Concours Metz (Bon Secours)
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Re: Concours Metz (Bon Secours)
alors du coup, c'est quoi "être parent?" ^^ Attention, le sujet semblait certes "bateau", mais la différence ce fera sur la précision des arguments, le style... Alors qu'avec un sujet plus dur, la compréhension mm du sujet ecrème déjà. Et oui, chaud la braises les tests psycho, je me remets difficilement de leur histoire de jetons rouges, mauves, bleus...
Re: Concours Metz (Bon Secours)
Vu que tu lances le sujet, qu'est ce que tu a mis comme argument a cette question ?
Moi en gros j'ai dis qu'il y avat 2 type de parentalité, une parentalité biologique, et une adoptive, et qu'on ne pouvait pas dire qu'etre parent biologique suffisait pour etre parent, car certains abandonnent leurs enfants, et ce qu'il faut c'est éduquer, et transmettre des valeurs a l'enfant pour qu'il puisse avancer seul dans la vie et a son tour transmettre ces valeurs a ses enfants.
Moi en gros j'ai dis qu'il y avat 2 type de parentalité, une parentalité biologique, et une adoptive, et qu'on ne pouvait pas dire qu'etre parent biologique suffisait pour etre parent, car certains abandonnent leurs enfants, et ce qu'il faut c'est éduquer, et transmettre des valeurs a l'enfant pour qu'il puisse avancer seul dans la vie et a son tour transmettre ces valeurs a ses enfants.
Re: Concours Metz (Bon Secours)
du coup je copie colle
Concours de METZ BON SECOURS
Mères porteuses : l'humanité de l'enfant en péril
Par Catherine Dolto
le lien : http://www.lefigaro.fr/debats/2008/12/2 ... peril-.php
TRIBUNE - Alors que la Cour de cassation a rendu mercredi un arrêt qui confirme le caractère illégal de la pratique des mères porteuses en France, la fille de Françoise Dolto, médecin et haptopsychothérapeute, met en garde contre la tentation de la gestation pour autrui.
Au centre du débat sur la mère porteuse, il convient de placer l'intérêt de l'enfant à naître. Que signifiera cette manière d'arriver au monde pour l'enfant ainsi porté, tout au long de sa vie et de celle de ses futurs enfants ? Ces questions sont complexes. Les réponses, souvent militantes, voire dogmatiques, oublient trop souvent ce que l'on sait aujourd'hui de la vie prénatale.
Vaut-il mieux que la mère porteuse s'attache à l'enfant avant de l'abandonner ou qu'elle le porte en se coupant le plus possible de lui ? La seconde solution est à coup sûr plus pathogène. Est-il souhaitable de garder un lien entre la porteuse et le porté ? Cela n'est pas certain. Peu de voix se soucient de la charge de souffrances qui accompagneront inévitablement de tels dispositifs. Celle de la mère qui abandonne, celle de ses autres enfants (la future loi imposerait qu'elle en ait), celle de son compagnon et celle de l'enfant à naître, si poreux, dès la vie prénatale, aux affects de ceux qui l'entourent. Comment préserver le sentiment de sa dignité quand on est le résultat d'une transaction, d'un contrat, d'une livraison ?
Peut-on accepter que le désir - la «nécessité», disent certains - d'avoir un enfant porteur de mêmes gênes que soi pousse un couple d'humains à le produire et le commander comme on le ferait d'un objet ou d'un animal de compagnie ?
On peut souffrir de ne pas pouvoir avoir d'enfants et l'adoption n'est pas toujours facile. Mais il y aura toujours des enfants à aimer, à soutenir, à accompagner, même sans lien de parenté avec eux. Sans possession. Que signifie ce «droit à l'enfant» brandi aujourd'hui comme une évidence ?
La France envisage aujourd'hui de légiférer dans l'urgence sous prétexte que d'autres pays l'ont déjà fait. L'exemple de la Russie où des femmes riches font porter leur enfant par une autre devrait faire réfléchir… Ce qui est en cause, c'est le statut de l'enfant comme sujet. En le traitant en objet convoité, auquel chacun a droit s'il peut payer, en lui proposant comme premier lien affectif, fondateur, un marché de dupes entre ses parents et une femme qui accepte d'être ainsi utilisée un temps pour disparaître ensuite, c'est l'humanité même de l'enfant que l'on met en péril.
