Résultats des écrits (Printemps 2011)
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
- rosedesiles
- Compte supprimé ou banni
- Messages : 2417
- Inscription : 06 nov. 2009 14:51
Re: Actualités pour le concours 2011
Allez, je rajoute ma pierre à l'édifice!
VIOLENCES à l’HÔPITAL : + 38% de faits signalés en 2009
L’observatoire national des violences en milieu hospitalier (ONVH) chargé d’animer la politique de prévention et de lutte contre les violences survenant dans les établissements, dresse un bilan alarmant pour l’année 2009, avec une augmentation de 38 % des faits de violence déclarés entre 2008 et 2009, soit un total de 4.742 faits signalés. Les victimes : les personnels de l’établissement (77 %), les auteurs : majoritairement les patients (73%), le type de violence : la violence aux personnes (85%), les suites : très peu (aucun dépôt de plainte dans 86 % des cas).
Une évolution à relativiser, selon le Ministère de la Santé qui évoque 2 raisons, l’une factuelle, la progression importante du nombre d’établissements déclarants (+ 29 % en un an) qui ne peut expliquer l’ensemble de l’augmentation du nombre de fats et l’une plus qualitative, l’abaissement du seuil de tolérance des professionnels de santé, aux faits de violence. Mais une augmentation continue depuis la mise en place de l’Observatoire, 2.690 faits signalés en 2006, 3.253 en 2007 et 3.433 en 2008.
Parler pour mieux lutter contre à l’hôpital devient plus courant, avec une saisine plus fréquente de l’ONVH. Mais des disparités selon les régions, selon les services - les services de psychiatrie étant toujours les premiers concernés par les faits de violence- et les types de pathologies traitées. Ainsi, les 3 services les plus touchés restent toujours la psychiatrie (40%), les urgences (15%), la médecine générale (13%).
Les atteintes aux personnes représentent 85 % des actes commis, puis viennent les atteintes aux biens avec des vols sans effraction et des dégradations légères.
On distingue plusieurs niveaux de violences aux personnes :
· Niveau 1 : Injures, insultes et provocations sans menaces, consommation ou trafic de substances illicites ou prohibées en milieu hospitalier, chahuts, occupations des locaux, nuisances, salissures…;
· Niveau 2 : Menaces d'atteinte à l'intégrité physique ou aux biens de la personne, menaces de mort, port d'armes;
· Niveau 3 : Violences volontaires, menaces avec arme par nature ou par destination, agression sexuelle;
· Jusqu’au niveau 4 : Violences avec arme par nature ou par destination, viol et tout autre fait qualifié de crime.
Le protocole santé/sécurité conclu en août 2005 et actualisé en 2010, pour lutter contre les violences à l’hôpital, favorise aujourd’hui la collaboration entre les établissements et les forces de l’ordre, avec entre autres mesures la surveillance des services d’urgence, la mise en place de systèmes d’alerte, la possibilité de diagnostics de sécurité par les services de police ou de gendarmerie. De son côté, l’Observatoire national des violences en milieu hospitalier, au-delà du recensement des faits, a pour mission de coordonner et d’évaluer les politiques mises en œuvre par les différents acteurs.
Source : Santé Log, en date du 10 Septembre 2010

VIOLENCES à l’HÔPITAL : + 38% de faits signalés en 2009
L’observatoire national des violences en milieu hospitalier (ONVH) chargé d’animer la politique de prévention et de lutte contre les violences survenant dans les établissements, dresse un bilan alarmant pour l’année 2009, avec une augmentation de 38 % des faits de violence déclarés entre 2008 et 2009, soit un total de 4.742 faits signalés. Les victimes : les personnels de l’établissement (77 %), les auteurs : majoritairement les patients (73%), le type de violence : la violence aux personnes (85%), les suites : très peu (aucun dépôt de plainte dans 86 % des cas).
Une évolution à relativiser, selon le Ministère de la Santé qui évoque 2 raisons, l’une factuelle, la progression importante du nombre d’établissements déclarants (+ 29 % en un an) qui ne peut expliquer l’ensemble de l’augmentation du nombre de fats et l’une plus qualitative, l’abaissement du seuil de tolérance des professionnels de santé, aux faits de violence. Mais une augmentation continue depuis la mise en place de l’Observatoire, 2.690 faits signalés en 2006, 3.253 en 2007 et 3.433 en 2008.
Parler pour mieux lutter contre à l’hôpital devient plus courant, avec une saisine plus fréquente de l’ONVH. Mais des disparités selon les régions, selon les services - les services de psychiatrie étant toujours les premiers concernés par les faits de violence- et les types de pathologies traitées. Ainsi, les 3 services les plus touchés restent toujours la psychiatrie (40%), les urgences (15%), la médecine générale (13%).
Les atteintes aux personnes représentent 85 % des actes commis, puis viennent les atteintes aux biens avec des vols sans effraction et des dégradations légères.
On distingue plusieurs niveaux de violences aux personnes :
· Niveau 1 : Injures, insultes et provocations sans menaces, consommation ou trafic de substances illicites ou prohibées en milieu hospitalier, chahuts, occupations des locaux, nuisances, salissures…;
· Niveau 2 : Menaces d'atteinte à l'intégrité physique ou aux biens de la personne, menaces de mort, port d'armes;
· Niveau 3 : Violences volontaires, menaces avec arme par nature ou par destination, agression sexuelle;
· Jusqu’au niveau 4 : Violences avec arme par nature ou par destination, viol et tout autre fait qualifié de crime.
Le protocole santé/sécurité conclu en août 2005 et actualisé en 2010, pour lutter contre les violences à l’hôpital, favorise aujourd’hui la collaboration entre les établissements et les forces de l’ordre, avec entre autres mesures la surveillance des services d’urgence, la mise en place de systèmes d’alerte, la possibilité de diagnostics de sécurité par les services de police ou de gendarmerie. De son côté, l’Observatoire national des violences en milieu hospitalier, au-delà du recensement des faits, a pour mission de coordonner et d’évaluer les politiques mises en œuvre par les différents acteurs.
