Programme des ide scolaires

[Raphael 88]

Bonjour . Un professeur m'a envoyé un élève du lycée en terminale car il pensait,d'après son comportement,que celui ci avait fumé du cannabis .Il avait une tension correcte ;pas les yeux rouges et était simplement fatigué ...Si cela avait été le cas ,aurais je été autorisé à lui répondre ?Qu'en pensez vous
?Merci pour le forum .

[lola normande]

non, tu n'as pas à lui faire part de tes constatations étant soumis au secret professionnel.

[europe222]

Salut alors sache que rien peut nous certifier qu'un jeune a consommé du cannabis sauf 3 conditions :
le jeune passe aux aveux
le flagrant délit
le dépistage par présence de THC (tétra hydro canabinol = principe actif de cette drogue) qui se fait par test urinaire et test salivaire (utilisé par les gendarmes notamment) où le plus fiable à 100 % effectué par bilan sanguin fait par un médecin (urgences entres autres ...)
sinon les signes perte de vigilance diminution concentration de temps de réaction pâleur faciès yeux rouges liés à une dilatation des vaisseaux occulaire ... tous ses signes sont je dirais pas trés révélateurs d'une consommation si les test ne le prouve pas et si le jeune ne l'avou pas tu peux toujours courir pour être certains . il faut expliquer au proviseur CPE prof qu'il n'ya aucuun moyen detre sur si le jeune ne devoile rien .

cependant grosse suspision la seul chose que tu peux faire ces faire un travauil relation d'aide et de prevention sur les drogues . et monter une action plus tard pourquoi pas
metre de la documentation a disposition .

voila mon avis

[isaislv]

Article paru sur Egora le : Lundi 27 Octobre 2008

Bachelot n´est pas contre la publicité pour l´alcool sur internet


P.M.
La publicité sur les boissons alcoolisées pourrait bien arriver sur les sites internet français. Dans une interview au quotidien Le Figaro, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot reconnaît en effet qu´elle n´y est pas hostile. Ses arguments : lorsqu´elle a été votée en 1991, la loi Evin – qui encadrait strictement la publicité pour l´alcool et interdisait celle pour le tabac – n´avait pas pris en compte internet. Or, « de récentes décisions de justice ont relancé le débat de la publicité sur internet ». Par ailleurs, « les sites de vente à l´étranger, eux, prospèrent sans obstacles ».

« Il faut donc moderniser la loi Evin, au vu de l´évolution des nouvelles technologies, conclut la ministre. C´est pourquoi je ne m´opposerai pas, lors de l´examen de la loi hôpital, patients, santé, territoire au Parlement [le débat est prévu pour janvier], à un amendement parlementaire qui actualise la loi Evin en autorisant la publicité sur internet. » Mais, ajoute-t-elle, « à la condition de prévoir des garde-fous ».

Le gouvernement interdira les « techniques intrusives » (spam ou pop-up, publicités qui surgissent de manière spontanée sur le web), imposera que la promotion de l´alcool soit assortie de messages sanitaires « parfaitement visibles, adaptés à internet » et exclura du champ de la loi les sites dédiés à la jeunesse, au sport et aux activités physiques, détaille la ministre.

Interrogé ce matin sur France Info, l´ancien ministre socialiste Claude Evin s´est dit globalement d´accord avec Roselyne Bachelot au nom du « principe de réalité ». « On ne va pas interdire toute publicité sur internet parce que la toile est mondiale et que ce serait absurde », a-t-il déclaré.

Les associations ¦uvrant pour la prévention de risques liés à l´alcool sont plus nuancées : elles sont prêtes à accepter de telles publicités, mais seulement sur les sites des producteurs et des distributeurs, c´est-à-dire des professionnels du vin.

[isaislv]

Editorial
L'alcool et les jeunes


C'est l'histoire du verre à moitié plein ou à moitié vide. Depuis des mois, le gouvernement a exprimé son intention de limiter sévèrement l'accès des jeunes à l'alcool pour tenter d'enrayer des phénomènes d'addiction de plus en plus précoces et dangereux. Le projet de loi " Hôpital, patients, santé et territoire " préparé par la ministre de la santé prévoit à cet effet plusieurs mesures comme l'interdiction stricte de vente d'alcool aux moins de 18 ans ou la prohibition des " open bars ", ces soirées étudiantes où l'on peut boire à volonté après s'être acquitté d'un ticket d'entrée.

Mais, dans le même temps, Roselyne Bachelot vient d'annoncer, avec un sens aigu de la litote, qu'elle ne s'opposera pas, lors de l'examen de ce texte au début de 2009, à un amendement parlementaire autorisant la publicité pour l'alcool sur Internet. La ministre s'est empressée d'ajouter que cette " actualisation " de la loi Evin, qui encadre strictement depuis 1991 la publicité pour les boissons alcoolisées, serait assortie de nombreuses protections : maintien de l'interdiction sur les sites voués aux jeunes ou au sport, messages assortis de mises en garde sanitaires, etc.

