La synthèse d'un article CG par jour

[elody44]

voila mon résumé de l'article je ne sais plus combien lol

Plusieurs adolescentes sont décédées dût à des pilules de 3ième génération causant des maladies sanguines car ces jeunes filles avaient des anomalies génétiques sanguines. En effet, une association crée pour informer la population des ces risques compte environ mille décès par an alors que Bernard Delorme conteste ces chiffres, responsable de l’information aux patients et du public à AFSSAPS en dénombre environ 30 décès par an.
De plus, deux études montrent les risques liés aux pilules de 3ième génération. D’une part la première étude montre que la pilule de 3ième génération double par deux les accidents thromboemblolique veineux et qu’il est préférable de prendre une pilule de 2ième génération. D’autre part, la deuxième étude montre les mêmes risques en prenant la pilule de 4ième génération.
Au début, ces pilules avait été crée dans le but de diminuer des effets secondaires tel que la prise de poids ou l’acné. Néanmoins, les résultats de ces pilules n’est guère mieux que les pilules 2ième génération.
Ensuite, lors d’une première consultation, le médecin devrait chercher les antécédents familiaux, savoir si elle est fumeuse pour évité les risques liés à la pilule alors quand réalité le médecin pose très peu de question. En attendant, les risques peuvent être évité par une prévention active et d’être vigilent vis-à-vis des femmes prenant la pilule 3ième génération.

1h de travail-16 lignes

[elody44]

meuwine: ton résumé est très bien et en plus tu es dans les temps !!!
maistre: bon rien a dire comme d'ab quoi !!

[meuwine]

Elody44: je trouve bien ton résumer, sauf qu'il manquerait un peu d'espace.

Oui c'est sur que pour Maistre7 il y a rien à dire

[elody44]

ah oui merde j'ai oublié de faire la mise en page. oups !! (car sur le word que j'utilise ca saute bien les lignes mais quand je les copies sur le forum ca fait juste retour a la ligne :S )
enfin bref merci pour ton commentaire !!!

[Ameelie]

Alors que la pilule de deuxième génération provoquait de nombreux effets indésirables tels que des maux de tête, de l'acné ou encore la prise de poids, c'est dans les années 1980 qu'apparaît la pilule de troisième génération, promettant la réduction de ces effets.

Or, dès 1995, on observe que celle ci est facteur de risque. En effet, elle débouche, pour certaines consommatrices porteuses d'une maladie génétique du sang (telle que l'hypercoagulabilité), sur une embolie pulmonaire. D'autre part, le risque de thrombose veineuse est deux fois plus élevé chez une femme qui prend une pilule de troisième génération que chez une femme n'ayant pas recours à une méthode contraceptive. Il faut aussi souligner que l'on sait que la pilule de quatrième génération, plus récente et qui devrait présenter moins de risques est tout autant dangereuse pour la santé des consommatrices.

On observe que, malgré tout, les pilules de troisième et quatrième génération continuent à être prescrites alors qu'un retour a celle de deuxième génération serait bien plus judicieux.


15 lignes.

[elody44]

resumé très bien construit et tout par contre ca fait "bizarre" d'avoir dans le texte "d'autre part" sans qu'il y est avant "d'une part". je te dit ca car j'avais fait la meme chose que toi au lycée et ma prof de francais m'as dit que ca se faisait pas...

[Nono16]

ARTICLE 16

C'est mon premier résumé dites moi ce que vous en pensez ça m'aiderais beaucoup ! Ça fait une vingtaines de lignes sur bloc note


Dans un monde ou le sexe est devenu banalisé les moyens de contraceptions deviennent indispensables dans la vie des jeunes adolescentes
et l'on voit la pilule l'un des moyens de contraceptions le plus répandu dans la sexualité chez les jeunes, mais alors qu'un bon nombres
de pilule de 1ere et deuxième générations sont répandu sur le marché médicale que pensez des nouvelles pilules 3eme générations ?

Un article publié par le monde datant de 2011 fait du bruit sur ces fameuse pilule dites 3eme générations :
En effet une adolescente en a fait les frais récemment et est décédée des suites d'anomalies méconnues du grand public
Ces pilules dites de troisièmes générations sont en effet prescrites pour éviter les maux de têtes, l’acné..
hors elle provoquerait par rapport au femmes qui ne prennent pas de contraception beaucoup plus d'accident throboembolique veineux
et serais beaucoup plus dangereuse de ce point de vu la que les pilules de deuxièmes générations
Hors si cette pilule est prescrite pour éviter les nombreux effets indésirables des anciennes pilules contraceptives celles ci ne sont pas mieux toléré que les pilules dites de deuxièmes générations et n'apporte aucun progrès thérapeutique par rapport au précédentes

