Contre Ordre des Infirmiers

[Contre-Ordre-Infirmier]

Raison de plus pour les couler...
Ils ignorent carrément désormais l'ordre alors qu'il fut leur cheval de bataille pendant des années. Toujours élus à l'ordre, donc d'accord avec leurs décisions, même les plus ubuesques!!! Contre vents et marées, ils continuent à soutenir leur outil qui selon eux leur permettraient de ne pas disparaitre lors de ces élections.
Ils ne veulent pas entendre?
Soit.
Mais rappelons leur notre opposition.

[Contre-Ordre-Infirmier]

Notre association continue à mener la lutte. Pour autant, nous sommes catastrophés de voir l'ampleur que prends le désastre ordinal et la déconfiture que l'ONI (et le gouvernement) infligent quotidiennement à nos collègues infirmiers.
L'association du "Contre-Ordre-Des-Infirmiers" (CODI) peut se targuer d'avoir été la première à avoir (malheureusement) prédit vers quelle issue future se dirigerait un projet aussi mal conçu, peu désiré et contre productif que cette "mésaventure" ordinale.
Pour autant, nous constatons avec révulsion aujourd'hui que nos prévisions, qualifiées d'improbables et de catastrophistes par nos détracteurs se révèlent au dessous de la triste réalité.
Il n'est point besoin de rappeler la teneur des épisodes que nous inflige quotidiennement l'ONI pour comprendre que celui ci est désormais non plus lié à un hypothétique projet de défense de la profession ordinale, mais à un projet de captation de fonds pour assurer la survie d'un organe vide de sens et de ses dirigeants.
Nous regrettions que l'oni ait été fondé pour assurer des missions classiques d'une structure ordinal pour des raisons que nous avons moultes fois expliquées et soutenues dans notre manifeste "Profession de mauvaise foi" et les solutions alternatives que nous désirions voir appliquées.
Mais aujourd'hui, quel est le soutien de l'ordre pouvant affirmer sans rire que celui ci continue à appliquer le projet initial et assurer ces missions initialement prévues par la loi?????

Nous étions au début de la mésaventure ordinale dans une opposition idéologique de projet contre projet et de vision du futur à soumettre à nos collègues infirmiers, qu'en reste t'il aujourd'hui?
Plus rien.
L'ordre n'assure pas UNE SEULE des missions qui lui sont dévolues, ses fonds ne lui servent qu'à en capter d'autres afin d'assurer une survie financière qui s'obère de jour en jour que la dette, et par là même les intérèts de celle ci vont en s'aggravant.
Tout cela pour quoi?
Pour les tenants et dirigeants de l'ordre, il s'agit certainement d'une doxa difficile à dépasser d'autant que l'idéologie qui la sous tends fut dogmatique et non "pensée" réllement malgré les dénégations de ceux ci. Nous en voulons pour preuve l'absence totale de réponse à cette question que nous avions posée souvent:
"l'ordre oui, mais pourquoi, avec qui, pour quels buts, avec quels moyens"? L'impossibilité des ordinaux de sortir de schémas de pensée étriqué comme "défendre la profession" ont été démontré qu'il ne s'agissait pas d'une pensée, mais de projets vides de sens réels.

