La synthèse d'un article CG par jour

[maistre7]

Voilà pour ton résumé Milan

De nombreux professionnels et d'experts ont été convoqués

Non en fait, l'idée du professeur Sicard était plus que des citoyens de tous les jours viennenet participer et non forcément des professionnels

Suite aux expériences professionnelles d'une femme médecin, d'une unité de soins palliatifs, elle nous fait partager son inquiétude, sa peur profonde de réduire les soins nécessaires pour laisser place à "l'abandon" de soins apportés à un patient en grande détresse.

Cette phrase est un peu longue.

Il n'aurait pas fallu commencer par suite car après on s'attend à un résultat. Peut etre tu aurais du commencer ta phrase par, "Une médecin fait part de son inquiétude..."

Est ce qu'elle avait vraiment peur (le médecin) ou plutot elle était confuse?

De plus une femme exprime son point de vue, en soutenant l'euthanasie qui pour elle est de respecter les voeux du patients.

Le voeux des patients n'est pas sytématiquement appliquer l'euthanasie.

Si l'euthanasie ne ce pratique pas en France, serait-il possible d'améliorer les conditions des soins palliatifs pour encore plus atténuer les douleurs du patients?

Est ce qu'ils évoquent cette idée dans le texte?

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Sinon Chronomètre toi et compte le nombre de lignes à la fin. Je compte 16 lignes, en effet tu aurais pu insérer plus d'idées.

[maistre7]

Bonjour Ayoub et rebienvenue parmi nous. Ton absence était torture!

Pour l'article 23 tu as omis le nombre de lignes. Vu la longueur, je propose de la faire en une quinzaine

Sinon Didier Sicard parle sur France inter à propos de cette journée de "fin de vie"
voici le lienhttp://www.franceinter.fr/emission-le-79-didier-sicard

attention si vous la réécoutez ils ont du faire une erreur et l'emission ne commence à peu près une heure après...

[Milan2010]

J'avais pas mal de chose à dire, j'étais bien inspiré mais il me semble qu'on ne doit pas dire son point de vue?

[lolo_82]

Non il ne faut surtout pas donner ton avis (sauf si c'est demandé dans la question mais ici c'est des synthèses donc pas d'avis)
Je pense que ce qu'il veut dire, c'est comme pour moi, on aurait pu mettre plus d'info du texte vu que nous n'avons pas mis les 20lignes!

[susie05]

Il y a des bons résumés bravo à tous vous faites un super boulot je voulais vous posez une question. Combien de temps consacrer vous chaque semaine pour bosser se concours? perso, j'ai beaucoup de mal à suivre la cadence car entre les sujets de maths ,les tests phyco,la synthèse d'un article CG par jour,réviser la CG...c'est beaucoup! j'ai l'impression qu'il y en a qui bosse 7/7 24h/24h lol expliquez moi comment vous faites!

[la chieuse93]

je m'y suis mise au mois de juillet, et j'essaie de bosser 2h par jour... mais c'est pas tout les jours facile

[lolo_82]

Moi je bosse dés que j'ai du temps, evidement il y a des fois ou il faut souffler quand même pour ne pas saturer mais bon la motivation c'est la clé, moi je trouve très intéressant donc ça ne me pose pas de soucis de me motiver à réviser!
Courage ne perds pas espoir et surtout pense a te changer les idées de temps à autres!

[maistre7]

Voici ma proposition de réponse pour l'article 23

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La sur-radiation de près de 500 patients à Epinal il y a quelques années a pris le monde médical par surprise. Effectivement, ces patients avaient été victimes de deux erreurs majeures commises entre 2001 et 2006. Par conséquence, il y a eu une grande remise en question ainsi que des réformes.

Néanmoins, le président de la société française de radiothérapie oncologique rassure que des normes exigeantes de sécurité étaient déjà en place dans la plupart des centres de cancer. D’ailleurs, des problèmes de sous-effectifs furent constatés en parallèle à une nouvelle directive européenne ayant but de renforcer les inspections de sécurité.

En conséquence, 8 centres ont été fermés, mais par ailleurs les effectifs de radio physiciens augmentent. En effet, depuis 5 ans, une appréciation consultable par tous est publiée sur les 172 centres en France. Désormais, les règles de sureté sont très strictes puisque toute anomalie doit être signalée.

