Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
voilà détente terminée, le film fait franchement flipper, quelqu'un l'a vu?fishy72 a écrit :t'as bien mérité ton moment de détente
bon je fais le dernier car finalement j'ai regardé le film avant, dsl
à toute
cristal

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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
MEDICAMENTS PEDIATRIQUES
- 20 % de la population européenne sont des enfants soit environ 100 millions de personnes et très peu de médicaments pour les soigner.
- Dans certains services hospitaliers, près de 60% des médicaments prescrits sont hors autorisation de mise sur le marché, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas officiellement validés pour être donnés aux enfants, ce qui veut dire qu’on leur donne des médicaments normalement réservés aux adultes et vont être coupés en 2, en 4 etc..
- Cela ne pose pas de problème à la médecine de ville mais pose un problème à l’hôpital dans certaines classes thérapeutiques notamment en cancérologie, cardiologie ou prématurés mais le problème est avant tout ÉCONOMIQUE.
- Le nombre de patients est trop faible pour que les médicaments soient rentables aux laboratoires pharmaceutique.
- Conséquences à l’hôpital :
* Les soignants doivent user d’ingéniosité pour administrer les traitements aux enfants.
* Les soignants doivent reconditionner les médicaments afin qu’il soit adapter à l’enfant.
Par exemple : une grosse gélule sera transformer en sirop pour les tout-petits.
* Les soignants ne peuvent évaluer la quantité perdue dans les récipients.
Autres exemples :
*Des médicaments effervescents mélangés à des yaourts.
*Des gélules que l’on doit ouvrir alors que ce n’est pas conçu pour et ensuite mélanger le produit à de l’eau.
*Écraser les comprimés.
- Certains comprimés sont pelliculés et cette pellicule permet normalement de passer l’estomac sans avoir de soucis gastriques, en les écrasant la pellicule protectrice est détruite et donc il y aurait une perte d’efficacité du traitement pour l’enfant.
- Cette perte d’efficacité est inacceptable pour les traitements lourds !
- A l’hôpital Robert Debré de PARIS, la pharmacie se donne pour mission de transformer les médicaments.
- Peu d’hôpitaux disposent de ce service.
- Une petite amélioration ces dernières années :
* Entre 2007 et 2011, 13 médicaments sont arrivés sur le marché et c’est le résultat d’un règlement européen qui attribut de nouvelles obligations aux firmes pharmaceutiques.
* Désormais, quand un labo sollicite une autorisation de mise sur le marché pour un nouveau traitement adulte destiné aussi à traiter une pathologie existante chez l’enfant et bien il est tenu de présenter des études faites sur les plus jeunes.
* Le but : Inciter les labo de développer davantage des traitements pédiatriques.
* En échange, les labos obtiennent une prolongation de 6 mois du brevet protégeant leurs nouvelles molécules.
- L’autre raison pour laquelle cela évolue lentement :
* Difficultés de réaliser des essais cliniques chez les enfants, ces tests chargés dévaluer l'efficacité d’un traitement sont très encadrés et très couteux pour les labos.
- Une fois qu’on arrive à mettre au point un médicament spécifique pur les enfants, encore faut-il trouver la bonne forme et le mode d’administration plus adaptée, c’Est-ce que l’on appelle la « FORMULATION GALÉNIQUE » qui est une étape capitale car elle permettra de garantir l’observance du traitement et donc la guérison du patient.
- Dans ce domaine, chaque labo fait comme il le veut ! Il y a donc toutes sortes de formes de médicaments pour enfants, et les parents sont souvent perdus.
OBESITE
- 1 Adulte sur trois sont obèses en Amérique.
voilà bonne nuitée à tous !
- 20 % de la population européenne sont des enfants soit environ 100 millions de personnes et très peu de médicaments pour les soigner.
- Dans certains services hospitaliers, près de 60% des médicaments prescrits sont hors autorisation de mise sur le marché, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas officiellement validés pour être donnés aux enfants, ce qui veut dire qu’on leur donne des médicaments normalement réservés aux adultes et vont être coupés en 2, en 4 etc..
- Cela ne pose pas de problème à la médecine de ville mais pose un problème à l’hôpital dans certaines classes thérapeutiques notamment en cancérologie, cardiologie ou prématurés mais le problème est avant tout ÉCONOMIQUE.