La situation de l'enfant né d'une mère porteuse n'est pas comparable avec celle de celui qui est abandonné puis adopté. Ce dernier est conçu naturellement, même si c'est dans les conditions difficiles, sans projet d'abandon. Ce qui constitue une rupture éthique dont nous devons mesurer la gravité, c'est le nouage, au même instant, d'une procréation manipulée par la technique médicale et d'un abandon programmé. C'est dans l'intention que se joue l'essentiel. Cela se pratique déjà tous les jours chez les éleveurs qui veulent obtenir des animaux de qualité.
Et que dire d'une société qui ne veut pas voir ce que signifie pour une femme le fait d'«offrir» son corps pour une transaction économique dont un enfant est l'enjeu ? Comment croire que celles qui le feront contre un simple dédommagement le feront par pur altruisme, dans la limpidité d'un don de soi et de l'enfant qu'elles auront porté, dans un acte exempt de complexités névrotiques potentiellement pathogènes pour elles, pour leurs autres enfants et pour celui qu'elles auront ainsi abandonné ? On dépasse là le cap de l'enfant objet. Permettre que l'enfant soit «commandé» et payé pour être conforme, dans son ADN, au lignage parental, c'est tirer le groupe humain que nous sommes, vers sa «mammiferité» plutôt que vers son humanité. C'est nier les avancées qui ont été faites dans la connaissance de la petite enfance durant ces trente dernières années. (...)
les questions :
1/ Quels sont les arguments avancés par Madame Dolto contre la pratique des mères porteuses? (4 pts)
2/ Expliquez la phrase du texte : Permettre que l'enfant soit «commandé» et payé pour être conforme, dans son ADN, au lignage parental, c'est tirer le groupe humain que nous sommes, vers sa «mammiferité» plutôt que vers son humanité. (4 pts)
3/ Par le biais de sa prise de position, l'auteur aborde la question de la relation filiale. Pour vous, que signifie "être le parent d'un enfant"?
Mes idées : 2/ j'ai expliqué ce qu'était le lignage parental (GPA, fecondation in vitro puis placement de l'embryon dans l'uterus de la mère porteuse...) puis la mammiférité : penchant de l'homme a revenir vers des comportements animaux, on s'écarte d'ue société en perpétuelle évolution morale... Ac le placement de mots clés comme GPA, bioéhique, sujet d'actualité...
3/ Intro :
Etre parent -> Qu'est ce que la famille -> ses différentes représentations, ses raisons d'être
Dev : différente sreprésentation de la fliliation (naturelle, légitime, adoption pléniaire ou simple), puis de la famille (monoparentale, tradi, moderne, recomposée...)
Puis a quoi elle sert : éducation, language, sociabilisation (apprend les règles, soin ,nourriture, logement, et fianciere (transmission du patrimoine)
puis conclusion.
Concours de METZ BON SECOURS
Mères porteuses : l'humanité de l'enfant en péril
Par Catherine Dolto
le lien : http://www.lefigaro.fr/debats/2008/12/2 ... peril-.php
TRIBUNE - Alors que la Cour de cassation a rendu mercredi un arrêt qui confirme le caractère illégal de la pratique des mères porteuses en France, la fille de Françoise Dolto, médecin et haptopsychothérapeute, met en garde contre la tentation de la gestation pour autrui.
Au centre du débat sur la mère porteuse, il convient de placer l'intérêt de l'enfant à naître. Que signifiera cette manière d'arriver au monde pour l'enfant ainsi porté, tout au long de sa vie et de celle de ses futurs enfants ? Ces questions sont complexes. Les réponses, souvent militantes, voire dogmatiques, oublient trop souvent ce que l'on sait aujourd'hui de la vie prénatale.
