La synthèse d'un article CG par jour
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
voila mon resumer d'aujourd'hui:
Le ministere de l'emploi a mis en place deux dispositifs pour lutter contre le chômage des jeunes de moins de 25 ans vivant dans les banlieues. En effet, la crise touchant particulièrement les banlieues où le chômage s'est propagé trois fois plus vite que dans les autre territoires chez ces jeunes. C'est pour cela que 33% des créations de poste d'avenir leurs sont réservé.
Ainsi, le projet de loi sur l'emploi d'avenir a été définitivement adopté comme l'avait annoncé François Hollande lors de ça campagne présidentielle. Le projet consiste à facilité l'insertion professionnel ainsi que l'accès à la qualification de ces jeunes sans diplôme. Ils auront comme contrat des CDI ou CDD d'au minimum un an. De plus, l’État aidera l'employeur en finançant les trois quart du SMIC brut.
De plus, ces emplois apporteront un meilleur quotidien à ces familles en recevant un salaire et une qualification ainsi que sur le quartier qui devrait vite se soir assure M Lamy. Ce dispositif aide d'abord ces jeunes car ils rencontrent plus de difficulté à trouver un emploi durable.
L'autre dispositif propose « l'emploi franc » aux jeunes diplômés qui sera testé dans quatre grandes villes de France en 2013. En effet, ce projet permettra de supprimer les charges patronales si l'entreprise embauche un jeune diplômé vivant dans les banlieues et qui devrait prendre de l'ampleur dans les années suivantes.
En attendant, le gouvernement réfléchi sur le devenir des zones franche urbaines qui consiste à supprimer les charges fiscales et sociales pour les entreprises s'installant dans ces zones. Néanmoins, le ministère des villes veut voir si les emplois francs sont plus efficaces que les mesures sur les zones franches urbaines vivement critiqué par la gauche.
par contre je le trouve vraiment pas terrible, je pense avoir fait des fautes de francais mais je ne vois pas ou... dite moi ce que vous en pensez merci
Le ministere de l'emploi a mis en place deux dispositifs pour lutter contre le chômage des jeunes de moins de 25 ans vivant dans les banlieues. En effet, la crise touchant particulièrement les banlieues où le chômage s'est propagé trois fois plus vite que dans les autre territoires chez ces jeunes. C'est pour cela que 33% des créations de poste d'avenir leurs sont réservé.
Ainsi, le projet de loi sur l'emploi d'avenir a été définitivement adopté comme l'avait annoncé François Hollande lors de ça campagne présidentielle. Le projet consiste à facilité l'insertion professionnel ainsi que l'accès à la qualification de ces jeunes sans diplôme. Ils auront comme contrat des CDI ou CDD d'au minimum un an. De plus, l’État aidera l'employeur en finançant les trois quart du SMIC brut.
De plus, ces emplois apporteront un meilleur quotidien à ces familles en recevant un salaire et une qualification ainsi que sur le quartier qui devrait vite se soir assure M Lamy. Ce dispositif aide d'abord ces jeunes car ils rencontrent plus de difficulté à trouver un emploi durable.
L'autre dispositif propose « l'emploi franc » aux jeunes diplômés qui sera testé dans quatre grandes villes de France en 2013. En effet, ce projet permettra de supprimer les charges patronales si l'entreprise embauche un jeune diplômé vivant dans les banlieues et qui devrait prendre de l'ampleur dans les années suivantes.
En attendant, le gouvernement réfléchi sur le devenir des zones franche urbaines qui consiste à supprimer les charges fiscales et sociales pour les entreprises s'installant dans ces zones. Néanmoins, le ministère des villes veut voir si les emplois francs sont plus efficaces que les mesures sur les zones franches urbaines vivement critiqué par la gauche.
par contre je le trouve vraiment pas terrible, je pense avoir fait des fautes de francais mais je ne vois pas ou... dite moi ce que vous en pensez merci

Re: La synthèse d'un article CG par jour
Article 28 1 h - 15 lignes
Le Gouvernement actuel souhaite intervenir rapidement pour contrer la crise du chômage dans les banlieues et redonner de l’avenir aux jeunes. Pour cela, il souhaite créer des postes chaque année.
Alors qu’il l’avait annoncé lors de sa campagne, les aides pour trouver un emploi et aider à la qualification sont quasiment déjà en place. Ces actions sont ciblées et localisées (ZUS, DOM, certaines zones rurales). 90% de ces emplois, crées et financés par l’Etat pendant 3 ans, œuvrerons dans le secteur public.
Il était temps car la combinaison des problèmes économiques et discriminatoires dans ces zones est à l’origine d’une hausse exponentielle du chômage. Et Mr Lamy, le Ministre de la ville souligne que le but de cette action est de redonner de l’espoir à la fois à ces jeunes mais aussi aux familles.
En déployant des moyens à la fois humains et financiers dans ces quartiers, le gouvernement souhaite que les résultats se voient vite. Et les jeunes non diplômés seront les premiers à en bénéficier.
Par la suite, dès 2013, une action pour les jeunes diplômés sera également mise en place. Ces « métiers francs » seront expérimentés dans certaines villes et des aides à l’embauche seront données dans le secteur privé pour favoriser leur embauche lorsqu’ils sont issus d’un quartier défavorisé.
Quant aux ZFU (zone franches urbaines), le gouvernement se laisse le temps de l’analyse pour voir leur légitimité face à ce nouveau plan de « métiers francs ».
Le Gouvernement actuel souhaite intervenir rapidement pour contrer la crise du chômage dans les banlieues et redonner de l’avenir aux jeunes. Pour cela, il souhaite créer des postes chaque année.
Alors qu’il l’avait annoncé lors de sa campagne, les aides pour trouver un emploi et aider à la qualification sont quasiment déjà en place. Ces actions sont ciblées et localisées (ZUS, DOM, certaines zones rurales). 90% de ces emplois, crées et financés par l’Etat pendant 3 ans, œuvrerons dans le secteur public.
Il était temps car la combinaison des problèmes économiques et discriminatoires dans ces zones est à l’origine d’une hausse exponentielle du chômage. Et Mr Lamy, le Ministre de la ville souligne que le but de cette action est de redonner de l’espoir à la fois à ces jeunes mais aussi aux familles.