- Le nombre de patients est trop faible pour que les médicaments soient rentables aux laboratoires pharmaceutique.
- Conséquences à l’hôpital :
* Les soignants doivent user d’ingéniosité pour administrer les traitements aux enfants.
* Les soignants doivent reconditionner les médicaments afin qu’il soit adapter à l’enfant.
Par exemple : une grosse gélule sera transformer en sirop pour les tout-petits.
* Les soignants ne peuvent évaluer la quantité perdue dans les récipients.
Autres exemples :
*Des médicaments effervescents mélangés à des yaourts.
*Des gélules que l’on doit ouvrir alors que ce n’est pas conçu pour et ensuite mélanger le produit à de l’eau.
*Écraser les comprimés.
- Certains comprimés sont pelliculés et cette pellicule permet normalement de passer l’estomac sans avoir de soucis gastriques, en les écrasant la pellicule protectrice est détruite et donc il y aurait une perte d’efficacité du traitement pour l’enfant.
- Cette perte d’efficacité est inacceptable pour les traitements lourds !
- A l’hôpital Robert Debré de PARIS, la pharmacie se donne pour mission de transformer les médicaments.
- Peu d’hôpitaux disposent de ce service.
- Une petite amélioration ces dernières années :
* Entre 2007 et 2011, 13 médicaments sont arrivés sur le marché et c’est le résultat d’un règlement européen qui attribut de nouvelles obligations aux firmes pharmaceutiques.
* Désormais, quand un labo sollicite une autorisation de mise sur le marché pour un nouveau traitement adulte destiné aussi à traiter une pathologie existante chez l’enfant et bien il est tenu de présenter des études faites sur les plus jeunes.
* Le but : Inciter les labo de développer davantage des traitements pédiatriques.
* En échange, les labos obtiennent une prolongation de 6 mois du brevet protégeant leurs nouvelles molécules.
- L’autre raison pour laquelle cela évolue lentement :
* Difficultés de réaliser des essais cliniques chez les enfants, ces tests chargés dévaluer l'efficacité d’un traitement sont très encadrés et très couteux pour les labos.
- Une fois qu’on arrive à mettre au point un médicament spécifique pur les enfants, encore faut-il trouver la bonne forme et le mode d’administration plus adaptée, c’Est-ce que l’on appelle la « FORMULATION GALÉNIQUE » qui est une étape capitale car elle permettra de garantir l’observance du traitement et donc la guérison du patient.
- Dans ce domaine, chaque labo fait comme il le veut ! Il y a donc toutes sortes de formes de médicaments pour enfants, et les parents sont souvent perdus.
OBESITE
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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
qu'est ce que c'est calme maintenant sur ce topic, vous vous éloignez chers amis
cristal

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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
oui j'ai plus beaucoup de temps ce semestre, j'ai des journées de dingue
désolée 


ESI 2013/2016 

Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
Moi je fais une pause dans les révisions, sinon mon cerveau va pété. 

Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
Un nouveau droit pour les Femmes : les Parisiennes peuvent officiellement porter un pantalon.
*Les Parisiennes ont bel et bien le droit de porter un pantalon même si elles ne tiennent pas un "guidon de bicyclette" ou "les rênes d'un cheval", vient de rappeler le ministère des Droits des femmes, soulignant que l'interdiction, datant de 1800 et décidée par la Préfecture de police de Paris, n'a plus aucune valeur juridique.
*Le sénateur (UMP) Alain Houpert s'était ému, via une question écrite au ministère en juillet dernier, que soit "toujours en vigueur" un texte stipulant que "toute femme désirant s'habiller en homme doit se présenter à la Préfecture de police pour en obtenir l'autorisation".
"Cette interdiction a été partiellement levée par deux circulaires de 1892 et 1909 autorisant le port féminin du pantalon +si la femme tient par la main un guidon de bicyclette ou les rênes d'un cheval+", rappelait l'élu de Côte d'Or, en demandant au gouvernement s'il envisageait de l'abroger.