Source : Santé Log, en date du 10 Septembre 2010
Bébé 1 en route en ce moment. 
Et un report de plus...

Et un report de plus...
Re: Actualités pour le concours 2011
Sciences humaines
" L'enfant violent " n.108 - Octobre 2009
http://www.scienceshumaines.com/l-enfan ... 24233.html
Tout un dossier complet, accés libre.
En fait, ça serait bien de faire des sous-topics pour ranger toutes nos données par catégorie histoire de s'y retrouver et de ne pas mettre deux fois la même information. Est-ce que ça serait possible ?
" L'enfant violent " n.108 - Octobre 2009
http://www.scienceshumaines.com/l-enfan ... 24233.html
Tout un dossier complet, accés libre.
En fait, ça serait bien de faire des sous-topics pour ranger toutes nos données par catégorie histoire de s'y retrouver et de ne pas mettre deux fois la même information. Est-ce que ça serait possible ?
38ans-illustratrice
Concours 2010 CHU Tours > non admis, donc c'est reparti pour les concours 2011 !
Maman d'une petite fille de 2 ans
Concours 2010 CHU Tours > non admis, donc c'est reparti pour les concours 2011 !
Maman d'une petite fille de 2 ans
Re: Actualités pour le concours 2011
bonjour à toutes et à tous, toute nouvelle sur ce forum et très motivé pour le printemps 2011 je vous remercie beaucoup pour vos articles. ils me seront très utiles car mon bac sms est vieux de 10 ans déjà....
IDE 2014!!!!!!!!!! en poste en EHPAD!
Re: Actualités pour le concours 2011
Alors comment se déroule ces Révisions pour vous tous ? Voilà un article qui me parait important :
Projet de Loi SÉCURITE SOCIALE 2011 : Les GÉNÉRALISTES posent leurs conditions
Actualité publiée il y a 8h06mn
CSMF
La Confédération des Syndicats Médicaux Français (CSMF) rencontrait la Ministre de la santé mardi 7 septembre pour une réunion de travail sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS). Cette rencontre coïncide avec la publication du rapport de la Cour des Comptes sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale et la préparation du Projet de loi sur la sécurité sociale 2011 (PLSS 2011) dont les grands axes devraient être dévoilés le 28 septembre prochain. Parmi les souhaits des médecins généralistes, l'adoption d'un ONDAM (objectif national de dépenses d'assurance-maladie) de ville supérieur à celui de l'hôpital et qui permette la négociation de la nouvelle convention, avec le rattrapage des revalorisations d’honoraires.
Le contexte des dépenses de santé, analysé par la Cour des Comptes : Les dépenses de soins de ville (honoraires médicaux, infirmiers, dentistes, kinésithérapeutes, orthophonistes, orthoptistes…et prise en charge des cotisations sociales des PAM (praticiens et auxiliaires médicaux), les produits de santé et autres prestations type médicaments, biologie, transports et les indemnités journalières (IJ) sauf IJ maternité) interviennent dans l’ONDAM 2009 pour 73,2 Md€ alors que les dépenses relatives aux établissements de santé (tous types d’établissements confondus) s’élèvent à plus de 85 Md€. Concernant les soins de ville, un facteur explicatif du dépassement de l’ordre de 200 M€ est les conséquences de la grippe A (H1N1) qui n’avaient pas été prises en compte pour la construction de l’ONDAM et contribuent pour 200 M€ au dépassement, essentiellement en raison des provisions. Par ailleurs, le dernier rapport de l'Assurance Maladie montre que les Soins de ville montrent l'exemple.
En préambule à cette réunion de travail sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), le syndicat a rappelé au Ministre son exigence de voir la loi « Hôpital, Patients, Santé, Territoires » (HPST) « nettoyée ». Selon la CSMF, alors que la totalité des décrets d’application de la Loi Hôpital n’est pas encore parue, les premières mesures s’annoncent « calamiteuses pour l’exercice médical ».
Un enjeu, la survie de l’exercice médical libéral : Obligation de déclaration des absences, taxe sur les feuilles de soins, taxe sur l’exercice en ville, délit statistique (sur les déclarations d’arrêts de travail), permanence des soins obligatoire mais non rémunérée pour tous- précise le syndicat- blocage des honoraires, étatisation de la formation, atteinte au secteur 2 (contrôle sur les dépassements d’honoraires), salariat des médecins dans les établissements, encadrement des médecins par les directeurs des ARS, bref, les doléances des médecins libéraux sont nombreuses.
Par ailleurs les médecins craignent l’arrivée de nouvelles mesures telles que le reversement, en cas de dépassement des objectifs fixés par l’ARS pour réguler les dépenses de transport et de médicaments et la désorganisation de la profession avec la disparition depuis juillet des Unions Régionales de Médecins Libéraux (URML) au profit d’Unions Régionales de Professionnels de santé (URPS) qui n’existent pas encore.
Un souhait de nouvelles mesures « pour sauver l’exercice médical et la convention dans le PLFSS 2011 » :
Le prochain PLFSS sera très symbolique pour les médecins généralistes, malmenés et sur le plan des tarifs et sur celui de leur implication, par le gouvernement, aux stratégies de Santé Publique la (campagne de vaccination H1N1). Sur le plan des budgets de dépenses ville-hôpital également, et la part de responsabilité accordée au secteur ambulatoire. La CSMF a présenté 12 mesures au Ministre de la Santé :
1. Adopter un ONDAM de ville supérieur à l’ONDAM hospitalier ;
2. Individualiser dans l’ONDAM les transferts entre l’hôpital et la ville ;
3. Donner à la médecine de ville la possibilité d’émarger au fonds de restructuration hospitalier ;
4. Supprimer les stabilisateurs économiques (période d’observation de 6 mois pour les honoraires et report automatique à l’année suivante en cas d’alerte) qui sont un obstacle à la vie conventionnelle;
5. Supprimer définitivement l’obligation du signalement d’absences ou de congés ;
6. Supprimer définitivement le caractère obligatoire du contrat santé-solidarité ;
7. Intégrer le paiement à la performance dans la convention qui se substituerait alors au CAPI ;
8. Rétablir les contrats de bonne pratique (véhicule du paiement des gardes en cliniques, de la médecine thermale, de l’exercice en stations de sport d’hiver, en zone franche urbaine, en zone rurale sensible,… supprimés par la loi HPST ;
9. Réécrire le dispositif des sanctions et pénalités pour les médecins, notamment en précisant les règles de non cumul des procédures, leur hiérarchie, et en rendant conforme l’avis de la commission des pénalités ;
10. Supprimer le « délit statistique » ;
11. Créer un comité de pilotage permanent et quadripartite sur la retraite (3 régimes : base, complémentaire et ASV) associant l’État, les Caisses, les syndicats médicaux représentatifs et la CARMF ;
12. Réformer la responsabilité civile professionnelle (RCP) pour la rendre supportable aux praticiens les plus exposés (obstétriciens, échographistes, etc.).
