j'ai des doutes sur ma capacité /envie de devenir IDE

Le forum des étudiants en soins infirmiers

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skikinoune
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Message par skikinoune »

J'ai également l'impréssion de me lire à te voir écrire (avec 10 ans de moins au compteur et en 3eme année)
Il faut te dire que la 2eme année est la plus dure.en premiere année, c'est tout beau alors on est super motivé et en 3eme année, on peut enfin compter les mois avant la fin donc on se dit que c'est trop nul d'arrêter si pres du but.
En ce qui concerne les stages, je haie la technique. Apres des stages de chir et de medecine qui ne me convenanit pas du tout, j'en ai pris mon partie.Une IDE n'est pas une technicienne et le diplome m'ouvrira certainement d'autres horizons en psy ou en santé public notemment.
Le principal est de savoir ou tu vas et les valeurs qui t'on amené à cette formation.Les stages ne durent que 4 semaines.Essaie de voir avec la personne qui s'en occupe si elle peut te caser dans des domaines qui te conviennent plus.Moi par exemple cette année, j'ai réussi à négocier un stage de médecine en prison, un stage de chir avec des jeunes en rééduc et la pédiatrie en maternité.
En tout cas, n'abandonne pas tout sur un coup de tête.Donne toi l'échéance de la fin de l'année pour te positionner. :clin:
On m'a dit c'est impossible...Alors je l'ai fait
IDE 2008
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xln
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Message par xln »

pour écrire un rapport sur un terrain de stage, tu as bien du mérite et je t en felicite....
ca fait plaisir de voir que le statut de stagiaire peut etre entendu et ecouté par un IFSI
franchement félicitations a toi et bon courage pour la suite...
Infirmière en psychiatrie et fière de son taf!!!
Béran219
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Message par Béran219 »

Je n'apporte rien de bien nouveau ...
Je confirme juste ce que tout le monde à dit : un mois de stage c'est court, si tu sais que autre chose dans le métier te convient alors accroche toi.... ça vaut vraiment le coup !! Et que tu n'es pas la première et pas la dernière à te poser ces questions !!
Et je rejoins aussi le Mr qui a dit qu'il n'y a pas de honte d'avouer qu'on a peut être fait un mauvais choix de carrière ;)
Bon courage !
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hatsumi
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Message par hatsumi »

Moi ce que je constate c'est que quand la situation dérape au point d'entrainer une dépression c'est qu'on est trop centré sur le stage, la situation du moment.
On finit par ne plus penser qu'à ca, amplifier et déformer les choses, les difficultés rencontrées.
Quand le stress me gagne et que je commence à ne pas me sentir bien je sors, je m'efforce de penser à autre chose, de relativiser.
Ca vaut le coup de prendre sur soi des stages il n'y en a pas 40 alors il faut se motiver.
Je n'aime pas non plus les soins techniques je n'y trouve pas d'intérêt majeur.
Or mes stages de 2ème année sont plutôt chargés niveau technique mais je prends ca comme une chance car même si je veux travailler en psychiatrie ce que j'aurai appris pourra toujours servir et qui peut le + peut le - ....enfin c'est ce que je me dis pour me motiver :lol:
Mais c'est vrai que préparer des perfusions, bilans, hgt, pansement, PSE,aspiration, SNG....je trouve ca ennuyeux au possible; le faire 1 fois, 2 fois, 3 fois ok mais après c'est plus très passionnant :roll:
Enfin il en faut pour tous les gouts et heureusement.
Donc à tous ceux qui sont pas au top dites vous qu'il n'y a pas enormément de stages à supporter non plus et que si d'autres y sont arrivés y a pas de raison que ca se passe pas bien pour nous aussi :!:
esi 3ème année, dernière ligne droite... ça passe vite et tant mieux!
lman84
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Message par lman84 »

comme je te comprends!


je suis dan le même état que toi, en 2ème année, 2ème stage, j'hésite terriblement à arrêter pour être AS, le stress, la pression des évals, msp, pression des équipes de stage, plus ma fille à gérer le soir, j'en peux plus... est-ce que ca vaut le cout de continuer deux ans pour être au final en mauvaise santé??? palpitations etc....

Je me tâte sérieusement à arrêter...

mais bon, c'est pas encore l'heure, je verrai bien les prochains jours si je craque ou quoi...

