Concours printemps 2008
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Bonjour a tous !
Bon et bien , je commence à m'inquieter , je dois passer le concours fin mars, ce qui me laisse un mois de revision, bref , je suis en plein entrainement tests psychotechniques, je voulais connaitre quel type de tests étaient succeptible de tomber , pour savoir sur quoi m'entrainer,
donc
mastermind,
domino,
cartes ? ,
suites de lettres ? ,
quoi d'autres ?
Merci !
Sinon je voulais savoir, j'ai entendu dire que des problemes pouvaient etre a résoudre, c'est pas trop chaud ?
car niveau maths j'ai du souci a me faire ...c'est quel genre de pb ?
Merci beaucoup aux gens qui me repondront !!!
Bon et bien , je commence à m'inquieter , je dois passer le concours fin mars, ce qui me laisse un mois de revision, bref , je suis en plein entrainement tests psychotechniques, je voulais connaitre quel type de tests étaient succeptible de tomber , pour savoir sur quoi m'entrainer,
donc
mastermind,
domino,
cartes ? ,
suites de lettres ? ,
quoi d'autres ?
Merci !
Sinon je voulais savoir, j'ai entendu dire que des problemes pouvaient etre a résoudre, c'est pas trop chaud ?
car niveau maths j'ai du souci a me faire ...c'est quel genre de pb ?
Merci beaucoup aux gens qui me repondront !!!

tests, d'organisation ( 4 femmes, 4 chapeaux, 4 bouquets , 4 hommes : qui va avec qui, quel chapeau et quel bouquet... ) , tests d'observations ( combien de a dans le texte, combien de e etc... ), synonymes, fautes d'orthographe, conjugaison, antonymes, systèmes à résoudre, problèmes type pourcentage, vitesse, débit etc.... y'en a plein donc dur de tous te les énumérer.
IDE depuis le 31 mai 2012 !

petite question
pour les tests d'observation (combien de fois tel symbole...)il y a une methode spéciale, ou il faut simplement compter, tout betement? 

Il parait que la vie n'est jamais aussi belle que dans tes rêves...
alors moi je compte tout betement ou alors je stabilote si tu as le droit sinon je barre au crayon le probleme c'est que tu as plusieur question alors tu t'embrouille a force pour ce genre d'exo faut etre vachement concentrer pour pas perdre le filon moi je met des barres en meme tps que je compte et a la fin j'ai qu'a compter mes barres avec un peu bol ça tombe juste
Sujet de culture générale de Bourgoin-Jailleu du 21.02.2008
Texte 1 : travail de nuit le magazine de la santé France 5.fr
La loi du 9 mai 2001 donne un cadre au travail de nuit en France. La définition est simple : le travail de nuit correspond à tout travail effectué entre 21 heures et 6 heures.
Depuis les années 90, le nombre de travailleurs de nuit, réguliers ou occasionnels, a augmenté : ils sont plus de trois millions aujourd'hui, ce qui représente 14 % des salariés. Les hommes sont nettement plus concernés : plus de 20 % travaillent la nuit, contre 7 % des femmes, qui ne sont autorisées à travailler de nuit que depuis 2001.
Les professions où il faut travailler en décalé concernent de nombreux domaines : sécurité, industrie, spectacle ou information, mais aussi la santé. Pour s'adapter, le travailleur de nuit doit avant tout récupérer la dette de sommeil qui grandit au fil des nuits travaillées. Le problème est que le sommeil de jour est de moins bonne qualité car les phases de sommeil lent profond, celui qui permet de récupérer, sont plus difficiles à obtenir. On s'endort moins facilement, les réveils sont multiples et du coup, le sommeil de jour est en général plus court, d'une à deux heures.
Question : Identifiez les effets indésirables du travail de nuit sur le plan sanitaire et social.
Texte 2 : Le Surhomme Jacques Attali, chronique de l'Express, 2 août 2007
Le Tour de France révèle une des dimensions les plus embarrassantes de notre société : Des hommes prennent le risque, en se dopant, de perdre toute chance de poursuivre leur carrière, parce qu’il savent que , s’ils réussissent à ne pas se faire prendre, le gain qui les attend est énorme. De fait, le public est prêt à payer très cher pour assister au spectacle de l’effort physique et de la compétition entre des êtres démunis de tout artefact : ce que le public achète, c’est la mise en scène de l’effort, pas le résultat.
