La synthèse d'un article CG par jour

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Fleur1
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par Fleur1 »

ARTICLE 33


Les violences conjugales frappent les plus pauvres

Elles ont entre 35 et 39 ans, vivent en milieu urbain et font partie, le plus souvent, des classes défavorisées. Portait-robot des victimes de violences conjugales que dresse l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). Une femme décède tous les trois jours sous les coups de son conjoint, note le journal La Croix qui publie en exclusivité l’étude de l’ONDRP. Un chiffre stable, preuve que les actions menées jusqu’à présent pour lutter contre ce fléau sont insuffisantes.

L’Office a interrogé entre 2008 et 2012 près de 70 000 personnes en leur demandant si elles avaient été victimes de violences physiques ou sexuelles de la part de leur conjoint (e) ou ex-conjoint (e). Rapporté à la population générale, le constat est édifiant : 540 000 victimes en deux ans.

Mais ce qui est encore plus surprenant, observe le quotidien, c’est le décalage entre ces déclarations et le nombre de condamnations prononcées pour violences conjugales : 10 65 pour l’année 2010. Un écart abyssal, souligne le quotidien et que décrypte le psychiatre Roland Coutanceau (1) : « Beaucoup de victimes éprouvent encore des sentiments à l’égard de leur conjoint violent. La plupart d’entre elles souhaiteraient avant tout qu’on les aide à reconstruire leur couple plutôt qu’à voir leur conjoint placé en garde à vue ».

Les violences conjugales touchent tous les milieux sociaux mais pas avec la même fréquence. Les femmes les plus pauvres se déclarent quatre fois plus victimes que les plus aisées. Interrogé par le journal , Bruno Willeron, directeur du Service d’investigation judiciaire, confirme : « Ce sont surtout des personnes ayant un faible niveau de revenus et d’instruction qui défilent devant nous ».

(1) Auteur d’un rapport sur les violences conjugales en 2006.
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Dernière modification par Fleur1 le 28 oct. 2012 10:14, modifié 1 fois.
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Message par Fleur1 »

L' ONDRP est à l'origine d'enquête sur les violences conjugales.
En effet,d'après ces statistiques près de trois femmes meurent chaque jours sous les coups de son conjoint.Les moyens jusqu'à présent mise en œuvre,nous prouvent bien, leur inefficacité face à ce fléaux.De plus, d'après une récente enquête,sur une intervalle de 2ans,près de 540 000 femmes déclaraient être victimes.En outre,le plus stupéfiant est le décalage entre déclarations et condamnations.Cependant,même s'il est vrai que les violences conjugales touchent tous les milieux sociaux,il en ait un , qui est principalement touché: les milieux défavorisés.En somme,ces dernières se déclarent quatre fois plus victimes que les plus aisées.
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par Fleur1 »

Personne pour le résumé?
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amandine_83136
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par amandine_83136 »

pour ma part je pourrai le faire que demain, car je peux pas l imprimer de chez moi ! j en profite pour faire un texte des livres avec les 3 questions.
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par gaelle97425 »

Bonjour, désolée, je vous ai un peu abandonné mais j'ai pas eu 1 min ces derniers jours !!! Pour ne pas casser le rythme, je mets cet article pour aujourd'hui. Fleur1, je ferais ton résumé dès que possible, et bien sûr, avant de faire le mien :) Allez au travail ^^

Article 34
Contraception: Les députés votent la gratuité de la pilule et de l'IVG pour les mineures


Créé le 26/10/2012 à 12h54 -- Mis à jour le 26/10/2012 à 16h17 - 20 minutes


Ils seront désormais remboursés à 100% pour les jeunes filles de 15 à 18 ans...

L'Assemblée nationale a voté ce vendredi le remboursement à 100% des contraceptifs, comme la pilule, pour les jeunes filles de 15 à 18 ans, dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2013.

La ministre de la Santé Marisol Touraine a bien précisé que l'amendement proposé ne «restreint» pas l'amendement à «la pilule» car il s'applique à «tous les modes (de contraception, ndlr) pris en charge» et remboursables par la Sécurité sociale. «C'est un acte majeur de santé publique qui aurait dû être fait depuis longtemps», s'est satisfait Christian Paul, le rapporteur PS du budget de la Sécurité sociale pour la branche maladie.

