concours 2010
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
- naima13006
- Insatiable
- Messages : 385
- Inscription : 26 nov. 2009 00:00
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
moi aussi j'ai trouvé ca mais personne a dit que 9 était la réponse.aitam12 a écrit :laura2303 a écrit :personne a écrit :Un sac de farine pèse 45hg + un demi sac, quel est le poids enkilo d'un sac?
C'est bizarre quand tu appliques la logique normalement ça fait 6,75 Kg
45 Hg = 4,5 Kg / 2 = 2,25 Kg = 4,5 + 2,25 = 6,75 Kg
Plutôt ça non ?
Ifas Martigues: admise
Ifas Croix Rouge Marseille: admise
EAS 2017/2018
Ifas Croix Rouge Marseille: admise
EAS 2017/2018
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Si x le poids du sac de farine, l'énoncé s'écrit de la façon suivante :naima13006 a écrit :
moi aussi j'ai trouvé ca mais personne a dit que 9 était la réponse.
x = 4,5 + x/2
x - x/2 = 4,5
x/2 = 4,5
x = 9 kg
ESI 2010-2013
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Merci j'ai enfin comprispersonne a écrit :non bon benh voilà
2115,5m2 soit 21155000cm2
21155000/(2500*2,6)=3254.61/2500=env1,3cm
tu divises la premiere fois pour avoir la largeur qui est 2500 plus grande, ensuite que tu as trouvé tu redivises pour avoir en 2500plus petit.

ESI 2010-2013
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
x - x/2 = 4,5
x/2 = 4,5
x-x/2 = x/2 ? le fait qu'on soustrait un x ne change rien à la division x/2. Pourquoi ?
Je sens que j'ai du boulot moi !
Navie peut tu m'expliquer pourquoi rien ne change ? merci beaucoup !
x/2 = 4,5
x-x/2 = x/2 ? le fait qu'on soustrait un x ne change rien à la division x/2. Pourquoi ?
Je sens que j'ai du boulot moi !

Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Un touriste désire changer 300 € en dollars américain. Sachant que le cours de change est à 1,40 € pour 1 dollar, combien recevra t-il d'argent américain ?
Résultat demain soir.
Résultat demain soir.
Pris à l'école en Soins Infirmier de Tournai en Belgique au cas ou.
Finalement ESI 2010/2013 C.H ARRAS (62)
Finalement ESI 2010/2013 C.H ARRAS (62)
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
x = 2x/2eldorado a écrit :x - x/2 = 4,5
x/2 = 4,5
x-x/2 = x/2 ? le fait qu'on soustrait un x ne change rien à la division x/2. Pourquoi ?
Je sens que j'ai du boulot moi !Navie peut tu m'expliquer pourquoi rien ne change ? merci beaucoup !
donc x - x/2 = 2x/2 - x/2 = x/2

ESI 2010-2013
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Merci navie.
Produit en croix.
300 euros..... x? dollars
1.40 euros..... 1 dollar
donc 300*1/1.40 = 214.28.
Produit en croix.
300 euros..... x? dollars
1.40 euros..... 1 dollar
donc 300*1/1.40 = 214.28.
- lechatjaune
- Accro
- Messages : 956
- Inscription : 05 avr. 2009 19:16
Re: Actualités pour concours 2010
Un médicament suspendu de nouveau sur le marché
Le Ketum avait été retiré en raison d'effets secondaires graves.
L'affaire est inédite et mérite que l'on s'y arrête. Elle émeut en tout cas les experts du médicament, qui craignent que la justice ne prenne une place croissante dans la gestion du risque sanitaire, une discipline qui n'est pas jusqu'à ce jour enseignée aux magistrats.
Le kétoprofèneest un anti-inflammatoire utilisé depuis plus de quinze ans, notamment sous forme de gel, pour traiter en particulier des lésions traumatiques (entorses, élongations, tendinites…).
À la suite d'une procédure de réévaluation des bénéfices et des risques des médicaments contenant du kétoprofène, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a décidé, le 18 décembre dernier, de suspendre l'autorisation de mise sur le marché (AMM) des 22 produits utilisés en application cutanée, dont le Ketum.
Des cas, souvent graves, de photoallergie (réactions de la peau lors de l'exposition au soleil) ont été décrits chez des malades traités avec ce type de gel.
