Avez vs déja regretté d'avoir choisi ce métier?
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers
moi je n'ai jamais regretté d'avoir fait ce métier.
si c'était à refaire,je recommencerai de la mêmr façon:ide aux urgences,ide en SSPI puis réa,puis iade,et maintenant ff cadre.
nous avons un métier qui permet d'évoluer dans plein de domaines,je considère que c'est une vraie chance. 



Applique-toi à soigner autrui tel que tu aimerais être soigné toi-même.
Juste un petit message d'une future ESI pour vous dire que j'adore vos témoignages aux uns et aux autres
.
Je sens que vous aimez à peu près tous votre métier... qui est effectivement très riche : diversité des contacts, service et aide à autrui, pluralité des contextes de travail, possibilité d'évolution quand au bout de quelques années on se lasse... et bien sûr sécurité d'emploi, ce n'est pas négligeable
Vous avez raison, le problème, ce n'est pas les soignants, c'est le système.
J'ai travaillé 4 ans en milieu hospitalier (j'exerce un autre métier proche du "paramédical") et je me suis retrouvée confrontée aux mêmes problèmes que ceux que vous constatez... Institution dont les enjeux économiques sont la priorité, manque de moyens, enjeux de pouvoir entre services...
Bref, j'ai quitté l'hôpital.. et je suis allée bosser pour le Ministère du Travail.. Même constat : l'argent est roi et on se "fout de la gueule du peuple"... A croire que c'est partout comme ça !
Alors, je retourne bosser dans la santé car j'aime les gens et je pense qu'il n'y a rien d'essentiel que la santé ! je veux accompagner les gens qui n'ont pas la chance d'avoir la leur... Et moi aussi, quelque part je défend la mission initiale de la Fonction Publique et celle de l'Hôpital
J'ai Bac + 5 et je gagne 1500 euros par moi après + de 10 ans de travail... Je risque de perdre mon boulot à tout moment et de me retrouver sur la longue liste des chômeurs en France car l'offre est rare dans mon métier !!!
Alors je fais le pas... Merci pour vos témoignages qui m'ont fait réfléchir... Mais pas renoncer... car infirmier c'est quand même le plus beau des métiers (non ???
)

Je sens que vous aimez à peu près tous votre métier... qui est effectivement très riche : diversité des contacts, service et aide à autrui, pluralité des contextes de travail, possibilité d'évolution quand au bout de quelques années on se lasse... et bien sûr sécurité d'emploi, ce n'est pas négligeable

Vous avez raison, le problème, ce n'est pas les soignants, c'est le système.
J'ai travaillé 4 ans en milieu hospitalier (j'exerce un autre métier proche du "paramédical") et je me suis retrouvée confrontée aux mêmes problèmes que ceux que vous constatez... Institution dont les enjeux économiques sont la priorité, manque de moyens, enjeux de pouvoir entre services...
Bref, j'ai quitté l'hôpital.. et je suis allée bosser pour le Ministère du Travail.. Même constat : l'argent est roi et on se "fout de la gueule du peuple"... A croire que c'est partout comme ça !

Alors, je retourne bosser dans la santé car j'aime les gens et je pense qu'il n'y a rien d'essentiel que la santé ! je veux accompagner les gens qui n'ont pas la chance d'avoir la leur... Et moi aussi, quelque part je défend la mission initiale de la Fonction Publique et celle de l'Hôpital
J'ai Bac + 5 et je gagne 1500 euros par moi après + de 10 ans de travail... Je risque de perdre mon boulot à tout moment et de me retrouver sur la longue liste des chômeurs en France car l'offre est rare dans mon métier !!!
Alors je fais le pas... Merci pour vos témoignages qui m'ont fait réfléchir... Mais pas renoncer... car infirmier c'est quand même le plus beau des métiers (non ???