Ainsi le prix des pilules de première et deuxièmes générations sont remboursées par l'assurance maladie et leurs prix à baissé de quelques pour-cents
mais attardons nous sur un point qui me semble important, les notices d'utilisations sont-elles suffisamment lues ? Autant dire qu'elles sont quasiment
nulles ou inexistante, une adolescente ne s'attardera pas à lire une notice et c'est ce que cette adolescente aurait du faire bien avant de prendre sa pilule
Je pense que nous sommes à un point de la société ou il faut faire mesurer au jeunes l'importance de se renseigner sur le médicaments qu'il compte prendre
et en quoi il est contre-indiqué , il n'y a pas assez de préventions à ce niveaux la et les parents devrait s’investir un peu plus dans l'information
à transmettre sur la sexualité de leurs enfants, on ne demandent pas qu'ils soit impliqués directement dans leurs vie sexuelle mais qu'ils les informent
des contre-indications et surtout des risque si jamais il adviendrait qu'il ai un risque d'anomalies génétique du sang.


Alors dans une société ou le sexe à une place principale, osons nous affirmer et informer des risque que peu procurer ces pilules dites de 3eme
générations sinon qu'adviendra t'il de nos enfants ? Laisserons les nous risquer de développer demain une hypercoagulabilitée au risque qu'il en meurent ?
La place est dans l'information et la préventions des risques !

Fait en 30 minutes c'est mon premier

[Nono16]

En me relisant j'ai l'impressions d'avoir fait un gros hors sujet lol

[ste-phanie]

oui tkt mes week end st résevés pr ca!!
je propose mon résumé en espérant m'être bien lévé ce matin!!!!
Par contre j'avoue que c'était un peut difficil à lire puisque c'est en un seul bloc, après je comprends que ce n'est pas évident d'écrire!!

Le sport est ouvert à tout type de sportifs, mais permet-il vraiment aux handicapés de s'intégrer dans la société.
Le sport est souvent synonime de passion, mais il n'empêche pas à certains de tricher et de mettre toutes bonnes vertus de côté ( respect, fair-play...), comme l'a été constater lors des J.O 2012. Les sportifs seraient donc prêt à tenter le tout pour le tout sous l'influences des millions de regard des spectateurs.
A propos des sportifs invalides, et pourtant de haut niveau, seraient peut être victime quand à eux de mise en scène afin de suciter l'émotion des spectateur lors de jeux paralympique tout en mêlant performances et esthétique, reste à savoir que certains d'entre eux souhaiteraint être mis sur le même pied d'estale en participant aux J.O comme tout sportif de haut niveau et non pas passer après.
Des spécialiste du handicap tenteraient même de proposer un nouveau sport pour permettre à ces sportif une intégration. La France à is en place une nouvelle loi de l'égalité, des droits et de chance (fevrier 2008) afin d'éviter toutes discriminations et permettre leur intégration, mais certains citoyens ne changent pas pour autant leur regard.

voilà!

je ne peux pas croire ça ! mise en scène ou pas, ces sportifs handicapés font beaucoup d'efforts pour vivre à fond leur discipline !

[meuwine]

ARTICLE 16

C'est mon premier résumé dites moi ce que vous en pensez ça m'aiderais beaucoup ! Ça fait une vingtaines de lignes sur bloc note


Dans un monde ou le sexe est devenu banalisé les moyens de contraceptions deviennent indispensables dans la vie des jeunes adolescentes
et l'on voit la pilule l'un des moyens de contraceptions le plus répandu dans la sexualité chez les jeunes, mais alors qu'un bon nombres
de pilule de 1ere et deuxième générations sont répandu sur le marché médicale que pensez des nouvelles pilules 3eme générations ?

Un article publié par le monde datant de 2011 fait du bruit sur ces fameuse pilule dites 3eme générations :
En effet une adolescente en a fait les frais récemment et est décédée des suites d'anomalies méconnues du grand public
Ces pilules dites de troisièmes générations sont en effet prescrites pour éviter les maux de têtes, l’acné..
hors elle provoquerait par rapport au femmes qui ne prennent pas de contraception beaucoup plus d'accident throboembolique veineux
et serais beaucoup plus dangereuse de ce point de vu la que les pilules de deuxièmes générations
Hors si cette pilule est prescrite pour éviter les nombreux effets indésirables des anciennes pilules contraceptives celles ci ne sont pas mieux toléré que les pilules dites de deuxièmes générations et n'apporte aucun progrès thérapeutique par rapport au précédentes

