et de un de plus...
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers
Re: et de un de plus...
Et encore c'est les chiffres que l'on rencontre dans le public. Mais il n'est pas rare de voir dans des maisons de retraite privée "médicalisée" 80 voire 90 résidents sous la responsabilité d'UNE seule IDE le jour uniquement, et de n'avoir en surveillance la nuit que des auxiliaires de vie.Casey a écrit : - 1 IDE pour 40 résidents en gériatrie
...
Ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu'endormis.
- patin couffin
- VIP
- Messages : 1850
- Inscription : 16 mai 2007 20:26
- Localisation : Bimboland
Re: et de un de plus...
Tout à fait.marcellau a écrit : ...
Et encore c'est les chiffres que l'on rencontre dans le public. Mais il n'est pas rare de voir dans des maisons de retraite privée "médicalisée" 80 voire 90 résidents sous la responsabilité d'UNE seule IDE le jour uniquement, et de n'avoir en surveillance la nuit que des auxiliaires de vie.
Et une IDE de nuit pour 90 patients de convalo ......
C'est sûr qu'avec les économies de personnel qu'ils font, ils ne sont pas en déficit !!!!!
Et Binoute1, les médicaments çà coute cher et ne sont pas remboursés pour beaucoup à 100 %. Faut pas abuser, ils ne vont pas fournir en plus les médocs, non mais où on va là !!!!


Re: et de un de plus...
lu dans la depeche du midi de toulouse :
Erreur médicale : « J'ai cru que mon fils allait mourir »
Témoignage. Les parents du nourrisson victime d'un malaise cardiaque à l'hôpital des enfants, après une erreur dans l'administration d'un produit, reviennent sur cette soirée du 31 décembre.
Quentin, Ophélie et Enzo ont retrouvé le sourire.Photo DDM, Xavier de Fenoyl.« L'infirmière a sauvé notre enfant. Dès qu'elle a constaté l'erreur de l'auxiliaire puéricultrice, elle a aussitôt pris les choses en main. Mais à deux minutes près, c'était fini… » Les parents d'Enzo, ce nourrisson de quatre mois atteint d'une bronchiolite et qui a fait un malaise cardiaque à la suite d'une erreur dans l'administration d'un produit à l'hôpital des enfants, la nuit du 31 décembre, ont retrouvé, lundi, leur appartement dans le quartier Bonnefoy, à Toulouse (notre édition d'hier). Nous avons rencontré cette famille. Les parents d'Enzo, Ophélie et Quentin Le Normand-Bellay, reviennent sur cette soirée qu'ils n'oublieront jamais.
Que s'est-il passé à l'hôpital des enfants, le soir du 31 décembre ?
Enzo est arrivé aux urgences quelques jours avant pour soigner une bronchiolite. Il avait du mal à respirer. Le soir du 31 décembre alors qu'il était en voie de rétablissement, une infirmière et une auxiliaire puéricultrice arrivent dans la chambre pour les soins. L'infirmière s'occupait d'un autre bébé et avait demandé à l'auxiliaire de procéder aux soins comme elle venait de le faire pour un autre enfant. En trois secondes, tout a basculé.
C'est à dire ?
Elle a confondu les sondes. Elle a injecté du sérum physiologique dans une veine d'Enzo et une dose de Motilium, toujours par voie veineuse. Alors que ce produit aurait dû lui être administré par voie gastrique. Enzo a vomi. Il est devenu rouge, puis blanc. Ses yeux se sont fermés. Il a fait un malaise cardiaque et a été transféré en salle de réanimatio. Il ne l'a pas quittée durant deux jours.
Comment a-t-il été sauvé ?
L'infirmière s'est rendue compte de l'erreur de l'auxiliaire qui tenait encore la seringue quand un bip a sonné. Elle a réagi très vite en aspirant la dose de Motilium injectée par l'auxiliaire qui tentait de dissimuler son erreur. Heureusement que l'infirmière était dans la chambre pour réaspirer le produit. À deux minutes près, Enzo aurait pu mourir.