35 ans, ESI et maman à Chambéry - promo 2008-2011 (financement FONGECIF)
J'ai pas eu le temps de lire toutes les 6 pages de réponses à ta question, mais, je pense que tu n'a pas besoin de regretter ton choix, car le métier d'IDE est tellement vaste, que tu as l'embarras du choix en ce qui concerne les services et les spécialités, les formes d'exercice, salarié, libéral, IDE scolaire, bloc opératoire, et j'en passe...
J'ai un collègue qui est passé (grâce à l'APHP) de laborantin à IDE, puis à IBODE, et maintenant il envisage de changer encore de métier... Merci l'APHP !
Bon courage
J'ai un collègue qui est passé (grâce à l'APHP) de laborantin à IDE, puis à IBODE, et maintenant il envisage de changer encore de métier... Merci l'APHP !
Bon courage
coucou!
C'est vrai que l'on doit se poser au moins 1 fois dans sa vie professionnelle, la question si on a bien fait le bon choix. Mais pour moi, pour l'instant il est hors de question de changer de profession.
Dans mon service, on a des conditions de travail quelques fois insoutenables, des chirurgiens qui nous soutiennent que très peu et avec cela un manque de personnel ingérable.
Mais, il y a toujours quelque chose qui m'attire vers mon travail, c'est le sourire des patients, l'adréanaline qui me transporte lors des grosses urgences et aussi se dire que l'on est toujours "utile" a quelqu'un.
Certaines de mes collègues sont en burn out total et il est quelque fois aggassant de travaillé dans des conditions comme cela, mais je prend sur moi.
je trouve aussi la force dans diverses activités comme le sport. sans autres activités que la profession d'infirmier il est très dur de faire la part des choses et on arrive vite a un épuisement professionnel .
C'est vrai que l'on doit se poser au moins 1 fois dans sa vie professionnelle, la question si on a bien fait le bon choix. Mais pour moi, pour l'instant il est hors de question de changer de profession.
Dans mon service, on a des conditions de travail quelques fois insoutenables, des chirurgiens qui nous soutiennent que très peu et avec cela un manque de personnel ingérable.
Mais, il y a toujours quelque chose qui m'attire vers mon travail, c'est le sourire des patients, l'adréanaline qui me transporte lors des grosses urgences et aussi se dire que l'on est toujours "utile" a quelqu'un.
Certaines de mes collègues sont en burn out total et il est quelque fois aggassant de travaillé dans des conditions comme cela, mais je prend sur moi.
je trouve aussi la force dans diverses activités comme le sport. sans autres activités que la profession d'infirmier il est très dur de faire la part des choses et on arrive vite a un épuisement professionnel .
c'est marrant comme notre profession entraîne des jugements extrêmes ("j'en peux plus...oui mais on fait un métier génial
"). IDE est mon 4e métier (représentant, débitant de tabac, journaliste) et j'ai vécu le stress d'être à mon compte et de bosser 70h par semaine (tout ça pour déposer le bilan
), donc j'ai apprécié chaque minute de mes 5 ans en unité ados, avec le sentiment d'être utile (enfin...)
.
par contre, métier pas reconnu par rapport aux responsabilités (sauf pour nous dire qu'on est formidables lol, mais sans un euro de +) et profession qui ne se défend pas, qui subit ++ la hiérarchie, qui se divise en querelles de clocher (voir forum Ordre Infirmier). Je regrette pas le passé, mais je m'interroge sur l'avenir



par contre, métier pas reconnu par rapport aux responsabilités (sauf pour nous dire qu'on est formidables lol, mais sans un euro de +) et profession qui ne se défend pas, qui subit ++ la hiérarchie, qui se divise en querelles de clocher (voir forum Ordre Infirmier). Je regrette pas le passé, mais je m'interroge sur l'avenir

