Traitements en psychiatrie
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - Psychiatrie
Pardon, je ne comprend pas ce terme.
Cette épisode m'est arrivé il y a 12 ans environ.
Je l'ai souvent raconté à d'autres pour rigoler à table des expériences aux Urgences.
La dame à l'acceuil me parlait comme si j'étais petite fille. Quand elle a répété pour la n-ième fois "dites moi, mademoiselle, qu'est ce qui ne va pas?" j'étais devenue agitée - bras crispés partout (et elle m'a demandé calmement de me calmer). J'avais même essayé de l'écrire mais je n'arrivais pas à écrire. Heuresement à cet instant mon ex mari est arrivé pour lui expliquer que normalement je ne siuis PAS comme ça.. et elle a répondu "ah, je pensais qu'elle était handicappée." Génial.
En racontant cette histoire à table une fois pour rire j'ai appris qu'une de mes collègues a eu la même réaction, aussi au primperan.
C'est assez impressionant. Imaginez vous reveiller ayant du mal à tenir votre tête en place et vous rentrez dans la salle de bains pour découvrir que votre machoire est coincé à côté. L'image m'a fait tant peu que je me suis mise à pleure et j'aurai cette image de reflet - comme un monstre - de bouche ouverte partie vers le côté ! Impressionant pour ma collègue aussi car elle m'a sauté dessus pour former un petit groupe de support empathique.
J'ai posté mon histoire pour vous avertir que la réaction de moi (et de cette collègue d'ailleurs) ne s'était pas du tout manifestée comme des tremblements.
Enfin l'allergie a été le diagnostic pour toutes les deux. Mais il est vrai que les internes aux Urgences avaient l'air assez paumés. J'ai eu droit à une piqueure dans les fesses et une ordonnance de médicaments anti parkinsonien. Un medecin quelques années plus tard m'a dit que le simple arrêt d'un médicament à qui on est allergique aurait été suffissant.
Bonne soirée (enfin je reviendrai pour savoir ce qui veut dire cet autre diagnostic possible)
Cette épisode m'est arrivé il y a 12 ans environ.
Je l'ai souvent raconté à d'autres pour rigoler à table des expériences aux Urgences.
La dame à l'acceuil me parlait comme si j'étais petite fille. Quand elle a répété pour la n-ième fois "dites moi, mademoiselle, qu'est ce qui ne va pas?" j'étais devenue agitée - bras crispés partout (et elle m'a demandé calmement de me calmer). J'avais même essayé de l'écrire mais je n'arrivais pas à écrire. Heuresement à cet instant mon ex mari est arrivé pour lui expliquer que normalement je ne siuis PAS comme ça.. et elle a répondu "ah, je pensais qu'elle était handicappée." Génial.
En racontant cette histoire à table une fois pour rire j'ai appris qu'une de mes collègues a eu la même réaction, aussi au primperan.
C'est assez impressionant. Imaginez vous reveiller ayant du mal à tenir votre tête en place et vous rentrez dans la salle de bains pour découvrir que votre machoire est coincé à côté. L'image m'a fait tant peu que je me suis mise à pleure et j'aurai cette image de reflet - comme un monstre - de bouche ouverte partie vers le côté ! Impressionant pour ma collègue aussi car elle m'a sauté dessus pour former un petit groupe de support empathique.
J'ai posté mon histoire pour vous avertir que la réaction de moi (et de cette collègue d'ailleurs) ne s'était pas du tout manifestée comme des tremblements.
Enfin l'allergie a été le diagnostic pour toutes les deux. Mais il est vrai que les internes aux Urgences avaient l'air assez paumés. J'ai eu droit à une piqueure dans les fesses et une ordonnance de médicaments anti parkinsonien. Un medecin quelques années plus tard m'a dit que le simple arrêt d'un médicament à qui on est allergique aurait été suffissant.
Bonne soirée (enfin je reviendrai pour savoir ce qui veut dire cet autre diagnostic possible)
"Neuroleptic-induced acute dystonia is associated with primarily abnormal postures and muscular spasms. They are usually characterized by abnormal positioning of the head and neck in relation to the body, spasms of the jaw muscles, impaired swallowing, speaking or breathing, thickened or slurred speech due to a slow movement of the tongue, tongue protrusion or tongue dysfunction, eyes deviated up, down, or sideways, and abnormal positioning of the limbs or trunk. Patients experience pain and cramps in the affected muscles. In addition, many patients experiencing dystonia due to the neuroleptic treatment also experience fear and anxiety" (pardon, moi je suis tombée sur un site en anglais)
Ca a l'air d'être ma vécue.
Alors ce n'est pas une allergie?
Ca a l'air d'être ma vécue.
Alors ce n'est pas une allergie?
Risperdal, dangeureux ?
Bonjour tous,
En travaillant cet été en psychiatrie, j'ai entendu dire par la cadre, que l'arrét du Risperdal était dangeureux pour la santé et plus particulièrement pour le cerveau.
Il en résulterait une destruction neuronale.
Apparemment cette "découverte" était récente et elle l'aurait lu sur internet.
Elle était évidemment choqué qu'on institut un traitement "poison" aux patients.
Donc j'aurai voulu savoir si peut etre certaines d'entre vous auriez entendu parler de cela.
En travaillant cet été en psychiatrie, j'ai entendu dire par la cadre, que l'arrét du Risperdal était dangeureux pour la santé et plus particulièrement pour le cerveau.
Il en résulterait une destruction neuronale.