C'est vouloir une chose et son contraire. Non seulement Internet est sans conteste le média préféré des jeunes, mais c'est un média sans frontières : rien n'interdit à un adolescent de naviguer à sa guise sur le Web, sur des sites qui ne lui sont pas destinés ou sur des sites étrangers qui ne se privent pas de faire de la publicité pour des boissons alcoolisées. Prétendre y poser des garde-fous est donc largement illusoire.

A moins qu'il ne s'agisse d'une politique de gribouille, destinée à concilier l'inconciliable, en l'occurrence les impératifs de santé publique et les demandes insistantes des industriels du secteur pour lever les carcans qui brident leurs stratégies commerciales. Or toutes les études récentes le démontrent : l'abus d'alcool est en forte augmentation chez les jeunes depuis quelques années, et ce phénomène n'est certainement pas de nature à prévenir les dégâts que provoque toujours l'alcoolisme en France : 45 000 décès prématurés chaque année, 2 millions de personnes dépendantes, un tiers des accidents de la route provoqués par l'alcool et la plupart des violences conjugales. La ministre de la santé ne saurait l'ignorer.

© Le Monde du 29/10/08

[Clairoussou]

Bonjour,
Je suis étudiante en soins infirmiers. Durant ma deuxième année de formation je dois effectuer une démarche éducative. J'ai donc choisi de traiter de l'importance du sommeil à des enfants du CM2 ou CM1. J'aurais donc aimé savoir de quoi je pourrais vraiment traiter avec eux, sachant que ce sont des enfants.
Et aussi si jamais vous aviez des idées de jeux ou autre chose à faire avec eux qui parle du sommeil.

Merci de votre aide, et de m'avoir lu.
En éspérant une réponse de votre part.
A bientôt.

[Titre modifié => Juju5544]

[nouthi]

Salut!
Essaie peut etre d'aller au CODES ou la CPAM pour voir s'ils n'ontpas des supports adaptés à des enfants de cet âge.

[nouthi]

Bonjour a tous,
étudiante ide en 3eme année, je suis actuellement en stage dans un college.
J'oriente mes interventions sur le petit déjeuner auprés d'éleves de 6eme.
Auriez-vous des idées ou expèriences à me faire partager quand à l'expression des ressentit des éleves en rapports avec le petit-déjeuner. Je compte leur faire passer un questionnaire avant d'intervenir pour mieux connaitre les % d'éleves qui déjeunent ou pas, etc
De plus, mon 2eme projet serait de mettre en place un système au self, indiquant les proportions de sucres rapides / sucres lents / proteines etc dans les menus journaliers proposés, afin que les éleves puissent savoir comment est composé leur plateau au final.
De meme, auriez-vous des idées à me proposer?
Merci d'avance !!!

[wyllette]

utiliser le petit train du sommeil
se referer au plan sommeil 2007

[nouthi]

Merci pour cette aide précieuse !

[zeelandrules]

Une autre petite piste:
Tu devrais aussi les informer sur les perturbations du sommeil liées au mauvais usages des différents "écrans" (TV, consoles, internet), notamment avant l'heure du coucher.
J'avais eu connaissance d'une étude rapportant qu'un excès de télévision, influant sur les hormones, pouvait causer des troubles du sommeil.
De plus il semblerait que le fait d'exciter ses neurones devant internet etc avant l'heure du coucher ne soit pas favorable à l' endormissement.

[souffrance-exprimee]

Bonjour à tous,


Je m’appelle Vincent, j’ai 28 ans. Une de mes amies, Isabelle, a créé un site Internet « Automutilation : blessures secrètes » destiné à permettre aux personnes souffrant d’automutilation de s’exprimer et de trouver un peu de soutien auprès de personnes connaissant également ce trouble.

Ce forum connaît un certain succès aussi, nous avons souhaité donner une dimension moins virtuelle à ce soutien sur internet. C’est pourquoi nous avons créé une association qui s’appelle « La Souffrance exprimée ». Celle-ci a pour but de soutenir les personnes souffrant d’automutilation et d’agir en faveur de la reconnaissance de ce trouble.

Dans une perspective de "prévention", nous avons décidé de rédiger une brochure destinée aux infirmières scolaires afin qu'elles puissent la transmettre aux éléves se rendant à l'infirmerie.

Je voulais avoir votre avis avant d'entamer la réalisation concrête de ce document.
Toutes les critiques constructives sont bien sûr les bienvenues.