Ces réactions se présentent sous la forme d'eczéma et de bulles s'étendant au-delà de la zone d'application, et qui peuvent conduire à des hospitalisations et des arrêts de travail.
Cette complication, connue depuis de longues années, avait conduit l'Afssaps à modifier l'information concernant le médicament à deux reprises. Un pictogramme recommandant de ne pas s'exposer au soleil même voilé pendant le traitement avait également été ajouté sur le conditionnement en 2001.
Une lettre adressée deux ans plus tard aux professionnels de santé n'a pas permis de faire régresser ces effets secondaires graves. C'est dans ce contexte qu'une procédure de réévaluation du médicament sous forme de gel a été lancée.
Il en est ressorti que l'efficacité de ces gels était «faible à modérée». Comme il existe des alternatives thérapeutiques, l'Afssaps a estimé que «le risque lié à l'utilisation de ces gels était supérieur au bénéfice attendu».
De surcroît, il apparaissait difficile de prendre des mesures en plus pour garantir la sécurité des patients.
En conséquence, l'Afssaps demandait le retrait du marché de ces gels à compter du 12 janvier 2010, en attendant l'évaluation européenne.
Décision provisoire
Un des laboratoires concernés par cette décision, Menarini, commercialisant le Ketum, a décidé de faire appel en déposant une requête en référé-suspension devant le Conseil d'État.
Une ordonnance rendue le 26 janvier 2010, dans le cadre d'une procédure d'urgence, dans l'attente d'une décision sur le fond, a pour conséquence la possibilité pour le laboratoire Menarini de remettre sur le marché le gel Ketum.
«Il ressort des pièces du dossier que le Ketum représente le deuxième chiffre d'affaires de la société Menarini, de sorte que l'arrêt de la commercialisation risquerait de compromettre la possibilité pour cette société de retrouver un résultat positif en 2010… » peut-on lire entre autres dans les attendus du jugement.
Même s'il s'agit d'une décision provisoire, de nombreux experts s'inquiètent de voir qu'une décision du Conseil d'État puisse prévaloir en matière de sécurité des médicaments sur celle prise par l'Afssaps, sur la base d'un argumentaire… économique.
[Source : Le Figaro 02/02/2010]
Le Ketum avait été retiré en raison d'effets secondaires graves.
L'affaire est inédite et mérite que l'on s'y arrête. Elle émeut en tout cas les experts du médicament, qui craignent que la justice ne prenne une place croissante dans la gestion du risque sanitaire, une discipline qui n'est pas jusqu'à ce jour enseignée aux magistrats.
Le kétoprofèneest un anti-inflammatoire utilisé depuis plus de quinze ans, notamment sous forme de gel, pour traiter en particulier des lésions traumatiques (entorses, élongations, tendinites…).
À la suite d'une procédure de réévaluation des bénéfices et des risques des médicaments contenant du kétoprofène, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a décidé, le 18 décembre dernier, de suspendre l'autorisation de mise sur le marché (AMM) des 22 produits utilisés en application cutanée, dont le Ketum.
Des cas, souvent graves, de photoallergie (réactions de la peau lors de l'exposition au soleil) ont été décrits chez des malades traités avec ce type de gel.
Ces réactions se présentent sous la forme d'eczéma et de bulles s'étendant au-delà de la zone d'application, et qui peuvent conduire à des hospitalisations et des arrêts de travail.
Cette complication, connue depuis de longues années, avait conduit l'Afssaps à modifier l'information concernant le médicament à deux reprises. Un pictogramme recommandant de ne pas s'exposer au soleil même voilé pendant le traitement avait également été ajouté sur le conditionnement en 2001.
Une lettre adressée deux ans plus tard aux professionnels de santé n'a pas permis de faire régresser ces effets secondaires graves. C'est dans ce contexte qu'une procédure de réévaluation du médicament sous forme de gel a été lancée.
Il en est ressorti que l'efficacité de ces gels était «faible à modérée». Comme il existe des alternatives thérapeutiques, l'Afssaps a estimé que «le risque lié à l'utilisation de ces gels était supérieur au bénéfice attendu».
De surcroît, il apparaissait difficile de prendre des mesures en plus pour garantir la sécurité des patients.
En conséquence, l'Afssaps demandait le retrait du marché de ces gels à compter du 12 janvier 2010, en attendant l'évaluation européenne.
Décision provisoire
Un des laboratoires concernés par cette décision, Menarini, commercialisant le Ketum, a décidé de faire appel en déposant une requête en référé-suspension devant le Conseil d'État.