Une «mesure gadget» selon Israël Nisand

La députée UMP Berengère Poletti, sage-femme de profession, a salué cette mesure. Elle était l'auteure d'une proposition de loi en ce sens. Au moment de l'annonce de la mesure, les spécialistes avaient jugé qu'il s'agissait d'un premier pas, mais avaient souligné que les jeunes femmes majeures dans la précarité étaient oubliées. Et le gynécologue Israël Nisand avait parlé d'une «mesure gadget». «On nous annonce parallèlement la gratuité de l'IVG et le déremboursement des pilules de 3ème génération, alors je ne comprends pas bien le message», avait-il dit à l'AFP.

En 2011, le remboursement à 65% de contraceptifs aux mineures a coûté 6 millions d'euros. La prise en charge à 100% devrait entraîner un coût additionnel de 5 millions d'euros, selon l'estimation du gouvernement. Un décret viendra «préciser les contraceptifs concernés».

Ce vendredi, la présidente PS de la commission des Affaires sociales, Catherine Lemorton, a aussi insisté sur la nécessité d'une campagne de communication sur le préservatif. Durant sa campagne présidentielle, François Hollande avait annoncé qu'il souhaitait mettre en place un «forfait contraception» pour les mineures, leur garantissant «la gratuité, l'accès à un médecin dans l'anonymat et à une contraception de haut niveau».

La pilule, principale mode de contraception en France


Depuis la loi de juillet 2001 visant à favoriser l'accès à la contraception et l'IVG (interruption volontaire de grossesse), la contraception peut être délivrée gratuitement et de façon anonyme aux mineures dans les plannings familiaux. Mais ces centres sont «trop peu nombreux et leur accès compliqué», a récemment souligné Martine Hatchuel, présidente de l'Association nationale des centres d'IVG et de contraception (Ancic).

Les jeunes filles mineures représentent une population de plus d'un million de personnes.

Selon l'enquête Fecond Inserm-Ined, récemment publiée, la pilule reste la principale méthode de contraception en France, mais son usage a légèrement diminué depuis les années 2000. Chez les jeunes de 18-19 ans, la baisse (-4,4%) s'accompagne d'un recours plus fréquent au préservatif et aux nouvelles méthodes hormonales (implant, patch contraceptif et anneau vaginal). Mais, chez les femmes de 20-24 ans, la baisse (-10,4%) n'est qu'en partie compensée par le recours aux nouvelles méthodes hormonales (+5,1%).

Avec AFP

Résumer en 10-15 lignes

Il me semble qu'il y a déjà eu un article sur la contraception mais comme c'est dans l'actualité récente ... ça ne nous fera pas de mal ^^
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par amandine_83136 »

article 33

La violence conjuguales est plus présente dans les foyers défavorisés.
En effet, un protrait type a été dréssé par l'ONDRP pour dénoncer ce problème. Aujourd'hui, un femme meurt de violences conjuguales tous les 3 jours dont 1 femme sur 4 provient des mileux pauvres.
De plus, en 2010, 1065 conjoints violents ont été condamnés contre 540 000 déclarations de violences conjuguales pris en compte dans une étude de L'office faite entre 2008 et 2012.
Enfin,ce type de violences est présente dans tous les milieux sociaux, beaucoup ne sont pas jugés, faute de plainte des victimes qui espère finalement un changement dans leur couple.
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par rodez12 »

essayons ,violences conjugales :

Selon l' ONDRP,les femmes issues de milieu urbain défavorisé sont les plus assujetties aux violences conjugales.
Une enquête montre le paradoxe entre le nombre de cas de violence subis par les femmes, qui est de l'ordre de 540 000, et le nombre de condamnations chiffrées à 1065.
Selon le psychiatre Roland. la solution à ce désastre serait non pas la répression mais plutôt le redimensionnement familial au sein du couple.
Enfin même si les violences conjugales affectes tous les milieux sociaux, les femmes les plus défavorisées, en restent les principales victimes.
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par rodez12 »

La loi Leonetti au cœur du débat sur la fin de vie

Elle est la pierre angulaire du débat sur la fin de vie en France. Et pour cause : la loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie, dite « loi Leonetti », a marqué une étape importante en apportant des réponses aux dilemmes de la fin de vie. Il y a sept ans, lors du vote au Parlement, tout le monde avait salué « l’avancée » qu’elle représentait et le travail de fond mené par le député UMP des Alpes-Maritimes Jean Leonetti.