Ainsi le prix des pilules de première et deuxièmes générations sont remboursées par l'assurance maladie et leurs prix à baissé de quelques pour-cents
mais attardons nous sur un point qui me semble important, les notices d'utilisations sont-elles suffisamment lues ? Autant dire qu'elles sont quasiment
nulles ou inexistante, une adolescente ne s'attardera pas à lire une notice et c'est ce que cette adolescente aurait du faire bien avant de prendre sa pilule
Je pense que nous sommes à un point de la société ou il faut faire mesurer au jeunes l'importance de se renseigner sur le médicaments qu'il compte prendre
et en quoi il est contre-indiqué , il n'y a pas assez de préventions à ce niveaux la et les parents devrait s’investir un peu plus dans l'information
à transmettre sur la sexualité de leurs enfants, on ne demandent pas qu'ils soit impliqués directement dans leurs vie sexuelle mais qu'ils les informent
des contre-indications et surtout des risque si jamais il adviendrait qu'il ai un risque d'anomalies génétique du sang.


Alors dans une société ou le sexe à une place principale, osons nous affirmer et informer des risque que peu procurer ces pilules dites de 3eme
générations sinon qu'adviendra t'il de nos enfants ? Laisserons les nous risquer de développer demain une hypercoagulabilitée au risque qu'il en meurent ?
La place est dans l'information et la préventions des risques !

Fait en 30 minutes c'est mon premier

nono16: tu commentes le texte. Il faut résumer, tu donnes également ton avis . la consigne dit résumer "mais attardons nous sur un point qui me semble important"

Tu pouvais supprimer cette partie =>

"Dans un monde ou le sexe est devenu banalisé les moyens de contraceptions deviennent indispensables dans la vie des jeunes adolescentes
et l'on voit la pilule l'un des moyens de contraceptions le plus répandu dans la sexualité chez les jeunes, mais alors qu'un bon nombres
de pilule de 1ere et deuxième générations sont répandu sur le marché médicale que pensez des nouvelles pilules 3eme générations ? "

Ce sont tes connaissances .

Toujours tes connaissances, et c'est une phrase trop longue. =>

"Je pense que nous sommes à un point de la société ou il faut faire mesurer au jeunes l'importance de se renseigner sur le médicaments qu'il compte prendre
et en quoi il est contre-indiqué , il n'y a pas assez de préventions à ce niveaux la et les parents devrait s’investir un peu plus dans l'information
à transmettre sur la sexualité de leurs enfants, on ne demandent pas qu'ils soit impliqués directement dans leurs vie sexuelle mais qu'ils les informent
des contre-indications et surtout des risque si jamais il adviendrait qu'il ai un risque d'anomalies génétique du sang."


Évite également de mettre Nous, on ..

Voila voila

[Nono16]

O la la c'est dur de ne pas donner son avis j'essaie de ne pas le donner mais en faite inconsciemment je le donne !!

[meuwine]

Exactement ^^ , mais ont va y arriver!! A demain pour une nouvelle synthèse.

[Ameelie]

Elody : Oui c'est vrai t'as raison )
Merci

[sego974]

Voila le mien pour l'article16. n'hesitez pas à critiquer, je suis un peu perdu sur ma méthodologie...j'ai un peu de mal à synthétiser!!

Suite à une contraception par une pilule 3eme génération, une jeune fille est morte en 2007 d’une embolie pulmonaire. Elle était porteuse d’anomalies sanguines. C’est son père qui crée l’association pour les victimes d’embolies pulmonaires (AVEP) en 2009. Par la suite il a été montré le lien entre sa mort, ses anomalies et la prise de pilule.

Aujourd’hui, l’AVEP estime par extrapolation que le nombre de décès pourrait atteindre 1596 cas/ans tandis que l’AFSSAPS estime elle 40 cas/an. On voit qu’il est difficile de montrer le lien entre la contraception et les décès. Et c’est a postériori que sont découvertes des anomalies génétiques sanguines chez les défuntes.

Depuis presque 20ans, ces pilules sont sur la sellette, avec un risque d’accident thromboembolique élevé dans les 6mois suivant le début de la prise de pilule. Deux études ont montré que le rapport est multiplié par 1,5 ou 2 entre les pilules dites de 2eme génération et celles de 3eme ou 4eme génération. L’intérêt auparavant justifié sur la diminution des effets secondaires de ces pilules est largement amoindri. Et l’Autorité de Santé interdit cette prescription pour une première contraception.

Finalement, il y a un travail de fond à effectuer sur le diagnostic avant prescription. Et ne doit on pas dé rembourser ces pilules qui semblent dangereuses même si cela n’a pas encore été prouvé.