L’enjeu est aussi de renforcer l’attrait de l’exercice de la médecine libérale pour les jeunes médecins et de pouvoir pallier aux pénuries de médecins libéraux dans certaines régions.
Projet de Loi SÉCURITE SOCIALE 2011 : Les GÉNÉRALISTES posent leurs conditions
Actualité publiée il y a 8h06mn
CSMF
La Confédération des Syndicats Médicaux Français (CSMF) rencontrait la Ministre de la santé mardi 7 septembre pour une réunion de travail sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS). Cette rencontre coïncide avec la publication du rapport de la Cour des Comptes sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale et la préparation du Projet de loi sur la sécurité sociale 2011 (PLSS 2011) dont les grands axes devraient être dévoilés le 28 septembre prochain. Parmi les souhaits des médecins généralistes, l'adoption d'un ONDAM (objectif national de dépenses d'assurance-maladie) de ville supérieur à celui de l'hôpital et qui permette la négociation de la nouvelle convention, avec le rattrapage des revalorisations d’honoraires.
Le contexte des dépenses de santé, analysé par la Cour des Comptes : Les dépenses de soins de ville (honoraires médicaux, infirmiers, dentistes, kinésithérapeutes, orthophonistes, orthoptistes…et prise en charge des cotisations sociales des PAM (praticiens et auxiliaires médicaux), les produits de santé et autres prestations type médicaments, biologie, transports et les indemnités journalières (IJ) sauf IJ maternité) interviennent dans l’ONDAM 2009 pour 73,2 Md€ alors que les dépenses relatives aux établissements de santé (tous types d’établissements confondus) s’élèvent à plus de 85 Md€. Concernant les soins de ville, un facteur explicatif du dépassement de l’ordre de 200 M€ est les conséquences de la grippe A (H1N1) qui n’avaient pas été prises en compte pour la construction de l’ONDAM et contribuent pour 200 M€ au dépassement, essentiellement en raison des provisions. Par ailleurs, le dernier rapport de l'Assurance Maladie montre que les Soins de ville montrent l'exemple.
En préambule à cette réunion de travail sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), le syndicat a rappelé au Ministre son exigence de voir la loi « Hôpital, Patients, Santé, Territoires » (HPST) « nettoyée ». Selon la CSMF, alors que la totalité des décrets d’application de la Loi Hôpital n’est pas encore parue, les premières mesures s’annoncent « calamiteuses pour l’exercice médical ».
Un enjeu, la survie de l’exercice médical libéral : Obligation de déclaration des absences, taxe sur les feuilles de soins, taxe sur l’exercice en ville, délit statistique (sur les déclarations d’arrêts de travail), permanence des soins obligatoire mais non rémunérée pour tous- précise le syndicat- blocage des honoraires, étatisation de la formation, atteinte au secteur 2 (contrôle sur les dépassements d’honoraires), salariat des médecins dans les établissements, encadrement des médecins par les directeurs des ARS, bref, les doléances des médecins libéraux sont nombreuses.
Par ailleurs les médecins craignent l’arrivée de nouvelles mesures telles que le reversement, en cas de dépassement des objectifs fixés par l’ARS pour réguler les dépenses de transport et de médicaments et la désorganisation de la profession avec la disparition depuis juillet des Unions Régionales de Médecins Libéraux (URML) au profit d’Unions Régionales de Professionnels de santé (URPS) qui n’existent pas encore.
Un souhait de nouvelles mesures « pour sauver l’exercice médical et la convention dans le PLFSS 2011 » :
Le prochain PLFSS sera très symbolique pour les médecins généralistes, malmenés et sur le plan des tarifs et sur celui de leur implication, par le gouvernement, aux stratégies de Santé Publique la (campagne de vaccination H1N1). Sur le plan des budgets de dépenses ville-hôpital également, et la part de responsabilité accordée au secteur ambulatoire. La CSMF a présenté 12 mesures au Ministre de la Santé :
1. Adopter un ONDAM de ville supérieur à l’ONDAM hospitalier ;
2. Individualiser dans l’ONDAM les transferts entre l’hôpital et la ville ;
3. Donner à la médecine de ville la possibilité d’émarger au fonds de restructuration hospitalier ;
4. Supprimer les stabilisateurs économiques (période d’observation de 6 mois pour les honoraires et report automatique à l’année suivante en cas d’alerte) qui sont un obstacle à la vie conventionnelle;
5. Supprimer définitivement l’obligation du signalement d’absences ou de congés ;
6. Supprimer définitivement le caractère obligatoire du contrat santé-solidarité ;
7. Intégrer le paiement à la performance dans la convention qui se substituerait alors au CAPI ;
8. Rétablir les contrats de bonne pratique (véhicule du paiement des gardes en cliniques, de la médecine thermale, de l’exercice en stations de sport d’hiver, en zone franche urbaine, en zone rurale sensible,… supprimés par la loi HPST ;
9. Réécrire le dispositif des sanctions et pénalités pour les médecins, notamment en précisant les règles de non cumul des procédures, leur hiérarchie, et en rendant conforme l’avis de la commission des pénalités ;
10. Supprimer le « délit statistique » ;
11. Créer un comité de pilotage permanent et quadripartite sur la retraite (3 régimes : base, complémentaire et ASV) associant l’État, les Caisses, les syndicats médicaux représentatifs et la CARMF ;
12. Réformer la responsabilité civile professionnelle (RCP) pour la rendre supportable aux praticiens les plus exposés (obstétriciens, échographistes, etc.).
