concours printemps 2007
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
pareil moi aussi je sort d'une P1 et pas de soucis lors de mon oral. il faut simplement savoir dire pourquoi on a arrété, et les différences entre médecin et IDE.
je crois que c'est une erreur de mentir, ou d'eviter de dire que l'on a fait une ou deux P1, car si le jury découvre au fil de l'entretien que vous avez fait médecine , il se dira que vous lui cachez des choses!
je crois que c'est une erreur de mentir, ou d'eviter de dire que l'on a fait une ou deux P1, car si le jury découvre au fil de l'entretien que vous avez fait médecine , il se dira que vous lui cachez des choses!
"guérir parfois, soulager souvent, écouter toujours"
IFSI argenteuil : admis 9 ème
PROMO 2007/2010
IFSI argenteuil : admis 9 ème
PROMO 2007/2010
lady_trypto a écrit :Mary06 a écrit :Je pense qu'il peut tomber TOUT et n'IMPORTE QUOI ^^
pas tres rassurant tout ça ..![]()
et a ce qu' il parait il est mal vu d' avoir fait une année de médecine au par avant...
vs en pensez quoi?
Mal vu..ca dépend des jury.. Le mien a fait une drôle tête et se sont regardé..
Mais bon J'assume complètement et ne regrette pas d'avoir fais mes 2 années de P1!

Future ESI à la CRF de NICE
sosolabricot a écrit :bonjour bonjour
je voulais savoir si qqn aurait la gentillesse de m'aider pour l'automedication
g un peu de mal ac ce sujet...
J-1 avant strasbourg,le stress monte...
merci d'avance
Voilà 2 articles interessants trouvés sur le post de crepeaujambon (culture G 2007), j'espère que ça pourra t'éclairer un peu

L'automédication au secours du trou de la sécu
L'expansion , le 27 decembre 2006
Xavier Bertrand entend développer l'automédication, mais estime qu'il n'a pas besoin de cela pour combler le déficit de l'assurance maladie. Selon certaines estimations, pourtant, les économies pourraient aller jusqu'à 2,5 milliards d'euros
L'automédication serait-elle devenue le remède miracle pour diminuer le déficit de l'assurance maladie ? Non, répond Xavier Bertrand, qui assure : « on n'a pas besoin de ce type de mesures pour que la sécurité sociale revienne à l'équilibre ». Le ministre de la santé réagissait ainsi à un rapport dont la teneur avait été révélée, le matin même, par Le Figaro, et qui doit lui être officiellement remis en février. Un document qui propose notamment de dérembourser les pilules et gélules qui, prévues pour soigner des pathologies bénignes, ne nécessitent pas d'avis médical. Xavier Bertrand a nié avoir une telle intention. Pour lui, il « n'est pas question de dérembourser de nouveaux médicaments, car si l'automédication, c'est faire prendre en charge par le patient à la place de l'assurance maladie ces médicaments, ça ne m'intéresse pas ». Ce qui intéresse Xavier Bertrand, ce n'est donc pas de faire des économies, « c'est de mieux organiser l'automédication en donnant plus d'informations et de conseils aux patients, et en passant forcément par le pharmacien : pas question de vendre des médicaments dans les grandes surfaces ». Et en empêchant les industriels de faire exploser les prix de ces médicaments en vente libre.
Le ministre, qui avait commandé ce rapport en juillet, reste donc favorable à une pratique longtemps dénigrée et, de ce fait, peu répandue en France, contrairement aux pays voisins. Selon l'association française de l'industrie pharmaceutique pour une automédication responsable, un Français dépense en effet chaque année 28 euros pour se soigner seul, contre 43 euros pour un Anglais et plus de 60 euros pour un Allemand. D'après ce collectif, qui regroupe la quasi totalité des laboratoires pharmaceutiques, il suffirait que 5% des médicaments prescrits soient directement achetés par les patients, cessant de ce fait d'être remboursés puisque délivrés sans ordonnance, pour que la Sécu économise 2,5 milliards d'euros. Tentant, quand on sait que son déficit devrait atteindre 10 milliards cette année, et 8 milliards encore l'année prochaine. On voit mal le gouvernement cracher sur ces économies, quand bien même il jurerait ne pas les avoir recherchées.