Bon courage à tout les ESI, félicitations à ceux qui tiennent le coup, vousêtes des warriors!!!
bali
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un autre avis

Message par bali »

Comme je comprends vos inquiétudes.
Moi, je suis la mère d'une jeune étudiante qui a interrompu pour un an ses études d'infirmière, elle envisage de les reprendre bientôt.
Le stress, ça a été quelque chose qui prenait beaucoup de place dans son parcours durant cette première année. J'ai été l'interlocutrice, la consolatrice, celle qui encourage et qui aide quand elle le peut.
Les notes dans ces études doivent se situer au dessus de 10, pour la validation, ou entre 8 et 10 pour un rattrapage.
Mais je crois, avec l'expérience, que en fait ceci c'est comme pour les examens du bac, ou du BEPC, ou autre. Il faut arriver à se dire que quand on travaille, on donne le maximum de soi-même dans les révisions, tout comme dans la pratique, c'est un entraînement, une préparation.
A partir de là, le jour J on donne ce qu'on peut ; il y a un dicton qui dit "la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu'elle a", je crois que ça résume bien les choses : quand on a vraiment travaillé, après on fait ce que l'on peut avec ce que l'on a retenu, ce que l'on peut mettre en oeuvre sur l'instant. Inutile de se mettre soi-même encore plus de pression. Chacun a ses possibilités et ses limites, quel que soit le métier, on n'est pas des surhommes, ou surfemmes, c'est la règle pour chacun, il faut l'accepter. Bien sûr certains ont plus de facultés de mémorisation, de compréhension que d'autres. Le travail permet bien souvent de rattraper un niveau, même si on n'a pas toutes les qualités de départ.

Il est important cependant aussi de cultiver une bonne image de soi, de rester positif sur soi-même, car les gens, les évaluateurs feront souvent ressortir ce qui ne va pas (dans l'idée de stimuler, d'encourager, de faire évoluer vers le mieux) mais n'oubliez pas que sur la réglette si vous avez 10, ça veut dire aussi que chaque point gagné, est une victoire sur la difficulté, bien sûr que chacun préfère avoir une note supérieure, mais sachez garder un état d'esprit positif à ce sujet, tout en essayant d'améliorer quand on peut par la suite. S'il y a une mauvaise note, eh bien se dire que pour la prochaine, ça ira mieux.

Pour vous, en ayant des enfants en bas âge, la difficulté est de pouvoir tout concilier. Je me suis trouvée devant cette difficulté étant plus jeune : je peux vous dire que ça demande des efforts, mais renoncer n'est pas forcément la meilleure formule car quelle image aurez-vous de vous- même ensuite, pourrez-vous dire à vos enfants : il faut s'accrocher dans la vie et les études, persévérer dans l'effort, donner son temps, son énergie dans ce qui vous intéresse et vous tient à coeur comme des études, si votre propre parcours ne le révèle pas. Ce serait alors "faites de que je dis, mais pas ce que je fais".
Bien sûr que la décision vous appartient, mais reposez-vous les questions de motivation du départ de votre parcours. Pourquoi vouliez-vous faire ce métier ? Est-ce que c'est encore à l'ordre du jour aujourd'hui ?

Vos enfants nécessitent des soins de la présence. Il faut partager son temps, se faire aider quand on peut par le conjoint, responsabiliser chacun : les enfants peuvent mettre la table, débarrasser, il peuvent à partir de 8 ou 9 ans passer l'aspirateur, couvrir un lit, ou étendre une lessive sur un séchoir pliant.
Sans les envahir, ça leur apprend à participer aux travaux de la maison un peu, ça peut leur être utile un jour, si vous avez un plâtre par exemple (ce que je ne vous souhaite pas). Ca leur permet de progresser aussi et de se sentir utiles dans la maison.

J'ai voulu vous donner quelques repères, sur ce que j'ai pu vivre et échanger à ce sujet. J'espère que ça vous permettra de faire mûrir votre réflexion. Parlez-en avec votre conjoint, si vous en avez un, car ça vous engage à tous les deux (par les conséquences sur la disponibilité, par exemple, et le temps consacré aux enfants, au mari, aux sorties).