En outre, en 2011, on constate aucun incident à l’échelle de celui d’Epinal. Par contre, «l’identification de patients » était le souci le plus récurrent.

En somme, un suivi durant 5 ans des patients traités, certes déjà la norme est devenu péremptoire.

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17 lignes (1h)

Le temps est passsé comme un éclair, c'est drole puisque l'article en soit n'était pas difficile (contrairement à celui sur la fin de vie). En fait il y a avait beaucoup d'infos et de données et choisir ce que j'allais mettre et ce que j'allais laisser de coté comme information n'était pas toujours évident. En effet, on peut pas tout marquer puisque il faut prendre que les idées clefs.

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Attention préparez-vous j'ai bel article qui arrive sur la précarité qui devrait vous occuper pour le weekend!

[lolo_82]

OK OK on va se préparer moralement alors!

[maistre7]

Susie pour répondre à ta question.

Non biensur, qu'on peut pas TOUT faire. C'est pour cela qu'il faut prioritiser. Voir ses lacunes et surtout varier ses révisions.

Pour moi ce forum il touche à plusieurs points en meme temps. Il permet:

*d'etre face à un nouveau texte tous les jour.
*Je bosse mon analyse et compréhension (puisque pour synthétiser il faut parfaitement comprendre le texte)
*Je fais bosser mon écriture
* J'en profite en meme temps pour culture ma culture générale, puisque on retient beaucoup mieux le contenu et le fond d'un article lorsque on a bossé dessus.

En gros, ce forum permet un vrai travail actif et en plus c'est motivant lorsque on s'y met à plusieurs!

[maistre7]

Article 24

Comment réinventer la solidarité


LE MONDE | 18.06.2012 Nicolas Duvoux, sociologue.


De la dynamique qui l'avait porté au pouvoir en 2007 à l'entre-deux-tours de la présidentielle, le discours politique de Nicolas Sarkozy aura été marqué par la stigmatisation des assistés. Ceux-ci n'ont cessé d'être désignés comme boucs émissaires de toutes les colères et de toutes les frustrations prêtées aux travailleurs modestes qui n'arrivent plus à s'en sortir, mais sans pour autant bénéficier de l'aide de l'Etat.

Nicolas Sarkozy s'est fait le héraut du ressentiment des couches populaires envers des assistés qui se trouvent juste au-dessous d'eux dans l'espace social. Sans retenue ni ménagement, il a entretenu, exploité, élargi une faille qui existe bel et bien, au sein même des catégories les plus modestes, entre ceux qui émargent dans les systèmes publics d'assistance et ceux qui vivent d'emplois précaires.

De ce point de vue, sa présidence a entériné la fin du consensus républicain autour de l'assistance. La réforme portant création du revenu de solidarité active (RSA), votée le 1er décembre 2008, de manière symbolique vingt ans jour pour jour après la création du revenu minimum d'insertion (RMI), avait pour fonction detourner officiellement la page. Malgré celle-ci, la promesse de faire reculer la pauvreté d'un tiers en cinq ans n'a pas été tenue.
Au contraire, avec 8,2 millions de pauvres (13,5 % de la population en 2009), chiffre en augmentation et dont l'évolution future risque d'être encore plus dramatique du fait de l'augmentation continue du chômage et de la précarité, la question sociale s'inscrit au premier plan des enjeux qui attendent le nouveaupouvoir.

En matière sociale, Nicolas Sarkozy laisse un héritage à la fois politique et institutionnel que le président nouvellement élu, François Hollande, devra profondément amender s'il veut mettre en oeuvre la politique de justice sociale, centrée notamment sur la jeunesse, qu'il a mise au coeur de son ambition pour la France. Pour le comprendre, il faut d'abord rappeler dans quelle dynamique sociale et politique les réformes sociales de Nicolas Sarkozy se sont inscrites avant d'en mesurer les effets et d'en déduire les défis du quinquennat qui s'ouvre.

Depuis trois décennies maintenant, la situation du modèle français est marquée par la déconnexion profonde entre deux piliers de la protection sociale. Il y a d'un côté l'assurance, celle des travailleurs, reposant sur les cotisations et les institutions de sécurité sociale, et de l'autre l'assistance, celle des pauvres, financée par l'impôt et placée sous conditions de ressources. L'indemnisation des grands risques sociaux définis après-guerre d'un côté, les prestations compensatoires de "solidarité" qui n'ont cessé de s'étendre depuis la création du revenu minimum d'insertion (RMI) en 1988 de l'autre.