Selon vous, l'auxiliaire était formée pour pratiquer les soins ?
Je ne pense pas. D'ailleurs, elle a voulu aussitôt s'occuper d'un autre enfant après Enzo mais sa mère, témoin de l'erreur médicale, lui a conseillé de ne pas s'en approcher.
Vous êtes en colère ?
Non, car l'infirmière a sauvé notre enfant en s'excusant par rapport au travail de l'auxiliaire qui, elle, ne s'est jamais excusée. L'hôpital a reconnu son erreur.
Vous comptez engager des poursuites contre l'hôpital ?
Non. Notre enfant est vivant. On souhaite simplement des garanties par rapport à ce qu'a subi Enzo. Qu'il ne souffre pas de séquelles. On nous a assurés, grâce au centre antipoison, qu'il n'y avait plus de risque. Enzo boit même son biberon tout seul.
On a l'impression que la faute est rejeté completement sur l'auxiliaire mais pkoi l'IDE lui laisse faire ce genre de soins en sachant qu'elle n'a pas les competences ni legal ni technique !!!!!
l'auxiliaire travaille quand meme sous la responsabilité de l'IDE !!!!
Erreur médicale : « J'ai cru que mon fils allait mourir »
Témoignage. Les parents du nourrisson victime d'un malaise cardiaque à l'hôpital des enfants, après une erreur dans l'administration d'un produit, reviennent sur cette soirée du 31 décembre.
Quentin, Ophélie et Enzo ont retrouvé le sourire.Photo DDM, Xavier de Fenoyl.« L'infirmière a sauvé notre enfant. Dès qu'elle a constaté l'erreur de l'auxiliaire puéricultrice, elle a aussitôt pris les choses en main. Mais à deux minutes près, c'était fini… » Les parents d'Enzo, ce nourrisson de quatre mois atteint d'une bronchiolite et qui a fait un malaise cardiaque à la suite d'une erreur dans l'administration d'un produit à l'hôpital des enfants, la nuit du 31 décembre, ont retrouvé, lundi, leur appartement dans le quartier Bonnefoy, à Toulouse (notre édition d'hier). Nous avons rencontré cette famille. Les parents d'Enzo, Ophélie et Quentin Le Normand-Bellay, reviennent sur cette soirée qu'ils n'oublieront jamais.
Que s'est-il passé à l'hôpital des enfants, le soir du 31 décembre ?
Enzo est arrivé aux urgences quelques jours avant pour soigner une bronchiolite. Il avait du mal à respirer. Le soir du 31 décembre alors qu'il était en voie de rétablissement, une infirmière et une auxiliaire puéricultrice arrivent dans la chambre pour les soins. L'infirmière s'occupait d'un autre bébé et avait demandé à l'auxiliaire de procéder aux soins comme elle venait de le faire pour un autre enfant. En trois secondes, tout a basculé.
C'est à dire ?
Elle a confondu les sondes. Elle a injecté du sérum physiologique dans une veine d'Enzo et une dose de Motilium, toujours par voie veineuse. Alors que ce produit aurait dû lui être administré par voie gastrique. Enzo a vomi. Il est devenu rouge, puis blanc. Ses yeux se sont fermés. Il a fait un malaise cardiaque et a été transféré en salle de réanimatio. Il ne l'a pas quittée durant deux jours.
Comment a-t-il été sauvé ?
L'infirmière s'est rendue compte de l'erreur de l'auxiliaire qui tenait encore la seringue quand un bip a sonné. Elle a réagi très vite en aspirant la dose de Motilium injectée par l'auxiliaire qui tentait de dissimuler son erreur. Heureusement que l'infirmière était dans la chambre pour réaspirer le produit. À deux minutes près, Enzo aurait pu mourir.
Selon vous, l'auxiliaire était formée pour pratiquer les soins ?