Une ordonnance rendue le 26 janvier 2010, dans le cadre d'une procédure d'urgence, dans l'attente d'une décision sur le fond, a pour conséquence la possibilité pour le laboratoire Menarini de remettre sur le marché le gel Ketum.
«Il ressort des pièces du dossier que le Ketum représente le deuxième chiffre d'affaires de la société Menarini, de sorte que l'arrêt de la commercialisation risquerait de compromettre la possibilité pour cette société de retrouver un résultat positif en 2010… » peut-on lire entre autres dans les attendus du jugement.
Même s'il s'agit d'une décision provisoire, de nombreux experts s'inquiètent de voir qu'une décision du Conseil d'État puisse prévaloir en matière de sécurité des médicaments sur celle prise par l'Afssaps, sur la base d'un argumentaire… économique.
[Source : Le Figaro 02/02/2010]
IDE en HAD encore en remplacement en réanimation polyvalente
- lechatjaune
- Accro
- Messages : 956
- Inscription : 05 avr. 2009 19:16
Re: Actualités pour concours 2010
IVG ou le manque d'information sur la sexualité et la contraception
Roselyne Bachelot confirme 3 mesures de prise en charge, à la suite de la remise du rapport sur les politiques de prévention des grossesses non désirées et de prise en charge des IVG.
Publié par l’inspection générale des affaires sociales (Igas), ce rapport permet d’évaluer la loi du 4 juillet 2001, relative à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) et à la contraception. Il souligne à nouveau le paradoxe français, recours important à la contraception et néanmoins nombre annuel d'IVG très élevé.
Si ce rapport montre que les objectifs d’amélioration portés par loi de 2001 sont en partie atteints avec un délai moyen de prise en charge des IVG de 7 jours, proche des recommandations (la recommandation de la Haute Autorité de santé étant une norme de 5 jours), une utilisation des IVG médicamenteuses de plus en plus importante soit près de la moitié des IVG en 2007, une couverture contraceptive très étendue en France, néanmoins, le nombre des IVG reste stable et élevé malgré un recours important à la contraception.
Un contexte français paradoxal
La diffusion massive de la contraception n’a pas fait diminuer le nombre des IVG, stable aux environs de 200 000 par an, et le fonctionnement réel des dispositifs contredit trop souvent la volonté affichée de donner la priorité à une approche préventive.
Ainsi, 40% des femmes en France auront recours à l’IVG à un moment donné de leur vie. Contraception ne signifie pas forcément non recours à l’IVG, une augmentation de 50% de prévalence de la contraception ne diminue que de 32% le nombre d’IVG.
Car le paradoxe français résulte d’une couverture contraceptive étendue, constituée à 80 % par des méthodes délivrées sur prescription médicale, avec une forte prédominance de la contraception hormonale orale (pilule).
72% des IVG sont réalisées sur des femmes sous contraception, les méthodes et pratiques contraceptives doivent donc être adaptées à l’évolution des relations de couple.
Un accès inégal à l’IVG sur le territoire
Des inégalités territoriales dans la prise en charge de l’IVG, un établissement sur vingt a des délais de prise en charge supérieurs à 15 jours. L’accessibilité des centres d’éducation et de planification familiale demeure limitée.
Le nombre des établissements hospitaliers qui pratiquent des IVG a significativement diminué au cours des dernières années : ils n’étaient plus que 639 en 2006 contre 729 en 2000.
Un manque d’information sur la sexualité et la contraception
Ainsi les obligations légales concernant l’éducation sexuelle dans les établissements scolaires ne sont que partiellement et inégalement appliquées.
L’ampleur des échecs de contraception reste essentiellement liée à des problèmes d’observance, de mauvaise utilisation de la méthode contraceptive et liée à des arrêts ou changements de méthode.
Du coup, ce sont surtout les jeunes qui recourent le plus à la contraception d’urgence : un tiers des jeunes femmes de 15 à 24 ans sexuellement actives déclaraient l’avoir utilisée au moins une fois. La progression du nombre de boîtes remboursées par l’assurance maladie s’explique essentiellement par celle des boîtes délivrées gratuitement aux mineures en pharmacie qui constituent aujourd’hui 90% du total des remboursements.