Apparemment cette "découverte" était récente et elle l'aurait lu sur internet.
Elle était évidemment choqué qu'on institut un traitement "poison" aux patients.
Donc j'aurai voulu savoir si peut etre certaines d'entre vous auriez entendu parler de cela.
je sus dans un service (ados) où le médecin utilise régulièrement du risperdal, elle fait attention à réduire graduellement le ttt quand l'état du patient s'améliore, mais jamais entendu parler de ce que tu dis
je trouve d'autre part assez limite l'attitude de ta cadre qui, si je comprend bien, met en doute une prescription médicale...mais sans en parler avec le médecin
Et toi, en as tu parlé avec le médecin de ton unité ???


je soigne tout ce qui bouge ! Et parfois même ceux qui ne bougent pas...
- karibounette
- Forcené
- Messages : 371
- Inscription : 26 févr. 2008 16:10
coucou, beaucoup de patients psychotiques de mon service sont sous risperdal ou risperdal constat (retard). j'ai jamais entendu ça. un bon nombre d'entre eux ne suivent pas leur traitement une fois sorti de l'hopital (car se sentent mieux et malgrès nos recommandations) alors j'espère pour eux que c'est pas vrai parce que ça va etre tragique. en tout cas si vous avez plus amples infos, ça m'interesse 

même sur le plus beau trône du monde, on n'est jamais assis que sur son cul.
Non je n'en ai pas parlé au médecin puisqu'elle a laché ca à la fin de mon contrat donc je n'ai pas eu le temps.
En tout cas je n'ai trouvé nul par sur internet qq chose qui affirme ce qu'elle dit.
Je ne sais pas ou elle a trouvé cette information...
En tout cas si un jour j'en rentends parler je vous tiendrai au courant
En tout cas je n'ai trouvé nul par sur internet qq chose qui affirme ce qu'elle dit.
Je ne sais pas ou elle a trouvé cette information...
En tout cas si un jour j'en rentends parler je vous tiendrai au courant
- purple7vanille
- Habitué
- Messages : 72
- Inscription : 28 janv. 2006 10:08
traitement antidepresseur et femme enceinte
quel serait pour vous le traitement antidépresseur le mieux adapté( et donc le moins nocif pour bébé) à une femme enceinte qui n'en a jamais pris ?
quel est le but de cette question ?
Petit rappel au cas où : le forum ne doit pas être utilisé à titre de consultation médicale ou paramédicale. Les patients doivent demander conseils directement auprès de leur medecin et/ou infirmier
Petit rappel au cas où : le forum ne doit pas être utilisé à titre de consultation médicale ou paramédicale. Les patients doivent demander conseils directement auprès de leur medecin et/ou infirmier
Hâtons-nous aujourd'hui de jouir de la vie ; Qui sait si nous serons demain ? [Jean Racine]
- purple7vanille
- Habitué
- Messages : 72
- Inscription : 28 janv. 2006 10:08
mais je ne suis pas enceinte !!!!
le but est de savoir (quand il y a un désaccord entre médecins)
de quel côté on peut s'orienter
d'une part : l'un pense à la patiente qui doit avoir un type de traitement lui évitant de passer à l'acte
de l'autre part : l'autre pense que les traitements "forts" sont trop nocifs pour le foetus , et deletaires !
de quel côté se placer ?
quelle est vraiment la meilleure solution ?
sachant que de toutes manières , on appliquera la prescription !
le but est de savoir (quand il y a un désaccord entre médecins)
de quel côté on peut s'orienter
d'une part : l'un pense à la patiente qui doit avoir un type de traitement lui évitant de passer à l'acte
de l'autre part : l'autre pense que les traitements "forts" sont trop nocifs pour le foetus , et deletaires !
de quel côté se placer ?
quelle est vraiment la meilleure solution ?
sachant que de toutes manières , on appliquera la prescription !
la réponse est contenue dans ta question puisque tu dis que tu appliqueras, de toutes façons, la prescription.purple7vanille a écrit :mais je ne suis pas enceinte !!!!
le but est de savoir (quand il y a un désaccord entre médecins)
de quel côté on peut s'orienter
d'une part : l'un pense à la patiente qui doit avoir un type de traitement lui évitant de passer à l'acte
de l'autre part : l'autre pense que les traitements "forts" sont trop nocifs pour le foetus , et deletaires !
de quel côté se placer ?
quelle est vraiment la meilleure solution ?
sachant que de toutes manières , on appliquera la prescription !
laisse les toubibs s'arranger entre eux et prendre la décision.
- purple7vanille
- Habitué
- Messages : 72
- Inscription : 28 janv. 2006 10:08
en effet , j'appliquerais la prescription car nos actes sont régis par cela.
mais nous ne sommes pas que de simples executant(e)s
on peut discuter avec un interne de ce qui est le mieux pour les patients!
si j'ai des avis d'autres expériences de collègues , je saurais mieux mener ma discussion .
si ce cas s'est déjà présenté à vous qu'est ce qui est le plus sencé :
le petit être ou la maman ?
c'est tout de même un dilemme !
ou devrais-je peut-être me poser la question autrement ?
mais nous ne sommes pas que de simples executant(e)s
on peut discuter avec un interne de ce qui est le mieux pour les patients!
si j'ai des avis d'autres expériences de collègues , je saurais mieux mener ma discussion .
si ce cas s'est déjà présenté à vous qu'est ce qui est le plus sencé :
le petit être ou la maman ?
c'est tout de même un dilemme !
ou devrais-je peut-être me poser la question autrement ?