Non sans ambiguïté : pour certains, ce texte était un aboutissement dont l’équilibre – éviter « l’obstination déraisonnable » sans pour autant autoriser une aide active à mourir – devait être préservé. Pour d’autres, cette loi n’était qu’une étape dans un processus qui, espéraient-ils, mènerait la France à légaliser l’euthanasie comme l’ont déjà fait d’autres pays, Belgique et Pays-Bas en tête.

La loi Leonetti s’inscrit dans la continuité de deux mouvements de fond, le développement de l’accompagnement en fin de vie (loi du 9 juin 1999 sur les soins palliatifs) et la montée en puissance des droits des malades (loi du 4 mars 2002). Elle vient compléter ces dispositifs en clarifiant les pratiques médicales dans les situations délicates, là où régnaient trop souvent l’opacité et la confusion.

L’arrêt des traitements est-il possible et dans quelles conditions ? Peut-on, en fin de vie, soulager les souffrances même si l’effet secondaire des traitements risque de provoquer la mort ? Si la loi a répondu à ces questions difficiles à travers des principes clairs, elle n’a pas clos le débat pour deux raisons majeures : sa mauvaise application et la revendication latente d’un « droit à mourir », qu’elle a résolument écarté.

ÉVITER TOUTE « OBSTINATION DÉRAISONNABLE »
La loi Leonetti a constitué un apport important en matière d’arrêt des traitements. Lorsqu’il n’y a plus d’espoir de guérison et que le malade se trouve dans une impasse, il peut demander l’arrêt de « tout traitement » (et non plus d’« un traitement » comme dans la loi de 2002). Ce texte introduit ainsi, en droit, la notion d’« obstination déraisonnable » : « Lorsqu’ils apparaissent inutiles, disproportionnés ou n’ayant d’autre effet que le seul maintien artificiel de la vie », les traitements d’un malade « peuvent être suspendus » ou « ne pas être entrepris » ; ils ne doivent pas être poursuivis « par une obstination déraisonnable ». Il faut toutefois distinguer le cas du malade conscient de la personne inconsciente ou hors d’état d’exprimer sa volonté.

Dans le premier cas, la volonté du malade prime. Le médecin est tenu de respecter sa décision, après l’avoir informé des conséquences de son choix. Il est également tenu à un accompagnement, pour éviter toute souffrance consécutive à la suspension des thérapeutiques actives. Prenons un exemple, comme le fait la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap) : celui d’un « malade handicapé, à tel point qu’il ne veut plus vivre mais ne peut se donner la mort. La loi va permettre à ce malade de refuser les traitements qu’il estime inutiles, même si cet arrêt risque d’entraîner la mort. »

Dans le second cas, celui de la personne inconsciente, c’est le médecin qui tranche dans des conditions précises. Il peut s’agir d’une personne en réanimation avec un pronostic extrêmement mauvais, à la suite d’un accident par exemple. Le médecin est tenu de consulter d’éventuelles directives anticipées et la personne de confiance lorsqu’elle a été désignée. Surtout, il ne décide pas seul, mais de façon collégiale avec l’ensemble de l’équipe (les autres médecins mais aussi les infirmières, les aides-soignantes, le psychologue, etc.). La famille est associée mais n’a pas à porter la responsabilité d’une décision d’arrêt des traitements.

