concours Printemps 2012

[cecilette91]

Bonjour,
je me présente, je suis Charlène, j'ai 21ans et cette année j'ai passé 2 concours, j'en ai eu un à l’écrit et je viens de passer l'oral jeudi 10/05/12.
J'ai pleurer pendant l'oral. Je vous explique...

J'ai un gros défaut : j'ai du mal à trouver les mots qui correspondent à mes idées, ce qui donne un discours lourd, maladroit et c'est pas cool à écouter.

Bref, mon sujet c'était UMUT THALA (le petit garçon né pour soigner son frère atteint d'une maladie grave) "le bébé du double espoir" auparavant "bébé-médicament". Il y avait un petit texte explicatif. J'ai construit mon plan sur l'axe points positifs, points négatifs. le problème c'est que je ne trouvait pas assez de point positifs pour équilibrer les points négatifs. Devant le Jury je me suis présentée en disant que si j'étais devants elles, c’était pour devenir infirmière. Ça a fait rire la cadre infirmière et détendu tout le monde (surtout moi). Je me suis dits que ça partait bien. Ensuite j'ai commencé à présenter mon sujet très scolairement, ce qui m'a perturbé et je tremblait des mains comme jamais, j'ai été obligée de poser ma feuille pour continuer. Une fois fini, la formatrice me demande de rajouter des points négatifs (c'est là ou je me rend compte que tous mes points négatifs n'en était qu'un). Panique dans ma tête, je prends 20 seconde pour réfléchir et sort un truc bidon, elle me dit non, c'est pas ça. Elle me redirige vers une phrase du texte et je réussi à comprendre et lui explique ce qu'elle voulait entendre. Me voilà rassurée, on passe alors à l'entretien.

La première question était une question classique : Pourquoi avoir choisi infirmier? (réponse que je connais sur le bout des doigts) je réussi à dire que c'est un métier proche des gens, que le coté humain est ce qui me plait le plus dans ce métier ainsi que le coté médical avec la prise en charge des pathologies et autres souffrances des patients. (évidement je l'ai moins bien dit là-bas). Donc j'enchaine en disant que c'est un métier à responsabilités et que moi ça me motive (j'ai du dire ça au moins quatre fois de façon différente) je marque une pause voyant que je trouve pas la suite, j'ai essayé de parlé du fait que le public est très vaste et la, ne trouvant plus l'appui visuel du jury (qui fronce les sourcils pour mieux comprendre) je me tais et baisse la tête pour retenir mes larmes sans qu'on me voit, trop tard on m'a vu la psychologue dit "non, non, non, ne pleurez pas vous étiez bien partie" on me propose verre d'eau et mouchoirs.

