La synthèse d'un article CG par jour
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
L'erreur médicale n'est plus taboue.
Article 20
Le figaro santé, Damien Mascret, le 27/09/12
De l'erreur médicale à l'accident grave, voire mortel, il y a tout un enchaînement que le patient peut parfois déjouer. Le troisième colloque sur l'erreur médicale organisé par l'association La Prévention médicale, ce jeudi à Paris, l'a bien souligné. Incidemment, la tenue d'un tel colloque démontre que la question ne fait plus peur aux professionnels de santé. «Pas plus que la justice, la médecine ne peut prétendre à l'infaillibilité», rappelle humblement le Pr André Vacheron, membre de l'Institut et président honoraire de l'Académie nationale de médecine.
Car, sous son manteau d'extrême perfectionnement scientifique, la médecine cache une réalité que les médecins eux-mêmes font souvent mine d'ignorer: la survenue et l'évolution des maladies échappent encore souvent à la rationalité scientifique absolue. D'autant que le discours médical tend souvent à simplifier les explications complexes et à nier ce qui n'est pas compris ou simplement de l'ordre du doute. Parfois pour la bonne cause, d'ailleurs: «J'ai toujours pensé que le médecin ne devait pas partager ses doutes avec le patient», explique avec franchise le Pr Jean-luc Harousseau, président de la Haute Autorité de santé (HAS) et hématologue réputé.
À condition d'avoir délivré au malade une information la plus complète et la plus compréhensible possible. «On ne peut plus aujourd'hui engager un acte médical sans avoir prévenu le patient des bénéfices attendus, mais aussi des risques encourus», ajoute le Pr Harousseau.
Le patient peut jouer un rôle décisif
Les explications simplificatrices des médecins s'inscrivent dans une vision linéaire de la maladie qui va de la cause à sa conséquence, selon Kathryn Montgomery, professeur de médecine et de bioéthique à la Northwestern University (États-Unis): «Les causes multiples ou complexes ne sont pas évoquées par les médecins, sauf lorsque c'est absolument nécessaire, c'est-à-dire lorsque le diagnostic s'avère compliqué ou que le traitement n'est pas satisfaisant.»
C'est là que le patient peut jouer un rôle décisif. D'abord en admettant cette complexité: «36.000 articles médicaux sont publiés chaque mois, rappelle Jean de Kervasdoué, professeur au Conservatoire national des arts et métiers. Comment imaginer que les médecins puissent tous les lire?»
Il ne s'agit pas de remettre en cause le savoir et l'expérience du médecin, qui d'ailleurs aura raison dans 99,99% des cas, mais de l'assister en lui demandant, par exemple, comment les symptômes sont censés évoluer dans les jours qui suivent, ou quel autre diagnostic il a écarté et pourquoi. Il sera toujours temps de le recontacter si l'on a l'impression d'entrer dans les 0,01% suspects.
«Compétence, prudence, diligence: le médecin a une obligation de moyens, c'est-à-dire qu'il doit faire du mieux possible compte tenu des moyens dont il dispose financièrement, techniquement et en fonction du degré d'urgence», explique le Pr Didier Tabuteau, directeur de la chaire santé à Sciences Po Paris. «Lorsque le praticien a fait tout ce qu'il pouvait mais qu'il s'est trompé, il s'agit toujours d'une erreur, mais pas d'une faute», ajoute-t-il. Une notion bien différente de celle de l'aléa thérapeutique, qui est la conséquence accidentelle, toujours possible, d'un acte médical.
Analyser les erreurs commisesPour le Dr Pierre-Yves Gallard, président de La Prévention médicale, «la plupart des drames médicaux ne sont pas liés à l'incompétence des praticiens mais à un déficit organisationnel du système de santé». Conviction partagée par Mireille Faugère, directrice de l'Assistance publique des hôpitaux de Paris: «Comme dans toutes les grandes organisations, le problème central de l'hôpital, c'est la coordination. Mais la sécurité des patients n'est pas réservée aux spécialistes, c'est l'affaire de tous.»