LE « DOUBLE EFFET »
L’autre grand principe de la loi est celui dit « du double effet ». « Si le médecin constate qu’il ne peut soulager la souffrance d’une personne, en phase avancée ou terminale d’une affection grave et incurable, quelle qu’en soit la cause, qu’en lui appliquant un traitement qui peut avoir pour effet secondaire d’abréger sa vie », il est autorisé à le faire à deux conditions : qu’il en ait informé le malade et sa famille et que la procédure soit inscrite au dossier médical. C’est une clarification majeure pour des médecins qui hésiteraient à utiliser des antalgiques très puissants, de peur d’être accusés d’euthanasie. La loi dit que, dans un contexte de fin de vie, c’est l’intention qui compte, en l’occurrence celle de soulager le patient.

POURQUOI CERTAINS VEULENT ALLER PLUS LOIN
En 2005, les parlementaires avaient écarté l’idée de légaliser un droit à mourir, décevant ainsi les militants de cette « ultime liberté ». Jean Leonetti le justifiait en ces termes dans nos colonnes (lire La Croix du 31 mars 2008) : « Dans la situation où la personne revendique le droit de mourir en disant : “C’est mon choix, ma liberté, je veux mourir, aidez-moi à le faire”, dans cette hypothèse, la personne peut se suicider, c’est un droit liberté, mais pas un droit créance vis-à-vis de la société. En d’autres termes, la société n’a pas à assumer ce geste pour elle. »

Sans réclamer un tel « droit créance », certains critiquent néanmoins la loi Leonetti. Jean-Luc Romero, président de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), regrette ainsi que le médecin « garde la main » alors que, selon lui, la volonté du patient devrait toujours l’emporter. Exemple : les directives anticipées ne s’imposent pas au médecin, qui est seulement tenu de les consulter ; en outre, qu’il s’agisse de l’arrêt de traitement en cas d’inconscience ou du double effet, le médecin reste juge. « Cela crée forcément des inégalités, selon l’endroit où l’on est soigné », fait remarquer le militant.
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par amandine_83136 »

J'ai l'impression d'être à la ramasse quand je lis vos résumés ! j'ai l'impression de faire des textes de niveau 6 ème !!! misère... comment voir la progression ? comment progresser ?
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par DERF11 »

bonjour pouvez vous me donner votre avis
Article 34
Contraception: Les députés votent la gratuité de la pilule et de l'IVG pour les mineures

L'assenblée adopte la loi sur la prise en charge à 100% de la contraception, pour les filles agées de 15à 18 ans.
L'amendement que propose la ministre s'applique à tous les contraceptifs que propose la sécurité sociale.
Une députée U.M.P avait proposé une loi de ce style la, mais elle ci avait été critiqué car c'et amendemat ne prenait pas en charge les jeunes femmes majeures dans la précarité
Pour lannée 2012 le remboursement des moyens de contraceptions devraient couter 11 millions d'euros. le présidents de la répubique avait formulé le souhait lors de sa campagne de la gatuité des conraceptifs et l'accés à un médecin tout en préservant l'anonymat des jeunes mineurs.
depuis 2001 les mineurs on droit à la contraception et à I.V.G de manière anonyme et gratuite en allant dans des plannings familiaux.Malheureusement il n'y a pas beaucoup de centre et ils sont compliqué d'accés.
D'aprées l'enquete fecond inserm ined la pilule reste le princpal contraceptif bien qu'elle est baissé depuis les nées 2000.les préservatif et les nouvelle méthodes hormonales compensesla baisse de la pilule chez les femmes de 18 à 24 an
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par gaelle97425 »

Article 33
D'après une étude de l'ONDRP, bien que les violences conjugales atteignent tous les milieux sociaux, les femmes issues des classes défavorisées sont les plus concernées. Elles habitent également principalement en ville et ont entre 35 et 39 ans.
De plus, malgré les multiples actions de luttes développées, celles-ci sembles encore insuffisantes car tous les 3 jours, une femme meurt battu.
Pour finir, nous constatons un écart important entre le nombre de victime qui porte plainte et le nombre de condamnation qui est nettement inférieur. Selon le psychiatre R. Coutanceau, les victimes préfèrent tenter de sauver leur couple plutôt que d'enfermer leur conjoint.