3 mesures phares
Inscrire la prévention des grossesses non désirées et la prise en charge de l’IVG comme une composante à part entière de l’offre de soins et de prévention par le biais des ARS,
Renforcer sur tout le territoire le réseau des centres de planification et d’éducation familiale qui constituent le pilier de la politique de prévention des grossesses non désirées
Revaloriser en 2010 d’au moins 10% la tarification des IVG chirurgicales dans les établissements de santé.
Le Ministère de la santé rappelle dans son communiqué, l’augmentation importante de la tarification de l’IVG (+60% depuis deux ans), la multiplication des structures autorisées à pratiquer des IVG, notamment médicamenteuses, l’extension de la liste des professionnels et des structures pouvant prescrire ou renouveler les contraceptifs avec la loi Hôpital, patients, santé et territoires (HPST) et la mise en place d’une campagne de communication pluriannuelle par l’INPES.
Ainsi, la loi Hôpital de juillet dernier, a élargi les compétences des sages-femmes dans les domaines de la prescription, de la contraception et du suivi gynécologique, sous réserve d’adresser la femme à un médecin « en cas de situation pathologique ».
Les conditions de délivrance de la contraception orale par les pharmacies ont été, elles aussi, assouplies.
Les infirmières sont elles aussi autorisées à renouveler, pour 6 mois, une prescription en contraception orale, tout comme les pharmaciens.
Le rapport de l’IGAS conclut donc à la nécessité de renforcer la prévention et de réorienter son effort vers les modalités les plus efficaces pour diminuer le nombre des grossesses imprévues afin de réduire la part des IVG évitables.
Pourtant, ces 3 mesures concernent essentiellement une prise en charge élargie des IVG.
[Source : Sante-log 03/02/2010]
Roselyne Bachelot confirme 3 mesures de prise en charge, à la suite de la remise du rapport sur les politiques de prévention des grossesses non désirées et de prise en charge des IVG.
Publié par l’inspection générale des affaires sociales (Igas), ce rapport permet d’évaluer la loi du 4 juillet 2001, relative à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) et à la contraception. Il souligne à nouveau le paradoxe français, recours important à la contraception et néanmoins nombre annuel d'IVG très élevé.
Si ce rapport montre que les objectifs d’amélioration portés par loi de 2001 sont en partie atteints avec un délai moyen de prise en charge des IVG de 7 jours, proche des recommandations (la recommandation de la Haute Autorité de santé étant une norme de 5 jours), une utilisation des IVG médicamenteuses de plus en plus importante soit près de la moitié des IVG en 2007, une couverture contraceptive très étendue en France, néanmoins, le nombre des IVG reste stable et élevé malgré un recours important à la contraception.
Un contexte français paradoxal
La diffusion massive de la contraception n’a pas fait diminuer le nombre des IVG, stable aux environs de 200 000 par an, et le fonctionnement réel des dispositifs contredit trop souvent la volonté affichée de donner la priorité à une approche préventive.
Ainsi, 40% des femmes en France auront recours à l’IVG à un moment donné de leur vie. Contraception ne signifie pas forcément non recours à l’IVG, une augmentation de 50% de prévalence de la contraception ne diminue que de 32% le nombre d’IVG.
Car le paradoxe français résulte d’une couverture contraceptive étendue, constituée à 80 % par des méthodes délivrées sur prescription médicale, avec une forte prédominance de la contraception hormonale orale (pilule).
72% des IVG sont réalisées sur des femmes sous contraception, les méthodes et pratiques contraceptives doivent donc être adaptées à l’évolution des relations de couple.
Un accès inégal à l’IVG sur le territoire
Des inégalités territoriales dans la prise en charge de l’IVG, un établissement sur vingt a des délais de prise en charge supérieurs à 15 jours. L’accessibilité des centres d’éducation et de planification familiale demeure limitée.
Le nombre des établissements hospitaliers qui pratiquent des IVG a significativement diminué au cours des dernières années : ils n’étaient plus que 639 en 2006 contre 729 en 2000.
Un manque d’information sur la sexualité et la contraception
Ainsi les obligations légales concernant l’éducation sexuelle dans les établissements scolaires ne sont que partiellement et inégalement appliquées.
L’ampleur des échecs de contraception reste essentiellement liée à des problèmes d’observance, de mauvaise utilisation de la méthode contraceptive et liée à des arrêts ou changements de méthode.
