Violence, agressivité en psy (agression, maltraitance....)
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - Psychiatrie
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- Fidèle
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poupette_a a écrit :Pour ma part, je pense que si un patient devient agressif, c'est en grande partie dû au soignant.
Là je ne suis absolument pas d'accord !!! Moi je pense qu'il y a plusieurs types d'agressivités chez les patients:
- l'hétéro agressivité ou l'auto agressivité mais engendré par un sentiment de peur d'insécurité (comme qq1 l' dit un peu plus haut)
- l'hétéro agressivité ou l'auto agressivité provoqué (c'est a dire qu'elle est provoqué par une autre personne ou un autre facteur déclenchant même s'il s'agit d'un tout petit détail)
- l'hétéro agressivité ou l'auto agressivité entretenue, c'est a dire qu'au lieu d'apaiser la situation, le soignant ou autre personne connue du patient répond par le même comportement et du coup c'est un cercle vicieux qui monte crescendo
Maintenant je peux me tromper mais c'est mon point de vue malgré mon petit vécu professionnel pour le moment

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- Fidèle
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ange ou démon? a écrit :Oups après relecture je rectifie cette phrase.
A mon humble avis, je pense cette violence parfois due à leur environnement direct, ce qui inclue les personnes proches d'elles
je crois qu'il fait faire attention au vocabulaire employé et ne pas confondre violence et agressivité:
Il y a 2 types de violence :
- la violence primaire, qui vient de l’individu même
- la violence secondaire, qui e conséquent à’environnement.
Violence = Abus de la force. Agir sur quelqu’un ou le faire air contre sa volonté avec force.
C’est une force vitale présente dès l‘origine, qui renvoie à un état psychique. L’acte violent n’est as lié avec le complexe d’oedipe (= plusieurs personnes). C’est un rapport en duel. Ce sont des troubles de la prise de conscience de soi, ce qui a pour conséquence une confusion des pronoms.
La violence est en rapport au temps et à mémoire. Le psychisme n’est pas présent au moment de l’acte, d’où l’absence de responsabilités.
Agressivité = Du latin « aller vers ». Fait référence à une intentionnalité, une volonté. C’est un ensemble de tendances. L’agressivité vise à nuire quelqu’un. Il y a des sentiments ambivalents par rapport à un objet. Il s’agit d’une recherche de satisfaction pour l’agresseur pour éprouver avec l’agressé. Il y a une conflictualité oedipienne : « qu’est-ce qui se rejoint là maintenant ? », « qui suis-je pour lui à ce moment là ? ». Il y a un mélange de haine et d’amour dans l’acte agressif.
- garfield12
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agressivité des patient
malaise, culpabilité de faire porter un risque sur des collégues, géne. mais aprés il faut essayer d'en tirer des leçons pour soi et pour le patient et c'est pas évident.
- guismo5455
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Nous avons mener avec un groupe lors d'un module optionnel, une reflexion sur la violence en psychiatrie :
Je vous laisse constater et critiquer nos recherches et notre travail.
Bonne lecture
http://guismo5455.free.fr/dop/violencepsy.pdf
Je vous laisse constater et critiquer nos recherches et notre travail.
Bonne lecture
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- T'choupi
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Oulà non je ne pense pas, maintenant l'intitulé je m'en fous, par contre j'espère avoir des pistes pour pouvoir m'en sortir mieux dans mon boulot au quotidien !!
Pi ce que j'aime bien c'est qu'on sera 3 du service comme ça on pourra bien mettre des visages sur les situations et les exemples
Pi ce que j'aime bien c'est qu'on sera 3 du service comme ça on pourra bien mettre des visages sur les situations et les exemples

