Reconversion professionnelle : témoignage, quest° et conseil

[jessie68]

Alors je suis spécialiste là dessus mais si tu es demandeuse d'emploi le mieux c'est de voir avec ton conseiller. Sinon si tu travaille, tu as le droit de faire un stage sauf que ce sera sur tes jours de repos. J'en connais qui ont pu le faire.

Dans les 2 cas, il faut que tu cherche un stage en écrivant les hopitaux du coin s'il t'acceuillerais. Si tu n'en trouve pas, va voir les inf libérales elles sont svt plus souple. Puis une fois que tu as l'accord d'un hopital, tu vas au pôle emploi demandé une convention de stage.

Moi je vais être licencier en avril, je vais voir à ce moment là pour faire un stage d'obs. Cela me donnera une 1er expérience

[mousti]

Bonjour à vous tous.

Je ne sais si mon post va bien pouvoir t’aider vu que tu cherche des exemples de reconversions réussites.

Pour ma part je viens du secteur industriel en productique mécanique (bureau des méthodes), avec un BTS. (Je connais un « peu » ton secteur)
Cela fait quelques années que je voulais devenir infirmier. Lorsque l’on te pose la question en 3émé de : « que veux-tu faire plus tard ? » a cet âge tu ne sais pas trop. A la sortie d’un bac indus on te regarde bizarrement lors que tu dit que voudrai être infirmier.

Je travail depuis deux ans dans le secteur industriel et j’ai aussi voulu faire une reconversion à la sorti de mon BTS. J’ai passé deux concours : un à la session automne 2009 et l’autre à la session printemps 2010. Cela s’est soldé par un échec à l’oral.

Lors de ceux-ci ont m’a poser différentes questions du à la reconversion.

Pourquoi vous souhaiter quitter le secteur industriel pour passé à un secteur de soin ? Y’a-t-il une chose que vous ne trouver pas dans votre secteur que vous espérer trouver dans le soin ?

Es par sécurité de l’emploi alors que l’industrie connait une large perte d’emploi avec la conjoncture ?

Es par dépit du secteur industriel ?

Et dernière question qui m’a surpris à la session du printemps

Votre cœur de métier connaît de nombreuses difficultés à recruter. Comment expliquer vous le fait de quitter un métier déjà en tension pour celui d’infirmier ? Pourquoi et comment êtes vous prêt à accepter un salaire moins élever de celui de votre secteur ? Pourrai-y vous, vous épanouir dans le secteur du soin ? Ne regretterez-vous pas ce changement d’activité ?

Pose toi les bonnes questions réfléchit y bien avant affine bien tes motivations. Pour des stages tu peux en trouver assez facilement dans des petites structures.
De plus si tu en as la possibilité, dans la deuxième quinzaine d’octobre ( a confirmer) ce déroule le salon infirmier a Paris beaucoup de professionnels peuvent te faire partager leur expériences et leurs ressentie.

[MelanieNaailah974]

Sinon si tu travaille, tu as le droit de faire un stage sauf que ce sera sur tes jours de repos. J'en connais qui ont pu le faire.

Dans les 2 cas, il faut que tu cherche un stage en écrivant les hopitaux du coin s'il t'acceuillerais. Si tu n'en trouve pas, va voir les inf libérales elles sont svt plus souple. Puis une fois que tu as l'accord d'un hopital, tu vas au pôle emploi demandé une convention de stage.

Moi je vais être licencier en avril, je vais voir à ce moment là pour faire un stage d'obs. Cela me donnera une 1er expérience[/quote]

Merci à toi.

Je travaille ; et je ne savais pas que l'on pouvait le faire sur les jours de repos, soit le week end en ce qui me concerne.
J'espère que cela sera possible sinon, j'essaierai de prendre des congés.

Bon j'ai encore un peu de temps, c'est pour l'année prochaine, mais ma prépa démarre bientôt et pour mon dossier de présélection ARS, c'est très important d'avoir ce genre d'atouts , cela prouve d'autant plus la motivation.