je soigne tout ce qui bouge ! Et parfois même ceux qui ne bougent pas...
- binoute1
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- Inscription : 02 juil. 2008 20:45
- Localisation : pas là où je voudrais
j'ai débuté la sm dernière un bilan de compétence pour savoir ou je pourrais aller bosser pour quitter un monde assez ingrat. certe le contact ac les patients, les familles apporte bcp, mais les conditions de W de+ en + pourries (dès septb on passe à un W-end /2!! je sais certains(es) le font dps longtemps...), une cadre...
(alors que j'en ai connu tant de bien...si si y'en a!!) et qui ne nous soutient pas et surtout ne presque plus voir mes enfants et mon mari (lui W déjà un W-end /2) ça me fout les b...mais bon, j'avais choisi ce métier en connaissance de cause mais secrètement on se dit tjs que l'on peut faire changer les choses (et y'aurait à faire ds le monde inf.)
pourquoi ds notre profession ne peut-on pas cumuler plaisir pro et vie privée? comme cela est possible ds d'autres métiers? au lieu de vouloir copier les médecins sur tant de plans....il y a des inf qui souhaitent bosser la nuit, d'autres le jour, alors pourquoi faut-il tourner? il y en a qui souhaitent avoir leur mercredis, d'autres qui veulent W uniquement es matins...est(ce si difficile de trouver un arrangement? peut-être suis-je trop utopique mais je crois que ce métier n'est plus pour moi...pouquoi ds les ifsi (en tout cas celui où j'ai fais ma formation) on ne jure que par l'hôpital? pourquoi passer un entretien d'embauche à l'hosto est-ce comme passer à la guillotine?
j'ai mon DE depuis 8ans et je W ds un EHPAD depuis 6 ans, je ne suis pas une nonne...ma cadre m'a dit une fois:"oh mais qd j'avais ton âge, moi, on faisait du coupé!"
oh! pardon mais du temps à passé depuis!
et que penser qd sur 5 IDE, nous sommes 2 à vouloir quiiter et que sur 12 AS 7 veulent quitter? pas seulemnt de boulot mais changer complétement de cap???
et si ma fille me dit un jour qu'elle veut être IDE, je lui demanderai si elle connait vraiment cette profession, qu'il faut vraiment réfléchir pour ne pas perdre trois ans (d'études)pour presque rien...à ins que d'ici à ce que moment arrive la profession est positivement évoluée.[/b]

pourquoi ds notre profession ne peut-on pas cumuler plaisir pro et vie privée? comme cela est possible ds d'autres métiers? au lieu de vouloir copier les médecins sur tant de plans....il y a des inf qui souhaitent bosser la nuit, d'autres le jour, alors pourquoi faut-il tourner? il y en a qui souhaitent avoir leur mercredis, d'autres qui veulent W uniquement es matins...est(ce si difficile de trouver un arrangement? peut-être suis-je trop utopique mais je crois que ce métier n'est plus pour moi...pouquoi ds les ifsi (en tout cas celui où j'ai fais ma formation) on ne jure que par l'hôpital? pourquoi passer un entretien d'embauche à l'hosto est-ce comme passer à la guillotine?
j'ai mon DE depuis 8ans et je W ds un EHPAD depuis 6 ans, je ne suis pas une nonne...ma cadre m'a dit une fois:"oh mais qd j'avais ton âge, moi, on faisait du coupé!"


et que penser qd sur 5 IDE, nous sommes 2 à vouloir quiiter et que sur 12 AS 7 veulent quitter? pas seulemnt de boulot mais changer complétement de cap???