"L'ordonnance du préfet de police Dubois n°22 du 16 brumaire an IX (7 novembre 1800), intitulée +ordonnance concernant le travestissement des femmes+ est incompatible avec les principes d'égalité entre les femmes et les hommes qui sont inscrits dans la Constitution", rappelle le ministère dans une réponse publiée en fin de semaine dernière et disponible sur le site www.senat.fr.
"De cette incompatibilité découle l'abrogation implicite de l'ordonnance du 7 novembre qui est donc dépourvue de tout effet juridique et ne constitue qu'une pièce d'archives conservée comme telle par la Préfecture de police de Paris", dit encore le texte du ministère.
A l'origine, "cette ordonnance visait avant tout à limiter l'accès des femmes à certaines fonctions ou métiers en les empêchant de se parer à l'image des hommes", explique-t-il encore.
*Les Parisiennes ont bel et bien le droit de porter un pantalon même si elles ne tiennent pas un "guidon de bicyclette" ou "les rênes d'un cheval", vient de rappeler le ministère des Droits des femmes, soulignant que l'interdiction, datant de 1800 et décidée par la Préfecture de police de Paris, n'a plus aucune valeur juridique.
*Le sénateur (UMP) Alain Houpert s'était ému, via une question écrite au ministère en juillet dernier, que soit "toujours en vigueur" un texte stipulant que "toute femme désirant s'habiller en homme doit se présenter à la Préfecture de police pour en obtenir l'autorisation".
"Cette interdiction a été partiellement levée par deux circulaires de 1892 et 1909 autorisant le port féminin du pantalon +si la femme tient par la main un guidon de bicyclette ou les rênes d'un cheval+", rappelait l'élu de Côte d'Or, en demandant au gouvernement s'il envisageait de l'abroger.
"L'ordonnance du préfet de police Dubois n°22 du 16 brumaire an IX (7 novembre 1800), intitulée +ordonnance concernant le travestissement des femmes+ est incompatible avec les principes d'égalité entre les femmes et les hommes qui sont inscrits dans la Constitution", rappelle le ministère dans une réponse publiée en fin de semaine dernière et disponible sur le site www.senat.fr.
"De cette incompatibilité découle l'abrogation implicite de l'ordonnance du 7 novembre qui est donc dépourvue de tout effet juridique et ne constitue qu'une pièce d'archives conservée comme telle par la Préfecture de police de Paris", dit encore le texte du ministère.
A l'origine, "cette ordonnance visait avant tout à limiter l'accès des femmes à certaines fonctions ou métiers en les empêchant de se parer à l'image des hommes", explique-t-il encore.
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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
Je comprends Fishy et Will, ne vous inquiétez pas !
Merci will pour tes notes.
J'ai regardé IN vivo intégrale "aide alimentaire", je recopie au propre sur mon traitement de texte et je viens vous le coller.
bisous
à tout à l'heure
Merci will pour tes notes.
J'ai regardé IN vivo intégrale "aide alimentaire", je recopie au propre sur mon traitement de texte et je viens vous le coller.
bisous
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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
L’AIDE ALIMENTAIRE EUROPEENNE REMISE EN QUESTION
« source IN VIVO INTEGRALE », magazine de la santé février 2013
- 480 millions de repas distribués en Europe chaque année dont 130 millions en France par les « restos du cœur, le secours populaire, la croix rouge et la banque alimentaire ».
- Le PEAD ( Plan d’Aide aux plus Démunis) a été crée en 1987 par Coluche et Jacques Delors.
- Le PEAD sera maintenu pour 2013 à hauteur de 500 millions d’euros (dont environ 70 millions d’euros pour la France), les associations caritatives s’alarment aujourd’hui sur ce qu’il adviendra du PEAD après 2013.
-le PEAD « représente 23% à 50% des denrées alimentaires distribuées (soit 130 millions de repas).
- Plus de surplus agricole à ce jour à distribuer.
- Le budget actuel est de 1euros par européen et par an, l’ Union Européenne finance soit 500 millions d’euros.
- En 2008, face à la crise, chaque État doit prendre en charge sa population, l’Union Européenne finance l’achat des denrées.
- Les 6 pays de l’UE ( France, Allemagne, Italie, Belgique, Pays-Bas et Luxembourg) ont échoué à Bruxelles à trouver un accord pour maintenir un programme PEAD. Des associations ont manifesté pour pousser un gros cri d’alerte afin d’informer, de sensibiliser le grand public.