Au patient, donc, et à ses proches de suivre de près les actes réalisés lors d'une hospitalisation. «On estime que 275.000 à 395.000 événements indésirables graves surviennent chaque année dans les établissements de soins en France et que la moitié d'entre eux pourraient être évités», rappelle le Pr Vacheron.
Tous les experts s'accordent enfin sur la nécessité d'analyser les erreurs commises, pour éviter qu'elles ne se reproduisent. Professeur à Harvard, Jerome Groopman le souligne dans un livre récent, How Doctors Think: «L'intuition du médecin est un sens qui s'affine année après année, en examinant et en écoutant des milliers et des milliers de patients, et, plus important, en se souvenant de ses erreurs.»
Résumer en une quinzaine de lignes
Article 20
Le figaro santé, Damien Mascret, le 27/09/12
De l'erreur médicale à l'accident grave, voire mortel, il y a tout un enchaînement que le patient peut parfois déjouer. Le troisième colloque sur l'erreur médicale organisé par l'association La Prévention médicale, ce jeudi à Paris, l'a bien souligné. Incidemment, la tenue d'un tel colloque démontre que la question ne fait plus peur aux professionnels de santé. «Pas plus que la justice, la médecine ne peut prétendre à l'infaillibilité», rappelle humblement le Pr André Vacheron, membre de l'Institut et président honoraire de l'Académie nationale de médecine.
Car, sous son manteau d'extrême perfectionnement scientifique, la médecine cache une réalité que les médecins eux-mêmes font souvent mine d'ignorer: la survenue et l'évolution des maladies échappent encore souvent à la rationalité scientifique absolue. D'autant que le discours médical tend souvent à simplifier les explications complexes et à nier ce qui n'est pas compris ou simplement de l'ordre du doute. Parfois pour la bonne cause, d'ailleurs: «J'ai toujours pensé que le médecin ne devait pas partager ses doutes avec le patient», explique avec franchise le Pr Jean-luc Harousseau, président de la Haute Autorité de santé (HAS) et hématologue réputé.
À condition d'avoir délivré au malade une information la plus complète et la plus compréhensible possible. «On ne peut plus aujourd'hui engager un acte médical sans avoir prévenu le patient des bénéfices attendus, mais aussi des risques encourus», ajoute le Pr Harousseau.
Le patient peut jouer un rôle décisif
Les explications simplificatrices des médecins s'inscrivent dans une vision linéaire de la maladie qui va de la cause à sa conséquence, selon Kathryn Montgomery, professeur de médecine et de bioéthique à la Northwestern University (États-Unis): «Les causes multiples ou complexes ne sont pas évoquées par les médecins, sauf lorsque c'est absolument nécessaire, c'est-à-dire lorsque le diagnostic s'avère compliqué ou que le traitement n'est pas satisfaisant.»
C'est là que le patient peut jouer un rôle décisif. D'abord en admettant cette complexité: «36.000 articles médicaux sont publiés chaque mois, rappelle Jean de Kervasdoué, professeur au Conservatoire national des arts et métiers. Comment imaginer que les médecins puissent tous les lire?»
Il ne s'agit pas de remettre en cause le savoir et l'expérience du médecin, qui d'ailleurs aura raison dans 99,99% des cas, mais de l'assister en lui demandant, par exemple, comment les symptômes sont censés évoluer dans les jours qui suivent, ou quel autre diagnostic il a écarté et pourquoi. Il sera toujours temps de le recontacter si l'on a l'impression d'entrer dans les 0,01% suspects.
«Compétence, prudence, diligence: le médecin a une obligation de moyens, c'est-à-dire qu'il doit faire du mieux possible compte tenu des moyens dont il dispose financièrement, techniquement et en fonction du degré d'urgence», explique le Pr Didier Tabuteau, directeur de la chaire santé à Sciences Po Paris. «Lorsque le praticien a fait tout ce qu'il pouvait mais qu'il s'est trompé, il s'agit toujours d'une erreur, mais pas d'une faute», ajoute-t-il. Une notion bien différente de celle de l'aléa thérapeutique, qui est la conséquence accidentelle, toujours possible, d'un acte médical.