Apprendre à se soigner soi-même
LE MONDE | 09.01.07 |
Parmi les Européens, les Français sont ceux qui ont le moins souvent recours à l'automédication. En 2005, ils ont dépensé 26 euros par personne pour se soigner sans consulter un médecin contre 40 euros pour les Anglais et les Italiens et 60 euros pour les Allemands. Est-ce un défaut ? Faut-il modifier cette tendance ? Ce mauvais classement au sein de l'Europe est en tout cas l'un des constats avancés dans le rapport consacré aux "Perspectives d'évolution de l'automédication en France" qui sera remis mercredi 10 janvier au ministre de la santé, Xavier Bertrand.
Bientôt un "dossier pharmaceutique" informatisé
Début avril, le nouveau "dossier pharmaceutique informatisé" sera lancé dans six départements (Doubs, Meurthe-et-Moselle, Nièvre, Pas-de-Calais, Rhône, Seine-Maritime) avant d'être généralisé sur tout le territoire. L'ordre national des pharmaciens a conclu le marché, le 18 décembre 2006, avec l'entreprise GIE Santeos, qui sera chargée d'assurer les prestations informatiques. A terme, le dossier pharmaceutique s'intégrera au dossier médical personnel (DMP). Le pharmacien y inscrira - avec l'accord du patient - tous les médicaments pris, y compris ceux achetés sans ordonnance en automédication. A la différence du DMP, l'assuré social ne pourra pas consulter ce volet sur Internet. Ce dossier pharmaceutique - accessible quelle que soit la pharmacie où l'on se rendra - est censé "sécuriser la dispensation des médicaments" en luttant contre les contre-indications, les problèmes de surdosage, et devrait permettre d'éviter les redondances.
Objectif : inciter les Français à se rendre directement à la pharmacie pour soigner leurs maux quotidiens (rhume, mal de tête, troubles digestifs, fièvre légère, etc.) en utilisant des médicaments qui ne nécessitent pas une prescription médicale et qui ne leur seront pas remboursés.
"L'automédication est actuellement un marché anarchique et peu lisible, il s'agit de l'ordonner et le sécuriser", fait valoir Alain Coulomb, ancien directeur de la Haute Autorité de santé (HAS), coauteur du rapport demandé par le ministère. En France, rien ne concourt au développement de l'automédication - à ne pas confondre avec le fait de piocher dans son armoire à pharmacie des produits anciennement prescrits.
"L'immense majorité" des médicaments à prescription facultative sont remboursables, note le rapport. Il constate aussi que le recours à la consultation chez le médecin pour des pathologies bénignes est quasi "systématique" et que les Français ont le sentiment bien ancré que prescription et remboursement riment avec efficacité. Dans la droite ligne de la réforme de l'assurance maladie, c'est une nouvelle fois au nom de la "responsabilisation" du patient et des "changements de comportements" que l'automédication est appelée à prendre son essor.
En Allemagne, les patients sont devenus adeptes de cette pratique, contraints et forcés. Depuis la réforme de leur système de santé en janvier 2004, ils doivent acquitter un "abonnement" de 10 euros par trimestre pour se rendre chez le médecin et les médicaments accessibles sans ordonnance (parmi lesquels l'aspirine et le paracétamol) ne sont plus du tout remboursés.
En Grande-Bretagne, un coup d'oeil dans une grande pharmacie suffit pour comprendre la place croissante de l'automédication dans les pratiques des Anglais : les rayons où s'entassent les médicaments vendus librement sont deux fois plus vastes que ceux délivrés sous ordonnance. Les clients peuvent trouver sur les linéaires le remède de leur choix pour tout ce qui concerne les maladies bénignes ou récurrentes : fièvre, rhumes, fatigues, ennuis gastriques ou intestinaux, allergies, etc. Cette liberté d'accès permet aux acheteurs de consulter le mode d'emploi et la composition des médicaments et de comparer leurs prix. En outre, pour contenir les dépenses de santé et en transférer une partie sur le consommateur, le gouvernement britannique a modifié en 1998 la classification des médicaments. Une vingtaine, souvent utilisés, sont devenus accessibles sans ordonnance et représentent désormais un tiers des dépenses pharmaceutiques.