Quant à toi Mousti, bizarres en effet ces questions... mais j'ai lu dans un bouquin de prépa concours qu'il ne fallait pas prendre cela pour des questions pièges, mais au contraire un moyen pour le jury de nous donner l'opportunité de développer notre argumentation.
Je pense qu'en tenant compte de cela, on stresse un peu moins, on ne se crispe pas en cherchant à donner la "bonne" réponse, mais simplement à expliquer notre projet plus en détails, en tout cas, moi, ça m'a fait changé d'avis sur cette épreuve si angoissante pour tous qu'est l'oral.

En ce qui concerne ce que tu nommes des "échecs" (je n'aime pas le terme... ) , si c'est ton rêve Mousti, ton envie profonde, alors vas-y , recommence encore et encore, ne te décourage pas. J'ai une copine qui l'a passé 5 fois, 5 fois!!! elle s'est accrochée durant 5 ans (dans notre île c'est un concours/an) elle n'a rien lâché et tu sais quoi? elle a son DE depuis 1 an et exerce au sein d'un hôpital psychiatrique.

Alors si c'est réellement ce que tu veux, recommence, ne reste pas bloqué sur tes oraux passés, profites en pour peaufiner tout ça justement, et considère le d'un autre point de vue, comme indiqué plus haut.

Merci à Jessie et toi pour les infos.

[lubellune]

Bonjour,

Juste une petit info sur les stages.

Je bosse aussi et donc aucune convention de stage, j'ai réussi à trouver une journée d'observation un samedi dans ce qu'on appelle un centre de soins infirmiers, peut être que tu as ça près de chez toi. Je suis allée labas directement, l'infirmière qui m'a reçue c'est le genre qui te donne vraiment gout à son travail. Bon j'ai peut être eu beaucoup de chance mais voila les centre de soins comme celui-ci sont des associations et je pense quils sont très ouvert pour faire découvrir leur métier.

Pour conclure je crois quil faut pas hésitez à ce déplacer dans les centres de soins, au cabinet des libérales et dans les petites structures, tu peux expliquer beaucoup plus facilement tes motivations et puis c'est plus compliqué qu'un courier ou ils ont juste à...ne pas répondre.

[jessie68]

Bonjour

A présent que les choses se précisent l'implication de tous est nécessaire.Suite à la volonté du gouvernement de nous octroyer une allocation mensuelle royale de 652 € (sous le seuil de pauvreté) en remplacement de l'AFDEF nous devons nous mobiliser avant le 11 avril date buttoir.

Pour ce faire il suffit de récupérer le texte de la lettre ci dessous et de l'envoyer le 31 mars à l'adresse suivante EN RECOMMANDE AVEC ACCUSE DE RECEPTION :

Monsieur le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé

127, rue de Grenelle

75007 PARIS 07 SP

Il vous en coûtera 4.38 € donc ce n'est pas la ruine.

Cela nous permettra de faire pression sur le gouvernement,c'est le seul moyen à notre portée à l'heure actuelle et plus nous serons nombreux plus cela aura du poids vis à vis du Ministre mais aussi auprès des journalistes.

Ceci ne vous prendra pas trop de temps et pourrai amener un certain bénéfice pour TOUT LES ESI EN MAL DE FINANCEMENT OU RECONVERSION.

Bien évidement vous pouvez procéder à des changements dans le courrier(sexe,situation etc) mais il est important de garder le fil conducteur pour que l'impact soit au rendez-vous.

Texte:

Monsieur le Ministre,



Je tiens par la présente à porter à votre attention le problème que nombreux demandeurs d’emploi, dont moi-même, rencontrons.

Je suis actuellement demandeur d’emploi et j’avais comme projet de devenir étudiante en soins infirmiers. C’est une reconversion professionnelle bien réfléchie pour laquelle j’ai fais de nombreux sacrifices. Mais ceci nécessite un soutien financier.

Suite à la suppression de l’AFDEF, nous sommes nombreux à nous être regroupés pour se mobiliser et montrer notre motivation.

Nous attendions avec impatience des informations concernant la remise en place de l’AFDEF suite à vos déclarations dans les médias et certains courriers signés par vos collaborateurs, je cite :



« J'ai le plaisir de vous faire savoir que Monsieur le Ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé a prévu de rétablir l'AFDEF après consultation des partenaire sociaux. Un projet sera donc mis à l'étude.

