concours 2010
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Un terrain a une surface de 891m2, à l echelle 1/1500 sa largeur est de 1,8cm, quelle est sa longueur?[/quote]
oulala moi est les echelles
Donc 891 m2 = 89100 cm
Sa largeur est de 1,8 cm à l'echelle 1/1500
Donc 1,8 *1500 = 27000 cm
Soit 270 m
oulala moi est les echelles
Donc 891 m2 = 89100 cm
Sa largeur est de 1,8 cm à l'echelle 1/1500
Donc 1,8 *1500 = 27000 cm
Soit 270 m
Pris à l'école en Soins Infirmier de Tournai en Belgique au cas ou.
Finalement ESI 2010/2013 C.H ARRAS (62)
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Pour l'exo de aitam12, je trouve 6h40
Non c'est pas ça
Non c'est pas ça
Pris à l'école en Soins Infirmier de Tournai en Belgique au cas ou.
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Ohhh, c'est bien 3h20 puisqu'on nous demandait la moitié et non la totalité.
Pour l'autre exo, ton début est bon mais onte demande la longueur et non la largeur; en plus je crois que tu as fait une erreur de calcul mais le raisonnement est bon
Pour l'autre exo, ton début est bon mais onte demande la longueur et non la largeur; en plus je crois que tu as fait une erreur de calcul mais le raisonnement est bon
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Future INFIRMIERE
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
1500cm=15maitam12 a écrit :Un terrain a une surface de 891m2, à l echelle 1/1500 sa largeur est de 1,8cm, quelle est sa longueur?
1cm
1,8cm
1x=1500 x 1,8
x= 2700cm soit 27m de largeur
891/27= 33m de longueur
Voilà j'espère que c'est ça.
Celui qui veut faire quelque chose trouve les moyens,celui qui ne veut rien faire trouve une excuse.
- lechatjaune
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Re: Actualités pour concours 2010
La Haute Autorité de Santé s’engage pour la bientraitance dans les établissements de santé
Pour identifier le phénomène de maltraitance « ordinaire » et le prévenir, la Haute Autorité de Santé a confié au cabinet C.Compagnon.Conseil un travail qualitatif d’écoute des malades, de leurs proches et des professionnels et le rend public aujourd’hui.
Il décrit des situations de maltraitance «ordinaire» des patients et de leurs proches, également dite «institutionnelle» ou «passive» faite d’attentes interminables, d’entraves inexpliquées, de manque d’écoute, d’information, de considération.
La HAS a d’ores et déjà pris en compte les enseignements de ce travail dans le cadre de la nouvelle procédure de certification des établissements de santé.
Elle prévoit d’autres actions comme la publication dans les prochains mois d’un guide consacré à la bientraitance.
Une maltraitance «ordinaire» multiforme décrite par les usagers et les professionnels
L’analyse des témoignages d’usagers, présentée dans le rapport de C.Compagnon.Conseil, met en lumière les difficultés rencontrées par les malades et leurs proches, malgré les progrès accomplis ces dernières années, grâce notamment à la loi du 4 mars 2002 et à la mise en œuvre de la certification des établissements de santé.
Cette étude souligne l’aspect multiforme de cette maltraitance « ordinaire » et en dresse une typologie en deux grandes catégories :
une maltraitance liée à des comportements individuels : professionnels discutant entre eux, ignorant le patient présent, plaintes et demandes non prises en compte, menaces et propos humiliants, …
une maltraitance liée à l’organisation : mise à l’écart des proches, manque de disponibilité des professionnels, rythme imposé des soins, bruit, dysfonctionnements d’une organisation complexe, sorties mal préparées, absence de réponse aux courriers de doléance, …
Le rapport a également permis d’identifier des problèmes dans la mise en œuvre concrète des droits des patients.
Le respect de trois droits particulièrement significatifs, dits « traceurs », ont été étudiés : le droit à l’information, le soulagement de la douleur ainsi que le respect de la dignité.
En outre, il identifie certaines situations à risque : le séjour en réanimation, l’accueil aux urgences, les situations de fin de vie et montre que plus le niveau de dépendance du patient à l’égard de son environnement est important, plus le risque de maltraitance est grand.