Je ne pense pas. D'ailleurs, elle a voulu aussitôt s'occuper d'un autre enfant après Enzo mais sa mère, témoin de l'erreur médicale, lui a conseillé de ne pas s'en approcher.
Vous êtes en colère ?
Non, car l'infirmière a sauvé notre enfant en s'excusant par rapport au travail de l'auxiliaire qui, elle, ne s'est jamais excusée. L'hôpital a reconnu son erreur.
Vous comptez engager des poursuites contre l'hôpital ?
Non. Notre enfant est vivant. On souhaite simplement des garanties par rapport à ce qu'a subi Enzo. Qu'il ne souffre pas de séquelles. On nous a assurés, grâce au centre antipoison, qu'il n'y avait plus de risque. Enzo boit même son biberon tout seul.
On a l'impression que la faute est rejeté completement sur l'auxiliaire mais pkoi l'IDE lui laisse faire ce genre de soins en sachant qu'elle n'a pas les competences ni legal ni technique !!!!!

l'auxiliaire travaille quand meme sous la responsabilité de l'IDE !!!!
"Si dieu existe, j'espere qu'il a une bonne excuse!" woody allen.
Re: et de un de plus...
entierement d'accord!
Re: et de un de plus...
Quasiment chaque jour en ce moment, nous voyons apparaître dans les différentes presses des erreurs paramédicales.
L'hôpital public et la profession infirmière vont-ils tellement a volo en ce moment au point que bientôt lors de l'attribution du DE on nous attribuera également la qualification de "007 - permi de tuer".
Ou les presses se ruent-elles systématiquement sur tous les soucis qui se présentent au sein des centres hospitaliers. Même si je le conçois, ces situations étaient dramatiques. mais la presse ne cite pas les nombreuses personnes sauvées par l'intervention des personnels de santé.
L'hôpital public et la profession infirmière vont-ils tellement a volo en ce moment au point que bientôt lors de l'attribution du DE on nous attribuera également la qualification de "007 - permi de tuer".
Ou les presses se ruent-elles systématiquement sur tous les soucis qui se présentent au sein des centres hospitaliers. Même si je le conçois, ces situations étaient dramatiques. mais la presse ne cite pas les nombreuses personnes sauvées par l'intervention des personnels de santé.
Sorlock83
IDE en Service de Surveillance Médicale Continue Cardio, MNPS
"quand la bouteille est vide, je craques une allumette et la bouteille vide se remplit de lumière " (JJGoldman)
IDE en Service de Surveillance Médicale Continue Cardio, MNPS
"quand la bouteille est vide, je craques une allumette et la bouteille vide se remplit de lumière " (JJGoldman)
- binoute1
- Star VIP
- Messages : 8487
- Inscription : 02 juil. 2008 20:45
- Localisation : pas là où je voudrais
Re: et de un de plus...
les journalistes font des planques ds les toilettes de l'hosto à la recherchce du scoop!!
on rigole, on rigole, mais aus Etats-Unis, ce sont les avocats qui ont parfois des bureau ds les halls d'hôpitaux...et ça c'est vrai.
on rigole, on rigole, mais aus Etats-Unis, ce sont les avocats qui ont parfois des bureau ds les halls d'hôpitaux...et ça c'est vrai.
"Le psychiatre sait tt et ne fait rien, le chirurgien ne sait rien ms fait tt, le dermatologue ne sait rien et ne fait rien, le médecin légiste sait tout, mais un jour trop tard"
-
- Habitué
- Messages : 86
- Inscription : 28 août 2008 20:19
Re: et de un de plus...
binoute1 a écrit :les journalistes font des planques ds les toilettes de l'hosto à la recherchce du scoop!!
on rigole, on rigole, mais aus Etats-Unis, ce sont les avocats qui ont parfois des bureau ds les halls d'hôpitaux...et ça c'est vrai.
Et je trouve cela très bien.
Vous ne laisserez peut être plus faire des actes qui sont de votre compétence à des individus qui n'ont pas la votre. Une fois de plus, et par inconscience de délégation d'un acte, un môme à frôlé la mort. Il en faudra combien pour vous réveiller ???