Marlène IDE en Psy depuis 2 ans en Normandie et piêtre bientôt en Charente-Maritime !!!
quels sont les traitements contre la violence en psy ?
j 'aurai besoin des renseignements pour les traimentes médicamenteux ou autres chez les patientes violents merci à vous
ESI promo 2005/2008----> 3éme année==> 5/9/2007-2008
a la recherche de mes etoiles,youpi derniere ligne droite
a la recherche de mes etoiles,youpi derniere ligne droite
Gutts a écrit :Sépare d'abord plusieurs types de violences,
Effectivement, il faut également faire la différence entre violence, agressivité, agitation...il y a des tas de situations possibles ; attaque de panique, crise d'hystérie, passage à l'acte du psychopathe, hallucinations du psychotique, troubles de l'humeur du maniaco-dépressif, etc...
violence dans un service ouvert
hier lors de mon arriver au boulot a 21h30. je trouve 3 collegue enfermé dans le bureau inf avec une malade. Cette derniere paraissais tres tendu. je ne pose pas de question et rejoint le bureau inf et trouve une lettre ecrite par cette jeune fille celle ci disais vouloir en finir. Les collegue me dise que le medecin de garde arrive et je vois mon autre collegue inf arriver avec une seringue( tranxenen et loxapac). la jeune fille voulais fuire , elle criée, elle se crispé. Mon collegue de nuit arrive sur le fait et essai de la maintenir mais celle ci hurlais de plus fort a la vue d'un homme. Nous avons du la bloquer contre une table a 4 personnes cela a été deja tres impressionant vu qu'elle se debatais et qu'elel criai. Ma collegue a eu tres peur de nous piqué a cause des mouvements.
45Passe et le jeune fille ne se calme toujours pas. apres avoir essayer de prendre ce qu'il y aavis dans nos poche ( stylo...) qu'elle se servais comme arme contre elle et nous nous avons reussi a la plaqué au sol toujour a 3 ou 4 personnes. Le medecin de garde nous a demander de lui faire une autre injection ( loxapac) . rebellotte, crie , hurlements... Puis decision de kla transfere dans me service fermé en dessous , rebellotte pour l'installer au fauteuil dans la contention. Elle nosu disais qu'elle nous detester et hurlais de plus en plus. Toute cette soirée fut tres intense mais aussi tres violente. Maintenri au sol une personne durant presque 2h , cela m'a paru tres violent. cela permet de la proteger masi ce fut dur pour moi, ainsi que pour mes collegue de jour qui avais 8h dze boulot dans les pattes et qui en on fait 2 de plus.durant la nuit j'ai 2 bleus qui sont sorti cela est certainement du a la violence qu'elle avais lorsqu'elle essayer de se debatre.
Enfin bref j'en ai gros sur la patate apres cette soirée tres chaude! ( au moins 30°, dans le bureau inf de 20 m2 ou nous etions 6 dont une en crise)Je sais que la jeune fille a passer uen nuit calme a l'autre etage mais j'ai encore ces immage de contention physique de notre part.
merci de m'avoir lu.
45Passe et le jeune fille ne se calme toujours pas. apres avoir essayer de prendre ce qu'il y aavis dans nos poche ( stylo...) qu'elle se servais comme arme contre elle et nous nous avons reussi a la plaqué au sol toujour a 3 ou 4 personnes. Le medecin de garde nous a demander de lui faire une autre injection ( loxapac) . rebellotte, crie , hurlements... Puis decision de kla transfere dans me service fermé en dessous , rebellotte pour l'installer au fauteuil dans la contention. Elle nosu disais qu'elle nous detester et hurlais de plus en plus. Toute cette soirée fut tres intense mais aussi tres violente. Maintenri au sol une personne durant presque 2h , cela m'a paru tres violent. cela permet de la proteger masi ce fut dur pour moi, ainsi que pour mes collegue de jour qui avais 8h dze boulot dans les pattes et qui en on fait 2 de plus.durant la nuit j'ai 2 bleus qui sont sorti cela est certainement du a la violence qu'elle avais lorsqu'elle essayer de se debatre.
Enfin bref j'en ai gros sur la patate apres cette soirée tres chaude! ( au moins 30°, dans le bureau inf de 20 m2 ou nous etions 6 dont une en crise)Je sais que la jeune fille a passer uen nuit calme a l'autre etage mais j'ai encore ces immage de contention physique de notre part.
merci de m'avoir lu.
la psychiatrie pour l'instant ca me va bien.....
Je ne sais pas si tu attendais une réponse...effectivement, il y a certaines situations qui ne souffrent pas de demi-mesure ; soit on décide de laisser courir, soit on intervient ! J'ai connu ce genre de scénario à domicile, avec une étudiante qui s'est demandée ce qui lui arrivait ; notre désespérée du jour s'est mise à jouer du couteau...Heureusement, ça n'a pas duré deux heures...
Le tout est de pouvoir prendre du recul ensuite...j'espère que tu y arrives... On a pas des métiers faciles, c'est moi qui vous le dit
Le tout est de pouvoir prendre du recul ensuite...j'espère que tu y arrives... On a pas des métiers faciles, c'est moi qui vous le dit

Toujours refflechir en termes de bénéfices / risques...visiblement la mesure d'isolement passait avant l'injection non ? (le risque de pratiquer l'injection de force dans un bureau est dangereux car l'environnement n'est pas "aménagé...)...enfin des fois c'est plus facile de refflechir avec le recul...