Les professionnels interrogés dans le cadre de l’étude reconnaissent l’existence du phénomène de maltraitance «ordinaire» dans les établissements de santé.
Ils en soulignent les facteurs et les conditions d’apparition : la confrontation avec la souffrance et la mort, un encadrement parfois défaillant, des conditions de travail difficiles, des organisations rigides.
Ils tracent d’ailleurs déjà des pistes pour construire une politique de bientraitance (cadre de référence clair, formation et sensibilisation des professionnels, …).
La HAS s’engage pour promouvoir la bientraitance
La HAS a fait le choix de retenir cette question de la maltraitance «ordinaire» dans les établissements de santé à la faveur de la nouvelle version de la certification V2010.
Trois critères de qualité y ont été renforcés ou intégrés :
la gestion des plaintes et des réclamations par l’établissement et les professionnels est devenue une « pratique exigible prioritaire » (PEP) ;
la mise en œuvre des soins palliatifs et des droits des patients en fin de vie passe notamment par un projet global de soin, l’accompagnement des familles endeuillées, la formation et le soutien des professionnels ou encore l’application des directives anticipées. C’est également une « pratique exigible prioritaire » ;
la mise en place d’une démarche de bientraitance doit être impulsée par le management et par les instances de l’établissement, en particulier la commission des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge (CRU).
Elle passe par la formation et la sensibilisation des professionnels, par des actions de prévention de la maltraitance mais aussi par des actions concrètes et diverses d’amélioration du quotidien des malades et de leurs proches.
D’autres pistes déjà à l’étude
La procédure de certification V2010 permet aussi la prise en compte des plaintes et réclamations de patients remontant à la HAS.
Celles-ci seront traitées en interface avec le Médiateur de la République.
La HAS mettra à la disposition des professionnels des outils, en particulier un guide de la bientraitance élaboré à leur attention et publié en 2010.
Enfin, l’action de la HAS s’inscrit dans un contexte plus large où d’autres acteurs de la santé se mobilisent (fédérations d’établissements, ministère de la santé, structures régionales).
Une mission de développement de la bientraitance dans les établissements de santé et les établissements médico-sociaux a été confiée aux agences régionales de santé (ARS) par la loi de réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (HPST).
[Communiqué de presse HAS 27/01/2010]
Pour identifier le phénomène de maltraitance « ordinaire » et le prévenir, la Haute Autorité de Santé a confié au cabinet C.Compagnon.Conseil un travail qualitatif d’écoute des malades, de leurs proches et des professionnels et le rend public aujourd’hui.
Il décrit des situations de maltraitance «ordinaire» des patients et de leurs proches, également dite «institutionnelle» ou «passive» faite d’attentes interminables, d’entraves inexpliquées, de manque d’écoute, d’information, de considération.
La HAS a d’ores et déjà pris en compte les enseignements de ce travail dans le cadre de la nouvelle procédure de certification des établissements de santé.
Elle prévoit d’autres actions comme la publication dans les prochains mois d’un guide consacré à la bientraitance.
Une maltraitance «ordinaire» multiforme décrite par les usagers et les professionnels
L’analyse des témoignages d’usagers, présentée dans le rapport de C.Compagnon.Conseil, met en lumière les difficultés rencontrées par les malades et leurs proches, malgré les progrès accomplis ces dernières années, grâce notamment à la loi du 4 mars 2002 et à la mise en œuvre de la certification des établissements de santé.
Cette étude souligne l’aspect multiforme de cette maltraitance « ordinaire » et en dresse une typologie en deux grandes catégories :
Le rapport a également permis d’identifier des problèmes dans la mise en œuvre concrète des droits des patients.
Le respect de trois droits particulièrement significatifs, dits « traceurs », ont été étudiés : le droit à l’information, le soulagement de la douleur ainsi que le respect de la dignité.
En outre, il identifie certaines situations à risque : le séjour en réanimation, l’accueil aux urgences, les situations de fin de vie et montre que plus le niveau de dépendance du patient à l’égard de son environnement est important, plus le risque de maltraitance est grand.
Les professionnels interrogés dans le cadre de l’étude reconnaissent l’existence du phénomène de maltraitance «ordinaire» dans les établissements de santé.