L’enjeu est aussi de renforcer l’attrait de l’exercice de la médecine libérale pour les jeunes médecins et de pouvoir pallier aux pénuries de médecins libéraux dans certaines régions.
Re: Actualités pour le concours 2011
Cinq suicides en 15 jours chez France Telecom (11/09/10)
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit ... lecom.html
Caro, je suis d'accord avec toi pour hiérarchiser toutes nos actus.
Personnellement, je le fais déjà avec mes archives papier + création de dossiers dans mon ordi. Certaines d'entre vous sauraient-elles créer des sous-topic pour classer nos infos ?
Bonne révision
Julie
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit ... lecom.html
Caro, je suis d'accord avec toi pour hiérarchiser toutes nos actus.
Personnellement, je le fais déjà avec mes archives papier + création de dossiers dans mon ordi. Certaines d'entre vous sauraient-elles créer des sous-topic pour classer nos infos ?
Bonne révision
Julie
32 ans - Candidate aux concours 2011
Maman de 2 enfants (5 et 3 ans)
Admise sur liste principale à Bordeaux Bagatelle, Bordeaux Charles Perrens, Dax et Bayonne !!!
Maman de 2 enfants (5 et 3 ans)
Admise sur liste principale à Bordeaux Bagatelle, Bordeaux Charles Perrens, Dax et Bayonne !!!
Re: Actualités pour le concours 2011
Petit conseil aux candidat(e)s : dès que vous avez un moment regardez le Magazine de la Santé, pas forcément toute l'émission mais au moins le journal qui dure 10-15 min environ : c'est un petit aperçu des faits importants !
Bon courage à tous & si vous avez des questions n'hésitez pas à me contacter !
Bon courage à tous & si vous avez des questions n'hésitez pas à me contacter !
Infirmière. DE 2013
Re: Actualités pour le concours 2011
E-l0-dii3 a écrit :Petit conseil aux candidat(e)s : dès que vous avez un moment regardez le Magazine de la Santé, pas forcément toute l'émission mais au moins le journal qui dure 10-15 min environ : c'est un petit aperçu des faits importants !
Bon courage à tous & si vous avez des questions n'hésitez pas à me contacter !
Et est-ce que les maternelles c'est bien aussi ?
Re: Actualités pour le concours 2011
Emission de Radio Interception sur "France Inter"
"Shoot sous contrôle". Une émission consacrée aux salles de consommation pour toxicomanes. Elle nous apprend beaucoup, sur le dispositif et les différentes reflexions autour du sujet.
http://sites.radiofrance.fr/franceinter ... p?id=94499
Les salles de consommation de drogue pour toxicomanes existent déjà dans de nombreux pays européens : en Espagne, en Allemagne, en Suisse, au Luxembourg ou aux Pays Bas.
Dans ces pays, elles ne font plus débat et les autorités jugent leur bilan plutôt positif. Les toxicomanes y viennent librement s’injecter ou inhaler leur drogue. Cela leur permet d’avoir un contact avec des travailleurs sociaux ou des professionnels de santé et peut-être d’entamer une démarche de soins.
Cela permet aussi que la consommation de drogue se fasse dans un environnement plus sûr que la rue, pour éviter notamment la propagation du Sida ou de l’hépatite.
En France, l’éventuelle création de tels lieux pose toujours problème. Des associations, des professionnels de santé, des élus de gauche comme de droite y sont favorables. L’Institut de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a également émis un avis positif dans un rapport remis au gouvernement en juin dernier. Mais les opposants restent nombreux et début août le premier ministre, François Fillon, a jugé que ces salles n’étaient « ni utiles, ni souhaitables ». Le débat reste pourtant ouvert.
Bixente Vrignon et Gilles Gallinaro nous font découvrir la salle de consommation de Bilbao, au Pays Basque espagnol, et ont recueilli le point de vue de différents responsables associatifs, élus ou professionnels impliqués dans l’aide aux toxicomanes.
Bonne écoute !
"Shoot sous contrôle". Une émission consacrée aux salles de consommation pour toxicomanes. Elle nous apprend beaucoup, sur le dispositif et les différentes reflexions autour du sujet.
http://sites.radiofrance.fr/franceinter ... p?id=94499
Les salles de consommation de drogue pour toxicomanes existent déjà dans de nombreux pays européens : en Espagne, en Allemagne, en Suisse, au Luxembourg ou aux Pays Bas.
Dans ces pays, elles ne font plus débat et les autorités jugent leur bilan plutôt positif. Les toxicomanes y viennent librement s’injecter ou inhaler leur drogue. Cela leur permet d’avoir un contact avec des travailleurs sociaux ou des professionnels de santé et peut-être d’entamer une démarche de soins.
Cela permet aussi que la consommation de drogue se fasse dans un environnement plus sûr que la rue, pour éviter notamment la propagation du Sida ou de l’hépatite.
En France, l’éventuelle création de tels lieux pose toujours problème. Des associations, des professionnels de santé, des élus de gauche comme de droite y sont favorables. L’Institut de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a également émis un avis positif dans un rapport remis au gouvernement en juin dernier. Mais les opposants restent nombreux et début août le premier ministre, François Fillon, a jugé que ces salles n’étaient « ni utiles, ni souhaitables ». Le débat reste pourtant ouvert.
Bixente Vrignon et Gilles Gallinaro nous font découvrir la salle de consommation de Bilbao, au Pays Basque espagnol, et ont recueilli le point de vue de différents responsables associatifs, élus ou professionnels impliqués dans l’aide aux toxicomanes.
Bonne écoute !
38ans-illustratrice
Concours 2010 CHU Tours > non admis, donc c'est reparti pour les concours 2011 !