Projets vides de sens pour la majorité de nos collègues, mais certainement pas pour les "copains et les coquins" qui malheureusement tiennent "l'affaire". Une telle déconfiture et les différents incidents qui émaillent la récente histoire de cet ordre honteux et insupportable, ne nous permettent pas d'éxonérer certains de soupçons de notre part d'une volonté de pouvoir indu sur nos collègues par l'établissement de règles coutumières non fondées par la loi (dossier d'inscriptions illégaux hier, dossiers de préinscription sur les ESI illégaux aujourd'hui, numéros d'ordres préemptant le numéro ADELI, menaces de déconventionnement ou d'interdiction d'exercice pour non paiement de la dîme ordinale, affaire du logo, etc...etc...)
Toutes affaires qui nous font penser que le réel problème des dirigeants de cet ordre est maintenant d'éviter la faillite personelle comme responsable moral de l'ordr, de maintenir pouvoir et avantages personnels pour une oligarchie infirmière naissante.
Cela doit cesser toute affaire cessante.
Nous déplorons la quasi absence de réaction de la plupart des centrales syndicales en l'absence manifeste d'une volonté commune de l'intersyndicale sur ce sujet vu leur inertie de ces derniers temps.
Celles ci porteront un lourd fardeau de responsabilité si par aventure l'ordre continuait dans cette optique de captation de fonds et réussissait ainsi à se maintenir pendant plusieurs années.
C'est aujourd'hui, TOUT DE SUITE, que nous devons nous mobiliser en cette année cruciale d'élection présidentielle capitale pour:
- EXIGER l'abrogation de la loi inique sur la création de l'oni
- Réunir les acteurs des soins pour repenser notre exercice, notre utilité au sein de la chaine de soins, l'évolution des métiers de santé
- Exiger la création d'un véritable haut conseil des professions médicales et paramédicales en associations avec nos concitoyens pour décider de ces évolutions, des buts et objectifs des métiers de santé
-Renvoyer si besoin à une enquête parlementaire pour étudier un éventuel renvoi devant les juridictions ordinaires aux responsabilités des ordinaux pour la captation et l'utilisation des moyens et de l'ordre à des fins nébuleuses
-Enfin à profiter de cette dynamique pour remettre au premier plan les problèmes des infirmiers (salaires-compétences, etc...)

Si il n'est pas interdit de réver, il n'est certainement pas interdit de se battre pour ces objectifs!
Anti ordinalement vôtre

[lapikouzesimone]

Bravo ! tout est dit ,et bien dit !!!
Mais BOUGEONS NOUS , les filles et les gars !!!
N' acceptons pas que cette vermine ordinale se fixe sur nous plus longtemps !
A l'évidence , cet ordre n'est qu'un refuge pour la bourgeoisie infirmière , qui espérait bien que nous la laissions nous dépouiller d'une partie de plus en plus élevée les années passant de nos salaires et que nous la laissions assoir sur nous un pouvoir totalement illégitime ! (ce n'est qu'un ramassis de cadres supérieur(e)s , de directeurs de soins et autres personnes imbus d'elles même , n' ayant jamais vraiment infirmières !
BOUGEONS NOUS !!! DÉBARRASSONS NOUS DÉFINITIVEMENT DE CES PARASITES !

[syndicat RESILIENCE]

Notre association continue à mener la lutte. Pour autant, nous sommes catastrophés de voir l'ampleur que prends le désastre ordinal et la déconfiture que l'ONI (et le gouvernement) infligent quotidiennement à nos collègues infirmiers.
L'association du "Contre-Ordre-Des-Infirmiers" (CODI) peut se targuer d'avoir été la première à avoir (malheureusement) prédit vers quelle issue future se dirigerait un projet aussi mal conçu, peu désiré et contre productif que cette "mésaventure" ordinale.
Pour autant, nous constatons avec révulsion aujourd'hui que nos prévisions, qualifiées d'improbables et de catastrophistes par nos détracteurs se révèlent au dessous de la triste réalité.
Il n'est point besoin de rappeler la teneur des épisodes que nous inflige quotidiennement l'ONI pour comprendre que celui ci est désormais non plus lié à un hypothétique projet de défense de la profession ordinale, mais à un projet de captation de fonds pour assurer la survie d'un organe vide de sens et de ses dirigeants.
Nous regrettions que l'oni ait été fondé pour assurer des missions classiques d'une structure ordinal pour des raisons que nous avons moultes fois expliquées et soutenues dans notre manifeste "Profession de mauvaise foi" et les solutions alternatives que nous désirions voir appliquées.
Mais aujourd'hui, quel est le soutien de l'ordre pouvant affirmer sans rire que celui ci continue à appliquer le projet initial et assurer ces missions initialement prévues par la loi?????