Re: et de un de plus...
Apparemment, le dépassement de compétences se pratique pas mal. On me l'avait dit, mais je trouve ça inadmissible.
Puis je sais pas, mais ça emmerde pas les IDE, qui cautionnent ce genre de pratiques, que des personnes moins qualifiées qu'elles pratiquent les mêmes soins? on croirait presque que leurs 3 années d'études, avec toutes les connaissances acquises et indispensables, ne leur servent à rien, puisqu'après tout, les as et ap, qui ont moins de connaissances, et qui ne sont pas autorisées à les pratiquer, "peuvent" prodiguer ces soins...
Je trouve qu'elles dévalorisent elles- mêmes leur diplôme et tout ce qu'elles savent, en acceptant ça
Je veux bien qu'elles aient beaucoup de travail, mais à un moment donné, faut peut- être penser à la vie des patients (apprécieraient- elles de voir venir une as changer la perf de quelqu'un de leur famille, alors qu'elle n'est pas qualifiée pour?).
Puis je sais pas, mais ça emmerde pas les IDE, qui cautionnent ce genre de pratiques, que des personnes moins qualifiées qu'elles pratiquent les mêmes soins? on croirait presque que leurs 3 années d'études, avec toutes les connaissances acquises et indispensables, ne leur servent à rien, puisqu'après tout, les as et ap, qui ont moins de connaissances, et qui ne sont pas autorisées à les pratiquer, "peuvent" prodiguer ces soins...
Je trouve qu'elles dévalorisent elles- mêmes leur diplôme et tout ce qu'elles savent, en acceptant ça

Je veux bien qu'elles aient beaucoup de travail, mais à un moment donné, faut peut- être penser à la vie des patients (apprécieraient- elles de voir venir une as changer la perf de quelqu'un de leur famille, alors qu'elle n'est pas qualifiée pour?).
IDE
- Casey
- Accro
- Messages : 1428
- Inscription : 08 nov. 2003 00:11
- Localisation : Ici et ailleurs...
- Contact :
Re: et de un de plus...
Je pense qu'on parle bcp des erreurs paramédicales parce qu'on est au contact du public mais les médecins en font aussi (je suis au bloc, et parfois, c'est pas triste), sans parler des examens demandés en urgence qui ne sont jamais vu, des radios examinés par un externe, etc...
- viperus
- Accro
- Messages : 762
- Inscription : 31 oct. 2008 16:24
- Localisation : Loin de Ma Provence natale malheureusement...
Re: et de un de plus...
Encore un glissement de tâche qui dérape...vinch a écrit :lu dans la depeche du midi de toulouse :
Erreur médicale : « J'ai cru que mon fils allait mourir »
Témoignage. Les parents du nourrisson victime d'un malaise cardiaque à l'hôpital des enfants, après une erreur dans l'administration d'un produit, reviennent sur cette soirée du 31 décembre.
Quentin, Ophélie et Enzo ont retrouvé le sourire.Photo DDM, Xavier de Fenoyl.« L'infirmière a sauvé notre enfant. Dès qu'elle a constaté l'erreur de l'auxiliaire puéricultrice, elle a aussitôt pris les choses en main. Mais à deux minutes près, c'était fini… » Les parents d'Enzo, ce nourrisson de quatre mois atteint d'une bronchiolite et qui a fait un malaise cardiaque à la suite d'une erreur dans l'administration d'un produit à l'hôpital des enfants, la nuit du 31 décembre, ont retrouvé, lundi, leur appartement dans le quartier Bonnefoy, à Toulouse (notre édition d'hier). Nous avons rencontré cette famille. Les parents d'Enzo, Ophélie et Quentin Le Normand-Bellay, reviennent sur cette soirée qu'ils n'oublieront jamais.
Que s'est-il passé à l'hôpital des enfants, le soir du 31 décembre ?
