ont souhaité être associés à la réalisation de guides de bonnes pratiques et à la définition de protocoles à mettre en œuvre dans leurs studios [34].

Certains pays comme le Canada ont choisi d’élaborer des recommandations à l’usage des professionnels, pour les pratiques du tatouage et du piercing [35, 36]. Dans ce pays, la pratique du piercing nécessite un agrément des autorités sanitaires. Des contrôles sont réalisés régulièrement pour s’assurer de l’application correcte des procédures. Aux Etats-Unis, des réglementations existent dans certains états, surtout pour le tatouage et plus rarement pour le piercing [37]. Elles ont été associées à une recrudescence des phénomènes infectieux, dans les états où elles ont été particulièrement restrictives [37]. En France, un guide de bonnes pratiques sur les actes de modification corporelle (piercing, tatouage, rasage, épilation par électrolyse) a été rédigé en septembre 2000 sous l’égide du Ministère de la Santé [38]. Ce guide apparaît comme un compromis qui établit les standards d’hygiène applicables par les perceurs. Dans ce référentiel, l’utilisation d’un pistolet “ perce oreille ” est proscrit [38]. Six mille exemplaires de ce guide ont été diffusés en 2002 dans le cadre du plan de lutte national contre les hépatites B et C. Il convient maintenant de s’assurer que tous les professionnels du piercing en France (“ perceurs ” et bijoutiers) ont pu recevoir ce guide et de réfléchir avec eux sur les modalités de validation, d’évaluation et de contrôle nécessaires à l’application de ces recommandations. Il ne faut pas attendre qu’un fait divers dramatique, comme celui survenu récemment d’une femme jeune décédée d’endocardite bactérienne à la suite d’un piercing, pour aboutir à une réglementation de ces pratiques. Cette réglementation devrait être suffisamment souple et acceptée de tous, pour éviter une pratique sauvage qui serait plus dangereuse que celle qui a cours actuellement.

Enfin, des campagnes d’informations répétées en direction des usagers, pourraient mettre en garde le public contre ceux qui ne respecteraient pas les bonnes pratiques et éviter ainsi bon nombre de complications infectieuses liées au piercing.


Quand je lis ca, je me mets a la place de certaines personnes qui peuvent avoir peur des infections et aussi qui se mettent en recul face a un soignant piercé sur des zones apparentes
Apres tant que le piercing reste discret, why not?
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Message par misslynedu43 »

alors moi j'ai le piercing que tu veux a la MADONNA, j'ai passé mon orale avec le piercing aparament sa ne les a pas dérangé vu que je suis priiiiiise!!!


par contre pr les stage je sais pas comment sa marche...moi je veux enlever mon piercing a la madonna pour en faire un a la lèvre du dessous....
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Message par misslynedu43 »

dsl pour les fautes j'écris vite.... :silly:
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plumme
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Message par plumme »

Tu ne peux pas mettre sur la même ligne les piercings fait en prison; que ceux chez un pierceur qui connait son boulot.
C'est aussi à nous de bien choisir son pierceur et pas seulement parce que c'est le moins cher.
Et surtout la plupart des infections des piercings sont du à une mauvaise hygiène de la personne (souvent des gamines entre 12 et 14 ans). Quand tu vas sur des forums et que tu vois une gamine te dire j'ai 12 ans, j'ai eu mon piercing au nombril c'est normal que c'est rouge (et encore je vous dis pas les autres questions et le langage sms :roll: )je suis très étonnée qu'il n'y ait pas plus d'infections que ça.

Après tu ne peux pas généraliser sur tous les pierceurs, alors oui il y a des charlatans qui ne connaissent pas ce que le mot stérilisé veut dire, mais de là à dire que la plupart des pierceurs (et tatoueurs) ne connaissent pas lesmodes de transmission des hépatites et ne respectent les règles d'htgiène cela me fait rire. Ils les connaissent sur le bout des doigts parce qu'ils savent très bien qu'en cas de problèmes c'est eux que l'on montrera du doigt.
Quant au fait qu'il n'y ait aucun règlement sanitaire, ils ne demandent pas mieux, comme cela ils seront reconnus et les charlatans auront bien du mal à exister.
D'ailleurs à ce niveau là je pense que j'atrraperais plus facilement une salop*rie chez le bijoutier avec le pistolet que chez le pierceur.

Les piercings sont des portes d'entrée (quand ils cicatrisent) pour le soignant, si tu ne colles pas ton piercing sur la patient aucun problème.
Et pourquoi piercing discret? pour ne pas choquer le patient, si nous, nous ne devons pas les juger, j'ose espérer que l'inverse est vrai.