9 lignes en 20 minutes
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par gaelle97425 »

Bein non amandine_83136, c'est pas si mal je trouve ! D'ailleurs, je trouve que tu reformules bien alors que moi j'ai tendance à toi reprendre le texte !!! Il y a également quelques fautes d'orthographe ou peut-être de frappe ^^
amandine_83136 a écrit :article 33

La violence conjuguales est plus présente dans les foyers défavorisés.
En effet, un protrait type a été dréssé par l'ONDRP pour dénoncer ce problème. Aujourd'hui, une femme meurt de violences conjuguales tous les 3 jours dont 1 femme sur 4 provient des milieux pauvres (Là je trouve qu'il y a répétition avec la 1ère phrase).
De plus, en 2010, 1065 conjoints violents ont été condamnés contre 540 000 déclarations de violences conjuguales pris en compte dans une étude de L'office faite entre 2008 et 2012.
Enfin,ce type de violences est présente dans tous les milieux sociaux, beaucoup ne sont pas jugés, faute de plainte des victimes qui espère finalement un changement dans leur couple (Pour ce dernier paragraphe, je trouve que tu as bien reformulé le désir de changement mais à mon avis, il n'y avait pas lieu de remettre que ça touche tous les milieux sociaux! Tu en as déjà parlé au début, essayes de garder 1 idée par paragraphe).
Bien sûr, ce n'est que mon avis ...
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par gaelle97425 »

Bon, l'heure tourne ... le résumé de l'article 34 et 35 ne sera pas pour aujourd'hui :(
Bon courage pour les plus téméraires ^^
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par Fleur1 »

ARTICLE 34

Une loi prônant la gratuité des contraceptifs pour les mineurs vient de voir le jour. La mesure a était bien prise par l'ensemble des spécialistes et ils jugent que cela est une grande avancée. Néanmoins,ils regrettent que les jeunes femmes majeures dans la précarité soient exclu de cette loi. De plus,lors de sa campagne présidentielle,François Hollande avait évoqué la mise en place d'un forfait contraceptif pour les mineures.Ainsi ,cette procédure permettrait le délivrement de contraceptif de manière gratuite,anonyme auprès d'un médecin. Cependant,a l'heure actuelle,les jeunes ont un accès limités aux contraceptifs,dans la mesure où ils doivent se rentrent dans des planning familiaux.Ces derniers sont rare et difficile d'accès.En somme,depuis 2000,la pilule,reste LE contraceptif le plus utilisé même si celui-ci régresse,au profit des nouvelles méthodes.

11Lignes


J' attend vos remarques concernant le résumé :)
Dernière modification par Fleur1 le 31 oct. 2012 17:44, modifié 1 fois.
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Re: La synthèse d'un article CG par jour

Message par Fleur1 »

ARTICLE 35

La loi Leonetti est l'une des lois française les plus importante.En effet,à l'époque du vote de celle-ci,la quasi totalité de l'assemblée à adhéré à ce principe.Cependant,cette loi est toujours assujetti à de nombreux débats.Tandis que certain pensent que celle-ci, a pour but de diminuer,voir éradiquer l'acharnement thérapeutique,d'autre voie en elle,un futur moyen de légalisation de l'euthanasie.En outre,il faut savoir que la loi Leonneti est une continuité de la loi du 9 juin 1999 sur les soins palliatifs ainsi que la loi des droits du patient (loi du 4 mars 2002). Elle complète ces dispositifs en clarifiant les pratiques médicales dans les situations délicates, là où régnaient trop souvent l’opacité et la confusion.De plus,celle-ci,stipule que lorsqu'il y a plus d'espoir de survie ,le médecin est en droit d'interrompre tous traitements avec l'accord du malade lorsqu'il en ait capable et de la famille.Lorsque, celui-ci n'est pas en état de conscience,la lourde tâche revient à l'équipe médicale avec bien évidemment, le consentement de la famille.Une trace écrite est obligatoire dans le dossier médical du patient.En somme,en 2008 des militants voulaient accéder à « un droit à mourir » mais cela à été rejeter par les parlementaires,car selon eux, la société n'a pas à assumer de tels actes.

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