Du coup, ce sont surtout les jeunes qui recourent le plus à la contraception d’urgence : un tiers des jeunes femmes de 15 à 24 ans sexuellement actives déclaraient l’avoir utilisée au moins une fois. La progression du nombre de boîtes remboursées par l’assurance maladie s’explique essentiellement par celle des boîtes délivrées gratuitement aux mineures en pharmacie qui constituent aujourd’hui 90% du total des remboursements.
3 mesures phares



Le Ministère de la santé rappelle dans son communiqué, l’augmentation importante de la tarification de l’IVG (+60% depuis deux ans), la multiplication des structures autorisées à pratiquer des IVG, notamment médicamenteuses, l’extension de la liste des professionnels et des structures pouvant prescrire ou renouveler les contraceptifs avec la loi Hôpital, patients, santé et territoires (HPST) et la mise en place d’une campagne de communication pluriannuelle par l’INPES.
Ainsi, la loi Hôpital de juillet dernier, a élargi les compétences des sages-femmes dans les domaines de la prescription, de la contraception et du suivi gynécologique, sous réserve d’adresser la femme à un médecin « en cas de situation pathologique ».
Les conditions de délivrance de la contraception orale par les pharmacies ont été, elles aussi, assouplies.
Les infirmières sont elles aussi autorisées à renouveler, pour 6 mois, une prescription en contraception orale, tout comme les pharmaciens.
Le rapport de l’IGAS conclut donc à la nécessité de renforcer la prévention et de réorienter son effort vers les modalités les plus efficaces pour diminuer le nombre des grossesses imprévues afin de réduire la part des IVG évitables.
Pourtant, ces 3 mesures concernent essentiellement une prise en charge élargie des IVG.
[Source : Sante-log 03/02/2010]
IDE en HAD encore en remplacement en réanimation polyvalente
Re: Actualités pour concours 2010
Merci pour les sujets !! quelqu'un en aurait - il un a propos de haiti ? Merci d'avance 

L'experience est une bougie qui n'éclaire que celui qui la porte
kaïri <3
kaïri <3
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
eldorado a écrit :x - x/2 = 4,5
x/2 = 4,5
x-x/2 = x/2 ? le fait qu'on soustrait un x ne change rien à la division x/2. Pourquoi ?
Je sens que j'ai du boulot moi !Navie peut tu m'expliquer pourquoi rien ne change ? merci beaucoup !
Coucou
pour moi : X-X/2 = (2X)/2-X/2 donc 2X-X et donc X = 9 ?
Je ne comprends pas du tout ou j'ai loupé quelque chose...
Dernière modification par leelyan le 04 févr. 2010 15:58, modifié 1 fois.
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
eldorado a écrit :Merci navie.
Produit en croix.
300 euros..... x? dollars
1.40 euros..... 1 dollar
donc 300*1/1.40 = 214.28.
Non
Pris à l'école en Soins Infirmier de Tournai en Belgique au cas ou.
Finalement ESI 2010/2013 C.H ARRAS (62)
Finalement ESI 2010/2013 C.H ARRAS (62)
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
j'ai le même résultat mais avec une autre équation :aitam12 a écrit :eldorado a écrit :Merci navie.
Produit en croix.
300 euros..... x? dollars
1.40 euros..... 1 dollar
donc 300*1/1.40 = 214.28.
Non
300 €....1.40 €
x $.....1 $
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Bonjour,
Mes parents ont 23 et 29 ans de plus que moi. Dans 2 ans, la somme de leur âge sera le triple du mien. Quel est mon âge
a) 24 b) 27 c) 29 d)31 e) 33
Comment s’y prendre car je bloque sur mes révisions et mon cerveau ne veut plus avancer. Le corriger parle de commencer par les résultats… Peut être en posant mon équation et en la testant avec les résultats ?
Au fait, réponse a)
meric de votre aide
Mes parents ont 23 et 29 ans de plus que moi. Dans 2 ans, la somme de leur âge sera le triple du mien. Quel est mon âge
a) 24 b) 27 c) 29 d)31 e) 33
Comment s’y prendre car je bloque sur mes révisions et mon cerveau ne veut plus avancer. Le corriger parle de commencer par les résultats… Peut être en posant mon équation et en la testant avec les résultats ?
Au fait, réponse a)
meric de votre aide
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Concernant l exo du tx de change je trouvais 214 aussi apparemment pas ça peut etre 400?
Le seul moyen d'allonger sa vie c'est de ne pas la raccourcir.