Enzo est arrivé aux urgences quelques jours avant pour soigner une bronchiolite. Il avait du mal à respirer. Le soir du 31 décembre alors qu'il était en voie de rétablissement, une infirmière et une auxiliaire puéricultrice arrivent dans la chambre pour les soins. L'infirmière s'occupait d'un autre bébé et avait demandé à l'auxiliaire de procéder aux soins comme elle venait de le faire pour un autre enfant. En trois secondes, tout a basculé.
C'est à dire ?
Elle a confondu les sondes. Elle a injecté du sérum physiologique dans une veine d'Enzo et une dose de Motilium, toujours par voie veineuse. Alors que ce produit aurait dû lui être administré par voie gastrique. Enzo a vomi. Il est devenu rouge, puis blanc. Ses yeux se sont fermés. Il a fait un malaise cardiaque et a été transféré en salle de réanimatio. Il ne l'a pas quittée durant deux jours.
Comment a-t-il été sauvé ?
L'infirmière s'est rendue compte de l'erreur de l'auxiliaire qui tenait encore la seringue quand un bip a sonné. Elle a réagi très vite en aspirant la dose de Motilium injectée par l'auxiliaire qui tentait de dissimuler son erreur. Heureusement que l'infirmière était dans la chambre pour réaspirer le produit. À deux minutes près, Enzo aurait pu mourir.
Selon vous, l'auxiliaire était formée pour pratiquer les soins ?
Je ne pense pas. D'ailleurs, elle a voulu aussitôt s'occuper d'un autre enfant après Enzo mais sa mère, témoin de l'erreur médicale, lui a conseillé de ne pas s'en approcher.
Vous êtes en colère ?
Non, car l'infirmière a sauvé notre enfant en s'excusant par rapport au travail de l'auxiliaire qui, elle, ne s'est jamais excusée. L'hôpital a reconnu son erreur.
Vous comptez engager des poursuites contre l'hôpital ?
Non. Notre enfant est vivant. On souhaite simplement des garanties par rapport à ce qu'a subi Enzo. Qu'il ne souffre pas de séquelles. On nous a assurés, grâce au centre antipoison, qu'il n'y avait plus de risque. Enzo boit même son biberon tout seul.
On a l'impression que la faute est rejeté completement sur l'auxiliaire mais pkoi l'IDE lui laisse faire ce genre de soins en sachant qu'elle n'a pas les competences ni legal ni technique !!!!!![]()
l'auxiliaire travaille quand meme sous la responsabilité de l'IDE !!!!

Quand "les autres" te font douter, penses aux malades qui t'ont donné leur dernier regard...et tu sauras ce que tu vaux !
Re: et de un de plus...
Certainement ... mais ne justifions pas nos erreurs avec celles des autres! Ce n'est pas très sain.Casey a écrit :Je pense qu'on parle bcp des erreurs paramédicales parce qu'on est au contact du public mais les médecins en font aussi (je suis au bloc, et parfois, c'est pas triste), sans parler des examens demandés en urgence qui ne sont jamais vu, des radios examinés par un externe, etc...

- Casey
- Accro
- Messages : 1428
- Inscription : 08 nov. 2003 00:11
- Localisation : Ici et ailleurs...
- Contact :
Re: et de un de plus...
Je ne cherche pas à justifier les diverses erreurs de nos collègues mais la raison pour laquelle on en parle plus.
IDE au bloc, je circule dans le reste de l'hopital en "blanc", comme mes collègues des étages. Il suffit que je passe dans un service ou une consultation pour entendre "le temps d'attente est encore long" "j'attends mes médicaments". Ce à quoi je réponds que je ne suis pas du service, je ne fais que passer. Parce que je suis là, je me prends parfois plein la tronche. Mais par ex, en consult, si je me renseigne pour 1, 10 autres patients viennent me voir... Alors que l'accueil est vide à 10m...