Je vous invite donc à vous rapprocher de votre pôle emploi en cours du deuxième trimestre 2011 afin de connaître l'état de l'avancement de cette mesure et les nouvelles conditions d'attribution. »

Hors, quelle ne fut pas notre surprise en apprenant dans les médias que les faits sont tout autres. En effet, l’indemnisation proposée par l’Etat n’est qu’un forfait d’un montant maximum de 652 €, soit sous le seuil de pauvreté.

Cette indemnisation, nommée R2F n’a plus rien à voir avec la précédente et est en totale contradiction avec vos propos et ceux du gouvernement.



Aujourd’hui les discussions n’ont pas permis de trouver un accord sérieux en raison de la position du gouvernement qui refuse que cette indemnisation soit d’un montant digne.

La coordination infirmière, la Fnesi et de nombreux élus locaux vous ont demandé de reconsidérer la suppression de l’AFDEF en raison des bénéfices en terme d’emploi qu’elle amenait.

Nous pouvons constater aujourd’hui que toutes nos demandes sont restées lettres mortes.

Nous n’avons cessé d’entendre qu’il est nécessaire de mettre en adéquation les offres d’emploi avec les demandes, et l’emploi d’infirmier(e) est en tension, mais cette réforme ne permettra plus à la grande majorité des demandeurs d’emploi de suivre cette formation.

Je vous demande donc de tenir vos promesses et de revenir sur cette proposition indigne et scandaleuse.



Dans l’attente d’une réponse rapide, je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de mes salutations distinguées.

Autre texte

Monsieur le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé,

Je vous remercie d’avoir pris le temps, par l’intermédiaire de votre chef de cabinet, de me répondre. J’ai lu attentivement votre lettre et me suis réjouie à votre annonce de rétablir AFDEF.

Je cite : « J’ai le plaisir de vous faire savoir que Monsieur le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé a prévu de rétablir l’AFDEF après consultation des partenaires sociaux » .

Hors quelle ne fut pas ma surprise d’apprendre dans les médias que point de restauration de l’AFDEF mais la naissance d’une nouvelle indemnisation la R2F qui n’est pas du tout dans la lignée de AFDEF.

Monsieur le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé, les personnes comme moi, qui sont en pleines reconversions, sont souvent déjà dans des situations précaires. Nous n’avons plus un âge où nous pouvons attendre, nous tromper. Nous avons une famille à charge, des enfants qui ont besoin de nous. Certains vivent en couple mais d’autres sont des parents isolés. Certains ont des parents pour les aider, d’autres non et dans ce cas, doivent faire face seule. Nous avons besoin pour mener à bien nos projets d’un soutien cohérent.

En effet pendant nos études, il va falloir subvenir au besoin de notre famille (loyer, nourriture pour plusieurs….) mais aussi payer l’essence pour aller au centre de formation et au stage, payer les frais de repas sur place, nos tenues, notre matériel, nos livres. Rien que les frais d’inscription pour les études d’infirmier se montent à 180€ environ par an, pour celles d’éducateur spécialisé s’élèvent à 765€ par ans soit 2295€ pour tout le cursus. Le forfait que vous proposez, 652€ par mois, ce trouve en dessous du seuil de pauvreté et à peine au niveau du RSA. Comment allons nous survivre ? Comment allons nous faire face à toutes ces dépenses sans stress et avoir l’esprit suffisamment libre pour réussir nos études ?

Beaucoup d’entre nous n’entrevoient pas de solution et se démotivent. Bien dommage à une époque où la pénurie de personnel de santé est si importante.

Ces derniers mois, nous n’avons pas cessé d’entendre qu’il est nécessaire de mettre en adéquation les offres d’emploi et les demandeurs d’emploi. Les métiers de soin, d’aide à la personne, d’éducateur…. sont des métiers en tension. Ce sont des métiers difficiles par le savoir, la technicité qu’il faut acquérir mais aussi sur le plan humain. Pour pouvoir faire face à la pénurie dans ces secteurs, il faut avant tout pouvoir former des travailleurs. Ces formations sont longues et coûteuses et ne peuvent se faire sans un soutien de la part de la collectivité. Sans une aide efficace, les demandeurs d’emploi ne pourront se former dans ces secteurs porteurs et seront condamnés à rester dans la précarité.