Analyser les erreurs commisesPour le Dr Pierre-Yves Gallard, président de La Prévention médicale, «la plupart des drames médicaux ne sont pas liés à l'incompétence des praticiens mais à un déficit organisationnel du système de santé». Conviction partagée par Mireille Faugère, directrice de l'Assistance publique des hôpitaux de Paris: «Comme dans toutes les grandes organisations, le problème central de l'hôpital, c'est la coordination. Mais la sécurité des patients n'est pas réservée aux spécialistes, c'est l'affaire de tous.»
Au patient, donc, et à ses proches de suivre de près les actes réalisés lors d'une hospitalisation. «On estime que 275.000 à 395.000 événements indésirables graves surviennent chaque année dans les établissements de soins en France et que la moitié d'entre eux pourraient être évités», rappelle le Pr Vacheron.
Tous les experts s'accordent enfin sur la nécessité d'analyser les erreurs commises, pour éviter qu'elles ne se reproduisent. Professeur à Harvard, Jerome Groopman le souligne dans un livre récent, How Doctors Think: «L'intuition du médecin est un sens qui s'affine année après année, en examinant et en écoutant des milliers et des milliers de patients, et, plus important, en se souvenant de ses erreurs.»
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Infirmière Diplômée d’État
Re: La synthèse d'un article CG par jour
ayoub2011 a écrit :Très bon résume Lolo, attention aux ses et ces
Merci


Salut neuwine, bon retour, voila je t'ai mis un texte! Aller au boulot!!

Lovely, biensur que tu peux te joindre a nous, avec plus on est a faire de commentaires plus on peut évoluer!

Infirmière Diplômée d’État
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Hello voila mon resumé
10 lignes 35 min Je penses que de donner 15 lignes pour le resumé c'est trop, en fonction des textes il faut ajuster:!!!
Alors que le risque zéro n’existe pas dans la médecine. L’erreur médicale peut être évitée. Aujourd’hui, les médecins simplifient leurs explications face à un malade, pour autant ils se doivent de lui délivrer une information complète, sur les bénéfices comme sur les risques encourus.
Et c’est dans certaines situations que le patient peut devenir acteur de cette évolution. En comprenant la complexité de sa maladie et de ses causes, le malade peut interroger le médecin sur différents points qui auraient pu l’interpeler. Malgré tout, si le médecin s’est trompé dans son diagnostique, on parle d’erreur et non pas de faute. L’aléa thérapeutique prédomine.
Enfin, Dr Pierre Yves Gallard, président de La Prévention Médicale et Mireille Faugère directrice de l’ APHP conforte cette situation de risques possibles en affirmant qu’ils sont liés principalement à un problème d’organisation et de coordination au sein du système de santé. Malgré tout, chacun doit travailler pour diminuer ces risques, le médecin à travers une remise en cause permanente et le patient à travers son implication dans les actes qu’ils subit.
10 lignes 35 min Je penses que de donner 15 lignes pour le resumé c'est trop, en fonction des textes il faut ajuster:!!!
Alors que le risque zéro n’existe pas dans la médecine. L’erreur médicale peut être évitée. Aujourd’hui, les médecins simplifient leurs explications face à un malade, pour autant ils se doivent de lui délivrer une information complète, sur les bénéfices comme sur les risques encourus.
Et c’est dans certaines situations que le patient peut devenir acteur de cette évolution. En comprenant la complexité de sa maladie et de ses causes, le malade peut interroger le médecin sur différents points qui auraient pu l’interpeler. Malgré tout, si le médecin s’est trompé dans son diagnostique, on parle d’erreur et non pas de faute. L’aléa thérapeutique prédomine.
Enfin, Dr Pierre Yves Gallard, président de La Prévention Médicale et Mireille Faugère directrice de l’ APHP conforte cette situation de risques possibles en affirmant qu’ils sont liés principalement à un problème d’organisation et de coordination au sein du système de santé. Malgré tout, chacun doit travailler pour diminuer ces risques, le médecin à travers une remise en cause permanente et le patient à travers son implication dans les actes qu’ils subit.
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Pourtant je compte que tu as fait 15lignes! donc c'est bon! 