Les résultats du RSA, trois ans après sa création en 2009, ne sont pas à la hauteur des espérances. Ce dispositif a-t-il cependant permis de mettre en fin à la stigmatisation de l'assistanat ? Rien n'est moins sûr, les diatribes du ministre des affaires européennes Laurent Wauquiez sur le "cancer de la société française" en mai 2011 et la fin de la campagne électorale ont marqué la résurgence d'une tension fondamentale et qui ne disparaîtra pas avec l'arrivée de la gauche aupouvoir. Avant d'invoquer, sans doute trop rapidement, "l'insécurité culturelle" ou"identitaire" dont le vote Front national serait le symptôme, la persistance d'un malaise vis-à-vis de l'assistance au sein même des couches sociales qui en sont les plus proches doit nous conduire à identifier les défis du prochain quinquennat en matière sociale.

Tout le défi pour le gouvernement est en effet de réconcilier lutte contre la pauvreté et lutte contre la précarité. Comment apporter du soutien à ceux qui sont privés d'emploi sans susciter le ressentiment des travailleurs précaires ? Comment recréer de la solidarité sans accroître les brèches qui ont été ouvertes et sciemment élargies entre pauvres et moins pauvres ?

Ces défis obligent la gauche à un aggiornamento profond par rapport à des politiques (RMI, couverture-maladie universelle, etc.) qui constituent une grande partie de son héritage en matière sociale lors des périodes où elle a exercé lepouvoir. Sans renier ces aides, il faut les réinscrire dans une ambition plus globale de solidarité, qui ne se limite plus à l'assistance, qui est à la fois insuffisante pour ceux qui la reçoivent et insupportable pour ceux qui en sont privés pour quelques euros de trop. La lutte contre la pauvreté passe d'abord par la fin des discriminations dues à l'âge en vigueur actuellement. En France, aujourd'hui, les 18-25 ans sont les plus touchés par la pauvreté.

Frappés par le chômage dans des proportions près de deux fois supérieures à celles des autres catégories d'âge, dépourvus de toute aide de grande ampleur, les jeunes sont les grandes victimes d'une protection sociale qui distribue d'abord la richesse vers ceux qui ont acquis les positions les plus solides et vers les générations qui ont bénéficié d'une présence stable sur le marché du travail. Pis, avec le quotient familial, ces jeunes sont considérés comme devant être protégés par le biais de leur famille.

Or les inégalités entre celles-ci sont très fortes. La famille comme instrument de solidarité pour les moins de 25 ans constitue une injustice notoire. Il faut, pourpallier l'inéquité dans la redistribution occasionnée par le quotient familial, le réformer et ouvrir le RSA à la majorité civile (18 ans) sans créer de dispositif spécifique qui étiquetterait négativement les jeunes. La pauvreté qui sévit dans cette catégorie de la population l'exige. Le principe de la lutte contre les discriminations l'impose.
Plus largement, la "défamilialisation" de la protection sociale, avec la création d'un service public de la petite enfance, reste un des enjeux cruciaux pour réconcilier activité (des femmes notamment) et solidarité dans des conditions qui n'identifient pas la reprise d'emploi à une punition pour des allocataires soupçonnés de paresse. A côté de cette première démarche d'extension du RSA aux jeunes sans travail et sans protection, une autre réforme doit être menée : il s'agit de substituerla fiscalité à l'assistance pour lutter contre les bas salaires.

Comme Dominique Méda et ses collègues l'ont expliqué (Le Monde du 21 avril), le non-recours aux dispositifs d'assistance parmi les travailleurs modestes (mesuré par le taux de non-recours de plus de 60 % au RSA) incite à la plus grande prudence vis-à-vis d'une extension du RSA. C'est par la fiscalité, en s'adressant au citoyen, qu'il sera possible de pallier la déstabilisation croissante des strates inférieures du marché du travail.