Là la formatrice me dit, "vous nous avez parlé des responsabilités du métier d'infirmier, apparemment c'est important pour vous alors dites nous quelles sont-elles? je lui réponds très maladroitement (toujours en pleurant) que on a la vie de gens entre nos mains et quand je veux insister sur le fait de prendre en compte la maladie mais aussi l'accompagnement, je ne trouve pas du tout les bons mots et m’arrête de parler. Sur quoi la formatrice reprends :"bon on va faire autrement, je vais vous poser des questions pour vous détendre". "Alors où habitez vous, Charlène? -je réponds, -vous avez un bac ... ?- je réponds en séchant mes larmes. elle me demande qui va financer ma formation je réponds mes parents et elle me dit donc vous habitez à Toulouse (le concours est à Albi) avec vos parents? je lui explique que non, j'habite avec ma sœur pour l'instant mais que j'ai prévu de déménager si j'étais reçu. là ça va mieux. Elle me dit y-a-t-il un déclic pour ce métier? un proche qui vous aurez donné envie de faire ce métier?Je lui explique très bien que ma mère est infirmière mais que quand j'étais petite je ne voulais surtout pas faire le métier de maman car ma mère vivait son métier comme un fardeau et s'en plaignait tout le temps. Le déclic s'est passé lors d'un été il y a deux ans (c'est là qu'elles apprennent que je suis animatrice)une colo avec des enfants en difficulté qui m'a fait me rendre compte que le métier d'infirmier me correspondait plus car je me suis senti utile et à l'aise face à ces enfants qui sont en demande affective. J'ai rajouté que je voulais aider les gens qui en on besoin en y rajoutant l'aspect médical du métier d'infirmier(je sais pas si c'était pertinent)... Là elle me pose la question à laquelle je n'étais pas préparé (j'ai répondu au feeling) Pourquoi ne pas avoir choisi de faire éducateur spécialisé? Je lui réponds que je me suis renseignée et que dans le métier d'éduc spé il manquait le coté traitement(tout ça en plus confus et répété au moins 3 fois) la psychologue me demande "Alors vous préférez le coté technique au coté psychologique ? Je lui réponds que non, que ce que je voulais dire c'est que le métier d'infirmier est plus complet à ce niveau là puisqu'il voit le patient dans ça globalité et pas que sur le plan émotionnel ou psychologique. Que moi j'aime justement allier les deux, le traitement et le soin. Sur quoi la formatrice reprends et me demande quelles sont les inconvénients du métier? je réponds les horaires pas stable et puis des fois pas cool (pas mieux dit), ...je réfléchi à nouveau... et puis la charge émotionnelle(et là rebelote je repleure car je me dit que je viens de leur montrer que c'est mon point faible) mais je leur dit (en pleurant ) ça ne me fait pas peur, je saurai y résister (sans expliquer ce que c'était que cette charge émotionnelle... bref je me calme un peu et elle me demande alors selon moi les qualités indispensable pour être infirmier et est-ce que je pense les avoir? je réponds de nouveau maladroitement que je pense avoir certaines qualités pour devenir infirmier mais que j'ai trois ans pour en développer d'autres alors ensuite j’énumère : "je suis patiente, responsable et et et?...je suis désolée je sais plus" mais j'en ai d'autre. Après j'essaie de reprendre en disant qu'un infirmier doit être compétent et connaitre son métier(là j'aurai pu me taire) je leurs dit que je suis désolée que ce n'est pas du tout ce que j'étais venu montrer, que je n’étais pas une pleurnicheuse et que d'habitude je me contrôle mieux mais que là c'est impressionnant alors elles me demandent pourquoi je pleure? je leur réponds que c'est la pression que je me suis mise car c'est une formation qui me tient à cœur de faire car c'est un métier qui me correspond et me plait. La psychologue me dit "oui, il y a aussi le fait d'avoir attendu, c'est pas simple de passer en dernier" sur quoi la formatrice "oui, les candidats qui passent en dernier son plus sensibles" la cadre s'adosse alors sur sa chaise et me dit "c'est la première fois que vous passez un oral?" je lui réponds que oui, elle continue en me demandant comment je me suis préparé, je lui dit que pour l'écrit j'ai acheté des livres et travaillé toute seule et pour l'oral j'ai deux amis dont un est déjà en IFSI qui m'ont entrainé et préparé le genre de question qu'on pourrais me poser. "vous n'avez donc pas fait de prépa?" moi : "si l'an dernier mais j'ai raté les écrits j'ai donc décider de me préparer seule et j'ai travaillé à Quick" là elles notent toutes les trois, je ne dis rien...
La formatrice me dit qu'il reste une minute, avez vous quelque chose d'autre à dire? je suis désolée car ça n'est pas moi, je ne suis pas comme ça, je me suis mis la pression toute seule "oui, vos amis devaient être moi impressionnant que nous" je répond que l’enjeu est très important pour moi et je ne pensais pas etre si tendu. elle me libèrent en souriant et me disent de me reposer ...

Alors???? Pensez-vous que mon oral vaille moins que 10? est-ce que c'était vraiment une catastrophe???Pensez vous qu'ils peuvent être indulgent répondez moi s'il vous plait! je me pose trop de questions!

moi je trouve que tu t es bien rattrapé!

Là tu vois je pense même que tu peux avoir une très bonne note. Je ne dis pas ça pour te lancer des fleurs mais je trouve que le jury a été super sympa et qu'il cherchait à te "repêcher" au contraire. Un candidat qui pleure, je pense que c'est assez fréquent (attente, pression, stress...) et pas forcément mal vu. Après tout, ça arrive à tout le monde. Le jury aurait pu t'enfoncer mais il ne l'a pas fait. Donc garde espoir!

