"Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Forum de l'exercice en libéral et des soins à domicile

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pamela06
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par pamela06 »

Je n'ai pas encore eu l'occasion de faire un stage auprès d'infirmiers libéraux, mais je ne vois pas pourquoi, si ceux ci sont si peu contrôlés, ils auraient une attitude diamétralement opposée à ce qu'il se passe en institution.

Le texte de Danielle MOREAU ne repose peut-être que sur un seul exemple, mais dire que cela est une exception me parait relever du déni pur et simple. Assumez un peu messieurs dames, juste un peu, et vous paraîtrez plus crédibles...
Sincèrement, je t'invite à venir faire un stage avec moi, comme cela tu pourras vraiment te faire une opinion avant de coller des étiquettes.

Tu te permet de critiquer une profession qui n'est pas la tienne et dont tu ne connais rien, comment peut tu donc affirmer que sous prétexte de n'avoir aucun contrôle (et pourtant on est plus contrôlées qu'en institution !!), on doit tous faire notre travail n'importe comment ?

Crois tu que si l'on agissait ainsi, les gens seraient satisfaits et que l'on garderait nos patients pendants plusieurs années ?

Je connais aussi pas mal d'IDE qui travaillent en psy et qui font un boulot formidable, et c'est bien prétentieux et réducteur de ta part que de les mettre tous dans le même panier.


C'est du jugement de valeur, ne t'as t'on pas appris cela à l'école ?

Quand à certaines ESI, tout à fait d'accord avec Peniflo ...
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Bracciano-Galley
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par Bracciano-Galley »

lolo22 a écrit :Salut,

Je suis étonné du déni qui ressort de toute cette discussion.

Je suis en première année d'ifsi. Je fais actuellement mon premier stage dans un service de psychiatrie et me remet tout juste du fossé abyssal entre ce qu'on nous apprend en cours et ce que j'observe sur le terrain.

Il me semble que l'attention du soignant envers le patient est très loin de l'attitude d'un professionnel digne de ce nom (ma réflexion concerne des aides-soignants, amp mais aussi des infirmiers (ères)) :
- le matin lors de la toilette, les chambres sont grandes ouvertes (on cherchera à cette occasion où se situe le respect de la pudeur...),
- certains soignants infantilisent le patient en s'adressant à lui,
- les blagues vaseuses sont fréquentes,
- la politesse n'est pas toujours de mise chez certains soignants pour parler d'un patient,
- la brutalité lors des transferts s'apparente parfois à de la maltraitance...

Je n'ai pas encore eu l'occasion de faire un stage auprès d'infirmiers libéraux, mais je ne vois pas pourquoi, si ceux ci sont si peu contrôlés, ils auraient une attitude diamétralement opposée à ce qu'il se passe en institution.
pourquoi ? :) parce que ce sont des libéraux , que ce type d'exercice a quelque part un aspect "commercial" , qu'on attire pas les mouches avec du vinaigre et donc le client/patient avec du "j'm'en fous de vous" :clin: .

Donc une attitude diamétralement opposée ? je n'irai pas jusqu'à cette exagération :) mais différente ? oui ! certainement, du fait même qu'en libéral , nous sommes tous en concurrence les uns avec les autres et que le patient ira certainement vers celui avec qui il s'entend le mieux et qui s'occupera le mieux de lui (suivant ses critères propres de patient/client, bien entendu :clin: ).. ça oblige à certaines choses (au moins dans les coins où il n'y a pas un manque flagrant d'IDEL et où une concurrence saine peut s'exercer )
lolo22 a écrit :Le texte de Danielle MOREAU ne repose peut-être que sur un seul exemple, mais dire que cela est une exception me parait relever du déni pur et simple. Assumez un peu messieurs dames, juste un peu, et vous paraîtrez plus crédibles...
je crois que vous avez mal compris ou pas tout lu, personne n'a nié qu'il pouvait y avoir des derives, des deviances. Ce qui a été reproché au texte de Danielle Moreau est juste d'être parti d'une anedocte relatée par un tiers, non verifiable et non verifiée, donc pas avérée, pour tirer une généralité sur l'ensemble des professionnels libéraux . Voilà, c'est tout ! :clin:
Truisme n°1 : Quand on fait à la place de l'autre, non seulement on n'est pas à sa place, mais en plus, on empêche l'autre de prendre la place qui est la sienne :)
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votcha
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par votcha »