Infirmière Diplômée d’État
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Bonjour, voila mon résumé pour l'article 19
La relation entre les boissons sucrées et la prise de poids vient d'être confirmée grâce à trois études publiées dans un journal anglais.
La première faite aux Etats Unis a bien montré que la consommation des boissons light aide à prendre moins de poids mais ces résultats ne sont pas durables. Par ailleurs, les calories apportées par les boissons sucrées faussent les calculs fait par le cerveau. C'est pourquoi l'eau reste la meilleurs boisson conseillée.
La deuxième étude réalisée par l'Université d’Amsterdam pointe, hormis la prise du poids, l'effet du produit cancérigène contenu dans les canettes et qui reste nocif pour la santé.
La faculté de Harvard, qui a fait la troisième étude, met en avant le facteur génétique qui favorise la prise de poids en cas de consommation de ce type de liquides.
Même si les Français restent un peu loin derrière les Américains dans la consommation des boissons sucrées, celles_ci ne fait qu'augmenter.
Cette situation alarmante a poussé le gouvernement à agir, une taxe plus élevée a été imposé dès 2011 et le dossier des boissons sucrées est réouvert.
15 lignes en 35 minutes
La relation entre les boissons sucrées et la prise de poids vient d'être confirmée grâce à trois études publiées dans un journal anglais.
La première faite aux Etats Unis a bien montré que la consommation des boissons light aide à prendre moins de poids mais ces résultats ne sont pas durables. Par ailleurs, les calories apportées par les boissons sucrées faussent les calculs fait par le cerveau. C'est pourquoi l'eau reste la meilleurs boisson conseillée.
La deuxième étude réalisée par l'Université d’Amsterdam pointe, hormis la prise du poids, l'effet du produit cancérigène contenu dans les canettes et qui reste nocif pour la santé.
La faculté de Harvard, qui a fait la troisième étude, met en avant le facteur génétique qui favorise la prise de poids en cas de consommation de ce type de liquides.
Même si les Français restent un peu loin derrière les Américains dans la consommation des boissons sucrées, celles_ci ne fait qu'augmenter.
Cette situation alarmante a poussé le gouvernement à agir, une taxe plus élevée a été imposé dès 2011 et le dossier des boissons sucrées est réouvert.
15 lignes en 35 minutes
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35 ans et maman de 2 petits bouts de chou et le 3eme pour novembre 2015
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Article 21
Les Français relativisent le rôle cancérigène de l'alcool et du tabac
Le Monde.fr avec AFP | 14.06.2012 à 11h27
aA Facebook Twitter Google + Linkedin
89 % des Français estiment ainsi que les accidents de la route et la violence sont le principal risque avec l'alcool, tandis que 52 % pensent que ce sont surtout les alcools forts qui sont mauvais pour la santé et 23,4 % que boire est mauvais uniquement quand on est ivre. | D.R.
Les Français connaissent de mieux en mieux les facteurs de risque du cancer, mais continuent à relativiser le rôle cancérigène de l'alcool et du tabac, selon le Baromètre cancer 2010 présenté jeudi à la presse.
Résumant une enquête réalisée par l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) et l'Institut national du cancer (INCa), un communiqué souligne les progrès observés dans la perception de facteurs de risque, mais relève que "dans le même temps, on observe la persistance de comportements de déni ou de relativisation du risque pour soi-même".
Le tabagisme et l'exposition au soleil sans protection se détachent nettement parmi les comportements perçus comme favorisant l'apparition d'un cancer, avec respectivement 98 % et 97 % des personnes interrogées estimant que le tabagisme et l'exposition au soleil sans protection favorisent "certainement" ou "probablement" l'apparition d'un cancer.
DÉNI
Ils sont suivis des facteurs environnementaux (manger des aliments traités avec des produits chimiques, respirer un air pollué ou vivre à côté d'une centrale) des facteurs comportementaux et des facteurs psychologiques. Le cancer est, sans surprise, considéré comme la maladie la plus grave par une majorité de Français (71 %), loin devant le sida (49 %) et les maladies cardio-vasculaires (30 %).