En déployant des moyens à la fois humains et financiers dans ces quartiers, le gouvernement souhaite que les résultats se voient vite. Et les jeunes non diplômés seront les premiers à en bénéficier.
Par la suite, dès 2013, une action pour les jeunes diplômés sera également mise en place. Ces « métiers francs » seront expérimentés dans certaines villes et des aides à l’embauche seront données dans le secteur privé pour favoriser leur embauche lorsqu’ils sont issus d’un quartier défavorisé.
Quant aux ZFU (zone franches urbaines), le gouvernement se laisse le temps de l’analyse pour voir leur légitimité face à ce nouveau plan de « métiers francs ».
Re: La synthèse d'un article CG par jour
sego: je le trouve vraiment bien ton resumé
le mien est fait totalement brouillon a coté
j'ai pas mal de progrès a faire encore !!
il n'y a pas d'article aujourdhui?? bon ba je vais essayer d'en mettre un alors si mon ordinateur me le permet !!


il n'y a pas d'article aujourdhui?? bon ba je vais essayer d'en mettre un alors si mon ordinateur me le permet !!
Re: La synthèse d'un article CG par jour
article 29: Obésité : un facteur social de plus en plus marqué
source: le monde, le 16/10/12, par Pascale Santi
La progression de l'obésité se poursuit en France, mais pour la première fois depuis 1997, la hausse se ralentit. C'est ce que montre la dernière étude ObEpi-Roche sur la prévalence de l'obésité et du surpoids, réalisée de janvier à mars auprès de 25 714 personnes âgées de plus de 18 ans, publiée mardi 16 octobre et disponible sur le site Roche.fr.
Selon cette enquête, menée tous les trois ans depuis 1997, ces maux touchent aujourd'hui 15 % de la population, contre 14,5 % en 2009, soit une augmentation de 3,4 % qui rompt avec les hausses à deux chiffres des précédentes enquêtes. "C'est la première fois depuis quinze ans qu'il n'y a pas d'évolution significative de l'obésité. On peut espérer que cela se confirme", se félicite le professeur Arnaud Basdevant, chef du service nutrition à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, qui coordonne l'enquête, financée par Roche, avec le docteur Marie-Aline Charles, épidémiologiste et directrice de recherche à l'Inserm.
La France fait partie des pays européens qui "résistent" le mieux, contrairement à la Grande-Bretagne et à l'Allemagne qui sont sur des tendances évolutives préoccupantes, sur le "modèle" nord-américain (30 % d'obèses). La part de la population adulte en surpoids dans notre pays reste cependant élevée, avec un taux actuel de 32,3 % (31 % en 1997), soit 14,8 millions de personnes. Le nombre d'obèses a presque doublé en quinze ans pour atteindre 6,9 millions de personnes parmi les 3,1 % de cas d'obésité sévère et 1,2 % d'obésité dite morbide, les plus à risques pour la santé. Les femmes sont plus touchées que les hommes – 15,7 % contre 14,3 % alors qu'on ne comptait que 8,3 % d'obèses dans la population féminine il y a quinze ans.
FACTEUR SOCIAL DE PLUS EN PLUS MARQUÉ
En France, trois études montrent une stabilisation chez les enfants. En revanche, le nombre d'obèses dans la tranche d'âge 18-24 ans a progressé de 35 % en trois ans, et touche désormais 5,4 % de cette population. Une enquête sur les habitudes de vie des jeunes réalisée par Ipsos-Logica Business Consulting pour Doing Good Doing Well, publiée jeudi 11 octobre, a donné des pistes pour comprendre cette progression. Ainsi, 61 % des jeunes disent manger au moins une fois sur deux devant un écran, ils sautent souvent des repas, compensent en grignotant. Plus d'un jeune sur trois déclare ne pas faire de sport (38 %), un sur quatre boit "souvent" des sodas lors des repas, contre seulement un sur six qui dit boire "très souvent" de l'eau.
Le facteur social, observé depuis plusieurs années, est de plus en plus marqué, selon l'enquête ObEpi-Roche. "Cet impact de la trajectoire sociale sur le développement de l'obésité est l'un des points qui nous préoccupe le plus", insiste le professeur Basdevant. L'étude montre en effet que les pauvres sont beaucoup plus touchés par l'obésité que la moyenne. Un quart des personnes dont les revenus mensuels sont inférieurs à 900 euros sont obèses, contre 7 % de celles dont les revenus dépassent 5 300 euros. Une même corrélation est observée avec le niveau d'instruction ou la profession.
Autre facteur d'inégalité : le lieu de résidence. Des différences régionales perdurent: le Nord-Pas-de-Calais est la région à plus forte prévalence d'obésité (21,3 %), suivie par la Champagne-Ardenne (20,9 %) et la Picardie (20 %). La région Provence-Alpes-Côte d'Azur et Midi-Pyrénées sont les régions où ces taux sont les plus faibles, respectivement 11,7 % et 11,6 %. Cette étude ne prend pas en compte l'outre-mer, où les chiffres sont bien supérieurs.
Les personnes obèses ont davantage de pathologies que le reste de la population. Une sur trois présente un problème cardio-vasculaire, contre une sur cinq pour la moyenne nationale. De même, on note sept fois plus de diabète traité chez les sujets obèses.
Il n'y a pas de méthode miracle pour guérir de l'obésité, dont les causes sont multifactorielles. Le mode de vie est souvent en cause : alimentation trop abondante et/ou trop grasse, vie trop sédentaire, etc. Dans tous les cas, il est nécessaire de mettre en place une prise en charge personnalisée et psychologique. Certes, la psychanalyse n'est pas une technique pour soigner l'obésité. "Mais on essaye de savoir ce qui dans l'histoire de la personne fait qu'elle a un rapport désordonné à l'alimentation", explique Catherine Grangeard, qui propose une approche axée sur l'analyse. Pour Arnaud Basdevant, "au-delà des plans ponctuels de lutte contre l'obésité, il faut mettre en place des programmes de santé publique plus avancés. Le développement des maladies chroniques doit inciter à imaginer des politiques plus ambitieuses".
résumé en 15 ligne, bon courage je fais le mien tout a l'heure
source: le monde, le 16/10/12, par Pascale Santi
La progression de l'obésité se poursuit en France, mais pour la première fois depuis 1997, la hausse se ralentit. C'est ce que montre la dernière étude ObEpi-Roche sur la prévalence de l'obésité et du surpoids, réalisée de janvier à mars auprès de 25 714 personnes âgées de plus de 18 ans, publiée mardi 16 octobre et disponible sur le site Roche.fr.
