Quand une étudiante en troisième année....
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers
zeb24 a écrit :nadiabgb a écrit :j'aimerais bien avoir des informations sur ce que vous, infirmier et infirmières vous ressentez quand vous encadrer des étudiants.
particulièrement des étudiants en troisièmes années plus ou moins en "stress".....
vos difficultés...
merci
Les étudiants stréssés sont des étudiants qui ne maitrisent pas la théorie ! La pratique infirmière, sur le plan gestuel, est à la portée du premier venu ! Il ne faut pas être bien malin pour réaliser nos gestes de base !
Ce qui est beaucoup plus dur, c'est de les comprendre ! Il est sur que, quand on arrive en 3éme année et qu'on ne maitrise pas les modules et les différents soins sur le plan théorique, on puisse se sentir perdu et stressé ! Il convient alors de bosser !! De chercher à comprendre !! La compréhension amène à la matrîse et soustrait au stress !
Quoi que vous fassiez, il faut vous mettre dans une situation d'apprentissage, chercher à comprendre, à anticiper, à imaginer vos réactions si la situation changée, à apprendre à maîtriser ce que vous faîtes et à pouvoir expliquer, sur tous les plans théoriques, chacun de vos faits et gestes ! C'est ainsi qu'un étudiant inspire la confiance et impose le respect par la sérénité qui peut se dégager de lui !
je suis pas d 'accords je suis une personne qui stress fort mais c est du stress positif je suis tres fort en théorie et en pratique alors ta remarque garde la pour toi car ce que tu dis la est totalment faut ps je suis le 2 éme de ma promotion
ESI promo 2005/2008----> 3éme année==> 5/9/2007-2008
a la recherche de mes etoiles,youpi derniere ligne droite
a la recherche de mes etoiles,youpi derniere ligne droite
nadiabgb a écrit :il me semble, que pour que des études en soins infirmiers se déroulent dans les meilleurs conditions possibles (et je ne parles pas de valider des msp, des évaluations) il faut un cocktail comprenant:
Un étudiant motivé
Des formateurs motivés,disponibles et conscients des réalités du terrain
Des infirmiers prêts à encadrer des étudiants très variés sans jugements de valeurs
des liens entrent l'IFSI et les hopitaux
Et surtout que personne n'oublie l'objectif d'une formation en soin infirmiers:
former quelqu'un à pouvoir effectuer une prise en charge de patients.....Tout en sachant qu'il ya milles façon, au moins d'exercer le metier d'infirmier.
Et je ne pense pas qu'une de ses façons soient meilleurs ou pire qu'une autre:s
infirmière scolaire (ou infirmier...)
infirmière en réanimation
infirmière au bloc
infirmière en libérale
infirmière en service de chirurgie
infirmière en psychiatrie
infirmière en médecine
infirmière en consultation
infirmière en centre de soins
infirmière en cmp
infirmière en soins à domicile
infirmière en médecine du travail
infirmière aux urgences
infirmière en gériatrie
infirmière en pédiatrie
infirmière coordinatrice
infirmière en santé publique
arréter moi si je dis des conneries.....
merci encore à tous
...
infirmière au samu
infirmière en rééducation
infirmière dans l'humanitaire
infirmière en prison
......
presque 35ans, une puce de presque 4 ans et un homme tip-top
Bonsoir,
Et ben dis donc, c'est un sujet toujours aussi sensible à ce que je vois.
La prise de médicaments pendant les études, la veille des examens.
J'ai connu ça aussi durant mes études, certaines de mes collègues de promotion en prenaient quelques jours avant les msp, examens écrits. Moi pas, je n'ai jamais jugé utile d'aller prendre des médocs.
Je suis d'accord pour dire que un travail régulier et étalé sur l'année permet d'éviter le stress pré exam parce que je ne connais toujours pas le fonctionnement du machin chose. J'ai été une élève très moyenne durant mes études. Jamais première, si seconde.
Je suis arrivée en école d'infirmière pleine de bonheur, parce que je voulais vraiment faire mes études d'ide. Au fil des semaines, j'ai commencé à déchanter sur mes attentes / à l'équipe de formateur de mon ifsi. Je suis venue une première fois voir ma formatrice lors de mon deuxième stage de première année en cardio. Je ne comprenais pas bien comment il fallait lier les différents éléments pour construire une démarche de soins. La seule réponse que j'ai eu : Vous n'avez pas bien écouté le cours donc allez voir vos écrits. C'est la première et dernière fois que je leur ai demandé quelque chose.