Nous étions au début de la mésaventure ordinale dans une opposition idéologique de projet contre projet et de vision du futur à soumettre à nos collègues infirmiers, qu'en reste t'il aujourd'hui?
Plus rien.
L'ordre n'assure pas UNE SEULE des missions qui lui sont dévolues, ses fonds ne lui servent qu'à en capter d'autres afin d'assurer une survie financière qui s'obère de jour en jour que la dette, et par là même les intérèts de celle ci vont en s'aggravant.
Tout cela pour quoi?
Pour les tenants et dirigeants de l'ordre, il s'agit certainement d'une doxa difficile à dépasser d'autant que l'idéologie qui la sous tends fut dogmatique et non "pensée" réllement malgré les dénégations de ceux ci. Nous en voulons pour preuve l'absence totale de réponse à cette question que nous avions posée souvent:
"l'ordre oui, mais pourquoi, avec qui, pour quels buts, avec quels moyens"? L'impossibilité des ordinaux de sortir de schémas de pensée étriqué comme "défendre la profession" ont été démontré qu'il ne s'agissait pas d'une pensée, mais de projets vides de sens réels.

Projets vides de sens pour la majorité de nos collègues, mais certainement pas pour les "copains et les coquins" qui malheureusement tiennent "l'affaire". Une telle déconfiture et les différents incidents qui émaillent la récente histoire de cet ordre honteux et insupportable, ne nous permettent pas d'éxonérer certains de soupçons de notre part d'une volonté de pouvoir indu sur nos collègues par l'établissement de règles coutumières non fondées par la loi (dossier d'inscriptions illégaux hier, dossiers de préinscription sur les ESI illégaux aujourd'hui, numéros d'ordres préemptant le numéro ADELI, menaces de déconventionnement ou d'interdiction d'exercice pour non paiement de la dîme ordinale, affaire du logo, etc...etc...)
Toutes affaires qui nous font penser que le réel problème des dirigeants de cet ordre est maintenant d'éviter la faillite personelle comme responsable moral de l'ordr, de maintenir pouvoir et avantages personnels pour une oligarchie infirmière naissante.
Cela doit cesser toute affaire cessante.
Nous déplorons la quasi absence de réaction de la plupart des centrales syndicales en l'absence manifeste d'une volonté commune de l'intersyndicale sur ce sujet vu leur inertie de ces derniers temps.
Celles ci porteront un lourd fardeau de responsabilité si par aventure l'ordre continuait dans cette optique de captation de fonds et réussissait ainsi à se maintenir pendant plusieurs années.
C'est aujourd'hui, TOUT DE SUITE, que nous devons nous mobiliser en cette année cruciale d'élection présidentielle capitale pour:
- EXIGER l'abrogation de la loi inique sur la création de l'oni
- Réunir les acteurs des soins pour repenser notre exercice, notre utilité au sein de la chaine de soins, l'évolution des métiers de santé
- Exiger la création d'un véritable haut conseil des professions médicales et paramédicales en associations avec nos concitoyens pour décider de ces évolutions, des buts et objectifs des métiers de santé
-Renvoyer si besoin à une enquête parlementaire pour étudier un éventuel renvoi devant les juridictions ordinaires aux responsabilités des ordinaux pour la captation et l'utilisation des moyens et de l'ordre à des fins nébuleuses
-Enfin à profiter de cette dynamique pour remettre au premier plan les problèmes des infirmiers (salaires-compétences, etc...)

Si il n'est pas interdit de réver, il n'est certainement pas interdit de se battre pour ces objectifs!
Anti ordinalement vôtre

[eusèbe]

Fait avec grand plaisir !!!!!

[syndicat RESILIENCE]

Il est - quand même - à souligner que l'absence d'un représentant de l'ordre infirmier parmi les invités sur ce plateaux est significative des préoccupations ordinales du moment : faire tourner la machine à cash pour rembourser la dette et laisser les préoccupations infirmières de côté.

De quoi faire "un peu plus" adhérer les récalcitrants.

[moukat35]

Il est - quand même - à souligner que l'absence d'un représentant de l'ordre infirmier parmi les invités sur ce plateaux est significative des préoccupations ordinales du moment : faire tourner la machine à cash pour rembourser la dette et laisser les préoccupations infirmières de côté.

De quoi faire "un peu plus" adhérer les récalcitrants.

Nos pires ennemis vont toujours bien?
Bon pied bon oeil?