Selon cette enquête, menée tous les trois ans depuis 1997, ces maux touchent aujourd'hui 15 % de la population, contre 14,5 % en 2009, soit une augmentation de 3,4 % qui rompt avec les hausses à deux chiffres des précédentes enquêtes. "C'est la première fois depuis quinze ans qu'il n'y a pas d'évolution significative de l'obésité. On peut espérer que cela se confirme", se félicite le professeur Arnaud Basdevant, chef du service nutrition à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, qui coordonne l'enquête, financée par Roche, avec le docteur Marie-Aline Charles, épidémiologiste et directrice de recherche à l'Inserm.
La France fait partie des pays européens qui "résistent" le mieux, contrairement à la Grande-Bretagne et à l'Allemagne qui sont sur des tendances évolutives préoccupantes, sur le "modèle" nord-américain (30 % d'obèses). La part de la population adulte en surpoids dans notre pays reste cependant élevée, avec un taux actuel de 32,3 % (31 % en 1997), soit 14,8 millions de personnes. Le nombre d'obèses a presque doublé en quinze ans pour atteindre 6,9 millions de personnes parmi les 3,1 % de cas d'obésité sévère et 1,2 % d'obésité dite morbide, les plus à risques pour la santé. Les femmes sont plus touchées que les hommes – 15,7 % contre 14,3 % alors qu'on ne comptait que 8,3 % d'obèses dans la population féminine il y a quinze ans.
FACTEUR SOCIAL DE PLUS EN PLUS MARQUÉ
En France, trois études montrent une stabilisation chez les enfants. En revanche, le nombre d'obèses dans la tranche d'âge 18-24 ans a progressé de 35 % en trois ans, et touche désormais 5,4 % de cette population. Une enquête sur les habitudes de vie des jeunes réalisée par Ipsos-Logica Business Consulting pour Doing Good Doing Well, publiée jeudi 11 octobre, a donné des pistes pour comprendre cette progression. Ainsi, 61 % des jeunes disent manger au moins une fois sur deux devant un écran, ils sautent souvent des repas, compensent en grignotant. Plus d'un jeune sur trois déclare ne pas faire de sport (38 %), un sur quatre boit "souvent" des sodas lors des repas, contre seulement un sur six qui dit boire "très souvent" de l'eau.
Le facteur social, observé depuis plusieurs années, est de plus en plus marqué, selon l'enquête ObEpi-Roche. "Cet impact de la trajectoire sociale sur le développement de l'obésité est l'un des points qui nous préoccupe le plus", insiste le professeur Basdevant. L'étude montre en effet que les pauvres sont beaucoup plus touchés par l'obésité que la moyenne. Un quart des personnes dont les revenus mensuels sont inférieurs à 900 euros sont obèses, contre 7 % de celles dont les revenus dépassent 5 300 euros. Une même corrélation est observée avec le niveau d'instruction ou la profession.
Autre facteur d'inégalité : le lieu de résidence. Des différences régionales perdurent: le Nord-Pas-de-Calais est la région à plus forte prévalence d'obésité (21,3 %), suivie par la Champagne-Ardenne (20,9 %) et la Picardie (20 %). La région Provence-Alpes-Côte d'Azur et Midi-Pyrénées sont les régions où ces taux sont les plus faibles, respectivement 11,7 % et 11,6 %. Cette étude ne prend pas en compte l'outre-mer, où les chiffres sont bien supérieurs.
Les personnes obèses ont davantage de pathologies que le reste de la population. Une sur trois présente un problème cardio-vasculaire, contre une sur cinq pour la moyenne nationale. De même, on note sept fois plus de diabète traité chez les sujets obèses.
Il n'y a pas de méthode miracle pour guérir de l'obésité, dont les causes sont multifactorielles. Le mode de vie est souvent en cause : alimentation trop abondante et/ou trop grasse, vie trop sédentaire, etc. Dans tous les cas, il est nécessaire de mettre en place une prise en charge personnalisée et psychologique. Certes, la psychanalyse n'est pas une technique pour soigner l'obésité. "Mais on essaye de savoir ce qui dans l'histoire de la personne fait qu'elle a un rapport désordonné à l'alimentation", explique Catherine Grangeard, qui propose une approche axée sur l'analyse. Pour Arnaud Basdevant, "au-delà des plans ponctuels de lutte contre l'obésité, il faut mettre en place des programmes de santé publique plus avancés. Le développement des maladies chroniques doit inciter à imaginer des politiques plus ambitieuses".
résumé en 15 ligne, bon courage je fais le mien tout a l'heure

Re: La synthèse d'un article CG par jour
voila mon résumer de l'article 29:
Selon les résultats récent de l'enquête mené par odepi-roche le nombre de personne obèse ralentit pour la première fois en France. De plus, la France lutte plutôt bien contre l'obésité contrairement à Allemagne ou encore La grande Bretagne qui comptabilisent 30% de personne obèse. Cependant, le nombre d'obèse Français reste relativement élevé. En effet, le taux d'obésité à presque doublé en quinze ans.
Néanmoins, on remarque une stabilité chez les enfants contrairement à la tranche d'age des 18-24 ans qui a augmenté de 35% dut à leur mauvaise habitude alimentaire et à l'absence d'une activité sportive. Cependant, ce n'est pas le seul constat de l’enquête, on remarque plusieurs facteurs social favorisant l’obésité. En effet, l’enquête montre que les personnes pauvres sont beaucoup plus touchées par l'obésité que les personnes aisés ainsi qu'une inégalité territorial. Le taux de personne obèse est supérieur dans le nord du pays. Ensuite, on constate que le mode de vie est souvent la cause principal de l'obésité. De plus, les personnes obèses ont beaucoup plus de problème de santé comme le diabète par exemple qui est sept fois plus présent chez ces personnes .
