Actualités - Faits Divers
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Re: Actualités - Faits Divers
Il y a un manque flagrant de communication et d' information dans ces familles .Miss Marion a écrit : ca aussi c'est du grand n'importe quoi mais la a 13 ans quand même ce ne sont que des enfants!
C'est sûr même !ce sont les grands parents qui élèveront certainement le bébé .
marie-pierre
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Re: Actualités - Faits Divers
du moment que le petit ne soit pas maltraité....
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Re: Actualités - Faits Divers
Alors, source cnn.com, maintenant un garçon de 16 ans dit qu'il est le père... Il dit que même son père dit que le bébé à ses yeux.
Je n'imagine même pas être les parents de cette gamine...

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- augusta
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Re: Actualités - Faits Divers
en même temps merry.....les gamines couchent de plus en plus tôt!!!! bizarre que ça n'arrive pas plus souvent d'ailleurs!!
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Re: Actualités - Faits Divers
je ne suis pas d'accord Augusta selon les statistiques Françaises l'age du premier rapport reste inchangé depuis des années
concernant ce jeune garçon, il vient d'une famille de 7 enfants avec une maman seule et la jeune fille d'une famille de 6 dont les 2 parents sont inactifs
dans Ouest France aujourd'hui ils disent qu'en Angleterre certaines jeunes filles font des bébés pour avoir un rôle voire pour avoir un logement!

http://www.ined.fr/fr/fiches_pedagogiqu ... rt_sexuel/ après il y a toujours des exceptions dont les journaux parlent...L'âge au premier rapport sexuel
Un rapprochement entre garçons et filles
Il y a cinquante ans, l'âge médian des femmes au premier rapport sexuel, âge auquel la moitié d'entre elles avaient vécu ce passage, était de 20,6 ans, soit deux ans de plus que les hommes. Dans les années 1960 et 1970, l'âge des femmes au premier rapport a baissé fortement et s'est rapproché de celui des hommes. L'âge au premier rapport s'est ensuite stabilisé dans les années 1980 et 1990. Dans les années 2000, une nouvelle baisse s'est amorcée. L'écart entre femmes et hommes n'est plus que de quelques mois, 17,6 ans pour elles et 17,2 pour eux.
L'influence de l'allongement de la durée des études
Les évolutions des années 1960-1970 traduisent la dissociation progressive entre initiation sexuelle et vie conjugale. Pour les femmes en particulier, le premier partenaire n'est ou ne devient plus que très rarement le premier conjoint. La stabilisation du calendrier de l'initiation sexuelle dans les années 1980 et 1990 correspond probablement à l'allongement de la durée des études, qui a pour effet de retarder l'émancipation, en France comme dans le reste de l'Europe. La large diffusion de la contraception moderne au milieu des années 1970 ou l'apparition du sida au milieu des années 1980 n'ont ni rendu plus précoce ni retardé les premières expériences sexuelles.
concernant ce jeune garçon, il vient d'une famille de 7 enfants avec une maman seule et la jeune fille d'une famille de 6 dont les 2 parents sont inactifs

dans Ouest France aujourd'hui ils disent qu'en Angleterre certaines jeunes filles font des bébés pour avoir un rôle voire pour avoir un logement!

Avant j'avais des principes, maintenant j'ai des enfants
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Re: Actualités - Faits Divers
missp par chez moi c'est pas si rare que ça de voir ça : les ados ont un enfant car ça leurs donnent un statut qu'elles n'arrivent pas à avoir autrement, là elles ont un rôle, une position elles sont "maman", dixit une puer de pmi de mon coin.
IDE, maman*2
"Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme"
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Re: Actualités - Faits Divers
Cela démontre en tout cas, qu'il y a un lien direct de causalité entre grossesses précoces et niveau socio-économique.*Miss Purple* a écrit : concernant ce jeune garçon, il vient d'une famille de 7 enfants avec une maman seule et la jeune fille d'une famille de 6 dont les 2 parents sont inactifs![]()
dans Ouest France aujourd'hui ils disent qu'en Angleterre certaines jeunes filles font des bébés pour avoir un rôle voire pour avoir un logement!
De tout temps, il y a eu des "précoces" voire "très précoces"...Je me rappelle une amie de ma grand mère qui avait eu son premier enfant à 15 ans, elle a épousé le père qui avait 10 ans de plus qu'elle, ils sont restés ensemble plus de 70 ans...merveilleux...mais c'était dans le début des années 30