Vaut-il mieux que la mère porteuse s'attache à l'enfant avant de l'abandonner ou qu'elle le porte en se coupant le plus possible de lui ? La seconde solution est à coup sûr plus pathogène. Est-il souhaitable de garder un lien entre la porteuse et le porté ? Cela n'est pas certain. Peu de voix se soucient de la charge de souffrances qui accompagneront inévitablement de tels dispositifs. Celle de la mère qui abandonne, celle de ses autres enfants (la future loi imposerait qu'elle en ait), celle de son compagnon et celle de l'enfant à naître, si poreux, dès la vie prénatale, aux affects de ceux qui l'entourent. Comment préserver le sentiment de sa dignité quand on est le résultat d'une transaction, d'un contrat, d'une livraison ?
Peut-on accepter que le désir - la «nécessité», disent certains - d'avoir un enfant porteur de mêmes gênes que soi pousse un couple d'humains à le produire et le commander comme on le ferait d'un objet ou d'un animal de compagnie ?
On peut souffrir de ne pas pouvoir avoir d'enfants et l'adoption n'est pas toujours facile. Mais il y aura toujours des enfants à aimer, à soutenir, à accompagner, même sans lien de parenté avec eux. Sans possession. Que signifie ce «droit à l'enfant» brandi aujourd'hui comme une évidence ?
La France envisage aujourd'hui de légiférer dans l'urgence sous prétexte que d'autres pays l'ont déjà fait. L'exemple de la Russie où des femmes riches font porter leur enfant par une autre devrait faire réfléchir… Ce qui est en cause, c'est le statut de l'enfant comme sujet. En le traitant en objet convoité, auquel chacun a droit s'il peut payer, en lui proposant comme premier lien affectif, fondateur, un marché de dupes entre ses parents et une femme qui accepte d'être ainsi utilisée un temps pour disparaître ensuite, c'est l'humanité même de l'enfant que l'on met en péril.
La situation de l'enfant né d'une mère porteuse n'est pas comparable avec celle de celui qui est abandonné puis adopté. Ce dernier est conçu naturellement, même si c'est dans les conditions difficiles, sans projet d'abandon. Ce qui constitue une rupture éthique dont nous devons mesurer la gravité, c'est le nouage, au même instant, d'une procréation manipulée par la technique médicale et d'un abandon programmé. C'est dans l'intention que se joue l'essentiel. Cela se pratique déjà tous les jours chez les éleveurs qui veulent obtenir des animaux de qualité.
Et que dire d'une société qui ne veut pas voir ce que signifie pour une femme le fait d'«offrir» son corps pour une transaction économique dont un enfant est l'enjeu ? Comment croire que celles qui le feront contre un simple dédommagement le feront par pur altruisme, dans la limpidité d'un don de soi et de l'enfant qu'elles auront porté, dans un acte exempt de complexités névrotiques potentiellement pathogènes pour elles, pour leurs autres enfants et pour celui qu'elles auront ainsi abandonné ? On dépasse là le cap de l'enfant objet. Permettre que l'enfant soit «commandé» et payé pour être conforme, dans son ADN, au lignage parental, c'est tirer le groupe humain que nous sommes, vers sa «mammiferité» plutôt que vers son humanité. C'est nier les avancées qui ont été faites dans la connaissance de la petite enfance durant ces trente dernières années. (...)
les questions :
1/ Quels sont les arguments avancés par Madame Dolto contre la pratique des mères porteuses? (4 pts)
2/ Expliquez la phrase du texte : Permettre que l'enfant soit «commandé» et payé pour être conforme, dans son ADN, au lignage parental, c'est tirer le groupe humain que nous sommes, vers sa «mammiferité» plutôt que vers son humanité. (4 pts)
3/ Par le biais de sa prise de position, l'auteur aborde la question de la relation filiale. Pour vous, que signifie "être le parent d'un enfant"?
Mes idées : 2/ j'ai expliqué ce qu'était le lignage parental (GPA, fecondation in vitro puis placement de l'embryon dans l'uterus de la mère porteuse...) puis la mammiférité : penchant de l'homme a revenir vers des comportements animaux, on s'écarte d'ue société en perpétuelle évolution morale... Ac le placement de mots clés comme GPA, bioéhique, sujet d'actualité...
