relations difficiles !!!
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flog a écrit :A lire l'ensemble de ce topic, j'ai quand même la forte impression qu'il y a aussi un gros pb de positionnemment des IDE. Les IDE ont un rôle de formation et d'encadrement des AS. et que ça plaise ou pas, les Aide soignant(e)s comme leur nom l'indique, sont là pour aider les soignants..
Alors, certes, peut-être que ce n'est pas vraiment expliqué pendant la formation, peut-être que l'on ne donne pas l'enseignement suffisant pour assumer ce rôle... mais si les IDE ne remplissent pas leur part de la relation, il est clair que celle-ci ne pourra que se détériorer. Pour reprendre une image donnée par un specialiste du sujet, une relation c'est comme une echarpe tendue entre deux personnes (ou deux groupes etc), si l'un des protagoniste est "mou" dans sa tenue de l'echarpe , c'est l'autre qui va tirer dessus....
Je ne peut être que d'accord avec vous : il ne s'agit pas de "jouer" au petit chef mais de se positionner en tant que professionnels du soin.
Ceci passe par l'affirmation de soi : les textes nous donnent les bases de notre positionnement (cités plus haut par Flog), à partir de là, les aides soignants doivent s'y conformer.
Que cela plaise ou non.
Il faut être ferme sur les bases : je comprend tout à fait que certaines IDE, plus "timides", n'osent pas faire preuve de fermeté (je ne parle pas d'autorité, car ici ce n'est pas le cas), et pourtant, il faut parfois se faire violence quand les choses ne se passent pas bien.
"Il suffit de nous regarder pour voir comment une forme de vie intelligente peut se développer d'une manière que nous n'aimerions pas rencontrer."
Stephen HAWKING
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buffat a écrit :je suis entièrement d'accord avec Jo même si pour moi, il est difficile d'oser m'affirmer, je commence à le faire.
Perseverez, ce sont les premiers pas qui "coutent" le plus : le fait de dire "non" quand c'est "non" vous confèrera une reconnaissance certaine dans votre rôle infirmier, et les actes qui en découleront n'en seront que plus conformes à "la règle de l'art".
N'oubliez pas de justifier vos affirmations, par exemple, dans la situation que vous décrivez :
buffat a écrit :Puis quelques minutes aprés avoir fini avec cette personne, je demande à ladite AS, "il a mangé quoi Mr Y?", elle me répond "rien, il n'arrive pas à avaler, il garde tout dans la bouche".
Donc rebelote, je vais chez Mr Y et je le fais mangé sans avoir aucun problème. Alors suis-je un génie, je crois pas
Vous vérifiez, vous constatez que la personne peut manger, vous retournez vers l'AS et vous lui dites que maintenant, elle peut faire manger le monsieur, qu'il avale très bien (le tout poliment, bien entendu).
Histoire de faire comprendre à cette personne que vous n'êtes pas "une abrutie première classe"


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Jo a écrit :buffat a écrit :je suis entièrement d'accord avec Jo même si pour moi, il est difficile d'oser m'affirmer, je commence à le faire.
Perseverez, ce sont les premiers pas qui "coutent" le plus : le fait de dire "non" quand c'est "non" vous confèrera une reconnaissance certaine dans votre rôle infirmier, et les actes qui en découleront n'en seront que plus conformes à "la règle de l'art".
N'oubliez pas de justifier vos affirmations, par exemple, dans la situation que vous décrivez :buffat a écrit :Puis quelques minutes aprés avoir fini avec cette personne, je demande à ladite AS, "il a mangé quoi Mr Y?", elle me répond "rien, il n'arrive pas à avaler, il garde tout dans la bouche".
Donc rebelote, je vais chez Mr Y et je le fais mangé sans avoir aucun problème. Alors suis-je un génie, je crois pas
Vous vérifiez, vous constatez que la personne peut manger, vous retournez vers l'AS et vous lui dites que maintenant, elle peut faire manger le monsieur, qu'il avale très bien (le tout poliment, bien entendu).
Histoire de faire comprendre à cette personne que vous n'êtes pas "une abrutie première classe"![]()
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"la confiance en soi, c'est la mémoire des succès passés"..donc rappelez-vous toutes les fois où dans la vie vous avez su vous affirmer.... et ajoutez-y toutes les nouveaux pas que vous faites

