Réforme du concours d'entrée en IFSI

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giselo10
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Message par giselo10 »

Celà signifie t- il que si on est en 3ème année de fac de médécine, on pourra facilement devenir infirmière si cette 3ème année est validée? :?:
Aucune race n'a le monopole de l'intelligence, de la beauté, de la force et il y a une place pour tous au rendez vous de la victoire.
jjland83
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Message par jjland83 »

Ne mélangez pas tout. La formation médicale et infirmière n'ont aujourd'hui que quelques éléments communs. Il est compréhensible que les étudiants en médecine puissent rejoindre la filière infirmière avec un certain nombre de dérogations, comme il est normal que les infirmiers diplômés puissent accéder aux études médicales avec un certain nombre de dérogations. C'est déjà ainsi aujourd'hui.
Vous aurez beau faire actuellement 3, 4 ou 8 ans de Fac de médecine, ça ne vous formera pas pour autant au diplôme d'infirmier ! Par contre que dans l'avenir il puisse y avoir des morceaux de cursus communs, oui ça paraît plus que probable et intéressant pour tout le monde.
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SAB13
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Message par SAB13 »

bonjour,
je suis aide soignante depuis 3 ans et je voudrais savoir si avec la nouvelle réforme, je pourrai toujours accéder aux concours en soins infirmier sans avoir le bac?
jjland83
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Message par jjland83 »

Pourquoi voulez-vous que cela change dans le mauvais sens. Au contraire on serait plutôt dans une ouverture plus large et le débat sur la VAE AS/IDE n'est pas terminé.
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Bobo29
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Message par Bobo29 »

J'avais une petite question au sujet de cette fameuse réforme LMD elle serait normalement mise en application en septembre 2009 et pour les étudiants qui ont déjà commencés leurs formation en IFSI, seront-ils reconnus par la suite au niveau licence?
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jjland83
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Message par jjland83 »

La reconnaissance au niveau licence est un faux problème. S'il s'agit de vous coller une étiquette licence c'est fait depuis belle lurette dans les faits. De nombreuses formations sont ouvertes avec le DEInfirmier. Mais ce qui n'existe pas c'est une filière universitaire infirmière et c'est là l'objectif de la réforme LMD. Pour celles et ceux qui prendront le train en cours de route, il y aura des équivalences totales ou partielles en fonction des acquis et du parcours. Mais obtenir par enchantement une licence universitaire ne paraît pas raisonnable, sinon on revient à mettre une simple étiquette et ce serait l'échec de cette réforme qui vise à ouvrir la profession par le haut.
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Bobo29
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Message par Bobo29 »

Je ne suis pas d'accord sur le fait que c'est un faux problème j'espère être admise pour la rentrée 2008 donc pas de parcourt LMD vu que cela prendra effet en 2009.
Je me demandais juste si ce qui ont commencé avant la réforme serait reconnu niveau BAC+3 c'est à dire une licence voilà tout puisqu'il me semble qu'actuellemnt les étudiants infirmier qui effectuent une formation de 3ans et demi n'obtiennent qu'une reconnaissanceà BAC +2.
C'était juste là le sens de ma question
Peut-être que j'ai mal compris cette réforme et ses objectifs...
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Message par jjland83 »