Pour Arnaud Basdevant, la prévention contre l'obésité devrait être plus approfondie et devrait se concentrer sur les maladies chroniques causé par l’obésité.
Selon les résultats récent de l'enquête mené par odepi-roche le nombre de personne obèse ralentit pour la première fois en France. De plus, la France lutte plutôt bien contre l'obésité contrairement à Allemagne ou encore La grande Bretagne qui comptabilisent 30% de personne obèse. Cependant, le nombre d'obèse Français reste relativement élevé. En effet, le taux d'obésité à presque doublé en quinze ans.
Néanmoins, on remarque une stabilité chez les enfants contrairement à la tranche d'age des 18-24 ans qui a augmenté de 35% dut à leur mauvaise habitude alimentaire et à l'absence d'une activité sportive. Cependant, ce n'est pas le seul constat de l’enquête, on remarque plusieurs facteurs social favorisant l’obésité. En effet, l’enquête montre que les personnes pauvres sont beaucoup plus touchées par l'obésité que les personnes aisés ainsi qu'une inégalité territorial. Le taux de personne obèse est supérieur dans le nord du pays. Ensuite, on constate que le mode de vie est souvent la cause principal de l'obésité. De plus, les personnes obèses ont beaucoup plus de problème de santé comme le diabète par exemple qui est sept fois plus présent chez ces personnes .
Pour Arnaud Basdevant, la prévention contre l'obésité devrait être plus approfondie et devrait se concentrer sur les maladies chroniques causé par l’obésité.
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Bonsoir tout le monde,
voila mon résumé du dernier article
Le débit de la progression de l’obésité en France recule pour la premiere fois depuis 1997, selon l’étude réalisée par OBEPI-Roche.
En effet, la France est moins touchée que la Grande Bretagne ou l’Allemagne et encore moins que les Etas Unis où le tau est arrivé jusqu’à 30%. Cette maladie atteint beaucoup plus les femmes que les hommes.
Certes le tau a stabilisé chez les enfants mais ce n’est pas le cas des 18-24 ans et c’est dû à leur mode de vie et aux mauvaises habitudes.
Ce phénomène touche 25% des classes sociales défavorisées contre 7% des classes aisées. La relation reste étroite entre le niveau d’étude ou la profession exercée et cette maladie. Cette dernière touche plus les régions du nord que le sud de la France.
Des maladies telles que le diabète ou les maladies cardio-vasculaires menacent plus une personne obèse qu’une personne d’un poids normal.
Des solutions ont été proposées pour régler ce problème telles une prise en charge personnalisée et psychologique, changement des habitudes et du monde de vie .
voila mon résumé du dernier article
Le débit de la progression de l’obésité en France recule pour la premiere fois depuis 1997, selon l’étude réalisée par OBEPI-Roche.
En effet, la France est moins touchée que la Grande Bretagne ou l’Allemagne et encore moins que les Etas Unis où le tau est arrivé jusqu’à 30%. Cette maladie atteint beaucoup plus les femmes que les hommes.
Certes le tau a stabilisé chez les enfants mais ce n’est pas le cas des 18-24 ans et c’est dû à leur mode de vie et aux mauvaises habitudes.
Ce phénomène touche 25% des classes sociales défavorisées contre 7% des classes aisées. La relation reste étroite entre le niveau d’étude ou la profession exercée et cette maladie. Cette dernière touche plus les régions du nord que le sud de la France.
Des maladies telles que le diabète ou les maladies cardio-vasculaires menacent plus une personne obèse qu’une personne d’un poids normal.
Des solutions ont été proposées pour régler ce problème telles une prise en charge personnalisée et psychologique, changement des habitudes et du monde de vie .
Persévérance
Courage
Révision
Réussite
35 ans et maman de 2 petits bouts de chou et le 3eme pour novembre 2015
Courage
Révision
Réussite
35 ans et maman de 2 petits bouts de chou et le 3eme pour novembre 2015

Re: La synthèse d'un article CG par jour
article 29
13lignes, 45 min
D’après la dernière étude effectuée sur l’obésité, la hausse semble maitrisée et la France fait parti des pays européens qui s’en sort le mieux.
Cependant, depuis la première étude faite sur l’obésité en 1997, la proportion d’obèses à quasi doublé. On y retrouve des obésités sévères (3.2%) des obésités morbides (1.2%). Parmi ces adultes, la proportion de femmes est plus importante. N’oublions pas non plus que la France possède un grand nombre d’adultes en surpoids.
Trois autres études ont montré qu’en France, l’obésité semble stagner chez les enfants alors qu’elle a progressé de 35% chez les 18-24ans. Ceci principalement du fait d’une anarchie dans la prise alimentaire (devant la télévision, saut de repas, sédentarité et apport « hydrique » avec des sodas.
En parallèle, on a pu voir l’impact de différents facteurs sur l’obésité : social et géographique. L’impact social étant plus préoccupant car on voit que les pauvres sont plus concernés par l’obésité.
Finalement, les obèses développent plus de pathologies cardiovasculaires ou encore du diabète. Pour autant, l’Etat ne semble pas encore assez sensibilisée à ce fleau dont on guéri difficilement au vu de ses différentes origines.
13lignes, 45 min
D’après la dernière étude effectuée sur l’obésité, la hausse semble maitrisée et la France fait parti des pays européens qui s’en sort le mieux.
Cependant, depuis la première étude faite sur l’obésité en 1997, la proportion d’obèses à quasi doublé. On y retrouve des obésités sévères (3.2%) des obésités morbides (1.2%). Parmi ces adultes, la proportion de femmes est plus importante. N’oublions pas non plus que la France possède un grand nombre d’adultes en surpoids.
Trois autres études ont montré qu’en France, l’obésité semble stagner chez les enfants alors qu’elle a progressé de 35% chez les 18-24ans. Ceci principalement du fait d’une anarchie dans la prise alimentaire (devant la télévision, saut de repas, sédentarité et apport « hydrique » avec des sodas.
En parallèle, on a pu voir l’impact de différents facteurs sur l’obésité : social et géographique. L’impact social étant plus préoccupant car on voit que les pauvres sont plus concernés par l’obésité.