Maman d'une petite fille de 2 ans
Concours 2010 CHU Tours > non admis, donc c'est reparti pour les concours 2011 !
Maman d'une petite fille de 2 ans
Re: Actualités pour le concours 2011
Même sujet que le précédent:
Un dossier complet sur la légalisation de la Drogue dans le magasine Books - accés libre:
http://www.booksmag.fr/magazine/books-s ... ro-15.html
Un dossier complet sur la légalisation de la Drogue dans le magasine Books - accés libre:
http://www.booksmag.fr/magazine/books-s ... ro-15.html
38ans-illustratrice
Concours 2010 CHU Tours > non admis, donc c'est reparti pour les concours 2011 !
Maman d'une petite fille de 2 ans
Concours 2010 CHU Tours > non admis, donc c'est reparti pour les concours 2011 !
Maman d'une petite fille de 2 ans
Re: Actualités pour le concours 2011
Premier cas de dengue dans l'Hexagone
Le moustique Aedes aegypti est le principal vecteur de la dengue . » (AFP)
Un habitant de Nice a été contaminé en France par le virus de la dengue, maladie tropicale transmise par les moustiques. C’est une première en métropole.
Un premier cas de dengue a été signalé en France métropolitaine. Ce cas isolé a été détecté à Nice (Alpes-Maritimes), où la présence du moustique vecteur de cette maladie est surveillée depuis plusieurs années. Contrairement à des cas de maladies tropicales rapportés par des voyageurs, le patient niçois est un cas autochtone, le premier du genre. Cela signifie qu’un moustique a été contaminé en piquant à Nice une personne revenant de l’étranger puis a transmis le virus à une autre personne restée sur le sol niçois.
La dengue est une maladie virale transmise à l’être humain par un moustique du genre Aedes, qui est porteur du virus. Fièvres, maux de tête, douleurs musculaires et articulaires sont souvent les symptômes de la dengue. Cependant il existe une forme hémorragique sévère plus rare mais potentiellement mortelle. Cette maladie est fréquente dans les régions tropicales et subtropicales (Asie, Afrique, Amérique du Sud).
Moustique tigre dans le sud de la France
Le principal vecteur de la dengue est le moustique Aedes aegypti, mais le moustique tigre, Aedes albopictus, est également capable de transmettre la maladie. Cette espèce, présente depuis quelques années en Italie, a été observée en France pour la première fois en 2004, dans les Alpes-Maritimes. Ensuite son territoire s’est agrandi à la Corse, au Var et aux Bouches-du-Rhône depuis l’automne 2009.
A Nice, des opérations d’éradication des moustiques ont eu lieu autour de la résidence du patient, qui est bonne santé. Quant aux mesures de surveillance des populations de moustique, notamment avec des pièges, elles vont être renforcées, précise la Direction générale de la santé.
Le moustique tigre est également vecteur du virus du chikungunya. Jusqu’à présent aucun cas n’a été observé en métropole. Cependant, comme l’expliquait récemment à Sciences et Avenir.fr Jean-Jacques Coiplet, de l'Agence régionale de santé en PACA, «le risque épidémique n’est pas nul car le nombre de cas importés, c'est-à-dire des personnes qui ont été contaminées lors d’un séjour à l’étranger, est en forte augmentation. Depuis deux mois nous avons recensé pratiquement autant de cas que sur toute l’année dernière» (lire Une épidémie de chikungunya est-elle possible en France?).
Lutte intense dans les Antilles
Le ministère de la santé rappelle que la lutte contre la dissémination du virus passe par des mesures simples : d’abord supprimer toutes les eaux stagnantes propices à la reproduction des moustiques (pots, vases, etc) ; ensuite se protéger des piqûres de moustiques avec des produits et des moustiquaires.
Depuis le début de l’année une épidémie de dengue sans précédent touche les Antilles françaises (Martinique, Guyane, Guadeloupe, Saint-Martin, Saint-Barthélemy). En Martinique et en Guadeloupe des mesures exceptionnelles ont été prises pour lutter contre le virus, qui a touché plus de 60.000 personnes en quelques mois (sur 800.000 habitants).
C.D.
Sciences et Avenir.fr
13/09/10
Le moustique Aedes aegypti est le principal vecteur de la dengue . » (AFP)
Un habitant de Nice a été contaminé en France par le virus de la dengue, maladie tropicale transmise par les moustiques. C’est une première en métropole.
Un premier cas de dengue a été signalé en France métropolitaine. Ce cas isolé a été détecté à Nice (Alpes-Maritimes), où la présence du moustique vecteur de cette maladie est surveillée depuis plusieurs années. Contrairement à des cas de maladies tropicales rapportés par des voyageurs, le patient niçois est un cas autochtone, le premier du genre. Cela signifie qu’un moustique a été contaminé en piquant à Nice une personne revenant de l’étranger puis a transmis le virus à une autre personne restée sur le sol niçois.
La dengue est une maladie virale transmise à l’être humain par un moustique du genre Aedes, qui est porteur du virus. Fièvres, maux de tête, douleurs musculaires et articulaires sont souvent les symptômes de la dengue. Cependant il existe une forme hémorragique sévère plus rare mais potentiellement mortelle. Cette maladie est fréquente dans les régions tropicales et subtropicales (Asie, Afrique, Amérique du Sud).
Moustique tigre dans le sud de la France
Le principal vecteur de la dengue est le moustique Aedes aegypti, mais le moustique tigre, Aedes albopictus, est également capable de transmettre la maladie. Cette espèce, présente depuis quelques années en Italie, a été observée en France pour la première fois en 2004, dans les Alpes-Maritimes. Ensuite son territoire s’est agrandi à la Corse, au Var et aux Bouches-du-Rhône depuis l’automne 2009.
A Nice, des opérations d’éradication des moustiques ont eu lieu autour de la résidence du patient, qui est bonne santé. Quant aux mesures de surveillance des populations de moustique, notamment avec des pièges, elles vont être renforcées, précise la Direction générale de la santé.