Le rapport d'Alain Coulomb et du professeur Alain Baumelou, dévoilé le 27 décembre par Le Figaro, s'inspire en partie de ces exemples européens. Ainsi, il préconise "un déremboursement homogène et cohérent de certaines classes thérapeutiques", l'abandon de la notion "mal comprise et péjorative" de médicaments à service médical insuffisant au profit de celle de médicaments "non prioritaires" et l'expérimentation d'un "accès direct" aux médicaments dans les pharmacies.
Cette dernière proposition réjouit l'Association française de l'industrie pharmaceutique pour une automédication responsable (Afipa). "Améliorer l'accès aux médicaments dans l'officine - c'est-à-dire qu'ils ne soient pas tous derrière le comptoir - est un élément très important pour créer une autre relation aux produits", souligne son président, Eric Maillard.
Pour faciliter le marché de l'automédication, la coexistence au sein d'une même classe thérapeutique de produits remboursés et d'autres qui ne le sont pas doit cesser, selon le rapport. Ainsi, 83 % du chiffre d'affaires des médicaments contre la fièvre sont réalisés grâce à ceux qui sont remboursables. En outre, pointe le rapport, il serait nécessaire d'améliorer la rédaction des notices, d'adapter la taille des conditionnements (à des traitements de courte durée), de créer un site Internet consacré à l'automédication. Il faudrait surtout éviter une envolée des prix comme celle constatée après les récentes vagues de déremboursement. "Certains industriels sont prêts à relever le pari", assure M. Coulomb.
En dehors du gisement d'économies pour l'assurance maladie, difficile de mesurer l'intérêt de l'automédication pour le patient. Le professeur Baumelou avance le "gain de temps" et le problème de la démographie médicale qui nécessitera, dans les années à venir, de désengorger les cabinets médicaux des petits maux quotidiens.
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KIBOU a écrit :Salut moi j ai passé l'oral d'infirmière à la croix rouge à metz qui l a deja passé et quel sujet vous avez eu?
J'ai passer l'oral a metz la semaine derniere ... je suis tomber sur un article presentant un enseignant ayant reçu 10 000 euros d'amende pour téléchargements... ma question était.... commentez.
Je passe 2 oraux demain... à la question quels sont vos défauts je répond .. maniaque et grande langue... (alors que ce n'est pas tout a fait réel)
j'aimerais, en fait, savoir quelles sont les défau q'une infirmière doit avoir....
- choupette78
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jackdaniel's a écrit :KIBOU a écrit :Salut moi j ai passé l'oral d'infirmière à la croix rouge à metz qui l a deja passé et quel sujet vous avez eu?
J'ai passer l'oral a metz la semaine derniere ... je suis tomber sur un article presentant un enseignant ayant reçu 10 000 euros d'amende pour téléchargements... ma question était.... commentez.
Je passe 2 oraux demain... à la question quels sont vos défauts je répond .. maniaque et grande langue... (alors que ce n'est pas tout a fait réel)
j'aimerais, en fait, savoir quelles sont les défau q'une infirmière doit avoir....
bonsoir, alorsjuste un petit conseil(à prendre ou pas): evite grande langue, dans ce corps de metier le secret professionnel est primordial. à toi de voir.