lolo22 a écrit :Je suis en première année d'ifsi. Je fais actuellement mon premier stage dans un service de psychiatrie et me remet tout juste du fossé abyssal entre ce qu'on nous apprend en cours et ce que j'observe sur le terrain.
hum hum .... justement apprend d'abord à faire la part des choses , à l'école on va d'apprendre pleins de choses mais ca reste de la théorie, aprés ce qui ce passe sur le terrain est tout autre car tu n'es plus devant ton cas concret écrit sur le papier mais devant des personnes vivante avec leurs emotions, leur caractère ... et tu dois faire avec , on est pas des machines nous aussi on a des émotions et même si on te dis qu'il faut les mettre au vestiaire quand tu prends ton poste et ben elles sont toujours là, tu apprends juste a faire avec ... avec de L'EXPERIENCE.

lolo22 a écrit :Il me semble que l'attention du soignant envers le patient est très loin de l'attitude d'un professionnel digne de ce nom (ma réflexion concerne des aides-soignants, amp mais aussi des infirmiers (ères))

permets moi de te dire que, si tu part avec une telle mentalité avant même d'être diplomée, je plaints tes futures collègues, on ne t'apprend pas (ou on ne t'a pas encore appris ??)le respect, l'observation......, ton boulot n'est pas de juger les autres, mais de travailler au mieux avec eux.

bon je m'arrêtes là.

bonne soirée
maggio38
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par maggio38 »

eun peu de travail d'équipe car on n est pas des animaux et en plus c pour la meme chose notre patient notre

quelqu'un a-t-il dit le contraire ? Calmons nous un peu. Qui a comparé qui à un animal ?

Il ya plein de jugements de valeurs dans ces interventions. Moi aussi, je dis à cette personne, étudiante en IFSI, Lolo22 : viens faire un stage chez nous, on t'accueille volontiers. Tous les ans, nous accueillons une stagiaire, pourquoi pas toi ?
On peut faire son travail du mieux qu'on peut et sans pour cela en faire un livre.
et rester calme et respectueux de l'autre, qu'il soit patient ou IDE d'un autre cabinet. :chine:
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peniflo
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par peniflo »

:snif: étrange tous ces nouveaux inscrits qui ne font qu'une intervention et puis s'en vont ....
Quand deux verbes se suivent le 2eme se met à l'infinitif.
Après les auxiliaires être et avoir, on met un participe passé.
Après être : il s'accorde, après avoir : non, sauf si le COD est placé devant....
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par Djembé »

Ce sera mon dernier commentaire, parce qu'on peut passer ses journées à répondre à la réponse de la réponse de la réponse...
" Il ne faut pas porter de jugement de valeur " dit un ou une Internaute. Mais sans cette capacité à juger donc à discerner, ce qui est correct de ce qui ne l'est pas, comment diriger son action ?
Oui, il y a des actes et/ou des comportements qui valent mieux (ou moins bien) que d'autres et ce n'est pas un crime que de le reconnaître, mais plutôt une preuve que la sensibilité à ce qui se passe autour de soi n'est pas encore émoussée par la routine et l'habitude.
Ce que dit cet étudiant de son stage est hélas sans doute vrai. Il n'y a pas besoin de 10 ans d'expérience pour se rendre compte d'un dysfonctionnement dans la relation avec les patients...
C'est étonnant tout de même que tous les professionnels disent très bien faire leur boulot, que tout le monde soit parfait et qu'il y ait malgré tout encore beaucoup de situations humainement médiocres dans les soins, Psy ou pas... C'est un mystère, ça !
La pierre philosophale transformait paraît-il le plomb en or. La pratique soignante sur le terrain semble faire exactement le contraire : transformer l'or des principes (la " théorie tant décriée) en plomb. Dommage...
Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas ; c'est parce que nous n'osons pas que les choses sont difficile ! Sénèque
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peniflo
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par peniflo »