Finalement, les obèses développent plus de pathologies cardiovasculaires ou encore du diabète. Pour autant, l’Etat ne semble pas encore assez sensibilisée à ce fleau dont on guéri difficilement au vu de ses différentes origines.
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Article 30
Dépassements d'honoraires : les négociations au point mort
LE MONDE | 18.10.2012 Jean-Baptiste Chastand
Malgré l'ultimatum fixé par le gouvernement, les syndicats de médecins et l'assurance-maladie ne sont pas parvenus à un accord sur les dépassements d'honoraires, jeudi 18 octobre. Après quinze heures de discussions, plusieurs syndicats ont quitté la séance sans accepter de signer le projet d'accord. Syndicats et assurance-maladie doivent désormais se retrouver lundi 22 octobre à 18 heures pour une ultime séance de négociations. Même le simple et timide relevé de conclusion n'a pas été signé par la majorité des syndicats.
"Force est de constater que les négociations continuent. Il reste plusieurs points à éclaircir, notamment la part de dépassements que les mutuelles pourraientprendre en charge", a estimé Michel Chassang, le président du premier syndicat de médecins, la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF).
Frédéric van Roekeghem, le directeur de l'assurance-maladie a de son côté défendu "que le texte était largement stabilisé mais pouvait évoluer à la marge en fonction de l'avis des instances des différents syndicats". Les négociations, éprouvantes, ont achoppé sur plusieurs points, notamment le niveau de dépassements au-delà duquel une procédure de sanction pourrait être prononcée et sur la participation des mutuelles.
"Le contrat n'a pas été respecté", a estimé Christian Jeambrun, du Syndicat des médecins libéraux (SML), un syndicat crucial pour obtenir la majorité, mais qui affirme ne pas être prêt à signer le texte en l'état. "La mission était de négocier sur les dépassements d'honoraires, pas sur la revalorisation du secteur 1 (médecins interdits de dépasser)", a défendu M. Jeambrun. Frédéric van Roekeghem avait en effet pour stratégie d'augmenter les tarifs du secteur 1, pour délégitimer les dépassements d'honoraires de secteur 2.
250 MILLIONS DE LA CNAM POUR AUGMENTER LES HONORAIRES
Le projet d'accord prévoit ainsi l'instauration d'une prime forfaitaire de 5 euros versée à tous les médecins par l'assurance-maladie pour chaque acte sur une personne de plus de 80 ans. Cette mesure devrait coûter 160 millions d'euros à la Caisse nationale de l'assurance maladie (CNAM), qui en tout est prête à mettre250 millions d'euros pour augmenter les honoraires. A cette somme, les mutuelles devaient ajouter 150 millions d'euros pour financer la hausse d'autres tarifs. Mais les syndicats de médecins opposés au texte ont jugé que les engagements des complémentaires n'étaient pas assez fermes.
Autre sujet sensible : le niveau des dépassements excessifs. M. van Roekeghem avait annoncé avant même le début de la négociation qu'un seuil de 2,5 fois le tarif de la Sécurité sociale, soit environ 70 euros pour la consultation d'un spécialiste, serait désormais "vraisemblablement susceptible d'être considéré comme excessif". Ce taux devrait être plus élevé à Paris. Jusqu'ici, les médecins doiventpratiquer les dépassements "avec tact et mesure", une notion floue qui a conduit à la quasi-absence de sanctions. Mais l'idée d'instaurer un seuil clairement défini a suscité l'opposition de plusieurs syndicats représentants des médecins spécialistes. Le seuil ne figure d'ailleurs pas dans le projet de texte.
CLARIFICATION DE LA PROCÉDURE DE SANCTION
En parallèle, le projet d'accord prévoit une clarification de la procédure de sanction contre les dépassements abusifs, pour ne plus laisser au seul conseil de l'ordre des médecins le contrôle de ce processus. Les médecins soupçonnés d'abus seraient ainsi "mis sous surveillance" et renvoyés devant une commission, constituée à parité de syndicats de médecins et de représentants de l'assurance-maladie. Cette commission pourra décider de suspendre le droit du médecin àpratiquer des dépassements, voire, dans les cas extrêmes, les déconventionner.
Plusieurs dispositions ont été introduites dans le projet pour limiter fortement les sanctions potentielles. Ainsi, des critères comme "la fréquence des actes avec dépassement", "le lieu d'exercice" ou le "niveau d'expertise et de compétence du médecin" devront être pris en compte avant de prononcer toute sanction. Surtout, les décisions des commissions régionales sont susceptibles d'appel au niveau national, puis de contestation en justice : un médecin dépasseur procédurier pourrait ainsi repousser longtemps les sanctions.
"Il s'agit plutôt d'un simulacre d'encadrement qu'autre chose. Tout cela a pour objectif de permettre au président de la république de faire mine qu'il fait quelque chose contre les dépassements", a estimé Jean-Paul Hamon, de la Fédération des médecins de France (FMF), qui n'a pas exclu de signer l'accord. "Il s'agit d'un dispositif super light, je suis étonné que certains syndicats ne veuillent pas l'accepter", a abondé Claude Leicher, du syndicat de généraliste MG France.
Pour les dépassements moins importants en prix, mais beaucoup plus répandus, la mise en place d'un "contrat d'accès aux soins" réservé aux médecins de secteur 2, qui sont 30 000 en France, est prévue dans le projet d'accord. Ce contat serait ouvert à tous les médecins ne dépassant pas en moyenne annuelle deux fois le tarif de la Sécu. En échange d'une prise en charge de certaines cotisations et d'une hausse de la partie remboursée de leur consultation, le médecin s'engagerait à stabiliser ses honoraires pendant trois ans et à recevoir au moins 30 % de ses patients au tarif de la Sécu, notamment les bénéficiaires de la Couverture maladie universelle (CMU) et ceux de l'Aide complémentaire santé (ACS), soit des revenus inférieurs à 10 711 euros pour une personne seule sans enfants. Ce "contrat d'accès aux soins" est le point le plus consensuel du projet, qui devrait faire l'objet d'âpres discussions dans les prochains jours.