Le moustique tigre est également vecteur du virus du chikungunya. Jusqu’à présent aucun cas n’a été observé en métropole. Cependant, comme l’expliquait récemment à Sciences et Avenir.fr Jean-Jacques Coiplet, de l'Agence régionale de santé en PACA, «le risque épidémique n’est pas nul car le nombre de cas importés, c'est-à-dire des personnes qui ont été contaminées lors d’un séjour à l’étranger, est en forte augmentation. Depuis deux mois nous avons recensé pratiquement autant de cas que sur toute l’année dernière» (lire Une épidémie de chikungunya est-elle possible en France?).
Lutte intense dans les Antilles
Le ministère de la santé rappelle que la lutte contre la dissémination du virus passe par des mesures simples : d’abord supprimer toutes les eaux stagnantes propices à la reproduction des moustiques (pots, vases, etc) ; ensuite se protéger des piqûres de moustiques avec des produits et des moustiquaires.
Depuis le début de l’année une épidémie de dengue sans précédent touche les Antilles françaises (Martinique, Guyane, Guadeloupe, Saint-Martin, Saint-Barthélemy). En Martinique et en Guadeloupe des mesures exceptionnelles ont été prises pour lutter contre le virus, qui a touché plus de 60.000 personnes en quelques mois (sur 800.000 habitants).
C.D.
Sciences et Avenir.fr
13/09/10
Re: Actualités pour le concours 2011
Cellules souches embryonnaires: situation toujours bloquée aux Etats-Unis
Le juge Lamberth refuse de suspendre sa décision empêchant l'administration Obama de financer des recherches impliquant des cellules souches embryonnaires humaines.
La confusion règne toujours dans les laboratoires de biologie aux États-Unis. Malgré la demande du ministère américain de la justice de suspendre sa décision, le juge Royce Lamberth maintient son jugement qui bloque les financements publics pour les travaux impliquant des cellules souches embryonnaires humaines (CSEH).
Fin août, dans une décision qui a pris de court et surpris les chercheurs mais aussi les juristes, le juge Lamberth a bloqué les nouvelles règles établies par l’administration Obama, estiment qu’elles violaient un amendement voté chaque année par le Congrès. Cet amendement (Dickey-Wicker) interdit aux fonds publics de financer la destruction d’embryons humains à des fins de recherches.
Suspendre son premier jugement serait «faire fi de la volonté du Congrès» explique le juge du district de Columbia dans son second avis, rendu mardi à Washington. Royce Lamberth estime que le gouvernement, dans sa requête, exagère les conséquences désastreuses pour la recherche et l’emploi qu’entraînerait la décision du 26 août. Il précise que ce jugement ne remet pas en cause les projets de recherche qui avaient déjà reçu des fonds fédéraux, ni les travaux commencés sous la période Bush, où seules les lignées de cellules souches embryonnaires humaines déjà existantes pouvaient être utilisées dans le cadre d’un financement public.
A travers tous les États-Unis des équipes de chercheurs craignent pour l’avenir de leurs recherches. Les collaborations internationales, les contrats des doctorants pourraient également souffrir de la situation.
Sur un blog de professeurs de droit américains, un juriste s’étonne des restrictions apportées en seconde lecture par le juge Lamberth, qui exclut donc les fonds alloués par l’administration Bush pour des travaux sur les CSEH. Même si les règles de l’époque étaient plus strictes que celles édictées par Obama, elles semblaient tomber sous le coup de la première décision. La restriction affaiblit le raisonnement du juge Lamberth, estime le Pr Russell Korobkin (UCLA, Stanford), et conforte l’idée que sa décision doit être contrée en appel.
Dans cette affaire les plaignants sont deux chercheurs, James Sherley et Theresa Deisher, qui travaillent sur les cellules souches adultes. Bien que leur plainte ait été retenue au motif qu’avec les nouvelles règles de l’administration Obama, plus favorables aux CSE, ils risquaient d’avoir moins de fonds pour leurs travaux, ces deux biologistes ne cachent pas qu’ils sont motivés par des questions éthiques. Tous deux croyants, ils sont opposés à la destruction d’embryons humains. Theresa Deisher a déjà exprimé publiquement son opposition à l’avortement.
A ce stade le ministère de la Justice peut faire appel de la décision devant une cour fédérale.
Cécile Dumas
Sciences et Avenir.fr
08/09/10
Le juge Lamberth refuse de suspendre sa décision empêchant l'administration Obama de financer des recherches impliquant des cellules souches embryonnaires humaines.
La confusion règne toujours dans les laboratoires de biologie aux États-Unis. Malgré la demande du ministère américain de la justice de suspendre sa décision, le juge Royce Lamberth maintient son jugement qui bloque les financements publics pour les travaux impliquant des cellules souches embryonnaires humaines (CSEH).
Fin août, dans une décision qui a pris de court et surpris les chercheurs mais aussi les juristes, le juge Lamberth a bloqué les nouvelles règles établies par l’administration Obama, estiment qu’elles violaient un amendement voté chaque année par le Congrès. Cet amendement (Dickey-Wicker) interdit aux fonds publics de financer la destruction d’embryons humains à des fins de recherches.
Suspendre son premier jugement serait «faire fi de la volonté du Congrès» explique le juge du district de Columbia dans son second avis, rendu mardi à Washington. Royce Lamberth estime que le gouvernement, dans sa requête, exagère les conséquences désastreuses pour la recherche et l’emploi qu’entraînerait la décision du 26 août. Il précise que ce jugement ne remet pas en cause les projets de recherche qui avaient déjà reçu des fonds fédéraux, ni les travaux commencés sous la période Bush, où seules les lignées de cellules souches embryonnaires humaines déjà existantes pouvaient être utilisées dans le cadre d’un financement public.
A travers tous les États-Unis des équipes de chercheurs craignent pour l’avenir de leurs recherches. Les collaborations internationales, les contrats des doctorants pourraient également souffrir de la situation.