Ensuite j'ai eu au cours de cette même première année quelques ennuis de santé durant un stage où je devais passer ma première msp. Je suis restée hospitalisée quelques jours, et j'avais eu le soucis de prévenir mon école que j'étais hospitalisée et que je sortais à telle date en début d'après midi. Je suis arrivée un 1/4 heure après l'heure fixée. Leurs premières réactions a été la suivante : nous vous avions dit 13h30 et il est 13h45. Nous vous verrons en fin d'après midi, et vous reprenez bien votre stage lundi...
Là toute ma naiveté s'est envolée
..
Je ne suis pas rentrée dans le moule de l'école. Je m'interessais beaucoup aux cours que nous avions, mais je dois dire que je ne travaillais pas avec beaucoup d'assiduité.
J'ai eu ensuite quelques accrochages avec mes formatrices / à mon comportement intolérant envers elles. Je le reconnais maintenant , un peu puéril.
J'ai continué mon bonhomme de chemin durant mes études en bossant le week end et les vacances, mais aussi en sortant assez régulièrement. J'allais me promener, musarder.. J'ai enregistré un point important c'est que les études c'est important, mais ce n'est pas tout non plus.
Je me rappelle effectivement des bons élèves (ce n'est pas absolument pas péjoratif) qui travaillaient très durs pour avoir de très bons résultats. Aujourd'hui je n'ai plus aucun contact avec mes collègues de promo, que j'ai appris à apprécier dans certains moments difficiles de stress intense. Mais à quoi ça sert de faire un mémoire d'une centaine de page sur l'encadrement infirmier..¨Pas à grand chose je le crains. Mon mémoire je l'ai fais toute seule, mais il a été complètement baclé parce que je ne comprenais pas le mode d'emploi qui nous avait été délivré à l'époque. Je suis allée voir trois fois en tout et pour toi ma référente de mémoire. Je ne suis pas forcément satisfaite de moi au final. J'aurai sans doute du être plus régulière dans mon travail. Mais bon c'est comme ça. Si vous devez vous épuisser la santé comme vous le faites j'espère que c'est pour vous et pas pour avoir l'approbation de vos formateurs.
Mon amie est aussi infirmière et à 20 ans d'écart la formation n'a guère changée. Les feuilles de note de stage n'ont pas changé beaucoup en 20 ans, mais les formateurs non plus. Je crois que c'est la marque des IFSI, d'être toujours à demander aux élèves de rentrer dans un moule.
Heureusement, je me suis réconcillée avec les ifsi depuis mon diplôme. Je suis allée donner des cours, et j'ai pu échanger avec des formatrices très ouvertes.
Cessez de vous bourrer de médocs quand c'est juste pour ne pas dormir car il faut absolument apprendre le module de cardio en une nuit. C'est du vécu, et c'est dommage car ce n'est pas utile. J'ai vu mes collègues de promo le faire. Et arriver ensuite à l'écrit les yeux cernés..
Le seul message que je voudrais faire passer, c'est de sortir, vous vider la tête et vous aérer. Il faut savoir aussi éteindre l'interrupteur parfois.
Garder confiance en vos capacités et grandir, car c'est ce qui se passe aussi durant ces trois année. On nous en fait chier, on mord la poussière mais on grandit aussi. L'IFSI, ce n'est pas le lycée ou la fac, je crois qu'on y apprend à se connaître. Ces études ne sont pas plus dures que d'autres. Regardez donc du côté des écoles de travailleurs sociaux ou bien d'éducateurs. C'est encore plus sport d'après ce que des amies, ou des membres de ma famille m'ont rapportés.
J'ai entendu des choses très bêtes durant mes études : mais vous ne pourrez pas travailler en psychiatrie parce que vous ne pourrez pas vous entendre avec les médecins, vos collègues et les patients...
Au contraire j'ai eu trois années fabuleuses dans un service d'urgences psychiatriques... Je ne regrette pas une minute tout ce que j'ai vécu là bas; le bon comme le mauvais.