Je vous conjure de tenir vos promesses, pour moi, mais aussi pour tous les demandeurs d’emploi en quête d’un travail. J’espère que vous m’entendrez et que vous prendrez en considération nos situations afin de nous permettre d’effectuer notre reconversion dans des conditions possibles. Nous somme prêts à nous battre pour le grand bien de la société, aidez-nous.

Dans l’attente d’une réponse,

Veuillez agréer, Monsieur le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé, l’expression de mes salutations distinguées.

Ne rien faire c'est accepté. N'acceptez pas que les ESI soit malmené, n'acceptez pas qu'on nous tire vers la pauvreté. Aidez nous, Aidez vous

[cripama]

je suis infirmier depuis trois, avant j'etait aussi dans l'industrie, dans la confection de vetements. j'ai repris mes etudes 10 ans apres et j'avais un bac professionnel d'en l'industrie.
je suis contente d'avoir fait ce changement car on a une reconaissence et une satisfaction de faire un metier utile.
par contre les etudes sont difficile par moment car il faut s'investire a fond et lorsqu'on a une famille a gerer a coté. On parfois envie de tous laché. il y a beaucoup de connaissance a connaitre par coeur, l'avantage lorsque tu as travaillé c'est que tu sais prendre du reculle et ca te parrait plus logique qu'a 18 ans

coté financier j'avais droit au assedic car je venais d'etre licencié environs 800 euro par mois, d'autre on eut le fongicif puis ce sont fait licencié.

je trouve que le metier d'infirmiere est pationnant car tous les jours c'est differrent, j'aime etre au contacte des patients et tous mettre en oeuvre pour leur soin ce passe bien, tu travail avec les medecins et les aides soignant. c'est un peu un role de pilier. il faut donc avoir les epaules solide et tu peux evoluer si tu en a envie. Ce qui est contraignant les horraires matin apres midi ou nuit, boullot le week end , jour ferier, beaucoup l'ete.
bon courage pour le concour

[fluffy]

Ma petite reconversion à moi...

Après 8 ans de travail en tant que commerciale, j'ai démissionné. Je ne savais pas encore ce que je voulais faire mais je savais que je ne pouvais pas passe toute ma vie à faire un travail qui ne me plaisait pas. Il m'a fallut un an de réflexion pour me décider à tenter ma chance. J'ai préparé mon concours seule, je l'ai eu du premier coup. J'ai travaillé en intérim en attendant la rentré ce qui m'a permis d'avoir suffisants d'heures de travail pour prétendre aux Assedic. J'ai été financé pendant les trois ans par le pôle emploi et j'ai obtenu des bourses. Mon style de vie a beaucoup changé effectivement (commerciale ca paye bien ).
Je suis à la fin de mon cursus (plus que 10 jours!) et je ne regrette pas une seconde. J'ai su des le premier stage que je ne m'étais pas trompé et chaque stages suivants m'a conforté dans cette idée. Les trois années passent très très vite.
Après, ce n'est pas toujours rose dans les services: le manque de moyen, de personnel, de reconnaissance, le stress, le travail en équipe qui n'est pas toujours facile. On nous en demande beaucoup et je ne pense pas que ce métier soit fait pour tout le monde mais quand on l'aime c'est vraiment génial!
Pour ce qui est d'être infirmier pompier: pour être volontaire il n'y a pas de problème, mais pour être pro, il me semble que la limite d'age de recrutement est de 30 ans. Mais bon, rien n'empêche de travailler en service traditionnel et d'être infirmier pompier volontaire sur ses repos (beaucoup le font).

[Trollen]

Bonjour à tous,

J'ai 24 ans et j'aimerais vraiment tenter le concours d'infirmier l'an prochain.
Seulement mon parcours atypique me fait douter. Ca doit être plutôt pénalisant à l'oral. J'ai eu un bac+2 en informatique en juillet 2009, puis, le travail dans l'informatique ne m'ayant plus attiré suite a mes expériences en entreprise, je suis parti un an à l'étranger pour apprendre une langue (j'ai eu la chance d'être stagiaire en clinique vétérinaire sur place, ce qui m'a plu et motivé pour m'orienter vers les métiers de la santé) et donc depuis juillet 2010, j'ai fait des petits boulots ou bien recherché un emploi.
Donc il y a plus ou moins un "trou" depuis juillet 2010 et également ces changements de secteurs, passant de l'informatique aux langues puis au concours d'infirmier.