Ce n'est pas contre toi, mais contre toutes ces images véhiculés, ah le piercé/tatoué il est crade, il a des problèmes dans sa tête, il doit aussi être toxico et tout le tralala qui va avec...
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Artefact
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Message par Artefact »

je ne vois pas le lien entre le port de piercing et la pratique du métier d'infirmière et ton extrait ! :roll:

Tout le monde a peur des infections, mais le risque est plus élevé lors d'un soin invasif! Et pour l'instant, je n'ai vu, pour ma part, aucune réaction négative venant des patients ( qui sont pourtant des personnes âgées!!) vis-à-vis d'ESI portant un piercing à découvert! Au contraire cela a fait l'objet de discussion entre les 2 protagonistes!

Pour les stages, une ESI est venue, par elle même, nous demander ( équipe soignante, cadre et médecin) si nous voyons une objection pour qu'elle garde son piercing à l'arcade sourcilière! Je trouve que c'est une bonne démarche qui dissout tous malentendus!
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Message par foliemimine »

nan mais c est pour faire voir a quel point il peut y avoir des préjugés! je sais très bien que niveau hygiene c est pas le plus grave. j en ai 10 des piercing dc tu vois! mais je prendrai pas le risque de mettre mes piercing pour ne pas choquer certaines personnes et porter atteinte a la relation soignant soigné, je pense que c est aussi une forme de respect plus qu autre chose! je sais que ca peut choquer des personnes dc je m abstiendrai!
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Message par plumme »

Mais tu sais le respect ce n'est pas unilatéral, je ne vois pas en quoi mon piercing sera un manque de respect.
Si je parle à une personne âgé en lui disant le vieux là je suis d'accord, mais ce n'est pas un cm de titane sur mon visage qui sera une forme d'irrespect.

Il n'y a pas encore si longtemps que ça les boucles d'oreilles étaient considérés comme les piercings. Cela te viendrait à l'idée aujourd'hui de ne pas les mettre pour ne pas froisser les patients. ET puis sincèrement je pense que les patients et surtout les personnes âgés car c'est eux que l'ont citent souvent dans le cas du piercing, sont bien plus ouverts d'esprit que l'on pense.
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Message par Ade_btt »

Fais attention car cela peut être très mal vu autant à l'école que dans les stages. fais attention car certzines personnes s'areteront à ça et les stages sont déjà assez difficiles comme ca .
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Message par juliana »

je trouve vraiment ça dommage de stéréotypé les Personnes Agées de cette façon elles sont bien plus ouvertes qu'on peut le penser.

De mon côté ayant travaillé en tant qu'ASH dans les soins (en long séjour) et auxiliaire de vie mes piercings ont plutot fait l'objet d'interrogations de leur part ouvrant sur des dicussions et non à une forme d'irrespect !

Les patients et équipes soignantes (à part exception) ne s'arrête pas qu'à ça et observe l'étudiant globalement et non pas que sur son piercing !
Et puis si doute leur demander à l'arrivée en stage au moins pas de quiproko...

:)
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Artefact
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Message par Artefact »

plumme a écrit :ET puis sincèrement je pense que les patients et surtout les personnes âgés car c'est eux que l'ont citent souvent dans le cas du piercing, sont bien plus ouverts d'esprit que l'on pense.


Ca c'est bien vrai! Certains devraient prendre exemple sur eux! :D :D
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christèle
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Message par christèle »

Les personnes en stage qui s'arrêtent au piercing, si tu l'enlèves s'arrêteront à autre chose!!!
Perso qd j'étais esi, j'avais mes boucles d'oreille et un piercing au nez, ça ne m'a jamais posé pb.
Par contre dans un stage qui s'est mal passé, on m'a reproché un manque d'hygiène, et devinez à cause de quoi??...

Parce que d'après l'équipe, mon obésité faisait que je transpirait trop et j'émanais des odeurs désagréables...

Super le professionalisme non?
Ex ESI en perdition
Ex AS perdue
Aurevoir le paramédical...
Depuis, chargée de clientèle, ça va mieux :)
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Artefact
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Message par Artefact »

christèle a écrit :Les personnes en stage qui s'arrêtent au piercing, si tu l'enlèves s'arrêteront à autre chose!!!
Perso qd j'étais esi, j'avais mes boucles d'oreille et un piercing au nez, ça ne m'a jamais posé pb.
Par contre dans un stage qui s'est mal passé, on m'a reproché un manque d'hygiène, et devinez à cause de quoi??...

Parce que d'après l'équipe, mon obésité faisait que je transpirait trop et j'émanais des odeurs désagréables...

Super le professionalisme non?


encore plus lamentable que les piercing!!! par contre, je me serai pas laisser faire! j'en aurai averti la direction de l'hôpital !!
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