Depuis j'ai changé de région et de travail et c'est beaucoup moins amusant mais bon c'est comme ça. Toute expérience est bonne à prendre.
Je ne suis pas forcément la meilleure personne qui soit pour juger des études d'infirmière. J'ai une vision plus négative que positive. Heureusement, j'ai eu des stages qui se sont très bien déroulés; et d'autres moins bien. Mais ça donne envie de renouveler ce que j'ai pu y apprendre et de ne pas "essayer de reproduire les erreurs de collègues".
Trois ans dans une vie ce n'est rien du tout, c'est sur que ça va influencer une partie de votre vie mais bon rien n'est jamais définitif à part la mort
Je garde au fond de moi l'espoir de reprendre des études, non pas pour apprendre mais pour réfléchir. C'est ce qui m'a le plus manqué durant mes études. Réfléchir à plein de choses.
Bon courage à vous et surtout n'oubliez pas de sortir !!!
ps : désolée je suis bavarde, et pas du tout synthétique
Gwen
Et ben dis donc, c'est un sujet toujours aussi sensible à ce que je vois.
La prise de médicaments pendant les études, la veille des examens.
J'ai connu ça aussi durant mes études, certaines de mes collègues de promotion en prenaient quelques jours avant les msp, examens écrits. Moi pas, je n'ai jamais jugé utile d'aller prendre des médocs.
Je suis d'accord pour dire que un travail régulier et étalé sur l'année permet d'éviter le stress pré exam parce que je ne connais toujours pas le fonctionnement du machin chose. J'ai été une élève très moyenne durant mes études. Jamais première, si seconde.
Je suis arrivée en école d'infirmière pleine de bonheur, parce que je voulais vraiment faire mes études d'ide. Au fil des semaines, j'ai commencé à déchanter sur mes attentes / à l'équipe de formateur de mon ifsi. Je suis venue une première fois voir ma formatrice lors de mon deuxième stage de première année en cardio. Je ne comprenais pas bien comment il fallait lier les différents éléments pour construire une démarche de soins. La seule réponse que j'ai eu : Vous n'avez pas bien écouté le cours donc allez voir vos écrits. C'est la première et dernière fois que je leur ai demandé quelque chose.
Ensuite j'ai eu au cours de cette même première année quelques ennuis de santé durant un stage où je devais passer ma première msp. Je suis restée hospitalisée quelques jours, et j'avais eu le soucis de prévenir mon école que j'étais hospitalisée et que je sortais à telle date en début d'après midi. Je suis arrivée un 1/4 heure après l'heure fixée. Leurs premières réactions a été la suivante : nous vous avions dit 13h30 et il est 13h45. Nous vous verrons en fin d'après midi, et vous reprenez bien votre stage lundi...
Là toute ma naiveté s'est envolée
..
Je ne suis pas rentrée dans le moule de l'école. Je m'interessais beaucoup aux cours que nous avions, mais je dois dire que je ne travaillais pas avec beaucoup d'assiduité.
J'ai eu ensuite quelques accrochages avec mes formatrices / à mon comportement intolérant envers elles. Je le reconnais maintenant , un peu puéril.
J'ai continué mon bonhomme de chemin durant mes études en bossant le week end et les vacances, mais aussi en sortant assez régulièrement. J'allais me promener, musarder.. J'ai enregistré un point important c'est que les études c'est important, mais ce n'est pas tout non plus.
Je me rappelle effectivement des bons élèves (ce n'est pas absolument pas péjoratif) qui travaillaient très durs pour avoir de très bons résultats. Aujourd'hui je n'ai plus aucun contact avec mes collègues de promo, que j'ai appris à apprécier dans certains moments difficiles de stress intense. Mais à quoi ça sert de faire un mémoire d'une centaine de page sur l'encadrement infirmier..¨Pas à grand chose je le crains. Mon mémoire je l'ai fais toute seule, mais il a été complètement baclé parce que je ne comprenais pas le mode d'emploi qui nous avait été délivré à l'époque. Je suis allée voir trois fois en tout et pour toi ma référente de mémoire. Je ne suis pas forcément satisfaite de moi au final. J'aurai sans doute du être plus régulière dans mon travail. Mais bon c'est comme ça. Si vous devez vous épuisser la santé comme vous le faites j'espère que c'est pour vous et pas pour avoir l'approbation de vos formateurs.