A l’inverse, dans tous les autres domaines, chacun est prêt à payer très cher le résultat : on se moque du dopage des chanteurs quand ils montent sur scène, du romancier quand il écrit, du peintre quand il s’agite devant sa toile. On admire ce qu’il produit, et on ne veut rien savoir du travail fourni : une œuvre artistique a même d’autant plus de valeur qu’elle semble produite sans effort.
Pourquoi cette différence ?
question : Répondez à la question de J.Attali "Pourquoi cette différence ?"
Texte 3 : Stages obligatoires pour les fumeurs de cannabis interpellés
Marc Payet, le Parisien, 11 octobre 2007
DES STAGES exposant les dangers du cannabis pour les fumeurs pris en
flagrant délit ? C'est la mesure que vient de prendre le gouvernement
pour faire reculer la consommation - jugée préoccupante - de haschisch
dans l'Hexagone. Avec 5 millions de fumeurs de joints occasionnels et
1,2 million de consommateurs réguliers, la France bat des records en
Europe. Jusqu'à présent, les politiques de santé publique n'ont pas
été très efficaces pour endiguer cette progression, en particulier
chez les jeunes.
Un mineur sur deux a essayé, en 2006, contre un sur cinq en 1993 !
Alors, que faire ? Dépénaliser l'usage ? Le gouvernement ne le
souhaite pas. L'idée consiste à donner un tour de vis, sans pour
autant engorger des tribunaux déjà saturés. La solution vient donc de
germer et le nouveau président de la Mission interministérielle de
lutte contre les drogues et toxicomanies (Mildt), Etienne Apaire, nous
l'annonce : « Des stages de prévention contre le cannabis vont devenir
obligatoires pour les usagers qui seront interpellés. » Il s'agira de
sessions de formation de deux jours, durant lesquelles médecins,
psychologues ou policiers évoqueront les dangers pour la santé, et son
implication dans de nombreux accidents de la route.
question : En quoi la consommation de cannabis a un impact sur la vie sociale chez les jeunes ?
Texte 4 : Prévention, Chien 2duqué n'est pas méchant
Laurence Lacontre, Le Figaro Magazine, 29 septembre 2007
Assis sur son arrière-train, Ivoire exécute à distance et à contrecoeur l'ordre - «Pas bouger !» - que lui donne le dresseur. Pas une seule fois le chien ne l'a regardé. Mais, les yeux ailleurs, il a amorcé quelques grognements pour bien montrer qu'il n'a pas envie d'obéir. C'est là que tout se joue. Si l'on cède à cette désapprobation canine, les dix à quinze années suivantes peuvent virer au cauchemar. Les attaques récentes (dont une mortelle) de chiens dits méchants le prouvent et relancent le débat. Comment éviter ces drames ? Retour sur un scénario classique. L'adorable boule de poils arrive dans la maison, et toute la famille craque. Très vite, l'animal va tout tenter pour vous tester et voir jusqu'où il peut aller. Et les problèmes commencent. Henri-Michel Gorse, éducateur depuis plus de vingt ans, le constate avec effroi : «Les maîtres sont de plus en plus irresponsables. Ils laissent faire n'importe quoi à leurs chiens et baissent les bras à la moindre occasion.» Même bilan qu'avec les enfants ? La comparaison est vite faite. Démobilisation, manque d'autorité, abandon des règles les plus élémentaires. L'animal fait la loi et peut finir par montrer les crocs, voire par s'en servir dès qu'on le contrarie. Et lorsqu'il pèse entre 40 et 80 kilos, ou mesure près de un mètre au garrot, il n'est pas facile de l'arrêter. «Les propriétaires n'ont pas compris que le chien est un chien, ils lui prêtent des sentiments humains», déplore Hervé Blondel, à la tête d'un club d'éducation canine, tout aussi atterré.
Question : L'article fait référence de façon indirecte à plusieurs accidents, dont certains mortels causés par des chiens. La formation obligatoire pour les propriétaires de chiens dangeureux, l'une des nouvelles mesures proposées par la ministre de l'intérieur Michèle Alliot-Marie, a fait un pas en avant. Argumentez d'autres propositions
Texte 5 : Pourquoi la hausse du baril est une chance pour bouger notre monde ?