Vous vous attachez à une reconnaissance Bac+3. Mais personne ne dit que les études d'infirmières se font en deux ans. Et vous pouvez déjà rentrer dans une filière universitaire avec un DEI et accéder à des formations normalement réservées à des "L" ou niveau "L".
Ce n'est donc pas ça le problème et c'est souvent évoqué par les étudiants en Ifsi qui aspirent à obtenir une licence. Mais pour quoi faire ?! Si votre licence c'est pour exercer comme infirmière, excusez moi mais le DEI suffit amplement. Et rien ne changera qu'on vous appelle DEI ou licence. Le patient ne vous regardera pas d'une façon différente ! Par contre si le "L" infirmier s'intégre à une vraie filière universitaire, évolutive (vers un M et un D sciences infirmières), progressive (une carrière complète d'infirmière évoluant dans le temps), faite d'échanges (entre filières universitaires, ou Erasmus par ex), alors oui ça devient intéressant de parler de licence en sciences infirmières et on est loin du Bac+3 qui ne veut rien dire. Regardez vos camarades qui sont en Fac avec des licences et des masters qui ne servent pas à grand chose sur le marché de l'emploi. Si on nous donne une étiquette, ça ne coûte pas cher et ça ne rapporte rien aux infirmiers et encore moins aux étudiants. Si au contraire on parle d'une réforme du programme, une réforme du cursus et si on valorise tout cela, alors oui ça devient intéressant pour tout le monde. En commençant avant ces réformes vous obtiendrez la reconnaissance actuelle d'un Bac+3. Mais il est évident qu'il faudra sans doute enrichir votre parcours pour accéder au nouveau dispositif. Ca n'a rien de choquant, bien au contraire. Parce que derrière, mais vous êtes encore en Ifsi et ça ne vous touche pas beaucoup, il faut imaginer que tout cela pourra se monayer. Si on "donne" le nouveau cursus de façon systématique et transparente ça va être difficile d'expliquer qu'il y a une valeur ajoutée à rétribuer davantage.
Ne voyez pas le LMD comme une simple reconnaissance Bac+3, une étiquette, car le pire serait qu'on délivre cette étiquette (c'est facile, ça ne coûte rien !). Sincèrement ça changerait quoi dans votre quotidien ? Rien. Pire ça saborderait toutes les possibilités de réclamer légitimement des salaires en rapport avec la formation et le diplôme. Et si vous suivez les choses, la profession infirmière a du mal à exister et à faire reconnaître ses compétences face à un corps médical, qui lui, est totalement universitaire.
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Kerozene
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Message par Kerozene »

Mais je comprend absolument pas vers quoi on peut se former avec un futur DE de 2012 ?
Niveau licence ou pas, les infirmièr(e)s restent des infirmièr(e)s, et je pense que ça se fera pas, pour la raison suivante : qu'adviendra t-il des IDE qui ont eu leur diplôme avant ?
Eux aussi ils et elles seront reconnus en LMD ?

Ou est la juste cause dedans ?
Pourquoi eux, ne pourront pas en profiter ?
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Message par jjland83 »

Vous parlez de "profit", moi je parle d'évolution. Le LMD est un processus universitaire vers lequel la profession infirmière se dirige. Il y aura un niveau "L" correspondant en gros au diplôme d'infirmier actuel. Mais ça ne concernera que les personnes qui suivront le nouveau cursus. Pour une raison assez simple d'ailleurs, mais si les Ifsi sont et ont été sous tutelle exclusive du Ministère de la santé, le "L" sera sous tutelle du Ministère de l'enseignement supérieur. La responsabilité même du diplôme exige qu'il y ait une formation et une évaluation sous cette nouvelle tutelle. Les infirmiers formés avant auront certainement des choses à faire s'ils veulent rentrer dans le nouveau cursus.
Vous dites que ça ne se fera pas. Mais c'est déjà dans les tuyaux et en septembre 2009 le "L" sera en place. Ce ne sera pas un "L" classique universitaire. Mais ce sera mieux que rien dans un premier temps.
La juste cause ? Mais est ce que les changements des programmes de formations depuis les origines jusqu'à nos jours ont empêché des infirmiers de continuer leur parcours professionnel ? Jamais. Il y a toujours eu des périodes de transitions et des évolutions.
Je doute fort que l'IDE ancienne retourne à la Fac pour retirer une appellation qui ne lui apportera rien de plus.
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Message par cahuetou »

voici les articles que j'ai trouvé sur un site ; cela résume assez bien le devenir du cursus infirmier :

Intégration d'une filière universitaire en soins infirmiers

La Mission gouvernementale « portant sur les enjeux d’une réforme visant à étudier le positionnement des diplômes professionnels par rapport au LMD » a reçu le 21.02.08 une délégation du SNPI.

Cette Mission a pour objectifs d’identifier les principaux enjeux de la réforme envisagée sur les plans suivants : - Impact sur l’attractivité des métiers paramédicaux ; - Impact sur la nature et le contenu des études de ces métiers ; - Organisation des formations ; - Approche statutaire et des rémunérations.

Dans le cadre de la reconnaissance universitaire des études, la Mission souhaitait recueillir notre avis sur la nature des diplômes impactés par la réforme, les incidences sur les dispositifs de formation (juridiques, détermination des quotas), les enjeux démographiques liés à un allongement éventuel du cursus de formation, la prise en compte de ces dispositions nouvelles pour les personnels en exercice, les garanties en matière de promotion professionnelle, les conséquences financières et statutaires d’une reconnaissance partielle ou totale des diplômes au niveau de licence ou master, les éventuelles évolutions des métiers pouvant accompagner cette réforme.