Sur un blog de professeurs de droit américains, un juriste s’étonne des restrictions apportées en seconde lecture par le juge Lamberth, qui exclut donc les fonds alloués par l’administration Bush pour des travaux sur les CSEH. Même si les règles de l’époque étaient plus strictes que celles édictées par Obama, elles semblaient tomber sous le coup de la première décision. La restriction affaiblit le raisonnement du juge Lamberth, estime le Pr Russell Korobkin (UCLA, Stanford), et conforte l’idée que sa décision doit être contrée en appel.
Dans cette affaire les plaignants sont deux chercheurs, James Sherley et Theresa Deisher, qui travaillent sur les cellules souches adultes. Bien que leur plainte ait été retenue au motif qu’avec les nouvelles règles de l’administration Obama, plus favorables aux CSE, ils risquaient d’avoir moins de fonds pour leurs travaux, ces deux biologistes ne cachent pas qu’ils sont motivés par des questions éthiques. Tous deux croyants, ils sont opposés à la destruction d’embryons humains. Theresa Deisher a déjà exprimé publiquement son opposition à l’avortement.
A ce stade le ministère de la Justice peut faire appel de la décision devant une cour fédérale.
Cécile Dumas
Sciences et Avenir.fr
08/09/10
Re: Actualités pour le concours 2011
Je reviens sur mon message présédent. En fait, tous les articles ne sont pas disponibles 

38ans-illustratrice
Concours 2010 CHU Tours > non admis, donc c'est reparti pour les concours 2011 !
Maman d'une petite fille de 2 ans
Concours 2010 CHU Tours > non admis, donc c'est reparti pour les concours 2011 !
Maman d'une petite fille de 2 ans
Re: Actualités pour le concours 2011
Bonsoir les gens !
En attendant la réception de mes cours du CNED (en espérant avoir fait le bon choix), je surfe pas mal on the weeeb et évidemment, je vous conseille d'aller jeter quelques coups d'oeil sur le site du ministère de la santé qui classe ses dossiers archivés datés et vous recommande également ce site qui expose des sujets d'actualités susceptibles d'être traités aux concours à venir ... à vous de faire le tri puisqu'il ne s'agit pas ici QUE d'actualités sanitaires et sociales ...
http://www.vie-publique.fr/actualite/dossier/
Bon courage à toutes et à tous
En attendant la réception de mes cours du CNED (en espérant avoir fait le bon choix), je surfe pas mal on the weeeb et évidemment, je vous conseille d'aller jeter quelques coups d'oeil sur le site du ministère de la santé qui classe ses dossiers archivés datés et vous recommande également ce site qui expose des sujets d'actualités susceptibles d'être traités aux concours à venir ... à vous de faire le tri puisqu'il ne s'agit pas ici QUE d'actualités sanitaires et sociales ...
http://www.vie-publique.fr/actualite/dossier/
Bon courage à toutes et à tous

from Toulouse
Re: Actualités pour le concours 2011
Un nouveau site internet pour l’association Prévention Routière
Le site internet de l’association Prévention Routière change de formule. Cette nouvelle version a pour ambition de favoriser l’accès à une information adaptée à chacun des nombreux publics concernés par la prévention des accidents de la route et les actions de l’association.
C’est LA grande nouveauté du site : une entrée par public (enfants, 14-24 ans, parents, séniors, enseignants, entreprises, collectivités locales et presse) permettant à chacun de trouver plus facilement les informations, outils, jeux, quiz, conseils pratiques le concernant.
Autre nouveauté, la présence sur la page d’accueil d’un mur d’images pour mettre en avant campagnes de sensibilisation, conseils et témoignages vidéos, rubriques thématiques, documents d’information… de manière ludique et interactive, reflétant de la grande diversité des actions menées par l’association. Trois entrées sont également prévues pour retrouver :
- Les fiches conseils, organisées autour de 3 grands thèmes : risques (alcool, vitesse, non port de la ceinture, téléphone au volant…), modes de déplacement (piéton, cycliste, motard, automobiliste…) et pratique (informations et conseils pratiques liés à la conduite, à l’entretien du véhicule, à la réglementation…)
- Les différentes publications de l’association : brochures et dépliants d’information, rapports d’activité, statistiques des accidents de la route, études et sondages, magazine Circuler autrement…
- L’espace Multimédia, regroupant certains quiz, jeux et vidéos disponibles sur le site.Les internautes peuvent également trouver grâce à un moteur de recherche les coordonnées des 101 comités départementaux de l’association et accéder à une page présentant les actions conduites par chacun d’eux dans leur département.
Autres outils disponibles sur le site : le fil d’information, mise à jour quotidiennement, qui relaie l’actualité nationale et internationale sur le thème de la prévention routière, la possibilité de s’inscrire à la lettre d’information de l’association…
http://www.preventionroutiere.asso.fr/
17 septembre 2010
Le site internet de l’association Prévention Routière change de formule. Cette nouvelle version a pour ambition de favoriser l’accès à une information adaptée à chacun des nombreux publics concernés par la prévention des accidents de la route et les actions de l’association.
C’est LA grande nouveauté du site : une entrée par public (enfants, 14-24 ans, parents, séniors, enseignants, entreprises, collectivités locales et presse) permettant à chacun de trouver plus facilement les informations, outils, jeux, quiz, conseils pratiques le concernant.
Autre nouveauté, la présence sur la page d’accueil d’un mur d’images pour mettre en avant campagnes de sensibilisation, conseils et témoignages vidéos, rubriques thématiques, documents d’information… de manière ludique et interactive, reflétant de la grande diversité des actions menées par l’association. Trois entrées sont également prévues pour retrouver :
- Les fiches conseils, organisées autour de 3 grands thèmes : risques (alcool, vitesse, non port de la ceinture, téléphone au volant…), modes de déplacement (piéton, cycliste, motard, automobiliste…) et pratique (informations et conseils pratiques liés à la conduite, à l’entretien du véhicule, à la réglementation…)
- Les différentes publications de l’association : brochures et dépliants d’information, rapports d’activité, statistiques des accidents de la route, études et sondages, magazine Circuler autrement…
- L’espace Multimédia, regroupant certains quiz, jeux et vidéos disponibles sur le site.Les internautes peuvent également trouver grâce à un moteur de recherche les coordonnées des 101 comités départementaux de l’association et accéder à une page présentant les actions conduites par chacun d’eux dans leur département.