Les risques de cancer liés à la consommation d'alcool sont en revanche minimisés ou relativisés par rapport à la multiplicité des autres risques liés à l'alcool : 89 % des Français estiment ainsi que les accidents de la route et la violence sont le principal risque avec l'alcool, tandis que 52 % pensent que ce sont surtout les alcools forts qui sont mauvais pour la santé et 23,4 % que boire est mauvais uniquement quand on est ivre .
En ce qui concerne le tabac, responsable de 25 % des décès par cancer en France, le baromètre note une hausse de la perception globale du risque mais relève que les "petits" fumeurs (moins de 10 cigarettes par jour) sont encore fréquemment dans le déni. Ils s'estiment moins à risque pour leur propre santé que les fumeurs "intensifs" (35 % des sondés en 2010, contre 39 % en 2005) alors que selon l'OMS, la durée d'exposition au tabac joue un rôle prépondérant par rapport à la quantité fumée quotidiennement.
À résumer en une quinzaine de lignes
Les Français relativisent le rôle cancérigène de l'alcool et du tabac
Le Monde.fr avec AFP | 14.06.2012 à 11h27
aA Facebook Twitter Google + Linkedin
89 % des Français estiment ainsi que les accidents de la route et la violence sont le principal risque avec l'alcool, tandis que 52 % pensent que ce sont surtout les alcools forts qui sont mauvais pour la santé et 23,4 % que boire est mauvais uniquement quand on est ivre. | D.R.
Les Français connaissent de mieux en mieux les facteurs de risque du cancer, mais continuent à relativiser le rôle cancérigène de l'alcool et du tabac, selon le Baromètre cancer 2010 présenté jeudi à la presse.
Résumant une enquête réalisée par l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) et l'Institut national du cancer (INCa), un communiqué souligne les progrès observés dans la perception de facteurs de risque, mais relève que "dans le même temps, on observe la persistance de comportements de déni ou de relativisation du risque pour soi-même".
Le tabagisme et l'exposition au soleil sans protection se détachent nettement parmi les comportements perçus comme favorisant l'apparition d'un cancer, avec respectivement 98 % et 97 % des personnes interrogées estimant que le tabagisme et l'exposition au soleil sans protection favorisent "certainement" ou "probablement" l'apparition d'un cancer.
DÉNI
Ils sont suivis des facteurs environnementaux (manger des aliments traités avec des produits chimiques, respirer un air pollué ou vivre à côté d'une centrale) des facteurs comportementaux et des facteurs psychologiques. Le cancer est, sans surprise, considéré comme la maladie la plus grave par une majorité de Français (71 %), loin devant le sida (49 %) et les maladies cardio-vasculaires (30 %).
Les risques de cancer liés à la consommation d'alcool sont en revanche minimisés ou relativisés par rapport à la multiplicité des autres risques liés à l'alcool : 89 % des Français estiment ainsi que les accidents de la route et la violence sont le principal risque avec l'alcool, tandis que 52 % pensent que ce sont surtout les alcools forts qui sont mauvais pour la santé et 23,4 % que boire est mauvais uniquement quand on est ivre .
En ce qui concerne le tabac, responsable de 25 % des décès par cancer en France, le baromètre note une hausse de la perception globale du risque mais relève que les "petits" fumeurs (moins de 10 cigarettes par jour) sont encore fréquemment dans le déni. Ils s'estiment moins à risque pour leur propre santé que les fumeurs "intensifs" (35 % des sondés en 2010, contre 39 % en 2005) alors que selon l'OMS, la durée d'exposition au tabac joue un rôle prépondérant par rapport à la quantité fumée quotidiennement.
À résumer en une quinzaine de lignes
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35 ans et maman de 2 petits bouts de chou et le 3eme pour novembre 2015
Courage
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Lolo, pour ma défense, ca fait bien 10 lignes à la main... et c'est ce qui compte ;-plolo_82 a écrit :Pourtant je compte que tu as fait 15lignes! donc c'est bon!
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Bonjour
Je trouve ce que vous faites est super et j'aimerais me joindre à vous
. Sur ce je vous propose mon résumé de l'article 20 (article très intéressant d'ailleurs)
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La question de l’erreur médicale se banalise et le monde médical admet désormais ouvertement l’omniprésence du risque. En effet, un forum sur ce phénomène a eu lieu récemment en en a conclu entre autres que tout le monde doit être actif pour déjouer l’erreur médicale.