La Mission est menée conjointement par l’IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales), l’Inspection Générale de l’administration de l’Education Nationale et de la Recherche, deux CGES (Conseillers Généraux des Etablissements de Santé) et l’IGF (Inspection Générale des Finances) : elle relève donc de trois Ministères (Santé, Enseignement Supérieur, Finances), et doit rendre ses travaux fin mars.

Le syndicat infirmier a réaffirmé sa volonté d’universitarisation des études autour d’un cursus unique et double diplômant, sanctionné à la fois par un grade universitaire de licence délivré par le Ministère de l’Enseignement Supérieur, et le maintien d’un diplôme d’Etat d’infirmier délivré par le Ministère de la Santé pour l’exercice de l’activité.

Il refuse catégoriquement le modèle de « Sciences et Techniques Médico-sociales » (STMS) des Universités d’Orléans et de Bretagne Sud, dans lequel l’étudiant désireux d’obtenir une Licence, suit les enseignements de l’IFSI normalement, et décide en s’inscrivant parallèlement en Licence, de suivre à l’Université des enseignements spécifiques pour valider la licence mention STMS. L’étudiant peut ensuite poursuivre des études en Master dans le domaine des Sciences et Technologies.

Pour l’organisation de la formation, il souhaite que l’on s’inspire des modèles étrangers : la France étant un des derniers pays d’Europe à construire une filière universitaire en soins infirmiers dans le cadre du L.M.D (Licence-Master-Doctorat), autant profiter de leurs expériences, que de réfléchir à un modèle franco-français. Les infirmières ne se contenteront pas du travail sur le niveau licence : il faudra également mettre sur pied le niveau master pour les cadres et les infirmières spécialisées, ainsi qu’un doctorat pour la recherche en soins infirmiers.

Pour l’organisation structurelle, on peut s’inspirer de la transformation des « Ecoles Normales » en « Instituts Universitaires de Formation des Maîtres ». L’opérateur restera donc l’IFSI, devenu institut universitaire.

Le SNPI CFE-CGC considère que la formation d’IDE, est composée : - de savoirs fondamentaux, qui relèvent déjà de formations universitaires type sciences humaines, - de savoirs médicaux, qui peuvent faire l’objet d’un enseignement commun avec d’autres formations soignantes type kiné - de savoirs professionnels spécifiques, qui constituent le cœur de métier relevant de l’exercice réglementé, du fait de compétences et de savoir-faire propres à la formation dispensée par des pairs dans l’institut ou sur les lieux de stage.

Les savoirs fondamentaux et médicaux peuvent donc être enseignés par des universitaires (pas forcément infirmiers), alors que l’enseignement théorique des savoirs professionnels relèvent uniquement de formateurs infirmiers (si possible ayant un niveau master ou une formation universitaire).

ET

Intégration de la formation infirmière au système LMD - Une opportunité de reconnaissance et d'ouverture

Engagée en 2004, la réforme de la formation infirmière entre dans une année charnière. L’intégration dans le système Licence-Master-Doctorat constitue aujourd’hui la principale préoccupation car elle représente une réelle opportunité de reconnaissance au niveau bac+3 et d’ouverture à d’autres filières de soins. Mais d’autres réformes s’y associent : décentralisation, validation des acquis, première année commune des études de santé…

Les évolutions du système de santé (offre de soins diversifiée, connaissances médicales et technologiques renforcées, contraintes économiques pesantes…) se répercutent sur les qualifications, les savoirs et les compétences de la profession infirmière. De la même façon, les évolutions de la formation professionnelle (validation des acquis de l’expérience, première année commune des études de santé…) influent sur l’organisation et le fonctionnement des instituts de formations en soins infirmiers (IFSI). Face à ces mutations, la formation infirmière se doit d’évoluer elle aussi.