Autres outils disponibles sur le site : le fil d’information, mise à jour quotidiennement, qui relaie l’actualité nationale et internationale sur le thème de la prévention routière, la possibilité de s’inscrire à la lettre d’information de l’association…
http://www.preventionroutiere.asso.fr/
17 septembre 2010
32 ans - Candidate aux concours 2011
Maman de 2 enfants (5 et 3 ans)
Admise sur liste principale à Bordeaux Bagatelle, Bordeaux Charles Perrens, Dax et Bayonne !!!
Maman de 2 enfants (5 et 3 ans)
Admise sur liste principale à Bordeaux Bagatelle, Bordeaux Charles Perrens, Dax et Bayonne !!!
Re: Actualités pour le concours 2011
voici un sujet qui fait bien débat dans tous les milieux la retraite:
issu de santé log du 17/09/10
HÔPITAL et RETRAITES : Les médecins hospitaliers appellent à mobilisation le 23 septembre
Actualité publiée il y a 1h44mn
Pénibilité
Suite au mouvement de grève de la pénibilité entamée depuis le début du mois de septembre 2010 par les médecins hospitaliers de la permanence, le Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesthésistes-Réanimateurs Elargi, constatant l’absence de prise en compte de ses propositions par l’Assemblée Nationale, demande officiellement à être reçu par le Président du Sénat et organise un "happening" devant le Palais du Luxembourg le jeudi 23 septembre, jour de mobilisation nationale pour les retraites.
Le 23 septembre, le Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesthésistes-Réanimateurs Elargi (SNPHAR-E) se joindra donc à la mobilisation générale pour manifester, à nouveau, l’inquiétude des praticiens hospitaliers sur la pénibilité de leur exercice et les conséquences sur leur santé du travail de nuit, qui représente jusqu’à 5 années durant leur carrière.
Le Syndicat appelle également, dans son communiqué du 17 septembre, les médecins anesthésistes présents au congrès de la société française d’anesthésie et réanimation (SFAR) à les rejoindre le 23 septembre, pour soutenir leur délégation dès 14 heures devant le Palais du Luxembourg.
L’attractivité de la profession est en jeu : Actuellement, près de 10.000 postes de praticiens hospitaliers sont vacants, et 31% des postes sont occupés par des contractuels. Les jeunes médecins se détournent de l’hôpital public et choisissent l’exercice libéral où l’activité de nuit est moindre. En Selon la nouvelle Loi sur les retraites, les praticiens hospitaliers devraient travailler à ce rythme jusqu’à 67 ans pour obtenir une retraite complète. La pénibilité du travail de nuit, déjà analysée par note documentée, en juin dernier, induit des pathologies graves qui surviennent de manière différée après le départ à la retraite.
Un regroupement inédit 9 syndicats de Praticiens Hospitaliers représentant des spécialités et des statuts fortement impliqués dans la permanence des soins hospitalière, avait déjà adressé le 24 juin au Chef de l’Etat un courrier commun pour rappeler la pénibilité de la pratique, cumulée au fil des ans. Sans résultat.
Source : SNPHAR-e, communiqué Dr. Bertrand Mas, Vice-Président du SNPHAR-e, Dossier pénibilité du travail de nuit, mise en ligne Maurice Chevrier, santé log, le 17 septembre 2010
issu de santé log du 17/09/10
HÔPITAL et RETRAITES : Les médecins hospitaliers appellent à mobilisation le 23 septembre
Actualité publiée il y a 1h44mn
Pénibilité
Suite au mouvement de grève de la pénibilité entamée depuis le début du mois de septembre 2010 par les médecins hospitaliers de la permanence, le Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesthésistes-Réanimateurs Elargi, constatant l’absence de prise en compte de ses propositions par l’Assemblée Nationale, demande officiellement à être reçu par le Président du Sénat et organise un "happening" devant le Palais du Luxembourg le jeudi 23 septembre, jour de mobilisation nationale pour les retraites.
Le 23 septembre, le Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesthésistes-Réanimateurs Elargi (SNPHAR-E) se joindra donc à la mobilisation générale pour manifester, à nouveau, l’inquiétude des praticiens hospitaliers sur la pénibilité de leur exercice et les conséquences sur leur santé du travail de nuit, qui représente jusqu’à 5 années durant leur carrière.
Le Syndicat appelle également, dans son communiqué du 17 septembre, les médecins anesthésistes présents au congrès de la société française d’anesthésie et réanimation (SFAR) à les rejoindre le 23 septembre, pour soutenir leur délégation dès 14 heures devant le Palais du Luxembourg.
L’attractivité de la profession est en jeu : Actuellement, près de 10.000 postes de praticiens hospitaliers sont vacants, et 31% des postes sont occupés par des contractuels. Les jeunes médecins se détournent de l’hôpital public et choisissent l’exercice libéral où l’activité de nuit est moindre. En Selon la nouvelle Loi sur les retraites, les praticiens hospitaliers devraient travailler à ce rythme jusqu’à 67 ans pour obtenir une retraite complète. La pénibilité du travail de nuit, déjà analysée par note documentée, en juin dernier, induit des pathologies graves qui surviennent de manière différée après le départ à la retraite.
Un regroupement inédit 9 syndicats de Praticiens Hospitaliers représentant des spécialités et des statuts fortement impliqués dans la permanence des soins hospitalière, avait déjà adressé le 24 juin au Chef de l’Etat un courrier commun pour rappeler la pénibilité de la pratique, cumulée au fil des ans. Sans résultat.
Source : SNPHAR-e, communiqué Dr. Bertrand Mas, Vice-Président du SNPHAR-e, Dossier pénibilité du travail de nuit, mise en ligne Maurice Chevrier, santé log, le 17 septembre 2010
IDE 2014!!!!!!!!!! en poste en EHPAD!