- Report en Octobre 2013, peut-être 20 millions de repas en moins soit une baisse de 80%.
REPORTAGE AU SECOURS POPULAIRE DE LILLE (Nord)
- Pendant 4 jours par mois il y a le « libre service », les bénéficiaires sont les personnes qui après déduction de leurs charges n’ont que 7 euros ou moins par jour et par personnes pour vivre !Ils bénéficient de 100 euros pour tenir 10 jours en alimentation.
- Certaines personnes ne peuvent faire 3 repas par jour, ne peuvent se soigner, deviennent parfois dépressifs et ont très faim.
- Au secours populaire de Lille , il y a 170 bénévoles.
- Les bénéficiaires sont souvent :
* Les femmes seules avec enfants : ex : Une mère seule avec 4 enfants touche 1200euros d’allocations par la CAF, il lui reste 1,40 euros par personne et par jour pour manger). Sans les secours populaires, ses enfants et elle ne mangeraient pas ! Pas de loisirs, pas de coiffeurs…, elles restent souriantes pour leurs enfants, elles ne leur montrent pas leur mal être.
*Les SDF
*Les retraités
*Les chômeurs
*Les étudiants : Le secours populaire distribue dans les universités, l’étudiant doit participer soit 6 euros pour un gros colis. Certains n’ont pas les 6 euros et donc bénéficie d’un colis d’urgence par jour. Certains arrêtent leurs études faute d’argent.
- Pour ceux qui ne peuvent bénéficier au « libre service » car il dépassé les 7 euros par jour, ils bénéficient aussi de colis d’urgence.
- Pas facile de pousser les portes du secours populaires mais les bénéficiaires mettent finalement leur fierté de côté.
- Pas beaucoup de légumes frais au secours populaire, afin de pouvoir manger équilibrer, certains font quelques courses à part pour compléter.
voilà bisous à tous
bonne nuit
Cristal
« source IN VIVO INTEGRALE », magazine de la santé février 2013
- 480 millions de repas distribués en Europe chaque année dont 130 millions en France par les « restos du cœur, le secours populaire, la croix rouge et la banque alimentaire ».
- Le PEAD ( Plan d’Aide aux plus Démunis) a été crée en 1987 par Coluche et Jacques Delors.
- Le PEAD sera maintenu pour 2013 à hauteur de 500 millions d’euros (dont environ 70 millions d’euros pour la France), les associations caritatives s’alarment aujourd’hui sur ce qu’il adviendra du PEAD après 2013.
-le PEAD « représente 23% à 50% des denrées alimentaires distribuées (soit 130 millions de repas).
- Plus de surplus agricole à ce jour à distribuer.
- Le budget actuel est de 1euros par européen et par an, l’ Union Européenne finance soit 500 millions d’euros.
- En 2008, face à la crise, chaque État doit prendre en charge sa population, l’Union Européenne finance l’achat des denrées.
- Les 6 pays de l’UE ( France, Allemagne, Italie, Belgique, Pays-Bas et Luxembourg) ont échoué à Bruxelles à trouver un accord pour maintenir un programme PEAD. Des associations ont manifesté pour pousser un gros cri d’alerte afin d’informer, de sensibiliser le grand public.
- Report en Octobre 2013, peut-être 20 millions de repas en moins soit une baisse de 80%.
REPORTAGE AU SECOURS POPULAIRE DE LILLE (Nord)
- Pendant 4 jours par mois il y a le « libre service », les bénéficiaires sont les personnes qui après déduction de leurs charges n’ont que 7 euros ou moins par jour et par personnes pour vivre !Ils bénéficient de 100 euros pour tenir 10 jours en alimentation.
- Certaines personnes ne peuvent faire 3 repas par jour, ne peuvent se soigner, deviennent parfois dépressifs et ont très faim.
- Au secours populaire de Lille , il y a 170 bénévoles.
- Les bénéficiaires sont souvent :
* Les femmes seules avec enfants : ex : Une mère seule avec 4 enfants touche 1200euros d’allocations par la CAF, il lui reste 1,40 euros par personne et par jour pour manger). Sans les secours populaires, ses enfants et elle ne mangeraient pas ! Pas de loisirs, pas de coiffeurs…, elles restent souriantes pour leurs enfants, elles ne leur montrent pas leur mal être.