Denis Delbecq et Vittorio de Filippis, Libération, 16 novembre 2007
La fin du pétrole n'est pas pour demain. Mais la fin du pétrole bon marché est avérée. Le baril à trois cents dollars n'est plus un mythe. Experts, banquiers, militants, militaires, planchent déjà sur ce futur possible, pour ne pas dire proche.
La difficulté croissante à étancher la soif planétaire en pétrole est chaque jour plus évidente. Le Nord pompe à tour de bras depuis près de cent cinquante ans, et le Sud aspire logiquement à le rejoindre. La consommation mondiale, les formidables tensions géopolitiques, tirent le prix du baril vers le haut dans une spirale infernale. Cette situation provoque des raisonnements en noir et blanc. Les optimistes parient que la technologie, l'argent dégagé par un pétrole cher, doperont l'exploration et la découverte de nouveaux gisements. Les autres voient le compte à rebours déjà enclenché, le monde consommant presque autant en vingt ans qu'il ne l'a fait depuis la construction du premier derrick : technologie ou pas, d'ici deux décennies, peut-être même une seule, l'or noir aura quasiment disparu. Et bien avant cela la carte politique du monde risque d'être profondément bouleversée, car les pays assoiffés d'or noir n'assistent pas les bras ballants au désastre annoncé.
Question : pourquoi certains considèrent le prix exorbitant du pétrole comme une chance ?
Texte 1 : travail de nuit le magazine de la santé France 5.fr
La loi du 9 mai 2001 donne un cadre au travail de nuit en France. La définition est simple : le travail de nuit correspond à tout travail effectué entre 21 heures et 6 heures.
Depuis les années 90, le nombre de travailleurs de nuit, réguliers ou occasionnels, a augmenté : ils sont plus de trois millions aujourd'hui, ce qui représente 14 % des salariés. Les hommes sont nettement plus concernés : plus de 20 % travaillent la nuit, contre 7 % des femmes, qui ne sont autorisées à travailler de nuit que depuis 2001.
Les professions où il faut travailler en décalé concernent de nombreux domaines : sécurité, industrie, spectacle ou information, mais aussi la santé. Pour s'adapter, le travailleur de nuit doit avant tout récupérer la dette de sommeil qui grandit au fil des nuits travaillées. Le problème est que le sommeil de jour est de moins bonne qualité car les phases de sommeil lent profond, celui qui permet de récupérer, sont plus difficiles à obtenir. On s'endort moins facilement, les réveils sont multiples et du coup, le sommeil de jour est en général plus court, d'une à deux heures.
Question : Identifiez les effets indésirables du travail de nuit sur le plan sanitaire et social.
Texte 2 : Le Surhomme Jacques Attali, chronique de l'Express, 2 août 2007
Le Tour de France révèle une des dimensions les plus embarrassantes de notre société : Des hommes prennent le risque, en se dopant, de perdre toute chance de poursuivre leur carrière, parce qu’il savent que , s’ils réussissent à ne pas se faire prendre, le gain qui les attend est énorme. De fait, le public est prêt à payer très cher pour assister au spectacle de l’effort physique et de la compétition entre des êtres démunis de tout artefact : ce que le public achète, c’est la mise en scène de l’effort, pas le résultat.
A l’inverse, dans tous les autres domaines, chacun est prêt à payer très cher le résultat : on se moque du dopage des chanteurs quand ils montent sur scène, du romancier quand il écrit, du peintre quand il s’agite devant sa toile. On admire ce qu’il produit, et on ne veut rien savoir du travail fourni : une œuvre artistique a même d’autant plus de valeur qu’elle semble produite sans effort.
Pourquoi cette différence ?
question : Répondez à la question de J.Attali "Pourquoi cette différence ?"
Texte 3 : Stages obligatoires pour les fumeurs de cannabis interpellés
Marc Payet, le Parisien, 11 octobre 2007
DES STAGES exposant les dangers du cannabis pour les fumeurs pris en
flagrant délit ? C'est la mesure que vient de prendre le gouvernement
pour faire reculer la consommation - jugée préoccupante - de haschisch
dans l'Hexagone. Avec 5 millions de fumeurs de joints occasionnels et
1,2 million de consommateurs réguliers, la France bat des records en
Europe. Jusqu'à présent, les politiques de santé publique n'ont pas
été très efficaces pour endiguer cette progression, en particulier
chez les jeunes.
Un mineur sur deux a essayé, en 2006, contre un sur cinq en 1993 !