Résumer en 20 lignes
Dépassements d'honoraires : les négociations au point mort
LE MONDE | 18.10.2012 Jean-Baptiste Chastand
Malgré l'ultimatum fixé par le gouvernement, les syndicats de médecins et l'assurance-maladie ne sont pas parvenus à un accord sur les dépassements d'honoraires, jeudi 18 octobre. Après quinze heures de discussions, plusieurs syndicats ont quitté la séance sans accepter de signer le projet d'accord. Syndicats et assurance-maladie doivent désormais se retrouver lundi 22 octobre à 18 heures pour une ultime séance de négociations. Même le simple et timide relevé de conclusion n'a pas été signé par la majorité des syndicats.
"Force est de constater que les négociations continuent. Il reste plusieurs points à éclaircir, notamment la part de dépassements que les mutuelles pourraientprendre en charge", a estimé Michel Chassang, le président du premier syndicat de médecins, la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF).
Frédéric van Roekeghem, le directeur de l'assurance-maladie a de son côté défendu "que le texte était largement stabilisé mais pouvait évoluer à la marge en fonction de l'avis des instances des différents syndicats". Les négociations, éprouvantes, ont achoppé sur plusieurs points, notamment le niveau de dépassements au-delà duquel une procédure de sanction pourrait être prononcée et sur la participation des mutuelles.
"Le contrat n'a pas été respecté", a estimé Christian Jeambrun, du Syndicat des médecins libéraux (SML), un syndicat crucial pour obtenir la majorité, mais qui affirme ne pas être prêt à signer le texte en l'état. "La mission était de négocier sur les dépassements d'honoraires, pas sur la revalorisation du secteur 1 (médecins interdits de dépasser)", a défendu M. Jeambrun. Frédéric van Roekeghem avait en effet pour stratégie d'augmenter les tarifs du secteur 1, pour délégitimer les dépassements d'honoraires de secteur 2.
250 MILLIONS DE LA CNAM POUR AUGMENTER LES HONORAIRES
Le projet d'accord prévoit ainsi l'instauration d'une prime forfaitaire de 5 euros versée à tous les médecins par l'assurance-maladie pour chaque acte sur une personne de plus de 80 ans. Cette mesure devrait coûter 160 millions d'euros à la Caisse nationale de l'assurance maladie (CNAM), qui en tout est prête à mettre250 millions d'euros pour augmenter les honoraires. A cette somme, les mutuelles devaient ajouter 150 millions d'euros pour financer la hausse d'autres tarifs. Mais les syndicats de médecins opposés au texte ont jugé que les engagements des complémentaires n'étaient pas assez fermes.
Autre sujet sensible : le niveau des dépassements excessifs. M. van Roekeghem avait annoncé avant même le début de la négociation qu'un seuil de 2,5 fois le tarif de la Sécurité sociale, soit environ 70 euros pour la consultation d'un spécialiste, serait désormais "vraisemblablement susceptible d'être considéré comme excessif". Ce taux devrait être plus élevé à Paris. Jusqu'ici, les médecins doiventpratiquer les dépassements "avec tact et mesure", une notion floue qui a conduit à la quasi-absence de sanctions. Mais l'idée d'instaurer un seuil clairement défini a suscité l'opposition de plusieurs syndicats représentants des médecins spécialistes. Le seuil ne figure d'ailleurs pas dans le projet de texte.
CLARIFICATION DE LA PROCÉDURE DE SANCTION
En parallèle, le projet d'accord prévoit une clarification de la procédure de sanction contre les dépassements abusifs, pour ne plus laisser au seul conseil de l'ordre des médecins le contrôle de ce processus. Les médecins soupçonnés d'abus seraient ainsi "mis sous surveillance" et renvoyés devant une commission, constituée à parité de syndicats de médecins et de représentants de l'assurance-maladie. Cette commission pourra décider de suspendre le droit du médecin àpratiquer des dépassements, voire, dans les cas extrêmes, les déconventionner.
Plusieurs dispositions ont été introduites dans le projet pour limiter fortement les sanctions potentielles. Ainsi, des critères comme "la fréquence des actes avec dépassement", "le lieu d'exercice" ou le "niveau d'expertise et de compétence du médecin" devront être pris en compte avant de prononcer toute sanction. Surtout, les décisions des commissions régionales sont susceptibles d'appel au niveau national, puis de contestation en justice : un médecin dépasseur procédurier pourrait ainsi repousser longtemps les sanctions.
"Il s'agit plutôt d'un simulacre d'encadrement qu'autre chose. Tout cela a pour objectif de permettre au président de la république de faire mine qu'il fait quelque chose contre les dépassements", a estimé Jean-Paul Hamon, de la Fédération des médecins de France (FMF), qui n'a pas exclu de signer l'accord. "Il s'agit d'un dispositif super light, je suis étonné que certains syndicats ne veuillent pas l'accepter", a abondé Claude Leicher, du syndicat de généraliste MG France.
Pour les dépassements moins importants en prix, mais beaucoup plus répandus, la mise en place d'un "contrat d'accès aux soins" réservé aux médecins de secteur 2, qui sont 30 000 en France, est prévue dans le projet d'accord. Ce contat serait ouvert à tous les médecins ne dépassant pas en moyenne annuelle deux fois le tarif de la Sécu. En échange d'une prise en charge de certaines cotisations et d'une hausse de la partie remboursée de leur consultation, le médecin s'engagerait à stabiliser ses honoraires pendant trois ans et à recevoir au moins 30 % de ses patients au tarif de la Sécu, notamment les bénéficiaires de la Couverture maladie universelle (CMU) et ceux de l'Aide complémentaire santé (ACS), soit des revenus inférieurs à 10 711 euros pour une personne seule sans enfants. Ce "contrat d'accès aux soins" est le point le plus consensuel du projet, qui devrait faire l'objet d'âpres discussions dans les prochains jours.
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Concours Nancy Laxou Automne 2012
Concours APHP Automne 2012
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
je le fais dans la journée
mais pourquoi avoir choisi cette article alala car j'ai beaucoup de mal avec l'administration francaise et donc l'administration de la santé aussi je sens que je vais perdre quelques cheveux a faire se resumer lol 


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- Forcené
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Bonjour,
je suis nouvelle sur le site, je touve votre topic super, je passe le concours à Lorient et à Pontivy. puis je me joindre à vous pour c'est révision ?
je suis nouvelle sur le site, je touve votre topic super, je passe le concours à Lorient et à Pontivy. puis je me joindre à vous pour c'est révision ?