*Les SDF
*Les retraités
*Les chômeurs
*Les étudiants : Le secours populaire distribue dans les universités, l’étudiant doit participer soit 6 euros pour un gros colis. Certains n’ont pas les 6 euros et donc bénéficie d’un colis d’urgence par jour. Certains arrêtent leurs études faute d’argent.
- Pour ceux qui ne peuvent bénéficier au « libre service » car il dépassé les 7 euros par jour, ils bénéficient aussi de colis d’urgence.
- Pas facile de pousser les portes du secours populaires mais les bénéficiaires mettent finalement leur fierté de côté.
- Pas beaucoup de légumes frais au secours populaire, afin de pouvoir manger équilibrer, certains font quelques courses à part pour compléter.
voilà bisous à tous
bonne nuit
Cristal

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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
Bien le bonjour !
Un peu d'actualité, ça vous dit aujourd'hui, et bien même si vous voulez, je vous mets mes notes mag de la santé quand même !
LA MATERNITE DE PORT ROYAL/ DECES/Polémique
- La mort d’un bébé in utero la nuit de jeudi 31 janvier au vendredi 01 février 2013 à la maternité port royal.
- Lorsque la future mère arrive à son terme de sa grossesse, s’est présenté à cette maternité, les médecins n’ont pu que constater la mort in utero de son foetus.
- Les circonstances restent pour le moment inexpliquées.
- La maternité de Cochin de Port royal est de niveau 3, de pointe, flambant neuve, elle est très réputée dans la capitale notamment pour les grossesses à risques.
- L’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris (PHP) a révélé que cette patiente s’était présentée à 2 reprises dans cette maternité juste avant l’accident pour un éventuel déclenchement de son accouchement, après l’examen médical, on lui avait dit de rentrer chez elle.
- Selon les parents, la maternité était débordée et la mère et le fœtus n’auraient donc pas bénéficié de l’attention nécessaire.
- Une enquête judiciaire a été ouverte Dimanche soir et La Ministre de la Santé (Marisol Touraine) réclame une enquête exceptionnelle administrative et médicale.
- La maternité de port royal est submergé de coups de fil donnés par les futures mamans très inquiètes mais il ne faut pas s’affoler car cet accident ne remet pas en cause la compétence et l’excellence des professionnels.
- Pourquoi faire repartir la patiente à deux reprises, est-ce que la maternité manquait de lit ?
* Beaucoup de maternités ont fermés, il y a eu donc un regroupement, et cette décision est à remettre en cause, les professionnels le disent et selon la cours des comptes, nous sommes passés de la 7ème place à la 20ème place en Europe en 2 ans pour la périnatalité. On a aggravé la mort in utero et des bébés après la naissance, des risques voire la mort des mères.
* 1400 maternités en 1974 contre 535 aujourd’hui : Cela ne veut pas dire qu’il faut rouvrir 1000 maternités car la médecine a changé, évolué, la science est différente mais cela veut dire qu’il faut que nous ayons les moyens de travailler.
* De plus, la fécondité augmente en France.
* Il y a une saturation dans toutes les maternités peu importe le niveau, ainsi que dans les maternités en cliniques privées.
* Autour de la maternité de Port royal à Paris, plusieurs maternités ont fermé comme « Saint Vincent de Paul, de l’hôtel Dieu,et récemment la maternité de Saint Antoine », elles étaient toutes de grosses maternités, donc regroupement mais c’est pas parce qu’on ferme un lit dans un établissement qu’on va l’ouvrir dans l’autre ! Et manque de personnel !
* Au ministère, il y a une meilleure écoute mais les députés devraient ouvrir une enquête pour voir si réellement on a les moyens de travailler. Il faut des solutions financières, organisationnelles. Par exemple les sages-femmes réclament la création des maisons de naissances à proximité, où dans certains endroits il n’y en a pas.
* Il faut absolument sortir de cette dictature économique comme il y a 15 jours où on demandait encore 150 millions d’économies à l’Assistance publique de paris (PHP), on ne voit pas où on va les faire ???!!!.
bisous
Un peu d'actualité, ça vous dit aujourd'hui, et bien même si vous voulez, je vous mets mes notes mag de la santé quand même !