C'est étonnant tout de même que tous les professionnels disent très bien faire leur boulot,
Ce n'est pas moi qui le dit mais mes patients....et, oui ils sont étonnés de voir des libérales qui prennent le temps de les "bichonner", preuve qu'il y a des dérives, personne ne le nie, mais de là à remettre à généraliser et remettre en cause le paiement des IDEL à l'acte, il y a un manque certain de recul et d'objectivité....
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peniflo
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par peniflo »

Ce sera mon dernier commentaire, parce qu'on peut passer ses journées à répondre à la réponse de la réponse de la réponse...
En même temps, c'est un peu le principe d'un forum !!! :lol:
Quand deux verbes se suivent le 2eme se met à l'infinitif.
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par fbi07 »

"si le ciel nous donne la connaissance de l'avenir, c'est pour qu'il soit changé."mr Coelho Paulo de son nom

Apres d'avoir fait lire l article aux collégues ide et auxilliaire nous pensons que c'est important de travailler ensemble et que l ide libérale aura toujours la meme réputation boire le kf et avoir plein de tunes alors si une auxilliaire décue veut venir voir ce qu'est un vrai travail d'équipe et n'a pas peur de s'exprimer bienvenue
mettre en pratique ce débat est une réeelle prise de conscience et vaut le détour :zen:
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Bracciano-Galley
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par Bracciano-Galley »

Djembé a écrit : C'est étonnant tout de même que tous les professionnels disent très bien faire leur boulot, que tout le monde soit parfait et qu'il y ait malgré tout encore beaucoup de situations humainement médiocres dans les soins, Psy ou pas... C'est un mystère, ça !
La pierre philosophale transformait paraît-il le plomb en or. La pratique soignante sur le terrain semble faire exactement le contraire : transformer l'or des principes (la " théorie tant décriée) en plomb. Dommage...
Einstein disait :
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" :clin:

En tout cas, merci pour d'être passée sur ce forum .Cette conversation fut fort interessante :chine
Truisme n°1 : Quand on fait à la place de l'autre, non seulement on n'est pas à sa place, mais en plus, on empêche l'autre de prendre la place qui est la sienne :)
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par rockeuse »

je me suis nouvellement inscrite sur ce forum pour répondre à l'article de madame MOREAU.
je suis infirmière libérale depuis 30 ans et clinicienne ,et à ce titre , je suis experte en démarche clinique infirmière et référente dans le "prendre soin"
Avec la grille d'évaluation des TFE que je suis amené assez souvent à noter en binôme avec des cadres enseignants , j 'évalurais à 7/20 votre article.
Une réflexion, est un questionnement et non une analyse basée sur une seule facette du problème:
- cette patiente a t-elle enfantée cinq ingrats pour se retrouver seule sans même un appel téléphonique ou cette patiente a l'habitude de critiquer tout le monde et fait fuir les gens? (on en a tous connu)
-l'AVS s'est -elle demandée si la patiente ne tenait pas le même discours sur elle ,auprès de L'IDE?
Elle sort d' une dépression lourde et est encore sous traitement : ces traitements ont ils des répercussions sur ses fonctions cognitives et ses repères temporels?
L'AVS a posé le diagnostic de chute mécanique, les effets iatrogènes des traitements anxiolitiques et antidepresseurs peuvent aussi provoquer des chutes?
L'AVS donne des antalgiques alors que cet acte n'entre pas dans son domaine de compétence et de responsabilités.Même l'IDE ne peut qu'évaluer la douleur dans le cadre de son rôle propre (ART R 4311-5 du CSP) alors que la distribution d'antalgiques relève du rôle médico prescrit protocolisé (art R 4311-8 )
L'AVS s'est elle assurée auprès de L'IDE du non doublon ?
Le paracétamol est létal au delà de 8 g et morbide si l'on ne respecte pas le délai de 4 heures entre chaque prise mais l'AVS n'a pas de connaissance pharmacologique....
L'AVS a-telle prévenu le médecin pour ces bosses ? Non
L'AVS a t-elle pris des responsabilités et des initiatives qui ne relevaient pas de ces compétences ? oui: elle conseille la prise d'antalgique , elle utilise une pommade avec produit actif sans autorisation médicale, elle masse sans être en capacité de poser un diagnostic de fracture ou entorse, elle pose une contention à visée antalgique .