Vous savez il ne faut pas se laisser déstabiliser par une Infirmière Maître de stage qui vous remet en cause dans votre travail, elle donne son point de vue, elle essaie de vous amener à progresser pour l'avenir, elles sont souvent dans des ambiances de stress, de manque de personnel, pas toujours le temps de bien former la jeune stagiaire, de lui expliquer, la responsabilité existe et il faut assumer déjà tant de soins. Elle voudrait en fait que vous soyez déjà productive dans votre travail à l'arrivée, car elle en a besoin.
Pour vous, il faut des fois aller de l'avant, poser des questions, avoir une attitude de recherche et d'interrogations : ça permet de répondre à vos propres questions, et quant à la mauvaise humeur, il faut savoir s'en protéger mentalement. Ne pas tout encaisser, retenir plutôt le message, le contenu de la réponse, que l'intonnation d'impatience ou de ras le bol qui peuvent se manifester. C'est un travail sur soi-même à faire.
Heureusement, il y a aussi des stages où l'ambiance est meilleure, des gens patients, qui essaient de donner le meilleur d'eux mêmes, d'enseigner ce qu'ils savent avec pédagogie et compréhension de l'autre, qu'ils en soient grandement remerciés dans ce message, et il faut s'accrocher à cela, garder le bon, oublier un peu le mauvais souvenir. Quant à ceux qui ont un peu d'impatience, j'espère qu'ils pourront eux aussi s'améliorer.
Voilà, bonne réflexion à vous qui avez encore un souhait (puisque vous écrivez) essayez de dompter votre peur (la peur c'est quand on se sent petit devant quelque chose qui semble grand) il faut en fait ramener les choses à leur juste dimension (vous n'êtes pas si petite, et la difficulté n'est pas insurmontable : tant d'infirmières y sont arrivées, pourquoi pas vous, vous avez déjà réussi l'examen d'entrée, et ce n'était pas facile, vous voyez bien... J'espère vous avoir un peu aidés dans votre réflexion.
Au revoir. Bon courage.
merci de votre attention et meilleures salutations.
bali
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Autre chose très importante

Message par bali »

Gardez un peu de temps pour vous, pour vous faire plaisir : soit un sport, une promenade, un cinéma, un bowling, lire un bon roman, un bon bain chaud, écouter de la musique, voir des amis, sortir en famille, enfin ce qui vous plait pour vous détendre au moins une fois par semaine deux ou trois heures, c'est un minimum et c'est indispensable.
Et surtout ne vous culpabilisez pas à cette occasion, l'organisme a besoin de se détendre, et chez une infirmière ou un médecin c'est essentiel, pour garder son équilibre et le sourire. Donc organisez-vous ce moment, vous verrez que vous vous sentirez mieux, et votre travail sera d'autant plus positif ensuite. Il faut gérer son temps pour bien répartir les choses.
Bonne mise en place de ceci, et bonne continuation.
merci de votre attention et meilleures salutations.
Twynie2k
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Message par Twynie2k »

Oui, la situtation doit être difficile à gérer avec 3 enfants mais rien n'est impossible !!!

Beaucoup de papas et de mamans se lancent dans cette formation et la réussissent très bien, ce sont souvent ces parents qui ont les meilleurs notes et sont les mieux motivés...

Bien sûr, je pense qu'il y a des sacrifices et qu'il faut être épaulé pour les enfants par sa famille mais sinon c'est bien faisable...

Pour le report de formation , il est bien normal d'oublier mais juste une relecture des cours et voilà que els connaissance reviennent puis en retrournant en cours et en stage il va être facile de reprendre le rythme...

Je pense qu'il faut continuer, se battre, et essayer d'aller au bout de cette formation puisque c'était ton choix... Ca marche ou pas mais en tout cas il faut s'en donner les moyens sinon tu risque de le regretter toute ta vie...

Pour les évals, MSp et TFE, ça panique la plupart des étudiants et c'est pas sympa à passer mais au bout, le métier que tu souhaite faire sera à ta portée..

COURAGE !!!
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dr.octopus
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Message par dr.octopus »

On est beaucoup à passer par là. Perso en tout début de 2ème année j'ai eu un gros coup de ras-le-bol. Je ne me sentais pas capable d'assurer, le prochain stage que j'allais faire me faisait flipper... Et finalement y a toujours quelque chose qui peut parvenir à te remonter le moral. Une équipe qui te soutient, une monitrice qui t'accorde de son temps personnel pour t'aider à améliorer tes lacunes (c'est ce qui m'est arrivé hier). Bref, chaque fois que tu retrouves le côté humain du boulot. Il y a beaucoup d'éléments qui peuvent intervenir dans de grands moments de désespoir. Je te souhaites bon courage et c'est bien de parler de ses soucis plutôt que de tout garder :)
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ducoron
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merci à tous...