Ils en soulignent les facteurs et les conditions d’apparition : la confrontation avec la souffrance et la mort, un encadrement parfois défaillant, des conditions de travail difficiles, des organisations rigides.
Ils tracent d’ailleurs déjà des pistes pour construire une politique de bientraitance (cadre de référence clair, formation et sensibilisation des professionnels, …).
La HAS s’engage pour promouvoir la bientraitance
La HAS a fait le choix de retenir cette question de la maltraitance «ordinaire» dans les établissements de santé à la faveur de la nouvelle version de la certification V2010.
Trois critères de qualité y ont été renforcés ou intégrés :
Elle passe par la formation et la sensibilisation des professionnels, par des actions de prévention de la maltraitance mais aussi par des actions concrètes et diverses d’amélioration du quotidien des malades et de leurs proches.
D’autres pistes déjà à l’étude
La procédure de certification V2010 permet aussi la prise en compte des plaintes et réclamations de patients remontant à la HAS.
Celles-ci seront traitées en interface avec le Médiateur de la République.
La HAS mettra à la disposition des professionnels des outils, en particulier un guide de la bientraitance élaboré à leur attention et publié en 2010.
Enfin, l’action de la HAS s’inscrit dans un contexte plus large où d’autres acteurs de la santé se mobilisent (fédérations d’établissements, ministère de la santé, structures régionales).
Une mission de développement de la bientraitance dans les établissements de santé et les établissements médico-sociaux a été confiée aux agences régionales de santé (ARS) par la loi de réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (HPST).
[Communiqué de presse HAS 27/01/2010]
IDE en HAD encore en remplacement en réanimation polyvalente
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Ouiiiiiiiiiii, pour moi c'est bon puisque j'ai trouvé comme toi

Maman de 37 ans avec 3 parasites!!!!
Future INFIRMIERE
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Un médicament est remboursé à 70%, le montant restant à payer est de 5,40E.
Quel est le prix du médicament?
Quel est le prix du médicament?
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
lilou89 a écrit :Un médicament est remboursé à 70%, le montant restant à payer est de 5,40E.
Quel est le prix du médicament?
7,71 euros
Celui qui veut faire quelque chose trouve les moyens,celui qui ne veut rien faire trouve une excuse.
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Non ce n'est pas ça 
Maman de 37 ans avec 3 parasites!!!!
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
laura2303 a écrit :lilou89 a écrit :Un médicament est remboursé à 70%, le montant restant à payer est de 5,40E.
Quel est le prix du médicament?
7,71 euros
Oups faute inattention il coûte 18euros
Je me suis trompé dans mon raisonnement car 5,4 représante 30% et non 70%
Celui qui veut faire quelque chose trouve les moyens,celui qui ne veut rien faire trouve une excuse.
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Ouiiiiiiii exact

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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Un autre?
Allez c'est parti..
100g de pommes de terre contiennent 25mg de magnésium et 125g de haricots verts en contiennent 30mg.
Quelle masse de pommes de terre permet d'obtenir la même quantité de magnésium que 250g de haricots verts?
Allez c'est parti..
100g de pommes de terre contiennent 25mg de magnésium et 125g de haricots verts en contiennent 30mg.
Quelle masse de pommes de terre permet d'obtenir la même quantité de magnésium que 250g de haricots verts?
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
bonjour
je trouve 3h20mn et 27m
je trouve 3h20mn et 27m
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
C'est 200 g de pomme de terre qui permettent d'obtenir la même quantité de magnésium que 250g de haricots verts,soit 5Omg.lilou89 a écrit :Un autre?
Allez c'est parti..![]()
100g de pommes de terre contiennent 25mg de magnésium et 125g de haricots verts en contiennent 30mg.
Quelle masse de pommes de terre permet d'obtenir la même quantité de magnésium que 250g de haricots verts?
Celui qui veut faire quelque chose trouve les moyens,celui qui ne veut rien faire trouve une excuse.
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
laura2303 a écrit :lilou89 a écrit :Un médicament est remboursé à 70%, le montant restant à payer est de 5,40E.
Quel est le prix du médicament?
18 €
Pris à l'école en Soins Infirmier de Tournai en Belgique au cas ou.
Finalement ESI 2010/2013 C.H ARRAS (62)
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