Et ainsi, petit à petit, , vous gagnerez confiance en vous

Truisme n°1 : Quand on fait à la place de l'autre, non seulement on n'est pas à sa place, mais en plus, on empêche l'autre de prendre la place qui est la sienne 

j'ai eu un autre exemlple ce jour, une AS m'a hurlé dessus!! oui, oui, le terme est bien choisi
alors que faire à part lui dire, calme toi, je ne te permet pas de me parler sur ce ton!!
Elle ne comprenait pas pourquoi je ne m'étais pas précipitée sur une personne douloureuse et que j'avais "préféré" me plonger dans son taritement pour voir à quelle heure je pouvais lui donner un autre sévrédol (laps de temps minimum entre deux prises à respecter).
Donc voilà elle arrive dans le bureau et me dis: "oh, tu l'as oublier Me X. elle a mal et tu fais rien!!"alors là je lui ai dit non, je ne fais pas rien mais je regarde dans son traitement pour lui donner l'antalgique adéquate.Tu as fais ton travail, tu me l'as transmis maintenant je vais en faire qq chose mais pas n'importe comment!!"
Elle sort de la pièce et dit trés fort: "alors maintenant on laisse les gens souffrir sans rien faire!" c'est là que je suis intervenue car je ne pouvais pas me laisser faire!!! Non?
Le cadre de soin nous a entendu car l'AS hurlait et il n'est pas sorti de son bureau alors que l'AS crié dans le couloir. Vous trouvez ça normal!!
Entre hier soir et aujourd'hui, je suis vraiment dégoutée de leurs attitudes. Je crois que je vais finir par me reconvertir!!!!!!! et c'est sérieux. C'est dommage parce que mon boulot me plaît beaucoup.
alors que faire à part lui dire, calme toi, je ne te permet pas de me parler sur ce ton!!
Elle ne comprenait pas pourquoi je ne m'étais pas précipitée sur une personne douloureuse et que j'avais "préféré" me plonger dans son taritement pour voir à quelle heure je pouvais lui donner un autre sévrédol (laps de temps minimum entre deux prises à respecter).
Donc voilà elle arrive dans le bureau et me dis: "oh, tu l'as oublier Me X. elle a mal et tu fais rien!!"alors là je lui ai dit non, je ne fais pas rien mais je regarde dans son traitement pour lui donner l'antalgique adéquate.Tu as fais ton travail, tu me l'as transmis maintenant je vais en faire qq chose mais pas n'importe comment!!"
Elle sort de la pièce et dit trés fort: "alors maintenant on laisse les gens souffrir sans rien faire!" c'est là que je suis intervenue car je ne pouvais pas me laisser faire!!! Non?
Le cadre de soin nous a entendu car l'AS hurlait et il n'est pas sorti de son bureau alors que l'AS crié dans le couloir. Vous trouvez ça normal!!
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"Vivre est ce qu'il y a de plus beau au monde, la plupart des gens existent, c'est tout" Oscar Wilde.
buffat a écrit :j'ai eu un autre exemlple ce jour, une AS m'a hurlé dessus!! oui, oui, le terme est bien choisi
alors que faire à part lui dire, calme toi, je ne te permet pas de me parler sur ce ton!!
Déjà, lui dire de se calmer est une bonne chose.
Buffat a écrit :Elle ne comprenait pas pourquoi je ne m'étais pas précipitée sur une personne douloureuse et que j'avais "préféré" me plonger dans son taritement pour voir à quelle heure je pouvais lui donner un autre sévrédol (laps de temps minimum entre deux prises à respecter).
Donc voilà elle arrive dans le bureau et me dis: "oh, tu l'as oublier Me X. elle a mal et tu fais rien!!"alors là je lui ai dit non, je ne fais pas rien mais je regarde dans son traitement pour lui donner l'antalgique adéquate.Tu as fais ton travail, tu me l'as transmis maintenant je vais en faire qq chose mais pas n'importe comment!!"
Elle sort de la pièce et dit trés fort: "alors maintenant on laisse les gens souffrir sans rien faire!" c'est là que je suis intervenue car je ne pouvais pas me laisser faire!!! Non?
Vos explications ont été claires et cohérentes, si l'AS ne veut pas l'entendre, c'est son problème et non le votre.
Buffat a écrit :Le cadre de soin nous a entendu car l'AS hurlait et il n'est pas sorti de son bureau alors que l'AS crié dans le couloir. Vous trouvez ça normal!!