Mon amie est aussi infirmière et à 20 ans d'écart la formation n'a guère changée. Les feuilles de note de stage n'ont pas changé beaucoup en 20 ans, mais les formateurs non plus. Je crois que c'est la marque des IFSI, d'être toujours à demander aux élèves de rentrer dans un moule.
Heureusement, je me suis réconcillée avec les ifsi depuis mon diplôme. Je suis allée donner des cours, et j'ai pu échanger avec des formatrices très ouvertes.
Cessez de vous bourrer de médocs quand c'est juste pour ne pas dormir car il faut absolument apprendre le module de cardio en une nuit. C'est du vécu, et c'est dommage car ce n'est pas utile. J'ai vu mes collègues de promo le faire. Et arriver ensuite à l'écrit les yeux cernés..
Le seul message que je voudrais faire passer, c'est de sortir, vous vider la tête et vous aérer. Il faut savoir aussi éteindre l'interrupteur parfois.
Garder confiance en vos capacités et grandir, car c'est ce qui se passe aussi durant ces trois année. On nous en fait chier, on mord la poussière mais on grandit aussi. L'IFSI, ce n'est pas le lycée ou la fac, je crois qu'on y apprend à se connaître. Ces études ne sont pas plus dures que d'autres. Regardez donc du côté des écoles de travailleurs sociaux ou bien d'éducateurs. C'est encore plus sport d'après ce que des amies, ou des membres de ma famille m'ont rapportés.
J'ai entendu des choses très bêtes durant mes études : mais vous ne pourrez pas travailler en psychiatrie parce que vous ne pourrez pas vous entendre avec les médecins, vos collègues et les patients...
Au contraire j'ai eu trois années fabuleuses dans un service d'urgences psychiatriques... Je ne regrette pas une minute tout ce que j'ai vécu là bas; le bon comme le mauvais.
Depuis j'ai changé de région et de travail et c'est beaucoup moins amusant mais bon c'est comme ça. Toute expérience est bonne à prendre.
Je ne suis pas forcément la meilleure personne qui soit pour juger des études d'infirmière. J'ai une vision plus négative que positive. Heureusement, j'ai eu des stages qui se sont très bien déroulés; et d'autres moins bien. Mais ça donne envie de renouveler ce que j'ai pu y apprendre et de ne pas "essayer de reproduire les erreurs de collègues".
Trois ans dans une vie ce n'est rien du tout, c'est sur que ça va influencer une partie de votre vie mais bon rien n'est jamais définitif à part la mort
Je garde au fond de moi l'espoir de reprendre des études, non pas pour apprendre mais pour réfléchir. C'est ce qui m'a le plus manqué durant mes études. Réfléchir à plein de choses.
Bon courage à vous et surtout n'oubliez pas de sortir !!!
ps : désolée je suis bavarde, et pas du tout synthétique
Gwen
"Aimer c'est trouver grace à l'autre,
sa vérité et aider cet autre à trouver la sienne, c'est créer une complicité passionnée. "
sa vérité et aider cet autre à trouver la sienne, c'est créer une complicité passionnée. "
samirlove a écrit :zeb24 a écrit :nadiabgb a écrit :j'aimerais bien avoir des informations sur ce que vous, infirmier et infirmières vous ressentez quand vous encadrer des étudiants.
particulièrement des étudiants en troisièmes années plus ou moins en "stress".....
vos difficultés...
merci
Les étudiants stréssés sont des étudiants qui ne maitrisent pas la théorie ! La pratique infirmière, sur le plan gestuel, est à la portée du premier venu ! Il ne faut pas être bien malin pour réaliser nos gestes de base !
Ce qui est beaucoup plus dur, c'est de les comprendre ! Il est sur que, quand on arrive en 3éme année et qu'on ne maitrise pas les modules et les différents soins sur le plan théorique, on puisse se sentir perdu et stressé ! Il convient alors de bosser !! De chercher à comprendre !! La compréhension amène à la matrîse et soustrait au stress !