[my-baby]

Bonjour à tous, j'ai passé mon oral le 10 mai à la roche sur yon et si cela peut aider certains d'entre vous, mon sujet était le suivant: Entre le 21 et le 27 avril 2012 s'est déroulée une semaine de campagne sur la vaccination en France et simultanément dans plus de 100 pays. Quel en est l'intérêt?"

Ensuite, j'ai eu des questions assez classiques telles que:
Financement
Pourquoi pas AS?
En cas d'échec que faites vous l'année prochaine?
Pourquoi n'avez vous pas fait une prépa?
Comment se passe la journée d'une infirmière?
Faites le lien entre le métier d'infirmière et vos études.
Quels sont vos loisirs?

Il y en a surement eu d'autres mais je ne m'en souviens plus!



Je pense que cela s'est bien passé dans l'ensemble...Réponse le 14 juin alors on croise les doigts.

Dans tous les cas, bon courage à tous, soyez naturel et souriant!

Pas au courant de cette info!
tu as mis quoi?
merci

[popoche63]

J'ai passé mon oral à Clermont Ferrand vendredi.
Un stress inimaginable ... j'ai attendu un peu moins d'une heure.
Mon sujet en gros traité de la place des handicapés dans notre société, donc sujet plutôt sympa

Un jury de femmes vraiment gentille même si la psy me faisait un peu flippé
Et puis j'ai eu très peu de question :
- que savez vous de la formation ?
- avez vous suivi une prépa ?
- quelles sont les contraintes du métier ?

Et puis c'est un peu près tout, globalement j'en suis sortie assez satisfaite mais maintenant il faut attendre le 5 juillet

Donc bon courage à toutes celles et ceux qui vont passer bientôt cet fichu oral tant redouté et puis un petit conseil ne stressé pas trop tout ce passera bien !

[stepit42]

Qu'avez-vous dit concernant les contraintes du travail à part le fait de travailler de nuit, jours fériés et week-end?

[Charlolise]

Bonjour à tous,
Merci tout d abord à tous de partager votre expérience
On ne se sent plus seul face à nos doutes et nos peurs
Pour mon cas, j ai reçu l écrit à l ifsi sud
Et j attends la convocation qui me donnera la date de mon oral.
Mais du coup , je suis hyper stressée parce que si il me donne le 25 mai, je serai sur Londres , j ai peur de me retrouver dans la situation d Abdel.
Vous pensez que toutes les écoles sont si sévères sur le chgt de date pour l oral ou aurais je là possibilité de changer ( bon j aurai vraiment pas de chance entre le 22 mai et le 11 juin de tomber sur le 25 mais sait on jamais...)
À très bientôt je viendrai vous raconter mon oral

D'abord bravo d'avoir été reçue à l'écrit, j'ai des copines qui ont fait une prépa avec moi, elles ne l'ont pas eu :/
Je t'aurai bien aidée si tu n'as pas de chance mais je passe Hôpital Nord moi
J'espère que ton oral ne tombera pas à la mauvaise date!

Merci ! j'espère aussi
n'ayant pas reçu encore la convoc, j'irai voir demain si ils ont affiché les groupes de passage à l'école pour voir ma date ! je croise les doigts !

[macapaense]

Bonjour à toutes et à tous!

Tout d'abord, j'ai passé mon oral à l'IFSI Croix-Rouge de Châlons-en-Champagne Vendredi dernier.

Mon sujet portait sur les personnes âgées : " votre voisin de 90 ans habite dans une petite maison voisine de chez vous. Ce matin, ses volets sont restés fermés. Que vous évoque cette situation?
- J'ai subdivisé ma réponse en deux grandes parties composée d'une introduction et d'une conclusion. Ils m'ont posé quelques questions sur mon sujet mais rien de bien méchant. J'ai pris mon temps pour leur développer mes idées et je les regardais bien tous les trois.

- Puis, j'ai dû me présenter et ils ont insisté sur mes motivations (j'ai décrit le diplôme, j'ai détaillé mes qualités et mes défauts, ce que la formation pouvait m'apporter et ce que je pouvais apporter aux patients, j'ai aussi dit les désavantages du métier qui a choqué la psychologue mais qui a plu au formateur), mon lieu de résidence et quel(s) service(s) me déplairai(en)t.