LA MATERNITE DE PORT ROYAL/ DECES/Polémique
- La mort d’un bébé in utero la nuit de jeudi 31 janvier au vendredi 01 février 2013 à la maternité port royal.
- Lorsque la future mère arrive à son terme de sa grossesse, s’est présenté à cette maternité, les médecins n’ont pu que constater la mort in utero de son foetus.
- Les circonstances restent pour le moment inexpliquées.
- La maternité de Cochin de Port royal est de niveau 3, de pointe, flambant neuve, elle est très réputée dans la capitale notamment pour les grossesses à risques.
- L’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris (PHP) a révélé que cette patiente s’était présentée à 2 reprises dans cette maternité juste avant l’accident pour un éventuel déclenchement de son accouchement, après l’examen médical, on lui avait dit de rentrer chez elle.
- Selon les parents, la maternité était débordée et la mère et le fœtus n’auraient donc pas bénéficié de l’attention nécessaire.
- Une enquête judiciaire a été ouverte Dimanche soir et La Ministre de la Santé (Marisol Touraine) réclame une enquête exceptionnelle administrative et médicale.
- La maternité de port royal est submergé de coups de fil donnés par les futures mamans très inquiètes mais il ne faut pas s’affoler car cet accident ne remet pas en cause la compétence et l’excellence des professionnels.
- Pourquoi faire repartir la patiente à deux reprises, est-ce que la maternité manquait de lit ?
* Beaucoup de maternités ont fermés, il y a eu donc un regroupement, et cette décision est à remettre en cause, les professionnels le disent et selon la cours des comptes, nous sommes passés de la 7ème place à la 20ème place en Europe en 2 ans pour la périnatalité. On a aggravé la mort in utero et des bébés après la naissance, des risques voire la mort des mères.
* 1400 maternités en 1974 contre 535 aujourd’hui : Cela ne veut pas dire qu’il faut rouvrir 1000 maternités car la médecine a changé, évolué, la science est différente mais cela veut dire qu’il faut que nous ayons les moyens de travailler.
* De plus, la fécondité augmente en France.
* Il y a une saturation dans toutes les maternités peu importe le niveau, ainsi que dans les maternités en cliniques privées.
* Autour de la maternité de Port royal à Paris, plusieurs maternités ont fermé comme « Saint Vincent de Paul, de l’hôtel Dieu,et récemment la maternité de Saint Antoine », elles étaient toutes de grosses maternités, donc regroupement mais c’est pas parce qu’on ferme un lit dans un établissement qu’on va l’ouvrir dans l’autre ! Et manque de personnel !
* Au ministère, il y a une meilleure écoute mais les députés devraient ouvrir une enquête pour voir si réellement on a les moyens de travailler. Il faut des solutions financières, organisationnelles. Par exemple les sages-femmes réclament la création des maisons de naissances à proximité, où dans certains endroits il n’y en a pas.
* Il faut absolument sortir de cette dictature économique comme il y a 15 jours où on demandait encore 150 millions d’économies à l’Assistance publique de paris (PHP), on ne voit pas où on va les faire ???!!!.
bisous

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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
Coucou à tous,
Je vais passer le concours d'infirmier 2013 et je me demandais si vos résumés sur Le Magazine de la Santé devaient être appris ou plutôt s'il s'agissait simplement d'un petit plus pour le concours ?
Que me conseillez-vous ? Apprendre tous les résumés ou juste les lire ?
Merci d'avance
Mathilde
Je vais passer le concours d'infirmier 2013 et je me demandais si vos résumés sur Le Magazine de la Santé devaient être appris ou plutôt s'il s'agissait simplement d'un petit plus pour le concours ?
Que me conseillez-vous ? Apprendre tous les résumés ou juste les lire ?
Merci d'avance

Mathilde
Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
Salut, ben prends des notes ça suffira.matatoes a écrit :Coucou à tous,
Je vais passer le concours d'infirmier 2013 et je me demandais si vos résumés sur Le Magazine de la Santé devaient être appris ou plutôt s'il s'agissait simplement d'un petit plus pour le concours ?