Entre hier soir et aujourd'hui, je suis vraiment dégoutée de leurs attitudes. Je crois que je vais finir par me reconvertir!!!!!!! et c'est sérieux. C'est dommage parce que mon boulot me plaît beaucoup.
L'AS n'a pas été reprise par la suite?
Le faire "sur le coup" n'est pas très utile, par contre, il serait bon que cette personne soit recadrée à brève échéance.
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buffat a écrit :j'ai eu un autre exemlple ce jour, une AS m'a hurlé dessus!! oui, oui, le terme est bien choisi
alors que faire à part lui dire, calme toi, je ne te permet pas de me parler sur ce ton!!
Elle ne comprenait pas pourquoi je ne m'étais pas précipitée sur une personne douloureuse et que j'avais "préféré" me plonger dans son taritement pour voir à quelle heure je pouvais lui donner un autre sévrédol (laps de temps minimum entre deux prises à respecter).
Donc voilà elle arrive dans le bureau et me dis: "oh, tu l'as oublier Me X. elle a mal et tu fais rien!!"alors là je lui ai dit non, je ne fais pas rien mais je regarde dans son traitement pour lui donner l'antalgique adéquate.Tu as fais ton travail, tu me l'as transmis maintenant je vais en faire qq chose mais pas n'importe comment!!"
Elle sort de la pièce et dit trés fort: "alors maintenant on laisse les gens souffrir sans rien faire!" c'est là que je suis intervenue car je ne pouvais pas me laisser faire!!! Non?
Le cadre de soin nous a entendu car l'AS hurlait et il n'est pas sorti de son bureau alors que l'AS crié dans le couloir. Vous trouvez ça normal!!
Entre hier soir et aujourd'hui, je suis vraiment dégoutée de leurs attitudes. Je crois que je vais finir par me reconvertir!!!!!!! et c'est sérieux. C'est dommage parce que mon boulot me plaît beaucoup.
s'il vous plait, arrêtez de mettre toutes les as dans le même panier !! j'ai eu quelques accrochages avec des ides, toujours les même d'ailleurs (et si je vous disais pourquoi vous seriez toutes d'accord avec moi), c'est pas pour autant que je les méprise toutes, bien au contraire.
c'est pas parce qu'une as, qui apparemment "pète un peu plus haut que son cul", a fait un bon dérapage qu'on est toutes des c.nasses.
j'aime mon boulot, je me respecte en tant que telle, je respecte les infs mais ne les envie pas au point d'être jalouse et de leur voler dans les plumes parce que je ne suis "que" as, mais je sais dire et voir des choses qui ne me plaisent pas, tout en restant polie.
alors je le re-dit et le re-dirai s'il le faut, remettons nous toutes et tous en question de temps en temps et si on est pas capable de bosser en équipe, on change de boulot, parce que c'est encore et toujours le patient qui va en pâtir !!
"c'est drôle comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire ch..r le monde." B. Vian
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jusque là tout va bienbuffat a écrit :j'ai eu un autre exemlple ce jour, une AS m'a hurlé dessus!! oui, oui, le terme est bien choisi
alors que faire à part lui dire, calme toi, je ne te permet pas de me parler sur ce ton!!
Elle ne comprenait pas pourquoi je ne m'étais pas précipitée sur une personne douloureuse et que j'avais "préféré" me plonger dans son taritement pour voir à quelle heure je pouvais lui donner un autre sévrédol (laps de temps minimum entre deux prises à respecter).
Donc voilà elle arrive dans le bureau et me dis: "oh, tu l'as oublier Me X. elle a mal et tu fais rien!!"alors là je lui ai dit non, je ne fais pas rien mais je regarde dans son traitement pour lui donner l'antalgique adéquate.Tu as fais ton travail, tu me l'as transmis maintenant je vais en faire qq chose mais pas n'importe comment!!"

moi là, je vous poserais bien une question : qu'est-ce que la reflexion de cette AS a touché en vous ?...bien entendu, la réponse ne me regarde pasElle sort de la pièce et dit trés fort: "alors maintenant on laisse les gens souffrir sans rien faire!" c'est là que je suis intervenue car je ne pouvais pas me laisser faire!!! Non?