Bonne chance pour demain. moi je le passe egalement demain à 9H00 à meulan.
ide chirurgie. futur ide scolaire2018 

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j'avais lancé ce topic et je pensais qu'au moins 3 personnes de la CRF du Mans me diraient "vas-y c'est bon t'es prise on se désiste de la liste principale". Mais je ne vois rien de ce style....alors vous ne connaissez personne autour de vous étant pris dans un IFSI en lp qui se désiste d'une autre lp ?
oraux 2007
je viens de passer l'oral et vous faire partager mon experience :
"1 jeune sur 2 a bu dans les 30 derniers jours, 5 verres d'alcool en une seule occasion, a 16 ans 3 % avouent avoir déjà été ivre. " expliquez les raisons de ce phénomène
en introduction : l'odolescence est une periode de recherche d'identité, de l'affirmation de soi de la decouverte qui poussent certains jeunes à boire
les causes: l'influence des autres qui ont envie de s'amuser
tests pour aller au dela de ses limites
intégration dans un groupe, se faire accepter
l'alcool ne coute pas cher, en vente libre meme la nuit dans les
épiceries
pression scolaire compétitivité
peur du chomage
conflits familiaux (divorce)
sous l'influence de l'alcool les rencontres amoureuses sont plus facile coté deshinibateur
les conséquences : accidents de la route entrainant des sequelles graves
coma ethyllique (intervention du SMUR)
conduites à risques (pas de protection face au sida)
cela entraine une addiction à l'alcool
solutions spots publicitaires mettant en scène des accidents
controle policiers (alcootest)
radars excès de vitesse
prevention dans les lycées et collège.
le psy m'a demandé : à part la prevention quels autre moyens peut on mettre en place . j'ai répondu que l'education pouvoir jouer un role important dans le fait d'apprendre à dire non. et puis la cadre de santé m'a dit
la rencontre amoureuse est plus facile sous l'emprise de l'alcool ? j'ai repondu que j'avais cité ca par rapport à une emission que j'avais vu (elle s'intitulait la biture express que des jeunes disaient que c'était plus facile pour eux de faire des rencontres, d'ou le coté deshinibateur) elle m'a dit et vous vous en pensez quoi. j'ai répondu que c'était inutile et qu'il fallait avoir de l'assurance que cela suffisait.
après l'enseignante de l'ifsi m'a posé des questions sur la formation.
j'aimerais avoir votre avis sur l'entretien d'après vous, vous en pensez quoi ?
"1 jeune sur 2 a bu dans les 30 derniers jours, 5 verres d'alcool en une seule occasion, a 16 ans 3 % avouent avoir déjà été ivre. " expliquez les raisons de ce phénomène
en introduction : l'odolescence est une periode de recherche d'identité, de l'affirmation de soi de la decouverte qui poussent certains jeunes à boire
les causes: l'influence des autres qui ont envie de s'amuser
tests pour aller au dela de ses limites
intégration dans un groupe, se faire accepter
l'alcool ne coute pas cher, en vente libre meme la nuit dans les
épiceries
pression scolaire compétitivité
peur du chomage
conflits familiaux (divorce)
sous l'influence de l'alcool les rencontres amoureuses sont plus facile coté deshinibateur
les conséquences : accidents de la route entrainant des sequelles graves
coma ethyllique (intervention du SMUR)
conduites à risques (pas de protection face au sida)
cela entraine une addiction à l'alcool
solutions spots publicitaires mettant en scène des accidents
controle policiers (alcootest)
radars excès de vitesse
prevention dans les lycées et collège.
le psy m'a demandé : à part la prevention quels autre moyens peut on mettre en place . j'ai répondu que l'education pouvoir jouer un role important dans le fait d'apprendre à dire non. et puis la cadre de santé m'a dit
la rencontre amoureuse est plus facile sous l'emprise de l'alcool ? j'ai repondu que j'avais cité ca par rapport à une emission que j'avais vu (elle s'intitulait la biture express que des jeunes disaient que c'était plus facile pour eux de faire des rencontres, d'ou le coté deshinibateur) elle m'a dit et vous vous en pensez quoi. j'ai répondu que c'était inutile et qu'il fallait avoir de l'assurance que cela suffisait.
après l'enseignante de l'ifsi m'a posé des questions sur la formation.
j'aimerais avoir votre avis sur l'entretien d'après vous, vous en pensez quoi ?