Il est dangereux de laisser croire à des professionnls sociaux en manque de reconnaissance qu'ils sont de bons professionnels en les mettant dans l'illégalité juridique dans le cadre de glissement de tâches .Cette AVS s'est sentie flattée dans son narcissisme sans mesurer les conséquences médico légales de ses actions dans une société légaliste.
Madame MOREAU cite l'ordre.
Je suis conseillère ordinale
Il est vrai que l'ordre est garant de la qualité des soins et qu'il pourrait convoquer l'AVS, la patiente et l'IDE (car lui, prendra les 3 avis avant de statuer) au niveau départemental dans le cadre de sa commission de médiation et renvoyer l'IDE au niveau régional dans le cadre de la commission disciplinaire
Mais l'ordre est là auusi pour défendre la profession d'infirmière et lutter contre les glissements illégaux de compétences.
L'ordre a tout pouvoir de s'auto saisir et de sanctionner les articles , les sites et les organismes de formation qui promouvraient ces glissements.

Maintenant , au nom de la profession que vous avez bafouée, je vous demanderai d'écrire un article en droit de réponse sur le fait suivant que notre cabinet a vécu:
Intervention d'IDe 2 fois par jour ,auprès d'une personne agée de 86 ans pour surveillance thérapeutique suite à une perte de 12 kgs liées à une dépression consécutive à une familiopathie (2 enfants adoptés il y a près de 50 ans et qui ne s'occupent plus de leur mère) et des chutes liées à une hypotension orthostatique
Mise en place d'un portage de repas , d'une AVS pour les sorties .
A nos passages , nous nous asseyions, nous la regardions , nous la touchions, nous la questionnions (questions ouvertes, reformulation etc..) Nous la pésions 1 fois par semaine , nous nous interressions au contenu de ses repas , à ses sorties etc... même si nous ne restions que peu de temps par rapport à l'AVS ,notre qualité de prise en charge était présente.
Nous avons reçu une lettre de l'AVS , nous demandant de rester à notre place, de nous contenter de donner les médicaments, que nous n'avions pas à poser de diagnostics et qu'elle était là pour la surveiller et s'occuper d'elle.
cette AVS a bien sur, reçu une lettre recommandée circonstanciée, de notre part, lui rappelant les articles du code de santé publique et la définition d'un diagnostic infirmier avec copie à la famille , à son organisme, et au médecin traitant.

Voilà les dérives auxquelles mènent des articles non objectifs et qui ne posent pas les bonnes questions ........
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peniflo
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par peniflo »

J'ajouterai en plus que cet article à ceci de subjectif qu'il se base sur les propos relatés par l'AVS elle-même, et uniquement cette dernière, lors d'une formation AVS...
1) Situation rapportée lors d’une journée de formation pour les auxiliaires de vie
Dans ce type de situation on a vite fait de se faire mousser afin de passer pour Zorro auprès des autres consoeurs outrées par le comportement de l'IDE et admiratives du professionnalisme de leur collègue....
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par pamela06 »

Dommage que l'auteur de l'article n'ai pas le courage d'assumer ses écrits ... quand on est capable d'écrire un tel torchon, on devrait être capable d'avoir les c....... de se justifier auprès des IDEL ... vous ne pensez pas ?
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votcha
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par votcha »

tout à fait d'accord avec toi Paméla
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Re: "Soigner, est-ce encore le souci des infirmiers ?"

Message par Bracciano-Galley »

Paméla a écrit :Dommage que l'auteur de l'article n'ai pas le courage d'assumer ses écrits ... quand on est capable d'écrire un tel torchon, on devrait être capable d'avoir les c....... de se justifier auprès des IDEL ... vous ne pensez pas ?
euhhhhhh là, faut peut-être pas trop pousser le bouchon :clin: L'auteur de l'article a signé cet article avec son identité réelle, donc assume clairement ses ecrits, et l'on peut la joindre par mail très facilement ......ce qui n'est pas le cas de ceux qui l'allument sous me couvert d'un pseudo :clin: ....

donc mettons quelques nuances à ce genre de propos :) :Critiquer l'article, contre argumenter : oui ! :) .. critiquer l'auteur ?? c'est autre chose :?
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