3/ Intro :
Etre parent -> Qu'est ce que la famille -> ses différentes représentations, ses raisons d'être
Dev : différente sreprésentation de la fliliation (naturelle, légitime, adoption pléniaire ou simple), puis de la famille (monoparentale, tradi, moderne, recomposée...)
Puis a quoi elle sert : éducation, language, sociabilisation (apprend les règles, soin ,nourriture, logement, et fianciere (transmission du patrimoine)
puis conclusion.
Résultat (écrit) Concours Metz (Bon Secours)
Bonjour à tous!
Est-ce que par hasard quelqu'un aurait apellé l'IFSI pour savoir la date exacte de l'affichage des résultats de l'écrit?
Les tests psycho étaient vraiment chauds j'en suis sorti avec le cerveau lessivé quoi!
BiZ
Est-ce que par hasard quelqu'un aurait apellé l'IFSI pour savoir la date exacte de l'affichage des résultats de l'écrit?
Les tests psycho étaient vraiment chauds j'en suis sorti avec le cerveau lessivé quoi!
BiZ
Re: Concours Metz (Bon Secours)
les résultats ne seraient pas affichés mais envoyés semaine prochaine, et les oraux commenceraient à partir du 18/05
Re: Concours Metz (Bon Secours)
Bonsoir ZoZio!
Merci pour ta réponse éclair..
Donc à priori on devrait recevoir les courriers courant de la semaine prochaine? C'est les secrétaires de l'ifsi qui t'ont donné cette info?
Merci à toi!
Merci pour ta réponse éclair..
Donc à priori on devrait recevoir les courriers courant de la semaine prochaine? C'est les secrétaires de l'ifsi qui t'ont donné cette info?
Merci à toi!
Re: Concours Metz (Bon Secours)
des gens qui connaissent des gens, taux de fiabilité : 87.3%
Mais si ce n'est semaine pro, c'est la suivante.
Mais si ce n'est semaine pro, c'est la suivante.
Re: Concours Metz (Bon Secours)
Ok 
alors encore un peu de patience et ENJOY... Esperons... 
alors encore un peu de patience et ENJOY... Esperons... Re: Concours Metz (Bon Secours)
Bien le bonjour à tous!
J'ai apellé l'IFSI ce matin afin de me renseigner. (lol trop obsédé par les résultats)
Les courriers partent aujourd'hui même pour les résultats de l'écrit... On sera tous fixé dans la semaine!
Encore un peu de patience...
J'ai apellé l'IFSI ce matin afin de me renseigner. (lol trop obsédé par les résultats)
Les courriers partent aujourd'hui même pour les résultats de l'écrit... On sera tous fixé dans la semaine!
Encore un peu de patience...
Re: Concours Metz (Bon Secours)
Merci pour ces précieuses informations !
Je n'en peux plus d'attendre les résultats ... ma boîte aux lettres me fou les jetons tous les jours !
Je n'en peux plus d'attendre les résultats ... ma boîte aux lettres me fou les jetons tous les jours !
Re: Concours Metz (Bon Secours)
et hop!! surveillez vos boites aux lettres, ils sont là!
Je passe l'oral le 26/05 ^^ Je suis en joie ultime!
Je passe l'oral le 26/05 ^^ Je suis en joie ultime!
Re: Concours Metz (Bon Secours)
Ca y est j'ai reçu mon courrier ! Réponse positive !
Re: Concours Metz (Bon Secours)
bravo zozio !
moi je passe l'oral le lendemain, le 27 !
moi je passe l'oral le lendemain, le 27 !
Re: Concours Metz (Bon Secours)
bravo à toi! a ça fait bien plaisir hein! malgré le temps de m., j'ai la banane ^^
Re: Concours Metz (Bon Secours)
Salut tout le monde, je suis une nouvelle inscrite.
J'ai réussi le concours écrit et mon oral est le 27 ^^.
Je voulais savoir si certaines d'entre vous avez déjà passés un oral et si oui, si vous aviez des conseils à partager ^^ svp
J'ai réussi le concours écrit et mon oral est le 27 ^^.
Je voulais savoir si certaines d'entre vous avez déjà passés un oral et si oui, si vous aviez des conseils à partager ^^ svp
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