Quoi que vous fassiez, il faut vous mettre dans une situation d'apprentissage, chercher à comprendre, à anticiper, à imaginer vos réactions si la situation changée, à apprendre à maîtriser ce que vous faîtes et à pouvoir expliquer, sur tous les plans théoriques, chacun de vos faits et gestes ! C'est ainsi qu'un étudiant inspire la confiance et impose le respect par la sérénité qui peut se dégager de lui !
je suis pas d 'accords je suis une personne qui stress fort mais c est du stress positif je suis tres fort en théorie et en pratique alors ta remarque garde la pour toi car ce que tu dis la est totalment faut ps je suis le 2 éme de ma promotion
Donc on est d'accord ! Tu n'as pas besoin de médicaments et le stress te bonifie ! Et si tu n'etais pas aussi "fort" en théorie et en pratique, tu ferais beaucoup moins le malin !
mamgozh a écrit :Bonsoir,
Je suis arrivée en école d'infirmière pleine de bonheur, parce que je voulais vraiment faire mes études d'ide. Au fil des semaines, j'ai commencé à déchanter sur mes attentes / à l'équipe de formateur de mon ifsi.
Je ne suis pas rentrée dans le moule de l'école.
Bon courage à vous et surtout n'oubliez pas de sortir !!!
ps : désolée je suis bavarde, et pas du tout synthétique
Gwen
Tu n'as pas à être désolé d'être bavarde......
J'ai l'impression que les formateurs aussi doivent rentrer dans un moule.....
ils n'ont pas toujours assez la liberté de nous transmettrent tout ce qu'ils voudraient nous transmettre....
je ne sais pas si les autres formations sont autant cadrées par autant de textes de lois
D'autre part je me demande si en province la pression dans les ifsi n'est pas moins forte qu'à Paris et plus particulièrement dans cette énorme "machine" l'aphp.
presque 35ans, une puce de presque 4 ans et un homme tip-top
je persiste à dire que ce ne sont pas les études les plus difficiles.
je suis d'accord avec ceux qui disent que le fait d'etre une tete ne préserve pas du stress et que l'on peut très mal le gérer au point de tout plaquer ou de se nourrir d'anxiolytique, de la meme façon que cela ne présage pas de la compétence professionnelle à venir.
je connais d'exellents IDE, cadres ou IADE qui ont mené des études en touristes assurant le minimum syndical.
pour ceux qui pensent que mon IFSI était le top et ben que dalle.
les élèves (c'étaient une autre époque) avaient tjs tort face au service, on a du batailler ferme pour ne pas faire un WE à chaque stage mais un tous les deux stages, on faisait du mi temps, matin en stage après midi en cours. en 3° année, c'était ça toute l'année sauf en péridode de vacances.
et certains faisaient des nuits ou des WE comme AS pour payer leurs études.
bon vous me direz que c'était moins stressant car on finissait en juin
d'accord avec cédric pour dire tout n'est pas bleu blanc chez les professionnels mais que les étudiants devraient parfois se regarder et faire eux aussi leurs critiques
je suis d'accord avec ceux qui disent que le fait d'etre une tete ne préserve pas du stress et que l'on peut très mal le gérer au point de tout plaquer ou de se nourrir d'anxiolytique, de la meme façon que cela ne présage pas de la compétence professionnelle à venir.
je connais d'exellents IDE, cadres ou IADE qui ont mené des études en touristes assurant le minimum syndical.
pour ceux qui pensent que mon IFSI était le top et ben que dalle.
les élèves (c'étaient une autre époque) avaient tjs tort face au service, on a du batailler ferme pour ne pas faire un WE à chaque stage mais un tous les deux stages, on faisait du mi temps, matin en stage après midi en cours. en 3° année, c'était ça toute l'année sauf en péridode de vacances.
et certains faisaient des nuits ou des WE comme AS pour payer leurs études.
bon vous me direz que c'était moins stressant car on finissait en juin
d'accord avec cédric pour dire tout n'est pas bleu blanc chez les professionnels mais que les étudiants devraient parfois se regarder et faire eux aussi leurs critiques
j'aime bien Charlie, mais Nigéria a beaucoup plus besoin de nous
#je suis Nigéria
#je suis Nigéria
entièrement d'accord sur le fait que nous les étudiants nous devons faire nos propres critiques....