16 lignes

[maistre7]

Article 17

Les généralistes débordés par la dépression des patients

Nouvel observateur 19 Septembre 2012 par Mathias Germain

Avec la crise économique, les consultations pour dépression se multiplient. Selon une étude, les généralistes sont parfois amenés à prescrire des médicaments là où des pscychothérapies seraient plus efficaces.

Face à la dépression, les médecins généralistes sont en première ligne. Les deux tiers d’entre eux déclarent être confrontés chaque semaine à la souffrance psychique de la population. C’est le constat d’une étude commandée par le ministère de la santé (DREES). 82 % des médecins interrogés lors de cette enquête réalisée fin 2011, évoquent des personnes souffrant d’anxiété, et 67% de dépression. Les tendances suicidaires sont aussi fréquentes en médecine de ville. Au cours des cinq dernières années, huit médecins sur dix ont été confrontés à une tentative de suicide et près de la moitié à un suicide. « Ces résultats soulignent le rôle essentiel dans le dépistage et la prise en charge de ces troubles », souligne le Dr Pierre Verger, épidémiologiste et co-auteur de l’étude.

Mais les généralistes peuvent-ils faire face ? « Neuf médecins sur dix s’estiment efficaces dans la prise en charge de la dépression », notent les auteurs. Ils disposent d’un choix de traitements efficaces de la dépression dont les antidépresseurs et les psychothérapies.

Cependant, d’après l’enquête, les généralistes ne suivent pas toujours les recommandations en vigueur, notamment celles de la Haute Autorité de Santé. Ils ont toujours la main trop lourde sur les prescriptions de médicaments. Lors de l’enquête, il leur a été soumis un cas ficitf de dépression, et dans les deux tiers des cas, les médecins interrogés proposent un antidépresseur, même pour des dépressions légères. « Pourtant l’efficacité de ces médicaments n’a pas été démontrée dans le traitement des dépressions légères », rappelle le Dr Pierre Verger.

Autre résultat de l’enquête, près de sept médecins sur dix prescrivent un antidépresseur avec un anxiolytique ou un hypnotique lorsque la dépression est sévère alors que ce n’est pas toujours nécessaire. Cette combinaison de médicament n’est recommandée que lorsque la personne manifeste de l’agitation ou des troubles du sommeil marqués…

Pour Patrick Jeannot, le président de l’association France Dépression, ces résultats ne sont pas vraiment une surprise. « Il faut d’abord souligner un point positif, que les malades fassent la démarche d’aller chez un médecin, c’est encourageant. La dépression est encore une maladie taboue, s’alarme Patrick Jeannot. Les gens n’osent pas en parler pour deux raisons : la peur de la maladie mentale elle-même, le jugement de l’entourage familial et professionnel. » Ensuite, sur les choix de prescription, tout ne repose pas sur les épaules du médecin. Selon lui, les patients peuvent aussi être un peu trop insistants pour avoir des médicaments et trop souvent réticents à suivre une psychothérapie.

Pourquoi les psychothérapies sont moins prescrites ? Selon l’enquête, la majorité des médecins reconnaissent l’efficacité de traitement non médicamenteux pour traiter la dépression. Mais ils soulignent plusieurs freins. « Le plus fréquement cité est le non remboursement des consultations avec un psychologue ou un psychothérapeute non médecin », précisent les auteurs de l’enquête.

Les préjugés des médecins limitent aussi la prescription de psychothérapie. Les deux tiers des médecins interrogés déclarent que les psychothérapies conviennent davantage aux malades ayant un niveau d’éducation élevé. L’organisation des soins est aussi en question. L’accès aux spécialistes, comme les psychiatres, posent aussi problème. 79 % des généralistes jugent les délais d’obtention de rendez-vous trop longs. « Une situation qui s’aggravera avec la démographie professionnelle, car le grand problème qui se profile c’est le départ à la retraite des psychiatres », estime le président de France Dépression.

« Faire en sorte que le parcours de soins des personnes dépressives soit plus facile et mieux coordonné est une problématique en cours de débat en région, témoigne Patrick Jeannot. La plupart des agences régionales de santé, comme celle de la région Centre ou du Nord-Pas-de-Calais ont mis en priorité le renforcement de la prévention et l’amélioration de la prise en charge. « Cela ne se fera pas d’un coup de baguette magique, ça prend du temps », explique Patrick Jeannot, mais pour cet ancien dépressif, il y a urgence : la crise économique a des conséquences sur la santé mentale de la population. « J’anime régulièrement des groupes de paroles entre malades, et je constate qu’il y a de plus en plus de personnes qui sont là, suite à du harcèlement au travail, suite à des licenciements, des faillites. » Et la priorité avant le traitement, c’est l’écoute, l’empathie pour que cette maladie ne devienne pas une double peine.


Résumer en une quinzaine de lignes