- En revanche, mon jury soupirait, me regardait avec étonnement comme si mes réponses ne leur plaisaient pas. Le formateur de l'IFSI était un peu effacé, souriant, agréable : c'est limite s'il me défendait pas contre les deux autres. La psychologue et le cadre infirmier étaient secs voire désinvoltes. Ils reprenaient mes réponses à chaque fois : " oui, mais on s'en fout de ça. Qu'est-ce qui t'intéresse vraiment ? " etc. La psychologue me posaient pas mal de questions en me scrutant de haut en bas. (Normal, mais c'était assez déroutant) La dernière question, pour conclure sur mes motivations, était : " une dernière chose pour nous convaincre de te prendre ? " : je leur ai dit " prenez-moi, je ferai mieux que les autres " juste pour leur marquer l'esprit.
A noter que lorsque je suis rentrée dans la salle, j'avais un grand sourire. Je leur ai dit " bonjour messieurs, dames " et ils se sont mis à rire quand je me suis assise. Je suis restée moi-même du début jusqu'à la fin : droite mais pas non plus arriviste, souriante et respectueuse, en répondant à chacune de leurs questions même si c'était parfois les mêmes. Je n'ai pas essayé de les contrarier quand ils me disaient qu'ils ne pensaient pas la même chose que moi donc je pense qu'ils ont vu que je pouvais accepter d'autres avis. En sortant, j'avais le même sourire qu'en rentrant et je leur ai souhaité un bon appétit et un bon courage pour la suite.

Qu'en pensez-vous?
Car au final, en y repensant, j'ai l'impression de ne pas avoir été aussi précise sur mes motivations que lorsque je révisais chez moi. Stressée, j'ai oublié la moitié des choses que je voulais leur dire...

En tout cas, j'espère que vos entretiens ce sont bien déroulés!

Coucou, en lisant ton oral il y a une chose qui ma "frappé" c'est cette phrase que j'ai surligner en rouge. Je sais pas si c'etait quelque chose a dire car pour moi je l'entends comme " prennez moi je suis mieux que les autres " et je le ressens comme de la prétention et de l'egocentrisme.. Apres ce n'est que mon avis et j'ai peut etre tord bien sur! Mais à ta place, sur cette question j'aurai plus développer mes qualitées d'étudiante: serieuse, persévérante, sens de l'organisation, déterminée et la connaissance des difficultés du métier qui ne me fera donc pas abbandonnée au bout de 6mois . J'aurai ensuite dit au finale, que j'ai la certitude d'avoir les capacitées pour réussir la formation et obtenir mon diplôme. Mais ta phrase, lorsque je l'ai lu, j'ai desuite eu des idées péjoratives.. Mais une fois de plus, j'ai peut etre tord, attendons d'autres avis

je suis d'accord avec toi, on a pas à porter de jugement de valeur par rapport aux autres, j'aurais juste dis qu'il faut me choisir car si je suis là devant vous c'est que mon choix est reflechi, je suis déterminée et je donnerais PLUS que le meilleur de moi mm pour réussir.

[Bdlx25]

Bonjour à toutes et à tous!

Tout d'abord, j'ai passé mon oral à l'IFSI Croix-Rouge de Châlons-en-Champagne Vendredi dernier.

Mon sujet portait sur les personnes âgées : " votre voisin de 90 ans habite dans une petite maison voisine de chez vous. Ce matin, ses volets sont restés fermés. Que vous évoque cette situation?
- J'ai subdivisé ma réponse en deux grandes parties composée d'une introduction et d'une conclusion. Ils m'ont posé quelques questions sur mon sujet mais rien de bien méchant. J'ai pris mon temps pour leur développer mes idées et je les regardais bien tous les trois.

- Puis, j'ai dû me présenter et ils ont insisté sur mes motivations (j'ai décrit le diplôme, j'ai détaillé mes qualités et mes défauts, ce que la formation pouvait m'apporter et ce que je pouvais apporter aux patients, j'ai aussi dit les désavantages du métier qui a choqué la psychologue mais qui a plu au formateur), mon lieu de résidence et quel(s) service(s) me déplairai(en)t.