et si ma fille me dit un jour qu'elle veut être IDE, je lui demanderai si elle connait vraiment cette profession, qu'il faut vraiment réfléchir pour ne pas perdre trois ans (d'études)pour presque rien...à ins que d'ici à ce que moment arrive la profession est positivement évoluée.[/b]
"Le psychiatre sait tt et ne fait rien, le chirurgien ne sait rien ms fait tt, le dermatologue ne sait rien et ne fait rien, le médecin légiste sait tout, mais un jour trop tard"
- Anoukaelle
- Forcené
- Messages : 308
- Inscription : 27 nov. 2003 12:59
Si mes enfants me disaient "maman, je veux être infirmièr(e)!", je les laisserais faire! A chacun de se forger sa propre expérience! J'ai jamais voulu qu'on me dise quoi faire, je ne risque pas de donner de conseils
!
La mienne est de 9 mois. J'ai choisi infirmière car je voulais avant tout un métier. Ce qui ne m'empêche pas de vouloir le faire consciencieusement (je trouve bizarre d'opposer peur du chômage/ recherche d'un métier à la notion de vocation...) Et je voulais être reconnue pour ce que je suis : une personne qui donne du temps à l'autre...
Pourtant, je ne me sens pas considérée comme une personne, mais comme une fonction. Et ça me dérange, ça m'empêche de m'épanouir.
Donner du temps à l'autre, en tant qu'infirmière hospitalière, c'est un peu difficile Et pourtant, j'essaye de le faire au maximum! Car ce que j'aime avant tout, c'est le contact avec les patients, les familles.
Je pense être une bonne infirmière (en tant que fonction mais aussi en tant qu'humain) : peu de problèmes, donc, au niveau de ma confiance en moi... Je tente d'appliquer la congruance*, (concept abordé sur les bancs de l'IFSI) comme philosophie.
*[pour faire simple : le comportement doit être en accord avec les émotions, avec en plus la zen attitude
]
J'entend que l'hôpital va mal, financièrement. J'accèpte qu'il faille faire des efforts, des remaniements, des économies... Mais je ne comprend toujours pas la manière de gérer le problème. Y-a-il une vraie volonté de règler le problème? Les réformes foisonnent, mais concrètement?
Je pense sérieusement à me syndiquer. Pas uniquement pour "gueuler", car le syndicalisme, je ne pense pas que ce soit exclusivement ça!
Mais aussi pour essayer de faire avancer les choses : conditions de travail (source des plaintes, des arrêts, des manques...), conserver le concept d'accès aux mêmes soins pour tous (une base pour moi)...
Pour l'instant, je ne peux pas trop me la ramener avec mes discours militants parce qu'en tant que jeune diplômée, j'arrive tout juste à sortir la tête de l'eau (nouveau(x) boulot(s), stress, apprentissage quotidien, (ré)organisation de la vie sociale et familiale...) et je n'ai encore rien fait de concret.
Mais je rejoins certains : nous sommes une profession fatiguée, qui sait dire d'où vient sa frustration, mais qui ne milite pas (à l'exclusion d'une demande régulière de revalorisation des conditions salariales comme si c'était la seule solution au "mal-être" ou du moins la seule facilement négociable).
Certains l'ont dit avant moi : militons, battons-nous pour ce métier que nous aimons plutôt que de souffrir de cette/ces situation(s)
Je ne sais pas si je fais avancer le débat car pour moi il est tard et mes idées sont embrouillées!