D’ailleurs, le médecin a tendance à sur simplifier des diagnostics complexes au bénéfice de la compréhension du patient. Ainsi, on peut en conclure que le plus important est d’être franc et clair avec le malade.
Par ailleurs, le patient a un rôle à jouer en reconnaissant l’intrication d’un diagnostique et en posant des questions pertinentes. De plus, il est important de distinguer entre erreur et faute et de reconnaître la possibilité omniprésente d’un « aléa thérapeutique ».
En somme, l’erreur médicale est souvent due à un manque de coordination et non pas d’un manque d’expertise du spécialiste. Néanmoins, il reste impératif d’apprendre des erreurs commises puisque entre 150 et 200 mille aléas pourraient être évités par an.
----------------------------------------------------------------------
13 lignes (1 heure)
Ca m'a pris du temps, peut-etre à cause de quelques jours de non pratique ou peut-etre par la délicatesse du sujet. je me demandais souvent comment traduire les idées du texte en mes propres termes et ainsi respecter les 15 lignes et évitant des répétitions.
Je trouve ce que vous faites est super et j'aimerais me joindre à vous

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La question de l’erreur médicale se banalise et le monde médical admet désormais ouvertement l’omniprésence du risque. En effet, un forum sur ce phénomène a eu lieu récemment en en a conclu entre autres que tout le monde doit être actif pour déjouer l’erreur médicale.
D’ailleurs, le médecin a tendance à sur simplifier des diagnostics complexes au bénéfice de la compréhension du patient. Ainsi, on peut en conclure que le plus important est d’être franc et clair avec le malade.
Par ailleurs, le patient a un rôle à jouer en reconnaissant l’intrication d’un diagnostique et en posant des questions pertinentes. De plus, il est important de distinguer entre erreur et faute et de reconnaître la possibilité omniprésente d’un « aléa thérapeutique ».
En somme, l’erreur médicale est souvent due à un manque de coordination et non pas d’un manque d’expertise du spécialiste. Néanmoins, il reste impératif d’apprendre des erreurs commises puisque entre 150 et 200 mille aléas pourraient être évités par an.
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13 lignes (1 heure)
Ca m'a pris du temps, peut-etre à cause de quelques jours de non pratique ou peut-etre par la délicatesse du sujet. je me demandais souvent comment traduire les idées du texte en mes propres termes et ainsi respecter les 15 lignes et évitant des répétitions.
Concours Nancy Laxou Automne 2012
Concours APHP Automne 2012
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Ayoub Pour l'article 21, vu la longueur du texte je te propose de modifier la synthèse à faire en une dizaine de lignes plutot.
Par règle de pouce, la synthèse doit représenter un quart du texte original.
Par règle de pouce, la synthèse doit représenter un quart du texte original.
Concours Nancy Laxou Automne 2012
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Concours APHP Automne 2012
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Pour ma défense a moisego974 a écrit :Lolo, pour ma défense, ca fait bien 10 lignes à la main... et c'est ce qui compte ;-plolo_82 a écrit :Pourtant je compte que tu as fait 15lignes! donc c'est bon!



En revanche je suis d'accord avec toi c'est le papier qui compte!

Moi en plus je fais un brouillon sans mise en page à l'écrit donc je ne peux pas réellement les compter

Dernière modification par lolo_82 le 01 oct. 2012 10:11, modifié 1 fois.
Infirmière Diplômée d’État
Re: La synthèse d'un article CG par jour
je mettrai mes synthèse ce soir, j'ai pas eu trop le temps ce week end! 

Infirmière Diplômée d’État
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Ça ne doit pas poser problème, l'instruction change de 15 à 10 lignes 

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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Le principal c'est que les consignes soient respectées lors des epreuves, ici si ont veux ce dire que c'est a l'écrit ou sur ordi, c'est pas dramatique, on s'entraine surtout a synthétiser, c'est le principal.