- En revanche, mon jury soupirait, me regardait avec étonnement comme si mes réponses ne leur plaisaient pas. Le formateur de l'IFSI était un peu effacé, souriant, agréable : c'est limite s'il me défendait pas contre les deux autres. La psychologue et le cadre infirmier étaient secs voire désinvoltes. Ils reprenaient mes réponses à chaque fois : " oui, mais on s'en fout de ça. Qu'est-ce qui t'intéresse vraiment ? " etc. La psychologue me posaient pas mal de questions en me scrutant de haut en bas. (Normal, mais c'était assez déroutant) La dernière question, pour conclure sur mes motivations, était : " une dernière chose pour nous convaincre de te prendre ? " : je leur ai dit " prenez-moi, je ferai mieux que les autres " juste pour leur marquer l'esprit.
A noter que lorsque je suis rentrée dans la salle, j'avais un grand sourire. Je leur ai dit " bonjour messieurs, dames " et ils se sont mis à rire quand je me suis assise. Je suis restée moi-même du début jusqu'à la fin : droite mais pas non plus arriviste, souriante et respectueuse, en répondant à chacune de leurs questions même si c'était parfois les mêmes. Je n'ai pas essayé de les contrarier quand ils me disaient qu'ils ne pensaient pas la même chose que moi donc je pense qu'ils ont vu que je pouvais accepter d'autres avis. En sortant, j'avais le même sourire qu'en rentrant et je leur ai souhaité un bon appétit et un bon courage pour la suite.

Qu'en pensez-vous?
Car au final, en y repensant, j'ai l'impression de ne pas avoir été aussi précise sur mes motivations que lorsque je révisais chez moi. Stressée, j'ai oublié la moitié des choses que je voulais leur dire...

En tout cas, j'espère que vos entretiens ce sont bien déroulés!

Coucou, en lisant ton oral il y a une chose qui ma "frappé" c'est cette phrase que j'ai surligner en rouge. Je sais pas si c'etait quelque chose a dire car pour moi je l'entends comme " prennez moi je suis mieux que les autres " et je le ressens comme de la prétention et de l'egocentrisme.. Apres ce n'est que mon avis et j'ai peut etre tord bien sur! Mais à ta place, sur cette question j'aurai plus développer mes qualitées d'étudiante: serieuse, persévérante, sens de l'organisation, déterminée et la connaissance des difficultés du métier qui ne me fera donc pas abbandonnée au bout de 6mois . J'aurai ensuite dit au finale, que j'ai la certitude d'avoir les capacitées pour réussir la formation et obtenir mon diplôme. Mais ta phrase, lorsque je l'ai lu, j'ai desuite eu des idées péjoratives.. Mais une fois de plus, j'ai peut etre tord, attendons d'autres avis

je suis d'accord avec toi, on a pas à porter de jugement de valeur par rapport aux autres, j'aurais juste dis qu'il faut me choisir car si je suis là devant vous c'est que mon choix est reflechi, je suis déterminée et je donnerais PLUS que le meilleur de moi mm pour réussir.

Comme je l'ai dit à Ibiza84, je n'ai pas cité cette phrase sur un ton arriviste mais sur un ton motivé accompagné d'un sourire taquin qui ne voulait pas dire que je me sentais supérieure. Bien au contraire, j'ai voulu me défendre jusqu'au bout et aucunement dévaloriser chacune des candidates - aussi bonnes soient-elles -, ce qu'ils ont senti et matérialisé par le même genre de sourire.

[popoche63]

Qu'avez-vous dit concernant les contraintes du travail à part le fait de travailler de nuit, jours fériés et week-end?

J'ai expliqué qu'il fallait être résistant physiquement parce que de longues journées principalement debout, travail de nuit, week end et jours fériés.
Après dans le futur peut être difficile de concilier vie professionnelle et vie privée.

Et puis il faut avoir une véritable résistance émotionnelle car confrontés à la souffrance, la détresse parfois la mort ...

[Juliette746]

Qu'avez-vous dit concernant les contraintes du travail à part le fait de travailler de nuit, jours fériés et week-end?