Enfin, les débats sur l'élargissement de l'indemnisation du chômage et la flexisécurité doivent être repris pour réinscrire la protection sociale dans une dynamique d'universalisation et d'adaptation au nouveau cours économique. Les années 1990 et 2000 ont été marquées par des réflexions intenses sur la manière de réarticuler la protection sociale, conçue pour protéger l'emploi industriel d'un salarié masculin, avec les enjeux de la tertiarisation, de la flexibilité croissante des parcours d'emploi et avec l'éclatement des formes familiales du fait de l'augmentation du nombre de séparations. La protection sociale française doit se réorienter pour s'adapter à la nouvelle conjoncture économique. Elle doit setourner vers la personne et moins sur le statut d'emploi.

Elle doit tendre vers une plus grande égalité dans l'attribution des ressources. Cela vaut pour l'éducation, où les inégalités territoriales restent massives, cela vaut pour la formation continue, qui doit être mise au service de la mobilité sociale des moins qualifiés et non de l'excellence d'une mince couche de travailleurs hyperproductifs. Les défis sont immenses et ils traversent toutes les "questions", de genre, de ségrégation territoriale, de discrimination ethnique, de génération, qui ont émergé ces dernières années. La pauvreté est plus forte chez les femmes, plus concentrée dans les quartiers défavorisés, et elle frappe plus les étrangers.

Elle est plus prégnante chez les jeunes et les actifs, mais elle remonte chez les personnes âgées. Elle est toujours plus sévère chez les moins qualifiés. Elle doit donc être au coeur de tous les pans de l'action publique et non réduite à une maigre assistance qui permet à peine d'assurer la survie de ceux qui la reçoivent. La lutte contre ce phénomène doit s'inscrire dans la réflexion sur la réforme de chaque pilier de la protection sociale.

Si une partie de la population doit être aidée, soutenue, l'assistance ne peut et ne doit plus être utilisée pour pallier les failles et les inégalités croissantes de notre système de protection sociale. La solidarité est nécessaire. Elle sera d'autant plus légitime qu'elle ne sera utilisée que dans les situations de grande pauvreté, en laissant aux protections universelles contre les risques sociaux le soin de prévenir l'entrée dans une citoyenneté sociale plus faible et moins légitime, avec tous les effets corrosifs, individuels et collectifs, que cette "chute" entraîne.

A l'aube d'un nouveau quinquennat marqué, espérons-le, par une lutte déterminée contre la précarité et la pauvreté et, à tout le moins, par la fin de la stigmatisation des assistés à qui des devoirs croissants n'ont cessé d'être imposés, il ne semble pas inutile de rappeler que c'est d'abord par des protections générales qu'une société lutte le plus efficacement contre ces fléaux, dont rien n'assure qu'ils soient des reliquats du passé ou des effets temporaires de la crise.

Sociologue, maître de conférences à l'université Paris-Descartes, membre du Cerlis, le Centre de recherche sur les liens sociaux (Paris-Descartes / CNRS). Il est l'auteur du "Nouvel âge de la solidarité. Pauvreté, précarité et politiques publiques" (Seuil, 104 p., 11,80 €) et de "L'Autonomie des assistés" (PUF, 2009). Il est également rédacteur en chef de la Vie des idées.fr et a été membre du Comité national d'évaluation du revenu de solidarité active de 2009 à 2011.

Résumer en une trentaine de lignes

[Milan2010]

Tiens la solidarité sa me parle bien je dis surtout qu'il y a certaines de mes collègues au boulot qui ferais pas mal de lire sa car elles ne doivent pas savoir ce que c'est la solidarité. Je précise que je travail à l'hôpital de Blois, je suis déjà dans le milieu et c'est partout pareil!!! c'est chacun pour soit.... Et c'est fort dommage

[maistre7]

Ma prposition de répons à l'article 24

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Lors des élections de 2007, Nicolas Sarkozy se prône comme le défenseur des Français à revenus faibles en stigmatisant les bénéficiaires de minima sociaux. Suite à l’élection de ce premier, le RSA est créé dans le but, entre autres de diminuer la précarité. Or, les statistiques montrent au contraire une croissance du chômage et de la pauvreté 2 ans après. Effectivement, le nouveau président devra engager des réformes profondes afin d’imposer la « justice sociale » en misant notamment sur les jeunes. Par ailleurs, on témoigne d’un schisme grandissant avec d’un coté une solidarité basée sur les cotisations et de l’autre, basée sur l’impôt.

Ensuite, la « stigmatisation de l’assistanat » semble perdurer puisque politiciens et citoyens remettent en cause le dispositif du RSA. En effet, le prochain défi de la gauche sera de concilier toutes les catégories de pauvres et d’étendre ces aides aux jeunes, puisque ces derniers sont doublement frappés par le chômage et la pauvreté.