ESI 2014-2017
Tres contente est fiere d'être prise...
Report de l'annee 2013..
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- Forcené
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Bonsoir,
désolé je n'ai pas attendu votre réponse pour travailler sur les textes et j'aimerais avoir un avis sur mon travail : il y a t il des erreurs ? est ce que je suis hors sujet ? cela ne fait pas 20 lignes ! En vous remerciant par avance
Les groupes syndicalistes et l'assurance maladies sont en négociation pour le gouvernement.Le dépassement d'honoraire de certain médecins sont élevés et ne rentre pas dans le cadre des accords signés. Une consultation d'un spécialiste pouvant aller jusqu'à 70 euros.
Pour y remédier des solutions sont proposés : La Subvention des consultations des personnes du quatrièmes âges à hauteur de 5 €,Le controle plus assidue des mèdecins pour éviter tout dépassement d'honoraires abusif où des sanctions seront prises pouvant aller jusqu'à suspendre le praticien.
En contre parti, les dépassements raisonnables seront quant à eux récompensés par une prise en charge de cotisation et une augmentation du remboursement de prise en charge par la CNMA. Des condition seront à respecter tel que recevoir des personnes à revenus bas, les bénéficiaires de la CMU.
désolé je n'ai pas attendu votre réponse pour travailler sur les textes et j'aimerais avoir un avis sur mon travail : il y a t il des erreurs ? est ce que je suis hors sujet ? cela ne fait pas 20 lignes ! En vous remerciant par avance
Les groupes syndicalistes et l'assurance maladies sont en négociation pour le gouvernement.Le dépassement d'honoraire de certain médecins sont élevés et ne rentre pas dans le cadre des accords signés. Une consultation d'un spécialiste pouvant aller jusqu'à 70 euros.
Pour y remédier des solutions sont proposés : La Subvention des consultations des personnes du quatrièmes âges à hauteur de 5 €,Le controle plus assidue des mèdecins pour éviter tout dépassement d'honoraires abusif où des sanctions seront prises pouvant aller jusqu'à suspendre le praticien.
En contre parti, les dépassements raisonnables seront quant à eux récompensés par une prise en charge de cotisation et une augmentation du remboursement de prise en charge par la CNMA. Des condition seront à respecter tel que recevoir des personnes à revenus bas, les bénéficiaires de la CMU.
ESI 2014-2017
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Disdonc Amandie, as-tu reçu une autorisation officielle pour participer au forum! lol
Je regarderais après t'inquiète
Oui Elody, c'était un article assez administratif, mais il est important de comprendre comment fonctionne un minimum le système de soins et le role de chacun dedans (assurance maladie, la CAF, les synidcats, les collectivités etc...)
Voici ma proposition de l'article 30
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Après une longue journée de discussions, syndicats et assurance-maladie ne sont parvenus à un accord. En effet, il demeure des confusions sur le rôle exact des mutuelles et le seuil des dépassements en lien avec une sanction.
Par ailleurs, un des syndicats a vivement critiqué l’idée du directeur de l’assurance-maladie de vouloir réduire l’écart des tarifs entre secteurs 1 et 2. L’assurance maladie proposait également pour un montant total d’un quart de milliard d’euros d’augmenter les honoraires ; particulièrement pour les patients du 4ème âge. De même, les mutuelles seraient censées contribuer 150 millions.
La CNAM propose aussi de limiter les consultations des spécialistes à 70 euros (excepté la capitale), malgré l’absence d’un seuil. Les négociations ont aussi porté sur la procédure de sanctions envers les médecins. Effectivement, une commission paritaire serait chargée de sanctionner.
Néanmoins, plusieurs recours seraient disponibles, mettant en cause l’efficacité de ces commissions. Un des syndicats des médecins cite le dispositif comme une manœuvre politique et concrètement non contraignant pour les praticiens.
Finalement, des « contrats d’accès aux soins » pour les médecins de secteur 2 permettraient à ces derniers de bénéficier de certains avantages fiscaux en contrepartie de ne pas dépasser deux fois le montant le tarif du secteur 1 sur l’année et d’accepter près d’un tiers de patients bénéficiant du CMU et de l’ACS.
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19 lignes (1 h 30) Je n'arrivais pas à me concentrer aujoud'hui!!
Je regarderais après t'inquiète
Oui Elody, c'était un article assez administratif, mais il est important de comprendre comment fonctionne un minimum le système de soins et le role de chacun dedans (assurance maladie, la CAF, les synidcats, les collectivités etc...)
Voici ma proposition de l'article 30
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Après une longue journée de discussions, syndicats et assurance-maladie ne sont parvenus à un accord. En effet, il demeure des confusions sur le rôle exact des mutuelles et le seuil des dépassements en lien avec une sanction.
Par ailleurs, un des syndicats a vivement critiqué l’idée du directeur de l’assurance-maladie de vouloir réduire l’écart des tarifs entre secteurs 1 et 2. L’assurance maladie proposait également pour un montant total d’un quart de milliard d’euros d’augmenter les honoraires ; particulièrement pour les patients du 4ème âge. De même, les mutuelles seraient censées contribuer 150 millions.
La CNAM propose aussi de limiter les consultations des spécialistes à 70 euros (excepté la capitale), malgré l’absence d’un seuil. Les négociations ont aussi porté sur la procédure de sanctions envers les médecins. Effectivement, une commission paritaire serait chargée de sanctionner.
Néanmoins, plusieurs recours seraient disponibles, mettant en cause l’efficacité de ces commissions. Un des syndicats des médecins cite le dispositif comme une manœuvre politique et concrètement non contraignant pour les praticiens.
Finalement, des « contrats d’accès aux soins » pour les médecins de secteur 2 permettraient à ces derniers de bénéficier de certains avantages fiscaux en contrepartie de ne pas dépasser deux fois le montant le tarif du secteur 1 sur l’année et d’accepter près d’un tiers de patients bénéficiant du CMU et de l’ACS.