Alors, que faire ? Dépénaliser l'usage ? Le gouvernement ne le
souhaite pas. L'idée consiste à donner un tour de vis, sans pour
autant engorger des tribunaux déjà saturés. La solution vient donc de
germer et le nouveau président de la Mission interministérielle de
lutte contre les drogues et toxicomanies (Mildt), Etienne Apaire, nous
l'annonce : « Des stages de prévention contre le cannabis vont devenir
obligatoires pour les usagers qui seront interpellés. » Il s'agira de
sessions de formation de deux jours, durant lesquelles médecins,
psychologues ou policiers évoqueront les dangers pour la santé, et son
implication dans de nombreux accidents de la route.
question : En quoi la consommation de cannabis a un impact sur la vie sociale chez les jeunes ?
Texte 4 : Prévention, Chien 2duqué n'est pas méchant
Laurence Lacontre, Le Figaro Magazine, 29 septembre 2007
Assis sur son arrière-train, Ivoire exécute à distance et à contrecoeur l'ordre - «Pas bouger !» - que lui donne le dresseur. Pas une seule fois le chien ne l'a regardé. Mais, les yeux ailleurs, il a amorcé quelques grognements pour bien montrer qu'il n'a pas envie d'obéir. C'est là que tout se joue. Si l'on cède à cette désapprobation canine, les dix à quinze années suivantes peuvent virer au cauchemar. Les attaques récentes (dont une mortelle) de chiens dits méchants le prouvent et relancent le débat. Comment éviter ces drames ? Retour sur un scénario classique. L'adorable boule de poils arrive dans la maison, et toute la famille craque. Très vite, l'animal va tout tenter pour vous tester et voir jusqu'où il peut aller. Et les problèmes commencent. Henri-Michel Gorse, éducateur depuis plus de vingt ans, le constate avec effroi : «Les maîtres sont de plus en plus irresponsables. Ils laissent faire n'importe quoi à leurs chiens et baissent les bras à la moindre occasion.» Même bilan qu'avec les enfants ? La comparaison est vite faite. Démobilisation, manque d'autorité, abandon des règles les plus élémentaires. L'animal fait la loi et peut finir par montrer les crocs, voire par s'en servir dès qu'on le contrarie. Et lorsqu'il pèse entre 40 et 80 kilos, ou mesure près de un mètre au garrot, il n'est pas facile de l'arrêter. «Les propriétaires n'ont pas compris que le chien est un chien, ils lui prêtent des sentiments humains», déplore Hervé Blondel, à la tête d'un club d'éducation canine, tout aussi atterré.
Question : L'article fait référence de façon indirecte à plusieurs accidents, dont certains mortels causés par des chiens. La formation obligatoire pour les propriétaires de chiens dangeureux, l'une des nouvelles mesures proposées par la ministre de l'intérieur Michèle Alliot-Marie, a fait un pas en avant. Argumentez d'autres propositions
Texte 5 : Pourquoi la hausse du baril est une chance pour bouger notre monde ?
Denis Delbecq et Vittorio de Filippis, Libération, 16 novembre 2007
La fin du pétrole n'est pas pour demain. Mais la fin du pétrole bon marché est avérée. Le baril à trois cents dollars n'est plus un mythe. Experts, banquiers, militants, militaires, planchent déjà sur ce futur possible, pour ne pas dire proche.
La difficulté croissante à étancher la soif planétaire en pétrole est chaque jour plus évidente. Le Nord pompe à tour de bras depuis près de cent cinquante ans, et le Sud aspire logiquement à le rejoindre. La consommation mondiale, les formidables tensions géopolitiques, tirent le prix du baril vers le haut dans une spirale infernale. Cette situation provoque des raisonnements en noir et blanc. Les optimistes parient que la technologie, l'argent dégagé par un pétrole cher, doperont l'exploration et la découverte de nouveaux gisements. Les autres voient le compte à rebours déjà enclenché, le monde consommant presque autant en vingt ans qu'il ne l'a fait depuis la construction du premier derrick : technologie ou pas, d'ici deux décennies, peut-être même une seule, l'or noir aura quasiment disparu. Et bien avant cela la carte politique du monde risque d'être profondément bouleversée, car les pays assoiffés d'or noir n'assistent pas les bras ballants au désastre annoncé.
Question : pourquoi certains considèrent le prix exorbitant du pétrole comme une chance ?
Dernière modification par salima-69 le 22 févr. 2008 10:03, modifié 1 fois.
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