Donc avec tout ça, vous ?


Bien sur, il faut tenir compte du feed-back que peut nous renvoyer nos collègues, mais comme dirait une grande dame de la confiance en soi : "une fois, c'est un hasard, deux fois c'est une coincidence, trois fois, on peut commencer à y réflechir". Donc il faut savoir raison garder



oui ! si il sort au moindre accrochage, vous n'apprendrez jamais à gérer par vous même ce genre de pb, et donc vous n'arriverez jamais à totalement vous affirmezLe cadre de soin nous a entendu car l'AS hurlait et il n'est pas sorti de son bureau alors que l'AS crié dans le couloir. Vous trouvez ça normal!!

ce serait dommage... Avez-vous envisager une formation sur la communication et la gestion de conflit, par exemple ?... ça peut certainement vous aiderEntre hier soir et aujourd'hui, je suis vraiment dégoutée de leurs attitudes. Je crois que je vais finir par me reconvertir!!!!!!! et c'est sérieux. C'est dommage parce que mon boulot me plaît beaucoup.

Truisme n°1 : Quand on fait à la place de l'autre, non seulement on n'est pas à sa place, mais en plus, on empêche l'autre de prendre la place qui est la sienne 

Alors pour répondre à lorn: je ne mets pas toutes les AS dans le même panier et loin de là, j'ai beaucoup de collègues AS qui travaillées dans mon ancien service et qui st restées de trés bonnes amies. Donc je ne fais pas une généralité. Ce que j'ai écrit c'est plutôt: "je suis dégoutée par l'attitude de l'AS d'aujourd'hui et de l'AS d'hier soir (cf ce que j'ai écrit hier soir). Mais je ne parlais pas de toutes les AS.
Ensuite, pour répondre un peu au message de flog, j'ai effectivement dû mal à m'affirmer et j'ai de grosses difficultés à prendre du recul par rapport à ce que m'a dit l'AS, c'est pour cette raison que ça m'a touché. C'est vrai, si il y a une telle formation qui se présente à moi, bien sûr j'y sauterai dessus
.
Mais je commence à être un peu à bout, ce qui s'est produit hier se produit malheureusement souvent et comme je suis peut être trop perfectionniste (et encore ce n'est pas le bon terme), je souhaite que la prise en charge des personnes se passent le mieux possible et que l'on respecte ces personnes. Enfin, utopie quand tu nous tiens!!! Pourtant je ne veux pas lacher, je tend à des soins de QUALITES. C'est peut être trop demandé de nos jours!!!
Ensuite, pour répondre un peu au message de flog, j'ai effectivement dû mal à m'affirmer et j'ai de grosses difficultés à prendre du recul par rapport à ce que m'a dit l'AS, c'est pour cette raison que ça m'a touché. C'est vrai, si il y a une telle formation qui se présente à moi, bien sûr j'y sauterai dessus

Mais je commence à être un peu à bout, ce qui s'est produit hier se produit malheureusement souvent et comme je suis peut être trop perfectionniste (et encore ce n'est pas le bon terme), je souhaite que la prise en charge des personnes se passent le mieux possible et que l'on respecte ces personnes. Enfin, utopie quand tu nous tiens!!! Pourtant je ne veux pas lacher, je tend à des soins de QUALITES. C'est peut être trop demandé de nos jours!!!