Bah alors stepit .. Ca se saurait s'il n'y avait que ça comme contraintes ^^
Dis ce que toi tu appréhendes dans ce métier, la question tournait dans ce sens devrait t'aider

[Jonathan1]

Il y a aussi le plan dialectique thése-antithèse-synthèse, je pose j'oppose, je compose

[Red-One]

Ca serais trop facile ^^ Tu risques de tomber sur quelque chose decomplétement différent

[julitoune]

Bonjour,

J'ai passé mon oral à Albi le 11 mai. Nous avons eu un résumé de l'article qui suit, parut dans le journal Libération concernant l'histoire du petit garçon Bastien, 3 ans, mort enfermé par son père dans une machine à laver........
La question " que feriez-vous pour que cela ne se reproduise plus"........
J'aimerai avoir votre avis............

RÉCIT Bastien, martyrisé dans un lave-linge, a été enterré mardi. Sa famille faisait l’objet d’un suivi.

Bastien, 3 ans, est mort il y a quinze jours, après avoir été enfermé par son père dans un lave-linge, qu’il a mis en route.

Mais l’histoire de Bastien est d’abord celle d’un enfant qui a grandi dans une violence quotidienne. Sous de nombreux yeux supposés attentifs : l’école, les services sociaux, les voisins. En multipliant les signaux de détresse : retard de langage, «comportements à risque», agressivité, fugues. Et que rien ni personne n’a sauvé.

Charlène, 25 ans, et Christophe, 33 ans, s’étaient rencontrés il y a huit ans. Tous deux issus de familles socialement défavorisées, ils ont uni leurs désarrois. Une petite fille est née. Puis Bastien, dont Christophe disait qu’il ne le voulait pas. M. a dit que son père avait mis Bastien dans la machine à laver. Que ce n’était pas la première fois. Mais que ce jour-là, à la différence des autres, il avait appuyé sur le bouton.

l’appartement familial de 30 m2, insalubre, est aménagé sous les combles d’une petite maison. Baptisée «le Rivage», elle fait face aux bords de la Marne. Eau grise, saule pleureur, le décor est beau et triste. Au premier étage, Alice, la voisine, ouvre sa fenêtre. C’est elle qui a recueilli Charlène, son fils inanimé dans les bras. Alice dit qu’elle entendait les cris de Charlène quand Christophe la battait. Qu’elle avait vu, aussi, «le petit posé sur le rebord de la fenêtre, accroché avec une corde». Elle a appelé le 119, le numéro de l’enfance en danger. «Cela n’a rien changé.» Charlène et Christophe ne travaillaient pas.

Lui passait ses journées à s’alcooliser et à fumer du cannabis.

En 2010, Christophe a été condamné à deux mois de prison avec sursis pour des violences sur Charlène.

Trois fois par semaine, un employé des services sociaux du département se rendait dans la famille. Ils étaient trois à se relayer : une puéricultrice, un assistant social, et une «travailleuse de l’intervention sociale et familiale».«Jamais ils n’ont constaté de maltraitance»,. Cette famille bénéficiait d’un suivi important.

[angelo50]

Encore 3 semaines avant les résultats

C'est loooooooonnnnnnnngggggggggggg


Tout les soirs, je refais mon oral dans mon lit
Je m'endors dessus et me reveille dessus
Tout ce que je regarde à la télé m'y fait penser


Bref, comme vous tous surement, je PSYCHOTTE

[julitoune]

pour moi c''est pareil, la psychoseeeee. Le problème c'est que plus j'y pense, plus j'ai l'impression de l'avoir raté alors zzzzzzzzzzzzzzennnnn......

[angelo50]

pour moi c''est pareil, la psychoseeeee. Le problème c'est que plus j'y pense, plus j'ai l'impression de l'avoir raté alors zzzzzzzzzzzzzzennnnn......

on en est tous là

Je me rappelle qu'a un moment, ils m'ont demandé si je n'idéalisais pas le métier, et j'ai du réponde un bête "non" sans argument alors que j'aurai du dire, "Bien sur que non, mais je suis d'un naturel optimiste et je vois le bon coté des choses"...bref...comme tu dis, plus on y pense, plus on se dit: j'aurai du dire ça etc...