Que me conseillez-vous ? Apprendre tous les résumés ou juste les lire ?
Merci d'avance![]()
Mathilde

Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
L'organisation de la maternité pourrait être un facteur dans la mort in-utero d'un bébé.
Quatre jours après la mort d'un bébé in utero alors que sa mère n'avait pas pu accoucher à la maternité de Port-Royal à Paris, Europe 1 a pu prendre connaissance des premiers éléments de l'enquête interne menée par la direction des Hôpitaux de Paris. Et selon nos informations, contrairement à ce qu'affirment les syndicats depuis le drame, il y avait suffisamment de lits disponibles jeudi dernier lorsque la jeune femme s'est présentée. Mais un problème d'organisation aurait empêché son admission.
Une guerre interne. En fait, la maternité de Port-Royal est répartie sur deux ailes de bâtiment, chacune hébergeant son propre service d'obstétrique. Or chaque unité est dirigée indépendamment l'une de l'autre, par deux chefs qui ne s'entendraient pas. Résultat, une absence de communication et aucun transfert de patient possible.
C'est ce qui aurait conduit au drame de la semaine dernière. Lorsque la jeune femme est arrivée jeudi dernier à son rendez-vous, le service où elle s'est présentée était effectivement surchargé. L'autre unité aurait pu l'accueillir dans de bonnes conditions. Mais le transfert n'a pas eu lieu.
Un examen incomplet. Une sage-femme a tout de même pris le temps d'effectuer un monitoring, c'est-à-dire un enregistrement du rythme cardiaque du foetus. Le test n'aurait révélé aucune anomalie. Mais selon les informations d'Europe 1, la prise en charge aurait été incomplète : en effet, après avoir laissé partir la patiente, la sage-femme l'aurait rappelée parce qu'elle avait oublié de lui demander si le bébé bougeait.
Les conclusions définitives de cette enquête interne devraient être rendues publiques le mois prochain. En attendant, l'AP-HP a commencé à contacter toutes les femmes enceintes suivies à Port-Royal pour les rassurer sur la qualité du service.
Quatre jours après la mort d'un bébé in utero alors que sa mère n'avait pas pu accoucher à la maternité de Port-Royal à Paris, Europe 1 a pu prendre connaissance des premiers éléments de l'enquête interne menée par la direction des Hôpitaux de Paris. Et selon nos informations, contrairement à ce qu'affirment les syndicats depuis le drame, il y avait suffisamment de lits disponibles jeudi dernier lorsque la jeune femme s'est présentée. Mais un problème d'organisation aurait empêché son admission.
Une guerre interne. En fait, la maternité de Port-Royal est répartie sur deux ailes de bâtiment, chacune hébergeant son propre service d'obstétrique. Or chaque unité est dirigée indépendamment l'une de l'autre, par deux chefs qui ne s'entendraient pas. Résultat, une absence de communication et aucun transfert de patient possible.
C'est ce qui aurait conduit au drame de la semaine dernière. Lorsque la jeune femme est arrivée jeudi dernier à son rendez-vous, le service où elle s'est présentée était effectivement surchargé. L'autre unité aurait pu l'accueillir dans de bonnes conditions. Mais le transfert n'a pas eu lieu.
Un examen incomplet. Une sage-femme a tout de même pris le temps d'effectuer un monitoring, c'est-à-dire un enregistrement du rythme cardiaque du foetus. Le test n'aurait révélé aucune anomalie. Mais selon les informations d'Europe 1, la prise en charge aurait été incomplète : en effet, après avoir laissé partir la patiente, la sage-femme l'aurait rappelée parce qu'elle avait oublié de lui demander si le bébé bougeait.
Les conclusions définitives de cette enquête interne devraient être rendues publiques le mois prochain. En attendant, l'AP-HP a commencé à contacter toutes les femmes enceintes suivies à Port-Royal pour les rassurer sur la qualité du service.
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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
Merci beaucoup John pour ce complément !
Cristal

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Re: Notes d'actu : Le Magazine de la Santé
tiens tu passes les même concours que moicristal74270 a écrit :Merci beaucoup John pour ce complément !![]()
Cristal
Chambéry, Annecy par contre après moi j'ai choisi Hauteville et Bourgoin
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