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Alors y'a bien une autre petite solution rapide (pour les urgences) qui s'appelle : le costume en plumes de canard , autrement appelé le "kestannaàpeté"
(sans rire..s'imaginer avec un joli costume en plume de canard, c'est super efficace pour laisse couler.. et si vous ajoutez la masque avec le bec, vous finissez morte de rire sur votre chaise
)
Et deux phrases à se répéter (mentalement.. enfin...vaut mieux ) .. pardon pour les âmes sensibles (mais nous sommes dans le ttt des urgences
) ... "t'es qui toi pour me dire ce que j'ai à faire ?" et "je te m...de !"
Et en cumulant l'ensemble complet , généralement on arrive beaucoup plus facile à se détacher des reflexions desobligeantes


Et deux phrases à se répéter (mentalement.. enfin...vaut mieux ) .. pardon pour les âmes sensibles (mais nous sommes dans le ttt des urgences


Et en cumulant l'ensemble complet , généralement on arrive beaucoup plus facile à se détacher des reflexions desobligeantes

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Jo a écrit :gazou-gazou a écrit :t'a bien un raisonement de CADRE "nouvelle école" FORMATER toua !! le PROFIT !! le PROFIT !!! VENDUUUUUUUUUUUUUU
C'est ce qu'on dit quand on n'a pas d'arguments à défendre.
Cela confirme ce que j'ai dit précédemment : On se regarde le nombril ---->>> c'est toujours la faute des autres (ils sont méchants avec moi les vilains cadres![]()
![]()
![]()
) mais cela évite surtout de se regarder en face!
ca





LE 07 EN FORCE ! LE RETOUR !!!
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buffat a écrit :Merci flog, ça m'a bien fait rire en le lisant et je crois que c'est ce que je vais faire lorsque cette situation se représentera. MERCI. ça fait du bien de rire un peu!!!!![]()
de 'ien

ceci dit, sans plaisanter du tout



Truisme n°1 : Quand on fait à la place de l'autre, non seulement on n'est pas à sa place, mais en plus, on empêche l'autre de prendre la place qui est la sienne 

buffat a écrit :Ensuite, pour répondre un peu au message de flog, j'ai effectivement dû mal à m'affirmer et j'ai de grosses difficultés à prendre du recul par rapport à ce que m'a dit l'AS, c'est pour cette raison que ça m'a touché. C'est vrai, si il y a une telle formation qui se présente à moi, bien sûr j'y sauterai dessus![]()
Mais je commence à être un peu à bout, ce qui s'est produit hier se produit malheureusement souvent et comme je suis peut être trop perfectionniste (et encore ce n'est pas le bon terme), je souhaite que la prise en charge des personnes se passent le mieux possible et que l'on respecte ces personnes. Enfin, utopie quand tu nous tiens!!! Pourtant je ne veux pas lacher, je tend à des soins de QUALITES. C'est peut être trop demandé de nos jours!!!
Flog a écrit :Alors y'a bien une autre petite solution rapide (pour les urgences) qui s'appelle : le costume en plumes de canard , autrement appelé le "kestannaàpeté" (sans rire..s'imaginer avec un joli costume en plume de canard, c'est super efficace pour laisse couler.. et si vous ajoutez la masque avec le bec, vous finissez morte de rire sur votre chaise )
Et deux phrases à se répéter (mentalement.. enfin...vaut mieux ) .. pardon pour les âmes sensibles (mais nous sommes dans le ttt des urgences ) ... "t'es qui toi pour me dire ce que j'ai à faire ?" et "je te m...de !"
Et en cumulant l'ensemble complet , généralement on arrive beaucoup plus facile à se détacher des reflexions desobligeantes
Le conseil que vous donne Flog vaut son pesant d'or : apprendre à s'affirmer, c'est aussi apprendre à relativiser.


Ne prenez pas tout à coeur, sinon vous ne tiendrez pas.
Etre perfectionniste est une bonne chose, moyennant que cela ne vire pas à "l'obsession" mais n'attendez pas que les autres le soient aussi.


On nous a souvent dit à l'école des cadres : "dites vous bien que vous ne changerez jamais un âne en cheval de course"


A partir du moment où vous avez intégré cela, vous avez fait un grand pas.
Attention, cela ne veut pas dire qu'il faut tolérer la médiocrité et "l'à peu près", affirmez-vous dans ce sens, et faites-le savoir.
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Stephen HAWKING
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