La mienne est de 9 mois. J'ai choisi infirmière car je voulais avant tout un métier. Ce qui ne m'empêche pas de vouloir le faire consciencieusement (je trouve bizarre d'opposer peur du chômage/ recherche d'un métier à la notion de vocation...) Et je voulais être reconnue pour ce que je suis : une personne qui donne du temps à l'autre...
Pourtant, je ne me sens pas considérée comme une personne, mais comme une fonction. Et ça me dérange, ça m'empêche de m'épanouir.
Donner du temps à l'autre, en tant qu'infirmière hospitalière, c'est un peu difficile Et pourtant, j'essaye de le faire au maximum! Car ce que j'aime avant tout, c'est le contact avec les patients, les familles.
Je pense être une bonne infirmière (en tant que fonction mais aussi en tant qu'humain) : peu de problèmes, donc, au niveau de ma confiance en moi... Je tente d'appliquer la congruance*, (concept abordé sur les bancs de l'IFSI) comme philosophie.
*[pour faire simple : le comportement doit être en accord avec les émotions, avec en plus la zen attitude

J'entend que l'hôpital va mal, financièrement. J'accèpte qu'il faille faire des efforts, des remaniements, des économies... Mais je ne comprend toujours pas la manière de gérer le problème. Y-a-il une vraie volonté de règler le problème? Les réformes foisonnent, mais concrètement?
Je pense sérieusement à me syndiquer. Pas uniquement pour "gueuler", car le syndicalisme, je ne pense pas que ce soit exclusivement ça!
Mais aussi pour essayer de faire avancer les choses : conditions de travail (source des plaintes, des arrêts, des manques...), conserver le concept d'accès aux mêmes soins pour tous (une base pour moi)...
Pour l'instant, je ne peux pas trop me la ramener avec mes discours militants parce qu'en tant que jeune diplômée, j'arrive tout juste à sortir la tête de l'eau (nouveau(x) boulot(s), stress, apprentissage quotidien, (ré)organisation de la vie sociale et familiale...) et je n'ai encore rien fait de concret.
Mais je rejoins certains : nous sommes une profession fatiguée, qui sait dire d'où vient sa frustration, mais qui ne milite pas (à l'exclusion d'une demande régulière de revalorisation des conditions salariales comme si c'était la seule solution au "mal-être" ou du moins la seule facilement négociable).
Certains l'ont dit avant moi : militons, battons-nous pour ce métier que nous aimons plutôt que de souffrir de cette/ces situation(s)
Je ne sais pas si je fais avancer le débat car pour moi il est tard et mes idées sont embrouillées!
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- Messages : 8
- Inscription : 25 févr. 2008 14:14
- Localisation : forges les eaux
ca fait maintenant un bon bout de temps que je li tous vos commentaires...
c'est marrant (enfin jme comprend lol) mais j'entre en septembre a l'ifsi de rouen et je suis fille de parents infirmiers...
ma mére étant une passionnée de gériatrie qui aurais quand meme aimé etre auxiliaire puéricultrice et mon pére qui est passé prof en bep cariére sanitaire et sociale...
mes parents ont eu 5 enfants puis on divorcé,je suis l'avant derniere...
mes fréres et soeurs sont instit,prof de francais et informaticien en collége et lycée...
je peux vous dire que meme ces pofs qui ont 2 mois de vacances l'été on un métier difficil que je n'aurais en rien aimé faire...
on m'a déconseillé le métier d'infirmiere, on ma mise en garde,prévenu...
mais j'entre quand meme a l'école du CHU de rouen pourquoi? je sais pas trop pourquoi je vais vers ce métier, jcrois juste que j'ai besoin de me sentir un peu utile avec des personnes,j'ai envie de rencontrer des gens et etre en face de choses difficiles pour mieux me connaitre aussi.
mon avenir ou je le vois? je sais pas trop... peut etre aux urgences,ou avec une spé anéstésiste, meme peut etre au samu,et en humanitaire quelques mois meme qui sait...
j'ai souvent peur de me tromper de voie,souvent peur d'etre dégouté du métier a trente ans en ces temps ou la retraite recule et les salaires n'augmentent pas... moi qui est déja du mal financiérement a 19 ans tout frais , comment je ferais pour ne pas me plaindre du salaire? et est ce que j'arriverais a avoir une vie de famille?
ce sont tant de questions qui verrons peut etre un jour dans mon avenir des réponses...
vos commentaires m'ont apportés en tout cas...
et puis...courage!
c'est marrant (enfin jme comprend lol) mais j'entre en septembre a l'ifsi de rouen et je suis fille de parents infirmiers...
ma mére étant une passionnée de gériatrie qui aurais quand meme aimé etre auxiliaire puéricultrice et mon pére qui est passé prof en bep cariére sanitaire et sociale...
mes parents ont eu 5 enfants puis on divorcé,je suis l'avant derniere...
mes fréres et soeurs sont instit,prof de francais et informaticien en collége et lycée...
je peux vous dire que meme ces pofs qui ont 2 mois de vacances l'été on un métier difficil que je n'aurais en rien aimé faire...
on m'a déconseillé le métier d'infirmiere, on ma mise en garde,prévenu...
mais j'entre quand meme a l'école du CHU de rouen pourquoi? je sais pas trop pourquoi je vais vers ce métier, jcrois juste que j'ai besoin de me sentir un peu utile avec des personnes,j'ai envie de rencontrer des gens et etre en face de choses difficiles pour mieux me connaitre aussi.
mon avenir ou je le vois? je sais pas trop... peut etre aux urgences,ou avec une spé anéstésiste, meme peut etre au samu,et en humanitaire quelques mois meme qui sait...
j'ai souvent peur de me tromper de voie,souvent peur d'etre dégouté du métier a trente ans en ces temps ou la retraite recule et les salaires n'augmentent pas... moi qui est déja du mal financiérement a 19 ans tout frais , comment je ferais pour ne pas me plaindre du salaire? et est ce que j'arriverais a avoir une vie de famille?
ce sont tant de questions qui verrons peut etre un jour dans mon avenir des réponses...
vos commentaires m'ont apportés en tout cas...
et puis...courage!