En outre, l’outil de fiscalité doit être favorisé contre les salaires précaires. Par ailleurs, il y a un non recours important au « RSA activité » parmi les travailleurs pauvres. Ce dernier, doit donc être un signal contre l’extension de cette aide. De même, il y a une nécessité de dialogue sur le futur de la protection sociale avec la crise économique, les changements du marché du travail et l’augmentation des divorces.

De surcroit, les ressources du pays doivent être réparties plus équitablement. Que ce soit dans l’éducation ou la formations continue. Effectivement, les femmes, les étrangers, les personnes âgées et ceux vivant dans les quartiers défavorisés ne doivent plus être victimes de discrimination. De ce fait, le défi pour François Hollande et son équipe est de taille.

En somme, une vraie solidarité doit naitre, basée sur bien plus qu’une prestation minimale. Alors, avec l’arrivée du nouveau gouvernement, misons sur une vraie guerre contre la pauvreté, ainsi que la fin de la stigmatisation et du harcèlement des plus fragiles et précaires entre nous.

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27 lignes (3 h)

Ca doit etre l'article le moins facile posté jusque lors. Je comprends donc que la participation n'aie pas été au top. J'avoue que j'ai passé beaucoup de temps à lire et relire cet article pour vraiment cerner l'essentiel et les idées clefs du sociolgue. Je ne comprends toujours pas toutes les nuances de l'article puisque l'auteur émet énormemment d'idées et on est supposé comprendre tout dont il parle. Pas facile en effet de résumer tout ça. C'était plus un article intellectuel/philosophique qu'un article de presse.

J'ai essayé de lire d'autre articles du même auteur ainsi que Dominique Méda qu'il mentionne dans l'article.

Une des choses les plus surprenantes pour moi étaient le non recours au RSA (activité) pour les travailleurs pauvres.

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Bon c'est calme ici..... c'est la grève générale. Que réclamez vous?

[sego974]

Hello
je peux pas bosser dessus avant demain matin ;-( mais je le ferais q meme... ce qui est dure est aussi bon à prendre, ca fait d'autant plus avancer !!!

Alors s'il n'y a pas d'autre sujet d'ici la, c'est top ;-p

[lolo_82]

Voici ma proposition de l'article 24, j'ai vraiment eu du mal avec ce texte, je l'ai lu plusieurs fois mais sans trop réussir a lier les idées!
Merci pour ce texte, il faut bien s'entrainer sur des choses plus complexe!

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Lors de son elèction en 2007, Nicolas Sarkozy défendait les Français ayant de petits revenus et ne bénéficiant pourtant d'aucunes aide de l'Etat.

Son élèction a mis fin à l'assistanat, mis en place par les républicains.
Le RSA fût alors créé dans le but de faire reculer la pauvreté.
Cependant, cette initiative ne fonctionnera pas, au contraire, le nombre de pauvres ne cesse d'augmenter. Effectivement, le chômage est en augmentation constante tout comme la précarité.

La question sociale reste alors un priorité pour François Hollande, successeur de Nicolas Sarkozy à la présidence du pays. Il n'est pas simple d'aider les sans emplois sans qu'ils ne soient jalousé par les travailleurs précaires.
Le défi de la Gauche est donc de concilier ces derniers et d'aider aussi les jeunes puisque ce sont eux les principaux touchés par la précarité.

De plus, il y a un important "non-recours" au RSA pour les salariés "pauvres", ceci doit donc être un signal afin de ne pas étendre cette aide.
Les débats sur l'agrandissement du chômage et de la flexisécurité devront être réétudier ainsi que la protection sociale devra s'adapter à la conjoncture actuelle et au cour économique.

Ainsi, les ressources devront être réparties équitablement, afin d'éviter le discrimination, effectivement, ce sont les femmes, les étrangers ainsi que les personnes issues de quartiers défavorisés qui sont les plus pauvres.

Une vraie solidarité doit éclore, elle ne sera utilisée que lors de grande pauvreté, en laissant priorité à la prévention aux protections universelles. Ce quinquenat sera, espérons-le, la fin de la stigmatisation des assistés.


J'ai que 23 lignes en 2h30, j'ai vraiment eu du mal, même en lisant le texte plusieurs fois