Reconnaissance au niveau bac+3

A ce jour, la formation infirmière est une formation professionnelle supérieure non universitaire sanctionnée par un diplôme d’Etat. Comprenant 50% de cours et 50% de stage, elle dure trois ans et demi (soit 4760 heures ou 7 semestres universitaires). Pourtant, la formation n’est reconnue qu’à un niveau bac+2. Le passage au système Licence-Master-Doctorat (LMD) représente donc une opportunité pour la formation infirmière qui pourrait être reconnue à un plus haut niveau (bac+3) et accéder à de nouvelles passerelles avec les autres filières de formation en soins. A ce jour, les discussions suivent leurs cours sur cette intégration au système LMD. Le gouvernement propose de sanctionner la formation par une licence professionnelle. Ce qui revient à réviser le programme et à diviser par deux le nombre d’heures de cours, regrette Martine Perrasse, présidente du Comité d’entente des formations infirmières et cadres (CEFIEC), qui conteste également le caractère professionnel de la licence. Selon elle, il empêcherait l’accès à une filière doctorante (voie de la recherche). Le CEFIEC demande au contraire une formation sur quatre années universitaires (pour le même programme ce qui correspond à réviser le rythme d’apprentissage pour l’adapter à un rythme universitaire), sanctionnée par l’obtention d’une licence en soins infirmiers en troisième année permettant l’accès à un diplôme professionnel (master de recherche, master professionnel ou diplôme d’Etat infirmier) au terme de la 4ème année. Le CEFIEC souhaite ainsi une réforme de l’apprentissage. Aujourd’hui basée sur des connaissances médicales, la formation infirmière devrait s’appuyer davantage sur le relationnel et les situations de soins, estime le comité, qui propose alors d’articuler le programme autour de cinq situations : soins chroniques, de fin de vie, d’urgence, aiguës et de vie.

Pas de nouvelles spécialisations prévues

La pénurie de personnel et le changement de conception des soins ont particulièrement contribué à faire évoluer le métier, le conduisant vers des spécialisations dans différents domaines : bloc opératoire, anesthésie, hygiène, cancérologie, soins palliatifs, etc. Aujourd’hui, seules trois spécialisations sont sanctionnées par un diplôme d’Etat (infirmier anesthésiste, infirmier de bloc opératoire, infirmier puéricultrice). Il s’agit de spécialisations médicales, qui justifient de disposer de connaissances complémentaires, précise Hélène d’Arstorg, présidente du GIPSI et directrice d’école d’infirmière anesthésiste. Néanmoins, il n’est nullement question de multiplier ce type de spécialités, poursuit-elle : « nous ne souhaitons pas de balkanisation de la profession ». Ainsi, au lieu de spécialités qui enferment les infirmières dans un corps professionnel spécifique, la présidente du CEFIEC préfère « des modules d’adaptation à l’emploi » (psychiatrie, hémodialyse…). Ils pourraient ainsi être reconnus dans le cadre du système LMD au contraire des diplômes actuellement dispensés à l’université, par des organismes privés ou des associations, mais qui ne sont pas reconnus ni sur le plan réglementaire, statutaire et financier.

Voilou

Par contre, certains sites se contredisent complètement ; chacun y allant de sa pensée, de sa version... un peu le bazar pour l'instant. De toute façon, tant que rien ne sera voté et donc applicable, cela ne sera que des "peut-être"...
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Message par jjland83 »

A ceci près que les syndicats et autres rédacteurs des articles cités ont bien du mal à prendre part à des décisions qui sont prises en dehors du cadre santé. Le LMD appartient à l'université et à son ministère. Pour caricaturer un peu les choses on est dans des discussions de ministère à ministère, la DHOS pour ne pas la citer du côté santé.
Aux universitaires, pas facile de leur expliquer ce qu'est un infirmier et quelle est sa formation. Et puis doit-on préciser que le corps médical est lui pleinement intégré à cette filière universitaire. Et pourtant le "L" médical est seulement mis en place à compter de cette année.
Pas facile mais il faut suivre ce qui se fait et voir d'ici septembre 2009 ce qui est mis en place.
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Concours infirmier 2009

Message par Isa72 »

La réforme des études infirmières est une bonne nouvelle. La profession infirmière est une des rares qui permettent d'avoir des activités dans des domaines aussi variés (hôpitaux, libéral, scolaire...). Cette réforme va permettre d'élargir encore + le champ d'activité de la profession.
Je pense que les IFSI ne vont pas disparaitre mais leur fonctionnement sera calqué sur celui des fac, ce qui demandera beaucoup + d'autonomie aux étudiants (il faut bien passer dans la cour des grands un jour !).
Ma question, moi qui travaille dans les soins depuis 20 ans et qui fait passer des oraux de sélection depuis de nombreuses années : comment allons nous vous sélectionner ?
Un bon dossier scolaire ne donne pas pour autant les qualités nécessaires à exercer cette profession. N'est pas infirmier(ère) qui veut !
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Message par jjland83 »

Promis, dès la rentrée je vous donnerai au travers d'un bel article un point de situation sur la réforme des études infirmières qui sera en place en septembre 2009.
Jérôme
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Message par corinne987 »

bonjour
moi ce que je voudrais savoir c'est s'il y aura toujours un concours ou non comment les inscription se passeront?
merci de vos réponses
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