tous les étudiants ne sont pas forcément capable de se remettre en question...de même pour les professionnels (formateurs ou infirmiers....)
dans la pratique tu te fais déjà critiqué pendant trois ans...
je ne pense pas que cela soit les études les plus idfficiles mais je pense que dans certains ifsi et hopitaux il ya une un réel besoin de réflexion, de remise en question sur comment et surtout pourquoi on accueil des étudiants....
certain "soignants" ont des comportement qui peuvent être destructeurs pour un jeune étudiant...
et je ne pense pas qu'il faille tout nous apporter sur un plateau non plus....comme disait une infirmière dans un de mes stages "la vie c'est pas walt disney"
Il y a dans certain service un réel mépris des étudiants quelqu'ils soient....et je ne parle pas de la relation aux patients....
en contre parti il ya aussi certain étudiants qui sont constaemment dans le mépris des professionnels.....
beaucoup de non dits.....
tous les étudiants ne sont pas forcément capable de se remettre en question...de même pour les professionnels (formateurs ou infirmiers....)
dans la pratique tu te fais déjà critiqué pendant trois ans...
je ne pense pas que cela soit les études les plus idfficiles mais je pense que dans certains ifsi et hopitaux il ya une un réel besoin de réflexion, de remise en question sur comment et surtout pourquoi on accueil des étudiants....
certain "soignants" ont des comportement qui peuvent être destructeurs pour un jeune étudiant...
et je ne pense pas qu'il faille tout nous apporter sur un plateau non plus....comme disait une infirmière dans un de mes stages "la vie c'est pas walt disney"
Il y a dans certain service un réel mépris des étudiants quelqu'ils soient....et je ne parle pas de la relation aux patients....
en contre parti il ya aussi certain étudiants qui sont constaemment dans le mépris des professionnels.....
beaucoup de non dits.....
presque 35ans, une puce de presque 4 ans et un homme tip-top
-
cedr1c
nadiabgb a écrit :il me semble, que pour que des études en soins infirmiers se déroulent dans les meilleurs conditions possibles (et je ne parles pas de valider des msp, des évaluations) il faut un cocktail comprenant:
Un étudiant motivé
Moi je dirai un étudiant patient.
Parce que la motivation c'est pas ce qui m'a permis d'avoir le D.E vu mon assiduité pour le moins discutable en cours.
Je n'ai jamais assisté à des courses de spermatozoïdes mais j'ai donné beaucoup de départs
cedr1c a écrit :mamgozh, va faire un tour sur le forum concours, voir les sujets "que dois je dire si on me demande mes motivations?" et autres "j'ai fait ça, je dois le dire?"...ce sont ces mêmes personnes qui se plaindront dans deux ans d'etre formatées, mais pour l'instant, elles font tout pour y etre.
c'est vrai que c'est étonnant de voir que certains ne savent même pas pourquoi il passe ce concours et qu'il leur faille trouver des idées pour exprimer leur motivations....mais bon
presque 35ans, une puce de presque 4 ans et un homme tip-top
mamgozh a écrit :Au contraire j'ai eu trois années fabuleuses dans un service d'urgences psychiatriques...
Ahhhhhh! Les urgences psy!
J'en sors! Un super stage qui m'a entièrement réconcilié avec la psychiatrie: une équipe géniale qui m'a tout de suite INTEGREE! c'est clair qu'à côté de mon stage précédent en gériatrie (stage intensif de dynamap en fin de 3ème année), ça m'a changé! Pourtant je ne pense pas vraiment avoir tant changé de façon de travailler en 2 mois... Est-il possible que les différentes équipes y soient pour quelque chose...? ....................................................................ESI 3ème année Ambroise Paré
Présidente CESI
Présidente CESI
Haegen a écrit :je persiste à dire que ce ne sont pas les études les plus difficiles.
je suis d'accord avec ceux qui disent que le fait d'etre une tete ne préserve pas du stress et que l'on peut très mal le gérer au point de tout plaquer ou de se nourrir d'anxiolytique, de la meme façon que cela ne présage pas de la compétence professionnelle à venir.
Excellent résumé
Infirmière puéricultrice
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