Avez-vous des expériences similaires ou bien un avis sur mon cas ?

[marine86]

Bonjour à tous,

J'ai 24 ans et j'aimerais vraiment tenter le concours d'infirmier l'an prochain.
Seulement mon parcours atypique me fait douter. Ca doit être plutôt pénalisant à l'oral. J'ai eu un bac+2 en informatique en juillet 2009, puis, le travail dans l'informatique ne m'ayant plus attiré suite a mes expériences en entreprise, je suis parti un an à l'étranger pour apprendre une langue (j'ai eu la chance d'être stagiaire en clinique vétérinaire sur place, ce qui m'a plu et motivé pour m'orienter vers les métiers de la santé) et donc depuis juillet 2010, j'ai fait des petits boulots ou bien recherché un emploi.
Donc il y a plus ou moins un "trou" depuis juillet 2010 et également ces changements de secteurs, passant de l'informatique aux langues puis au concours d'infirmier.

Avez-vous des expériences similaires ou bien un avis sur mon cas ?

Rien ne t'empêche de passer le concours. Par contre si l'année prochaine tu vas a l'oral du concours ils vont surement te poser la question du pourquoi le secteur paramédical, pourquoi infirmier. Cherche bien tes motivations, c'est ça qui va jouer.

[L0uy]

Je pense qu'à l'oral les jurys voient beaucoup de parcours atypiques, et ça ne doit pas t'empêcher d'avoir ton concours du moment que tu es clair sur tes motivations.
On a tous le droit de s'être planté de parcours, ce qu'y est important c'est que tu montres lors de l'oral que passer ce concours est quelque chose de réfléchi( une formatrice m'a dit qu'ils ne veulent pas sentir que vous êtes entrez car vous avez vu de la lumière en gros).
Puis tu as déjà de l'expérience dans le milieu de la santé, même si le métier d'infirmier est très différent de vétérinaire c'est déjà ça, moi j'en ai pas du tout a part mon brevet de secourisme. Mais je compte bien exploiter cette formation à l'oral.
Tu devrais faire de même, réfléchir au déclic et au pourquoi tu veux faire ce métier, qu'est que tu attends de cette formation et du métier.
Bonne chance à toi

[keep-the-smile]

Je connais des filles qui ont aussi un parcours atypique, et à leurs oraux blancs ça ne les empêchent pas de cartonner! Le truc ce de bien préparer tes motivations pour que le jour de l'oral tu ne soit pas déstabilliser par les questions du jury.
Bon courage

[MelanieNaailah974]

ah c'est sympa de nous raconter vos reconversions professionnelles!

Ca donne envie encore + et de l'espoir ++++!!!

Fluffy, et bien M.... pour ton DE! de tout coeur avec toi

qu'est ce que j'aimerai déjà y être...!!!

Moi, j'essaie de faire financer une prépa par le Fongécif,mais j'ai déjà acheté des bouquins et je commence à potasser, dur dur car enceinte et maman d'un ti bout, mais je suis déterminée alors rien ne m'arrêtera!!

[Trollen]

En lisant le forum, je me rend compte que pas mal de questions du jury portent sur la capacité de financement de la formation.
Pensez-vous qu'une réponse du genre "j'ai mis un peu d'argent de côté et mes parents me soutiendront en cas de besoin" est suffisante ou au contraire plutôt négative (j'ai 24 ans) ?

[Siaana]

En lisant le forum, je me rend compte que pas mal de questions du jury portent sur la capacité de financement de la formation.
Pensez-vous qu'une réponse du genre "j'ai mis un peu d'argent de côté et mes parents me soutiendront en cas de besoin" est suffisante ou au contraire plutôt négative (j'ai 24 ans) ?

Ce n'est pas négatif mais je pense que tu peux améliorer au niveau de la formulation/des termes employés pour le dire

[Trollen]

Oui je dirai surement quelque chose proche de "j'ai fait des économies car je sais que l'on doit financer soi-même la formation". Mais le fait d'évoquer le soutien financier des parents à 24-25 ans peut être jugé comme une preuve d'immaturité ou quelque chose dans ce genre là par le psychologue.