Message par ducoron »

bonsoir,
je viens de lire avec attention vos messages et j'avoue que cela m'a bien remonté le moral mais c'est vrai que la difficulté est grande je me laisse encore plusieurs mois de reflexion jusqu'à la fin de l'année (c'est à dire juillet ) pour prendre une decision et voir si je me suis remise dans le bain
puis en fait je veux travailler en maternité et j'avoue que les quelques témoignages que j'ai pu lire en ce qui concerne le boulot plutôt coté bloc obstétrical , salle de naissance etait plutôt tenu par des binôme s-f /as ou s-f /ap mais rarement avec des ide donc ça m'encourage pas bcp non plus
en revanche en pediatrie la situation s'inverse , plus d'ide que d'as mais bon je prefère la maternité donc...

on verra bien encore merci pour vos encouragements !!!
devenue AS (ex ESI 2006-2009)
Maman d'une tribu de six loulous.

"La chance ne sourit qu'aux esprits bien préparés" LOUIS PASTEUR
herve01

Message par herve01 »

Moi j ai 4 enfants et j y suis arrivé donc tu vas y arriver
pitchoune95
Messages : 1
Inscription : 13 janv. 2008 21:29

Message par pitchoune95 »

sand1812 Posté le: Mardi 8 Jan 2008 22:43 Sujet du message:

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:oops:eh bien moi ce soir je suis mal et sur le point de tout arréter, je suis en 1ere année,rentrée en septembre et je ne supporte plus la pression, je suis à l'ifsi de caen, en ce moment en stage en médecine générale, aujourd'hui je n'y suis pas aller , j'ai été chez mon médecin qui m'a "annoncé" que j'étais en dépression, il m'a prescrit des anti depresseurs, et franchement je me demande si tout ça en vaut bien la peine!



Je me retrouve tout à fait dans ton message! Je suis également en 1ère année et je ne suis pas bien du tout depuis un moment. Je pleure tout le temps, je ne me sens pas du tout à ma place, je me renferme sur moi, plus envie de rien et je deviens irritable vis à vis de mon entourage.
De ce fait, depuis un moment je songe à arrêter la formation car je sens que ce métier n'est finalement pas du tout fait pour moi et me dis que ça ne sert à rien de continuer si c'est pour déprimer et peut être mal finir...
J'aurai donc voulu des témoignages de personnes qui souhaitent également arrêter la formation et de personnes qui ont arrêter pour savoir comment m'y prendre car il s'agit d'une formation pro et je sais pas du tout comment faire pour arrêter: faut-il écrire une lettre à la directrice en disant juste que je souhaite arrêter? Faut-il fournir des arguments valables?...je ne sais plus du tout quoi faire...
jjland83
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Message par jjland83 »

Bonjour,
encore une fois il n'y a aucune honte ou culpabilité à reconnaître ou du moins à se demander si c'est la bonne voie professionnelle. Avant toute décision il convient de faire le tour du sujet.
Dans votre cas vous devez en parler avec votre cadre formateur et vous pouvez et devez demander un entretien avec le ou la direction de l'IFSI. Peut-être par exemple qu'une pause dans votre projet est nécessaire, prenez là et revenez ensuite. Je rappelle que vous pouvez suspendre votre cursus et le reprendre ensuite. C'est parfois mieux que de tout arrêter et se dire un an après que finalement on aurait pu continuer.
Les études infirmières sont difficiles mais ne doivent pas être un calvaire. Si effectivement ce n'est pas votre voie il faut l'admettre, l'accepter et vous repartirez sur autre chose avec un grand soulagement. Mais parlez en avec l'encadrement de l'IFSI, ce ne sont pas des situations exceptionnelles ou rares et on a quelques pistes de réflexions à vous donner.
Jérôme
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tarahmars
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Message par tarahmars »

jjland83 a écrit :Je rappelle que vous pouvez suspendre votre cursus et le reprendre ensuite. C'est parfois mieux que de tout arrêter et se dire un an après que finalement on aurait pu continuer.


On peut réellement suspendre son cursus 1 an pour faire une pause??
Je croyais que c'était uniquement dans des cas particuliers tels que grossesse ou problème financier....

Qu'en est-il exactement?

Et pendant cette pause, j'imagine qu'on peut travailler en tant qu'AS??
mafine10
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Inscription : 05 déc. 2007 19:18

Message par mafine10 »

Il n'est pas besoin d'avoir une raison particulière pour demander un report. C'est un droit ouvert à tous. Tu peux bien sûr, travailler en tant qu'aide soignante si tu es en 2 eme ou 3 eme année. Je pense à cette option depuis mon dernier stage pas fini, en pédiatrie. J'ai eu un gros coup de calgon, et ai eu un arrêt d'une semaine,qui fait que je n'ai pas de note pour ce stage.
Je suis "rassurée" de voir que beaucoup d'entres nous craquent ou sont au bord de la crise de nerfs... Je me sens moins seule...

Bon courage à tous et toutes!!
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