salut!
j'adore mon boulot pourtant au moment où je vous parle j'en suis aussi déçue!!!
mon ami est muté en septembre, je veux le suivre mais comme je suis stagiaire soit je dois démissioner et repartir à zéro en tant que contractuelle ou bien je dois attendre d'être titulaire en avril 2009 pour avoir droit à une mutation!!
j'ai vraiment les boules car ça va bientôt faire 3 ans que je suis diplomé et que je bosse comme une dingue pour enfin être stagiaire cette année et voilà la récompense que j'ai aujourd'hui : tout perdre ou attendre tout ce temps loin de mon cheri!!!!!!!!!!!!
je suis vraiment frustrée!!!
j'adore mon boulot pourtant au moment où je vous parle j'en suis aussi déçue!!!
mon ami est muté en septembre, je veux le suivre mais comme je suis stagiaire soit je dois démissioner et repartir à zéro en tant que contractuelle ou bien je dois attendre d'être titulaire en avril 2009 pour avoir droit à une mutation!!
j'ai vraiment les boules car ça va bientôt faire 3 ans que je suis diplomé et que je bosse comme une dingue pour enfin être stagiaire cette année et voilà la récompense que j'ai aujourd'hui : tout perdre ou attendre tout ce temps loin de mon cheri!!!!!!!!!!!!
je suis vraiment frustrée!!!
Non, je ne regrette pas le métier que je fais. Mais je n'ai pas assez de recul pour le moment, je ne suis diplomée que depuis novembre 2007.
Mais parfois, c'est vrai que c'est dur...
Mais parfois, c'est vrai que c'est dur...

J'ai toujours aimé le désert. On s'assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On n'entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence... [St Exupery]
Oui en ce moment je suis en plein doute..... Je regrette vraiment d'avoir choisi ce métier!
des horaires difficiles, des plannings qui changent tout le temps, un salaire bof bof ...
Je viens d'avoir un 2ème petit bout et j'ai de plus en plus de mal à me satisfaire de mon job...

Je viens d'avoir un 2ème petit bout et j'ai de plus en plus de mal à me satisfaire de mon job...
Parce qu'il est des douleurs
qui ne pleurent qu'à l'intérieur...(JJG)
qui ne pleurent qu'à l'intérieur...(JJG)
Ce n'est pas forcément négatif d'avoir des doutes car cela permet de faire le point et éventuellement de se remettre en question.
Alors, oui le métier d'ide n'est pas des plus faciles tant par les horaires que par la pénibilité de certains services, que ce la soit dans leur spécificité ou dans l'organisation. Et les salaires sont vraiment bof, bof... Mais, il faut regarder autour de soi pour voir que nous ne sommes pas les plus malheureux (ses).
mes horaires m'ont permi plus de disponibilité vis à vis de mes enfants que, par exemple en horaires de bureau classique ou dans la grande distribution ou...
Dans certains cas, on peut choisir ses horaires, changer de service pour celui qui nous correspond le mieux à l'instant "T", changer de centre hospitalier. Choisir d'exercer dans le public ou le privé voire le libéral. on peut aussi travailler en crèche, en médecine du travail, dans un laboratoire., dans l'humanitaire, à l'éducation nationale. Faire, ibode, iade, puéricultrice, cadre...etc
voilà, j'espère que mon avis positivera un peu la vision de notre métier.
Alors, oui le métier d'ide n'est pas des plus faciles tant par les horaires que par la pénibilité de certains services, que ce la soit dans leur spécificité ou dans l'organisation. Et les salaires sont vraiment bof, bof... Mais, il faut regarder autour de soi pour voir que nous ne sommes pas les plus malheureux (ses).
mes horaires m'ont permi plus de disponibilité vis à vis de mes enfants que, par exemple en horaires de bureau classique ou dans la grande distribution ou...
Dans certains cas, on peut choisir ses horaires, changer de service pour celui qui nous correspond le mieux à l'instant "T", changer de centre hospitalier. Choisir d'exercer dans le public ou le privé voire le libéral. on peut aussi travailler en crèche, en médecine du travail, dans un laboratoire., dans l'humanitaire, à l'éducation nationale. Faire, ibode, iade, puéricultrice, cadre...etc
voilà, j'espère que mon avis positivera un peu la vision de notre métier.
moi c'est une vocation..
j'ai été de longs mois dans un lit quand j'étais jeun et aujourd'hui c'est moi qui m'occupe des gens!!
je rend la pareille
mais il y a des jours ou je suis dégouttée de ne pas avoir un planning fixe ou d'ete sous payée..
mais j'y reviens j'aime les soins techniques et tout ce qui va avec!
et j'apprécie mes collègues de boulot alors tout va bien
j'ai été de longs mois dans un lit quand j'étais jeun et aujourd'hui c'est moi qui m'occupe des gens!!
je rend la pareille
mais il y a des jours ou je suis dégouttée de ne pas avoir un planning fixe ou d'ete sous payée..
mais j'y reviens j'aime les soins techniques et tout ce qui va avec!
et j'apprécie mes collègues de boulot alors tout va bien