Ségo, néanmoins, j'espère que tu ne l'as pas mal pris car ça n'était pas le but
Sinon, mes synthèses ça sera demain car aujourd'hui j'étais débordé!
Ségo, néanmoins, j'espère que tu ne l'as pas mal pris car ça n'était pas le but
Sinon, mes synthèses ça sera demain car aujourd'hui j'étais débordé!

Infirmière Diplômée d’État
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Voici ma proposition de réponse pour l'article 21
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Selon une enquête récente, les Français sous-estiment encore le lien fort entre alcool, tabac et développement d’une tumeur maligne. Néanmoins la population semble légèrement plus informée qu’auparavant sur les facteurs de risque.
Par ailleurs, la quasi-totalité des Français reconnaissent les dangers du « Tabagisme » et de « l’exposition au soleil ». Ensuite, on évoque facteurs moins mentionnés tels « Environnement » et le comportement individuel. En outre, le cancer arrive en tète parmi les maladies considérées sérieuses, mais le lien avec la consommation d’alcool demeure tout de même relativisé.
En somme, le tabac est responsable d’un quart des décès par cancer. Certes, l’idée reçue que seuls les fumeurs « intensifs » sont exposés à cette maladie persiste.
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10 lignes (30 minutes)
Bon ça se bouscule pas pour faire les synthèses là.
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Selon une enquête récente, les Français sous-estiment encore le lien fort entre alcool, tabac et développement d’une tumeur maligne. Néanmoins la population semble légèrement plus informée qu’auparavant sur les facteurs de risque.
Par ailleurs, la quasi-totalité des Français reconnaissent les dangers du « Tabagisme » et de « l’exposition au soleil ». Ensuite, on évoque facteurs moins mentionnés tels « Environnement » et le comportement individuel. En outre, le cancer arrive en tète parmi les maladies considérées sérieuses, mais le lien avec la consommation d’alcool demeure tout de même relativisé.
En somme, le tabac est responsable d’un quart des décès par cancer. Certes, l’idée reçue que seuls les fumeurs « intensifs » sont exposés à cette maladie persiste.
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10 lignes (30 minutes)
Bon ça se bouscule pas pour faire les synthèses là.
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Synthèse de l'article 20
L'erreur médicale, faute grave voir mortelle, malgrès cela, une action de tout le monde peut permettre une diminition de son nombre.
De plus, la complexité des des diagnostics et des soins, oblige souvent le soignant a simplifier les explications apportées aux patients afin d'être le plus compréhensible possible et se doit néanmoins de l'informer des risques et des objectifs attendus.
Par ailleurs, le patient peu aussi avoir un rôle décisif. Il doit s'interresser de manière active a sa maladie afin de savoir les évolutions attendues des symptômes et de ce renseigner sur le maximum de choses, afin que si il ressent des choses suspectes il puisse en informer son médecin.
Il faut aussi reconnaitre que les "graves erreurs" ne sont généralement pas dûes à une incompétence du soignant mais plus a un manque de moyens.
Il est donc important que les actes médicaux soient suivis au maximum par les familles de plus qu'il est aussi important d'analyser les erreurs faites afin de ne pas les reproduirent.
15lignes en 30min
L'erreur médicale, faute grave voir mortelle, malgrès cela, une action de tout le monde peut permettre une diminition de son nombre.
De plus, la complexité des des diagnostics et des soins, oblige souvent le soignant a simplifier les explications apportées aux patients afin d'être le plus compréhensible possible et se doit néanmoins de l'informer des risques et des objectifs attendus.
Par ailleurs, le patient peu aussi avoir un rôle décisif. Il doit s'interresser de manière active a sa maladie afin de savoir les évolutions attendues des symptômes et de ce renseigner sur le maximum de choses, afin que si il ressent des choses suspectes il puisse en informer son médecin.
Il faut aussi reconnaitre que les "graves erreurs" ne sont généralement pas dûes à une incompétence du soignant mais plus a un manque de moyens.
Il est donc important que les actes médicaux soient suivis au maximum par les familles de plus qu'il est aussi important d'analyser les erreurs faites afin de ne pas les reproduirent.
15lignes en 30min
Infirmière Diplômée d’État