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Re: Actualités - Faits Divers
MedicalPharma.info
Les grossesses précoces révèlent souvent d'anciennes blessures
Date: Mardi, 03 Janvier 2006
Sujet: Santé Web Press
France
En France, près de 4 000 jeunes femmes de moins de 19 ans mettent chaque année un enfant au monde — soit, environ 0,7 % des naissances.
Qui sont ces toutes jeunes filles, qui passent entre les mailles de la contraception et n'essaient pas de recourir à l'avortement ? S'agit-il toujours d'un "accident" ? Et pourquoi sont-elles si nombreuses à souhaiter garder leur bébé ? A ces questions, il importe doublement de pouvoir répondre. D'une part, parce que ces grossesses précoces entraînent pour les futures jeunes mères des difficultés sociales, économiques, psychologiques. D'autre part, parce que, bien souvent, elles sont la conséquence de mécanismes inconscients plus subtils que la simple négligence.
Certes, il est essentiel d'informer les adolescentes sur la contraception, et l'on ne peut qu'approuver le programme obligatoire d'"éducation à la sexualité" prévu au collège depuis 1999. Certes, les conditions socio-économiques jouent un rôle prépondérant dans la survenue de ces grossesses, dont la plupart sont déclenchées dans un contexte de grande précarité. Certes, elles aboutissent plus d'une fois sur deux à une IVG (plus de 80 % des cas à 12 ans, 20 % à 25 % à 18 ans). Mais il semble pour autant impossible d'expliquer l'ampleur et la persistance de ces grossesses par un unique déficit d'information, sans prendre en compte la dimension sociale et psychique dans laquelle elles adviennent.
DÉCISION MÛREMENT RÉFLÉCHIE
"Tout comme il est impossible de rendre compte de la grossesse chez l'adolescente à partir de la seule pratique sexuelle, le défaut de contraception ne suffit pas, loin s'en faut, à expliquer à lui seul ce phénomène", confirme Charlotte Le Van. Au terme d'une longue étude, menée par entretiens semi-directifs auprès d'une trentaine de jeunes femmes (Les Grossesses à l'adolescence — Normes sociales, réalités vécues, L'Harmattan 1998, 204 p., 16,80 €), cette sociologue distingue cinq types de grossesse précoce qui, sans épuiser les cas particuliers (notamment celui des grossesses incestueuses), semblent "cohérents en termes de situations, de profils, de logiques de décision, de schémas de représentation".
Moyen de solliciter l'attention des parents ou de poser un acte important dans le déroulement de la relation amoureuse (grossesse rite d'initiation), acte purement symptomatique destiné à exprimer malaise et mal de vivre (grossesse SOS), décision mûrement réfléchie, la maternité apparaissant alors comme la meilleure solution pour pallier le vide de l'existence et acquérir un statut social (grossesse insertion), envie non explicite d'être mère (grossesse identité) ou événement réellement imprévu (grossesse accidentelle) : autant de pistes qui, toutes, vont à l'encontre d'une tentative trop hâtive d'explication globale.
Sous le regard des psychiatres et des psychologues, quelques constances, pourtant, se dégagent. Pour beaucoup de ces très jeunes femmes, pour celles surtout qui décident de garder leur bébé, cet enfant à venir est un espoir de réparation. Dotées d'une mauvaise image d'elles-mêmes, elles ont souvent souffert des relations avec leurs parents, notamment d'un manque de père.
LE MALENTENDU S'INSTALLE
"Dans la plupart des cas, ces derniers sont vraiment absents de la vie de leurs enfants, ou n'établissent pas de vrais rapports affectifs avec eux", constate Diana Dadoorian, professeur de psychologie à Rio de Janeiro, pour qui l'absence du père constitue un "facteur culturel" influent sur la maternité adolescente. Auteur d'un ouvrage récemment traduit en français (Grossesses adolescentes, Erès, 136 p., 18 €), elle a mené durant trois ans une étude dans une maternité publique recevant des adolescentes enceintes issues de classes populaires. Elle se dit persuadée que "le vécu de situations de carences affectives et relationnelles dans la famille peut engendrer le désir d'avoir un enfant", celui-ci apparaissant alors comme "l'objet privilégié capable de réparer cette carence".