Voici le texte :



Automutilation : Vous n’êtes pas seuls


L’automutilation : un phénomène fréquent

21% des lycéens et 27% des lycéennes consultant l’infirmerie scolaire de leur établissement avouent s’être déjà blessés volontairement, selon une enquête menée par l’INSERM sur un échantillon représentatif (1).

Ces comportements d’automutilation consistent à s’auto-infliger des blessures : coupures, brûlures, coups, morsures, etc. Ils révèlent un profond mal-être, ce qui les distingue des actes plus esthétiques comme les piercings, les tatouages ou encore les scarifications.

Par ailleurs, ce phénomène n’est pas le seul fait d’élèves en difficulté scolaire ou présentant de graves troubles psychologiques. Il s’agit plutôt d’une méthode de gestion des émotions que l’on rencontre aussi chez les bons élèves, a priori sans difficulté.

Enfin, l’automutilation est une pratique souvent taboue pouvant aller au-delà de la crise d'adolescence, qui isole et dont il est difficile de parler à son entourage.


Les actions de la Souffrance exprimée contre l’automutilation.


Face à l’isolement engendré par ces blessures volontaires, nous, (bénévoles concernés ou ayant été concernés par l'automutilation, membres voulant simplement apporter leur soutien etc.), avons créé l’association La Souffrance Exprimée, association loi 1901, qui se donne pour mission :


Une entraide et un partage de témoignages entre personnes souffrants de l’automutilation, notamment en soutenant le forum Internet Blessures Secrètes (http://blessuressecretes.free.fr/forum/" target="_blank).

Une action en faveur de la reconnaissance des comportements d’automutilation, auprès des professionnels de la santé mentale, et au delà, du grand public. Pour ce faire La Souffrance exprimée prend contact avec des psychologues, psychiatres, infirmiers, ou encore des revues spécialisées.


Cette association ne remplace absolument pas l’aide d’un professionnel, elle a simplement pour objectif de rompre l’isolement des personnes concernées en apportant témoignages et partages d’expériences.

Ainsi, si vous souhaitez discuter avec quelqu’un qui a traversé des épreuves similaires aux vôtres, vous pouvez nous contacter.

Pour joindre l’association :
courriel supprimé ( cf charte d'utilisation ) [Ceci n’est pas une adresse mail d’urgence ]


(1) Choquet, Pommereau, Lagadic, Les élèves à l’infirmerie scolaire, 2001, Éditions INSERM, Paris

[europe222]

Bonjour Vincent , et bien je trouve que c'est une très très bonne idée votre brochures et votre site à condition que ce soit valider par des professionnels de santé (pédo psychiatre médecin scolaire ...) il est vrai que j'ai croisé pas mal de jeunes dans mon infirmerie pour des troubles de l'humeur à type anxio dépressif qu'ils manifesté par de l'automutilation souvent aux poignet avant bras et cuisse . ce sont des jeunes mal dans leur peau qui ont un grand besoin de vider leur sac, de parler d'être écouter bref d'une aide.

cette brochures pourrait etre un moyen de se dire qu on a un probleme et quil faut le prendre en charge. ou peux servir pour les famille pour mieux comprendre la signification des scarification et donc se rendre compte que son enfant va mal etlui aporter tout le soutien qui lui faut mais comme tu l'a si bien dit cela ne remplace pas une aide . tu devrai si je peux me permettre mettre sur la brochure un petit émoignage d'un jeune qui parlerai à tous les autres , que le jeune qui lal it et qui sé automutilé se'identifie a lui. + des numeros en plus de celui de votre association comme fil santé jeune ou allo suicide phoenix qu'en penses tu ?

si je peux me permettre le mot "mal être profond" fait un peu peur non?! y' aurai t -il un autre terme pour aller dans ce sens sans être trop flippant. faut dire qu'il fait réagir .

sinon le site est il surveiller ou non , ce que je veux dire c'est qu'il faut pas que le site face l'effet inverse c'est à dire un lieu de rencontre des jeunes ayant des idées suicidaires en commun , je pense au site de suicide en masse


bon c'est pas tt je régaierai plus tard car la je suis fatigué et ma nuit n'est pas terminé

[lola normande]

Bonjour,


Vous avez déjà ouvert ce sujet : prise en charge des personnes se blessant volontairement abordant la même question. On va donc poursuivre dessus

[souffrance-exprimee]

Bonjour à tous, bonjour Lola Normande,

La problématique des deux sujets est un peu différente.

Aussi, serait-il possible de pousuivre sur le forum "infirmière scolaire", parce que c'est avant tout à celles-ci que s'adressait ma demande.

L'autre post avait été rédigé sur le forum général. Aussi, je crains qu'en fusionant les deux sur la partie générale, je perde les témoignages tout à fait précieux des infirmières scolaires.

En tout cas, merci à tous ceux qui ont répondu. Votre aide est tout à fait précieuse.

Vincent.