IDE au bloc, je circule dans le reste de l'hopital en "blanc", comme mes collègues des étages. Il suffit que je passe dans un service ou une consultation pour entendre "le temps d'attente est encore long" "j'attends mes médicaments". Ce à quoi je réponds que je ne suis pas du service, je ne fais que passer. Parce que je suis là, je me prends parfois plein la tronche. Mais par ex, en consult, si je me renseigne pour 1, 10 autres patients viennent me voir... Alors que l'accueil est vide à 10m...
Re: et de un de plus...
Bonjour à tous,
Je me retrouve tout à fait dans les propos de Marcellau.
Il y a des dysfonctionnements qui existent depuis des années et même s'ils sont connus de la direction, aucune décision n'est prise et un beau jour Boum LA BOULETTE.
Les erreurs commises doivent être punies, mais pas seulement au niveau des paramédicaux, il faut remonter au niveau des responsables,surveillants, médecins.
C'est pas normal qu'un interne est besoin d'une heure pour négocier un scanner, encore une heure pour que le cardio daigne ce déplacer et encore une heure pour que le chef de service accepte un patient dans son service.
Le laxisme de certains devient de plus en plus pesant.
Juste pour dire que l'effet loupe est là, attention a vos faits et gestes.
Je me retrouve tout à fait dans les propos de Marcellau.
Il y a des dysfonctionnements qui existent depuis des années et même s'ils sont connus de la direction, aucune décision n'est prise et un beau jour Boum LA BOULETTE.
Les erreurs commises doivent être punies, mais pas seulement au niveau des paramédicaux, il faut remonter au niveau des responsables,surveillants, médecins.
C'est pas normal qu'un interne est besoin d'une heure pour négocier un scanner, encore une heure pour que le cardio daigne ce déplacer et encore une heure pour que le chef de service accepte un patient dans son service.
Le laxisme de certains devient de plus en plus pesant.
Juste pour dire que l'effet loupe est là, attention a vos faits et gestes.
DTC à gauche
Re: et de un de plus...
j'en ai justement lu une dans le républicain lorrain, une famille porte plainte contre le CHU de Strasbourg, car leur enfant, un ados sportif est mort suite à une "négligence médicale.
En effet, l'ado a eu la rate touché lors d'une chute à vélo (compétition velocross), et le toubib n'a pas jugé utile de l'opérer...
En effet, l'ado a eu la rate touché lors d'une chute à vélo (compétition velocross), et le toubib n'a pas jugé utile de l'opérer...
la connerie c'est comme un virus: ça se propage à une vitesse folle quand on est au contact de personnes contaminées!!
Re: et de un de plus...
Je suis peut être un peu fatiguée, mais je ne comprends pas trop où tu veux en venir ... Quel rapport entre les gens qui demandent un renseignement dans un hôpital et les faits dont on parle plus haut?Casey a écrit :Je ne cherche pas à justifier les diverses erreurs de nos collègues mais la raison pour laquelle on en parle plus.
IDE au bloc, je circule dans le reste de l'hopital en "blanc", comme mes collègues des étages. Il suffit que je passe dans un service ou une consultation pour entendre "le temps d'attente est encore long" "j'attends mes médicaments". Ce à quoi je réponds que je ne suis pas du service, je ne fais que passer. Parce que je suis là, je me prends parfois plein la tronche. Mais par ex, en consult, si je me renseigne pour 1, 10 autres patients viennent me voir... Alors que l'accueil est vide à 10m...
Jen ai aussi entendu parler ce matin ... encore une fois, méfiance par rapport aux infos délivrées par les médias.Sabsab!! a écrit :'en ai justement lu une dans le républicain lorrain, une famille porte plainte contre le CHU de Strasbourg, car leur enfant, un ados sportif est mort suite à une "négligence médicale.
En effet, l'ado a eu la rate touché lors d'une chute à vélo (compétition velocross), et le toubib n'a pas jugé utile de l'opérer...
De plus, Maxime W. n'a pas chuté lors d'une compétition de vélocross mais lors d'un décrassage avec son père dans une forêt strasbourgeoise ...