"La jeune adolescente traverse une crise dont l'enjeu est la conquête d'une identité féminine, et l'image de sa mère ne peut être qu'un modèle à la fois enviable et haï", ajoute la psychiatre-psychanalyste Monique Bydlowski. Mais elle reste également, sans que sa mère le perçoive toujours bien, "le petit enfant que déjà elle n'est plus". Par une grossesse "inacceptable", l'adolescente lance ainsi un appel à sa mère d'autrefois, cette "mère de la tendresse" dont la retrouvaille est parfois le seul véritable enjeu. C'est là, parfois, que le malentendu s'installe. Car "la mère se représente la grossesse comme un acte adulte, sexué, et ignore qu'elle signe pour sa fille la reviviscence de l'attachement à l'image maternelle de l'origine".
Heureusement, il arrive au contraire que l'événement entraîne une amélioration des relations. Voire, si le jeune père est absent, que la fille se rapproche alors de sa mère au point de former avec elle un véritable "couple" autour de l'enfant. Dans tous les cas, il paraît évident que les ressorts complexes qui mènent une mineure vers la grossesse rendent difficile le recul de ces maternités. Et qu'un réel suivi psychologique et social, doublé d'une aide au retour à la scolarité ou à l'emploi, est indispensable pour mieux accompagner ces toutes jeunes mères. Pour mieux les aider à grandir. En 1998, un rapport sur la prévention et la prise en charge des grossesses adolescentes, réalisé par la gynécologue-obstétricienne Michèle Uzan (hôpital Jean-Verdier de Bondy, Seine-Saint-Denis), révélait que près de 10 000 grossesses survenaient en France, chaque année, chez des adolescentes. Depuis, la situation ne semble guère avoir évolué. Selon les chiffres de l'Unicef (2002), la proportion atteint 3 % en Grande-Bretagne. Et elle dépasse 5 % aux Etats-Unis, qui figurent en tête des pays développés pour leur pourcentage de mères adolescentes.
Catherine Vincent
Le Monde du 3/01/2006
http://www.www.lemonde.fr" target="_blank
Cet article provient de MedicalPharma.info
http://www.medicalpharma.info/" target="_blank
L'URL de cet article est:
http://www.medicalpharma.info/modules.p ... le&sid=464" target="_blank
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Re: Actualités - Faits Divers
Comment un jeu peut virer au cauchemard...............
il poignarde sa soeur pour un jeu video (Le Parisien.fr)
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Hâtons-nous aujourd'hui de jouir de la vie ; Qui sait si nous serons demain ? [Jean Racine]
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Re: Actualités - Faits Divers
c'est pas un jeu, c'est le fait que la maman soit obligée de laisser ses enfants sans surveillance pendant qu'elle dort!!!
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Re: Actualités - Faits Divers
En effet Miss P, pour un jeu video..............*Miss Purple* a écrit :c'est pas un jeu, c'est le fait que la maman soit obligée de laisser ses enfants sans surveillance pendant qu'elle dort!!!
Je n'ose imaginer la culpabilité de la maman

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Re: Actualités - Faits Divers
Est-ce que c'est vraiment ca le souci ? Mon père dormait aussi quand il faisait des nuits, ma mère travaillait, et je n'ai jamais poignardé mon frère...
Re: Actualités - Faits Divers
Même sans dormir, quand mes parents étaient dans le salon, si je me disputais avec ma sœur dans ma chambre, ils n'étaient pas derrière nous à chaque seconde... Si vous arrivez à surveiller vos enfants à chaque seconde je dis bravo
Je rejoins Cessy, le problème est sûrement ailleurs

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Infirmière de santé au travail épanouie
Diplôme Inter-Universitaire de Santé au Travail en cours
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Re: Actualités - Faits Divers
C'est ce que je pense. Néanmoins, ca me paraît quand même étrange qu'un enfant de cet âge ait poignardé sa soeur exprès, je me demande s'il réalise vraiment le geste qu'il a eu, où si c'est juste arrivé "comme ca", comme il aurait pu la frapper avec un jouet ou autre...
Re: Actualités - Faits Divers
je ne pense pas qu'un enfant de cet âge puisse réaliser la portée de son geste
Nymphirmière au pays de Brest