Il est emblématique qu'il n'y ait pas eu l'ombre d'un représentant syndical mis à part le snpi et la cni parmi les invités sur le plateau de ce magazine. Vous n'êtes plus crédibles ou quoi?
Et la participation aux élections prof : si ça continue comme ça le taux de participation va vous faire trouver du pétrole bientôt, comme dirait l'autre. Ca baisse d'une élection à l'autre.
Alors il est temps que vous vous posiez des questions.

allez bye je retourne à mes occupations.
Je ne lirai pas vos réponses je les SUBODORE..

[maxpuissant]

Nos pires ennemis vont toujours bien?

pourquoi, t'a des amis?




si je n'avais pas peur de les accabler, je te dirais bien d'aller te faire voir chez les grecs

[migraine]

.....

tiens, il est encore vivant, je croyais qu'il avait arrêté de nager

moi, je dirais bien que c'est l'hôpital qui se fout de la charité...

[eusèbe]

Un peu de provoc, et flop, on retourne dans l'insignifiance

[syndicat RESILIENCE]

*

[syndicat RESILIENCE]

Nous avons pris contact avec la réalisatrice de ce reportage. A suivre ...

[syndicat RESILIENCE]

Nous avons pris contact avec la réalisatrice de ce reportage. A suivre ...

Après avoir établi d'autres contacts et avoir eu sous les yeux les échanges de mails entre plusieurs responsables ordinaux nationaux à ce sujet, il apparaît nettement que l'ordre infirmier a tout fait pour faire capoter ce reportage et se positionner -sans succès - sur le plateau de télévision le soir même.

[Contre-Ordre-Infirmier]

La république des bananes...

Nous hésitons. Doit on en rire ou en pleurer?
Un peu des deux certainement.
Nous avions écrit lors de la fondation de notre association qu'il faudrait du temps, pour faire disparaitre l'ordre. Mais jamais nous n'avions pensé que ce soit dans des conditions qui devraient rendre rouge de honte le premier démocrate venu.
Deux jours après avoir appris qu'aucun procureur ne pourrait poursuivre un infirmier pour exercice illégal de la profession, par décision ministérielle, nous apprenons avec consternation que par la vertu d'un decret publié à la sauvette, le mandat ordinal se voit prolongé de deux ans par la grâce du prince présidentiel et de ses courtisans.
Le Contre Ordre Des Infirmiers n'a pas de mots assez durs pour condamner fermement un processus aussi abject et dilatoire.
Point n'est besoin d'expliquer à nos collègues tout ce que ceci entraine.

Le gouvernement par une telle décision montre son inquiétude sur ce sujet et renvoie au prochain gouvernement une décision définitive. Ce faisant, il ôte aux infirmiers électeurs la possibilité de sanctionner (ou de récompenser) par leurs votes, lors des prochaines échéances nationales électorales, une position de l'ump sur ce sujet. Par ce choix, "ni chair, ni poisson" il tente de le noyer (le poisson justement). D'ors et déjà notre association va se positionner dans ces prochains jours pour savoir si elle ne décidera pas d'appeler à sanctionner ce gouvernement au nom de pratiques que nous qualifions de "république bananière".

En relation avec les syndicats Résilience et SUD , nous désirerions organiser une action commune tripartite afin de relancer une action intersyndicale, molle sur ce sujet.
Nous vous informerons des prochains développements.
Anti ordinalement vôtre

C. Lacault-Représentant du Contre Ordre Des Infirmiers

[jjland83]

Le gouvernement a lancé ce projet de décret début septembre. Si le décret est daté du 23 novembre, il est quand même passé dans la moulinette du conseil constitutionnel et du conseil d'état, procédure initiée le 10 octobre, décision rendue le 10 novembre (le conseil constitutionnel à 1 mois pour rendre sa décision et il a utilisé tout son temps, sans précipitation). 13 jours pour insérer le texte au JO, délai standard et non précipité.
Ce décret n'est donc pas publié à la sauvette, mais il a été préparé dans l'indifférence collective induisant ce faux effet de surprise.
Dommage que les efforts de mobilisation, d'action, de sensibilisation ou d'information, ne portent pas pour ralentir la sortie d'un tel texte. Après publication c'est toujours plus compliqué.
Jérôme