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19 lignes (1 h 30) Je n'arrivais pas à me concentrer aujoud'hui!!
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
article 29: Obésité : un facteur social de plus en plus marqué
bonjour, j’aimerais que vous me dite se que vous pensez de mon travail en me disant se qui est bien et les choses a améliorer merci pour ce qui vont me repondre.
La progression de l’obésité reste un problème de santé publique car elle touche une population importante en France. Malgré un ralentissement depuis 1997, ainsi grâce à INVS qui met en place des campagnes de préventions primaire . Mais en France, nous avons un taux plus bas par rapport à la Grande Bretagne ou encore les états unis.
De plus cela touche le social, le jeune entre 18 et 24 ans sont les plus touchés. Cela peut s’expliquer par une alimentation déséquilibrer « grignotage », ne pas faire de sport, et les produit sucré et salé … La classe social a un impact sur l’alimentation ainsi, la classe « pauvre » sera plus toucher que la classe « moyenne ». Mais aussi la géo localisation peut être un facteur qui touche les personnes suivant ou ils se situent au nord que le sud.
Enfin, l’obésité provoque des pathologies grave comme le diabète et encore les maladies cardio-vasculaire.
Cela indique que l’obésité est une priorité de santé publique. Car elle touche plusieurs domaines tels que les facteurs sociaux, des inégalités et une morbidité et mortalité importante. C’est pour cela que l’état est garant de la santé de la population. L’obésité une maladie chronique comme les maladies cardiovasculaire ou encore les cancers
bonjour, j’aimerais que vous me dite se que vous pensez de mon travail en me disant se qui est bien et les choses a améliorer merci pour ce qui vont me repondre.
La progression de l’obésité reste un problème de santé publique car elle touche une population importante en France. Malgré un ralentissement depuis 1997, ainsi grâce à INVS qui met en place des campagnes de préventions primaire . Mais en France, nous avons un taux plus bas par rapport à la Grande Bretagne ou encore les états unis.
De plus cela touche le social, le jeune entre 18 et 24 ans sont les plus touchés. Cela peut s’expliquer par une alimentation déséquilibrer « grignotage », ne pas faire de sport, et les produit sucré et salé … La classe social a un impact sur l’alimentation ainsi, la classe « pauvre » sera plus toucher que la classe « moyenne ». Mais aussi la géo localisation peut être un facteur qui touche les personnes suivant ou ils se situent au nord que le sud.
Enfin, l’obésité provoque des pathologies grave comme le diabète et encore les maladies cardio-vasculaire.
Cela indique que l’obésité est une priorité de santé publique. Car elle touche plusieurs domaines tels que les facteurs sociaux, des inégalités et une morbidité et mortalité importante. C’est pour cela que l’état est garant de la santé de la population. L’obésité une maladie chronique comme les maladies cardiovasculaire ou encore les cancers
se prepare pour passer le concour d'infirmiere en 2013
Re: La synthèse d'un article CG par jour
ah oui je le sais bien je vais le faire maintenant car hier je n'es pas eu le temps mais oui surtout pour un profesionel de santé c'est vraiment important de connaitre l'administration de la santé
meme si j'aime pas ca !! 


Re: La synthèse d'un article CG par jour
voici mon résumer pour l'article 30:
Une ultime négociation à eu lieu ce jeudi 18 octobre pour que les syndicats trouvent un accord sur les dépassement d'honoraires. Finalement, ils n'y ont pas réussi. En l'effet, l'un des syndicat a revendiqué les dépassements que pouvait prendre les mutuelles alors que le directeur de l'assurance maladie voulait réduire l’écart des tarifs entre les deux secteurs.
Ainsi, le projet prévoit une prime forfaitaire qui coûterait 160 millions à la CNAM. Celle-ci était prête à payer un quart de milliard d'euros sans compté la contribution des mutuelles qui ajouteraient 150 millions. L'autre point de ce projet à éclaircir par les syndicats sont les niveaux de dépassement d'honoraire. En effet, une consultation d'un spécialiste coûterait 70 euros. Ce qui est excessive déclare l'un des syndicats.
Une sanction devrait être mis en place pour les médecins qui abuseraient des dépassements. En, effet, ils seront mis sous surveillance devant une commission avant d'avoir le verdict de celle-ci. L'un des syndicats à déclarer que ce n'était qu'un prétexte pour montrer que le président de la république ferait quelque chose contre les dépassements.
De plus, un « contrat d'accès aux soins » devrait être mis en place. Ce contrat consiste à attribuer des avantages fiscaux pour les médecins dépassement pas deux fois le prix de la sécurité social et de recevoir au moins 30% de personne bénéficiant de la CMU et de l'ACS.
45 min-16 lignes
Une ultime négociation à eu lieu ce jeudi 18 octobre pour que les syndicats trouvent un accord sur les dépassement d'honoraires. Finalement, ils n'y ont pas réussi. En l'effet, l'un des syndicat a revendiqué les dépassements que pouvait prendre les mutuelles alors que le directeur de l'assurance maladie voulait réduire l’écart des tarifs entre les deux secteurs.
Ainsi, le projet prévoit une prime forfaitaire qui coûterait 160 millions à la CNAM. Celle-ci était prête à payer un quart de milliard d'euros sans compté la contribution des mutuelles qui ajouteraient 150 millions. L'autre point de ce projet à éclaircir par les syndicats sont les niveaux de dépassement d'honoraire. En effet, une consultation d'un spécialiste coûterait 70 euros. Ce qui est excessive déclare l'un des syndicats.
Une sanction devrait être mis en place pour les médecins qui abuseraient des dépassements. En, effet, ils seront mis sous surveillance devant une commission avant d'avoir le verdict de celle-ci. L'un des syndicats à déclarer que ce n'était qu'un prétexte pour montrer que le président de la république ferait quelque chose contre les dépassements.
De plus, un « contrat d'accès aux soins » devrait être mis en place. Ce contrat consiste à attribuer des avantages fiscaux pour les médecins dépassement pas deux fois le prix de la sécurité social et de recevoir au moins 30% de personne bénéficiant de la CMU et de l'ACS.
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